La punition de Nathalie 1
Nathalie est une jolie femme d'une quarantaine d'années qui est devenue ma soumise il y a quelques mois. Elle a de longs cheveux frisés châtain foncé, le type un peu latino. Son corps présente de belles rondeurs : de seins lourds, une belle paire de fesses qui claquent bien. Elle était attirée par du hard sex, curieuse de connaître ses limites et, cadre dirigeante dans une grosse société, soucieuse de mesurer son potentiel de soumission à un Maître.
Ayant entendu parlé de moi, nous nous étions rencontrés à sa demande et elle m'avait déclaré sa volonté de devenir soumise. A près de longs échanges pour déterminer sa motivation réelle, et avoir discuter des termes de son contrat de soumission, elle l'avait signé, m'offrant sans limite son corps et son âme. Novice dans le BDSM, elle ne respectait pas toujours mes demandes et son éducation était loin d'être terminée. Absente quelques jours pour des raisons familiales, elle avait omis de me donner de ses nouvelles comme son contrat lui imposait de le faire quotidiennement. A son retour, elle m'appela quelque peu honteuse et inquiète de ce que son indiscipline lui vaudrait.
"Dans la soirée, sans te prévenir de l’heure exacte, je vais passer chez toi. Je sonnerai, tu m’ouvriras pour que je puisse monter, tu laisseras la porte de l’appartement entrouverte et m’attendras, prête à me recevoir. Tu porteras un bustier en vinyl très serré à la taille, ce qui t’empêchera presque de respirer mais fera ressortir tes gros seins et rebondir ton cul. Ton anus sera ornementé du plus petit de tes rosebuds, mais l’autre, le plus gros des 2, devra être disponible pour le cas où je voudrais m’occuper plus longuement de ton petit trou. Tu compléteras ta tenue par des escarpins à hauts talons et des bas autofixants noirs, ton collier de chienne en cuir sur lequel est inscrit en lettres chromées : "owned" et de sa laisse, ainsi qu’un bandeau sur les yeux car après ces 4 jours de rébellion, tu ne mérites pas de me regarder. Tu te tiendras dans l’entrée, à genoux, présentant à bout de bras une cravache ; bien que je rechigne à m’en servir, je ne peux laisser impuni un tel comportement de ta part." Elle acquiesça.
A une heure plutôt tardive, pour laisser croître son impatience à découvrir, et craindre, ce que je lui réservais, je sonnai et montai. Je poussai la porte, pénétrai dans son appartement et la refermai derrière moi.
Elle était telle que je le lui avais demandé de l’être, mais je pouvais voir à un légère crispation de ton visage qu'elle craignait un peu ce qui allait suivre. Je ne dis rien. Pas question qu'elle puisse soupçonner quoi que ce soit de mon état d’esprit dans le son de ma voix. Je la giflai sèchement deux fois, saisis la cravache, l'attrapai par ses longs cheveux et la fis se prosterner, le visage contre le sol, son cul aux belles fesses rondes dressé et offert.
"Tu sais que je ne vais pas être tendre. Mets tes mains dans le dos."
"Oui Maître, pardonnez moi!" implora-t-elle.
"Tais toi soumise! Tu es une petite chienne indocile. Je ne veux pas t'entendre. Écarte tes fesses avec les mains. Tu connais la règle, je ne vais pas les attacher. Tu ne devras pas bouger sous la morsure des coups de cravache, et tu ne pourras pas t’aider de tes liens pour que tes mains restent immobiles. Tu devras faire appel à ton orgueilleuse volonté pour rester de marbre."
Je passai derrière elle et vérifiai que le rosebud était bien en place. Je le sortis un peu, pour ouvrir sa rondelle, puis le repoussai plusieurs fois pour juger l’élasticité de son petit trou. Il n'était pas assez serré et le rosebud n’était pas bien tenu. Je l’ôtai pour le remplacer par le plus gros. Je l'enfonçai doucement, avec difficulté même, car son anus n'était pas assez souple ce qui prouvait qu'elle ne le travaillait pas suffisamment en mon absence avec les divers plugs à sa disposition. Désobéissance qui, à elle seule, justifiait mon mécontentement et les punitions que j'allais infliger à Nathalie.
Ayant entendu parlé de moi, nous nous étions rencontrés à sa demande et elle m'avait déclaré sa volonté de devenir soumise. A près de longs échanges pour déterminer sa motivation réelle, et avoir discuter des termes de son contrat de soumission, elle l'avait signé, m'offrant sans limite son corps et son âme. Novice dans le BDSM, elle ne respectait pas toujours mes demandes et son éducation était loin d'être terminée. Absente quelques jours pour des raisons familiales, elle avait omis de me donner de ses nouvelles comme son contrat lui imposait de le faire quotidiennement. A son retour, elle m'appela quelque peu honteuse et inquiète de ce que son indiscipline lui vaudrait.
"Dans la soirée, sans te prévenir de l’heure exacte, je vais passer chez toi. Je sonnerai, tu m’ouvriras pour que je puisse monter, tu laisseras la porte de l’appartement entrouverte et m’attendras, prête à me recevoir. Tu porteras un bustier en vinyl très serré à la taille, ce qui t’empêchera presque de respirer mais fera ressortir tes gros seins et rebondir ton cul. Ton anus sera ornementé du plus petit de tes rosebuds, mais l’autre, le plus gros des 2, devra être disponible pour le cas où je voudrais m’occuper plus longuement de ton petit trou. Tu compléteras ta tenue par des escarpins à hauts talons et des bas autofixants noirs, ton collier de chienne en cuir sur lequel est inscrit en lettres chromées : "owned" et de sa laisse, ainsi qu’un bandeau sur les yeux car après ces 4 jours de rébellion, tu ne mérites pas de me regarder. Tu te tiendras dans l’entrée, à genoux, présentant à bout de bras une cravache ; bien que je rechigne à m’en servir, je ne peux laisser impuni un tel comportement de ta part." Elle acquiesça.
A une heure plutôt tardive, pour laisser croître son impatience à découvrir, et craindre, ce que je lui réservais, je sonnai et montai. Je poussai la porte, pénétrai dans son appartement et la refermai derrière moi.
Elle était telle que je le lui avais demandé de l’être, mais je pouvais voir à un légère crispation de ton visage qu'elle craignait un peu ce qui allait suivre. Je ne dis rien. Pas question qu'elle puisse soupçonner quoi que ce soit de mon état d’esprit dans le son de ma voix. Je la giflai sèchement deux fois, saisis la cravache, l'attrapai par ses longs cheveux et la fis se prosterner, le visage contre le sol, son cul aux belles fesses rondes dressé et offert.
"Tu sais que je ne vais pas être tendre. Mets tes mains dans le dos."
"Oui Maître, pardonnez moi!" implora-t-elle.
"Tais toi soumise! Tu es une petite chienne indocile. Je ne veux pas t'entendre. Écarte tes fesses avec les mains. Tu connais la règle, je ne vais pas les attacher. Tu ne devras pas bouger sous la morsure des coups de cravache, et tu ne pourras pas t’aider de tes liens pour que tes mains restent immobiles. Tu devras faire appel à ton orgueilleuse volonté pour rester de marbre."
Je passai derrière elle et vérifiai que le rosebud était bien en place. Je le sortis un peu, pour ouvrir sa rondelle, puis le repoussai plusieurs fois pour juger l’élasticité de son petit trou. Il n'était pas assez serré et le rosebud n’était pas bien tenu. Je l’ôtai pour le remplacer par le plus gros. Je l'enfonçai doucement, avec difficulté même, car son anus n'était pas assez souple ce qui prouvait qu'elle ne le travaillait pas suffisamment en mon absence avec les divers plugs à sa disposition. Désobéissance qui, à elle seule, justifiait mon mécontentement et les punitions que j'allais infliger à Nathalie.
4 years ago