Je me suis fait prendre de force par mon prof3
Chapitre 3
Je me sens encore mal par rapport à la dernière fois, je n'ai pas le choix d'y aller, sinon il convoquera mes parents, et je déteste décevoir...
Je ne me laisse pas souvent marcher sur les pieds, je dis non à tous, dès fois oui certain en profite mais qu'importe... dans le lycée, je suis plutôt le genre de fille provocatrice avec Jeans serrer et maquillage de soirée, je suis simple. Je désobéis énormément de fois et c'est pourquoi aujourd'hui j'irai en colle...
Il est 16 heures 48, je me pince les lèvres, l’appréhende, mes mains sont moites, j'ai chaud... Il est (comme à son habitude déjà là), j'attends qu'il soit 17 heures tapante pour entrer. Aujourd'hui je porte jeans serrer bleu comme d'hab. le meme que la semaine dernière qui m'arrive aux chevilles, et un simple pull blanc, (au moins si je ramasse quelque chose il ne verra rien !).
J'entre et le calvaire commence dès mon arrivé, je suis invitée à aller au tableau faire mes quelques exercices d'algèbre (du chinois !), il a un doigt sur la bouche, les jambes croisées, il me regarde attentivement. Au bout de quelque minute il me dit de m'arrêter pour faire une pause, il me questionne :
'' Pourquoi à ton avie tu es toujours collée ?
-Parce que je n'obéis pas assez bien monsieur, dis-je en baissant les yeux
-Pourquoi ne fais-tu pas les choses comme il le faut ? Me dit-il en élevant la voix
-Je ne sais pas, dis-je d'une toute petite voix
-Pourquoi tu ne fais pas d'effort ? Rugit-il
Les larmes me montent aux yeux, pourquoi me trouve-t-il tous les défauts du monde, je me sens si soumise, je balbutie quelque mot :
-Monsieur je … fais de mon mieux...
-Alors pourquoi ne viens-tu jamais me sucer la Bite ? Dit-il en chuchotant''
Je tressaillis, ma conscience me joue des tours, j'ai l'esprit très confus, et je me persuade que j'ai très mal interprété, pourtant, ces mots qu'il aurait dit vienne me donner un coup de fouet jusqu'au bas ventre, je sens des picotements, ma respiration s'accélère, je deviens rouge pivoine, j'en tremble et j'en oublie ma craie qui chute par terre (venant se glisser sous le bureau), la bouche à moitié ouvert, j'ai très chaud, j'ai l'impression d'avoir fait la plus grosse erreur de ma vie. J'ai le cœur qui bat comme un enfant qui aurait fait une bêtise... J'ai envie de courir mais mes jambes maladroite et endolories me l'en empêche...
Il me fait signe d'aller le chercher... Il a un sourire aux lèvres et les yeux à moitié fermés... Je me baisse, Mon Jeans remonte un peu, laissant apparaître mes fesses roses, j'ai honte, j'essaye maladroitement à la Monter un peu, j’empire les choses j'ai l'impression.
J'essaye de me concentrer, au plus vite j'att****rai cette maudite craie, au plus vite je remontrai, je suis en appuis sur une main, l'autre chercher, je ne la vois pas, mais soudain je la sens, du bout des doigts, j'y suis presque... J'essaye de m'avancer encore un peu pour l'att****r elle glisse.
Je ne peux m’empêcher de voir subitement son entrejambe et je remarque qu’une bosse ce forme et gonfle a vue d’œil à travers son pantalon, troublée mais pensée vont loin pourquoi avait-il subitement une bosse alors qu’il me voie juste à 4 pates les fesses dans un jeans ? Bref je continue à prendre mon crai.
Quand soudain je sens quelque chose me claquer violemment mon Jeans et en l'occurrence mon cul, je me retourne lentement, c'est le prof qui vient de me fesser avec sa grande règle jaune de tableau, je rougis, une bouffée d'air chaude vient m’étouffer.
Je le regarde droit dans les yeux, d'une main il tient la règle géante, de l'autre il se touche légèrement le pantalon. Je suis tétanisée, là, au pied de mon prof, à quatre pattes, le Jeans remontée.
Le temps est passé si vite, comme à mon habitude, je sors de la salle assez rapidement et la tête baissée.
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Je me sens encore mal par rapport à la dernière fois, je n'ai pas le choix d'y aller, sinon il convoquera mes parents, et je déteste décevoir...
Je ne me laisse pas souvent marcher sur les pieds, je dis non à tous, dès fois oui certain en profite mais qu'importe... dans le lycée, je suis plutôt le genre de fille provocatrice avec Jeans serrer et maquillage de soirée, je suis simple. Je désobéis énormément de fois et c'est pourquoi aujourd'hui j'irai en colle...
Il est 16 heures 48, je me pince les lèvres, l’appréhende, mes mains sont moites, j'ai chaud... Il est (comme à son habitude déjà là), j'attends qu'il soit 17 heures tapante pour entrer. Aujourd'hui je porte jeans serrer bleu comme d'hab. le meme que la semaine dernière qui m'arrive aux chevilles, et un simple pull blanc, (au moins si je ramasse quelque chose il ne verra rien !).
J'entre et le calvaire commence dès mon arrivé, je suis invitée à aller au tableau faire mes quelques exercices d'algèbre (du chinois !), il a un doigt sur la bouche, les jambes croisées, il me regarde attentivement. Au bout de quelque minute il me dit de m'arrêter pour faire une pause, il me questionne :
'' Pourquoi à ton avie tu es toujours collée ?
-Parce que je n'obéis pas assez bien monsieur, dis-je en baissant les yeux
-Pourquoi ne fais-tu pas les choses comme il le faut ? Me dit-il en élevant la voix
-Je ne sais pas, dis-je d'une toute petite voix
-Pourquoi tu ne fais pas d'effort ? Rugit-il
Les larmes me montent aux yeux, pourquoi me trouve-t-il tous les défauts du monde, je me sens si soumise, je balbutie quelque mot :
-Monsieur je … fais de mon mieux...
-Alors pourquoi ne viens-tu jamais me sucer la Bite ? Dit-il en chuchotant''
Je tressaillis, ma conscience me joue des tours, j'ai l'esprit très confus, et je me persuade que j'ai très mal interprété, pourtant, ces mots qu'il aurait dit vienne me donner un coup de fouet jusqu'au bas ventre, je sens des picotements, ma respiration s'accélère, je deviens rouge pivoine, j'en tremble et j'en oublie ma craie qui chute par terre (venant se glisser sous le bureau), la bouche à moitié ouvert, j'ai très chaud, j'ai l'impression d'avoir fait la plus grosse erreur de ma vie. J'ai le cœur qui bat comme un enfant qui aurait fait une bêtise... J'ai envie de courir mais mes jambes maladroite et endolories me l'en empêche...
Il me fait signe d'aller le chercher... Il a un sourire aux lèvres et les yeux à moitié fermés... Je me baisse, Mon Jeans remonte un peu, laissant apparaître mes fesses roses, j'ai honte, j'essaye maladroitement à la Monter un peu, j’empire les choses j'ai l'impression.
J'essaye de me concentrer, au plus vite j'att****rai cette maudite craie, au plus vite je remontrai, je suis en appuis sur une main, l'autre chercher, je ne la vois pas, mais soudain je la sens, du bout des doigts, j'y suis presque... J'essaye de m'avancer encore un peu pour l'att****r elle glisse.
Je ne peux m’empêcher de voir subitement son entrejambe et je remarque qu’une bosse ce forme et gonfle a vue d’œil à travers son pantalon, troublée mais pensée vont loin pourquoi avait-il subitement une bosse alors qu’il me voie juste à 4 pates les fesses dans un jeans ? Bref je continue à prendre mon crai.
Quand soudain je sens quelque chose me claquer violemment mon Jeans et en l'occurrence mon cul, je me retourne lentement, c'est le prof qui vient de me fesser avec sa grande règle jaune de tableau, je rougis, une bouffée d'air chaude vient m’étouffer.
Je le regarde droit dans les yeux, d'une main il tient la règle géante, de l'autre il se touche légèrement le pantalon. Je suis tétanisée, là, au pied de mon prof, à quatre pattes, le Jeans remontée.
Le temps est passé si vite, comme à mon habitude, je sors de la salle assez rapidement et la tête baissée.
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4 years ago
