Ma belle-soeur (1)
(Avec plusieurs hommes, Hétéro, Voyeur / Exhibition)
J’ai 34 ans et j’habite à Paris avec mon épouse âgée de 32 ans. Au besoin de mon travail, j’ai du récemment effectuer un voyage à Lyon pour rencontrer des clients. Ce voyage impliquait d’y rester 3 jours. Ayant ma belle-sœur Anne de 23 ans dans cette ville je lui ai demandé si elle pouvait m’héberger pour deux nuits, économisant ainsi les frais d’hôtel, ce qu’elle accepta tout de suite.
Avec Anne, qui par ailleurs est magnifique mais très gentillette, voire fleur bleue, nous nous entendons très bien. Aussi le mercredi soir nous passons une excellente soirée à discuter de choses et d’autres, dont de son petit ami resté chez lui.
Elle habite un petit studio en duplex avec un petit canapé en bas et un grand lit à l’étage. Lorsque la fatigue arrive et qu’il est l’heure d’aller dormir, je lui dis de me donner une simple couverture et je dormirai sur le canapé. Elle reste perplexe à l’idée que je passe une bonne nuit et me dit de plutôt dormir dans son lit qui est, cela est tout à fait juste, bien assez grand pour deux voire trois personnes. Adjugé.
Anne passe à la salle de bain et va se coucher en chemise de nuit. De mon côté, j’ai enfilé mon pyjama short et la rejoins sous la couette. Nous éteignons et dormons chacun de notre côté, loin de l’autre.
Il fait un peu trop chaud et nous nous retournons fréquemment dans le lit. A un moment, Anne rejette en partie la couette et se rendort sur le ventre, une jambe passée par-dessus la couette. Le peu de lumière me permet tout de même de remarquer que sa chemise de nuit est remontée au passage sur ses hanches et j’admire en silence cette magnifique croupe nue à côté de moi. Le résultat n’a pas tardé et je me suis mis à bander comme un fou sous la couette. Mon pyjama ne retenant plus grand chose, je décidai de l’enlever en douce.
Dans un état d’excitation extrême, je n’osais cependant pas me toucher ou faire quoi que ce soit vers elle. De son côté, après avoir eu chaud, elle a maintenant froid et retourne sous la couette allongée sur le dos.
Habitué à dormir avec mon épouse, j’imite un mouvement naturel et vient me coller contre elle, une jambe passant sur les siennes et ma main sur sa hanche opposée et dénudée. Dans cette position, nos visages ne sont qu’à quelques centimètres et mon sexe vient se coller à sa hanche. Nous dormons ainsi 10 bonnes minutes pendant lesquelles mon sexe pulse contre elle, puis elle se retourne à son tour… mais vers moi.
Ce faisant, elle me rejette sur le dos. Sa jambe droite passe au-dessus de mes jambes et de mon bas-ventre. Anne se love sur moi et pose sa tête sur mon épaule. Mon sexe est tendu sur mon ventre, coincé contre sa toison pubienne. Mon bras droit est passé dans son dos et ma main vient se coller contre sa fesse gauche dénudée. Je la caresse quelques instants puis saisis Anne par les hanches et la redresse entièrement sur moi, tout en la faisant remonter légèrement, ses jambes glissant de part et d’autre de mon corps. Mon sexe libéré se tend et vient se positionner au contact de sa vulve.
Elle ouvre les yeux et me sourit. Sans un mot, sa main droite glisse entre nos torses et att**** mon sexe et commence à le masturber. Je lui rends son sourire et pose mes mains sur ses fesses, les caresse, et remonte sur ses épaules sa chemise de nuit. Je lui redresse le torse, lui retire sa chemise de nuit et des seins superbes me sont révélés, que je m’empresse de caresser. Elle est à genoux au-dessus de moi, redressée, et tient toujours mon sexe dans sa main. Elle guide son corps au-dessus de ma verge et positionne sa vulve sur mon gland, avant de se laisser tomber dessus au plus profond en un seul mouvement, facilité par ses sécrétions déjà importantes.
Je la regarde monter et descendre lentement sur mon sexe. Je n’en crois pas mes yeux : je suis en train de baiser avec ma belle-sœur, qui plus est une superbe nana. Mon sexe est dur comme rarement et elle commence doucement à gémir. N’en pouvant plus, étant excité depuis trop longtemps, je me vide en elle. Mais pour son plus grand plaisir, ma verge reste dure et dressée à la folie.
Nous nous retournons sur le lit et, elle en dessous, je me mets à la pilonner comme un fou attendant qu’elle jouisse à son tour. Ça n’a pas tardé. Et à plusieurs reprises avant que je ne jouisse de nouveau en elle.
Je me retire d’elle et, de manière exceptionnelle, continue à bander. Elle m’allonge sur le dos et, prenant ma verge dans sa main, me branle à nouveau mais de manière frénétique cette fois. Après une bonne minute de ce traitement, je sens ma troisième jouissance arriver et manifeste mon plaisir par des petits gémissements. Anne se penche alors et englobe mon sexe dans sa bouche changeant de méthode en lui prodiguant des caresses buccales douces et exquises.
Je décharge dans sa bouche qu’elle enfonce au plus profond sur mon sexe.
Quelques minutes plus tard, nous sommes de nouveau allongés sous la couette pour dormir, nus cette fois, et nous échangeons notre premier baiser, … passionné, en prélude à la soirée prochaine.
Au réveil, nous prenons notre petit déjeuner sans un mot sur la nuit passée. Je sens qu’elle est légèrement gênée et je comprends d’une certaine manière : sa sœur est tout de même mon épouse et son copain est maintenant un cocu. Pour crever l’abcès, je lui fais un bisou dans le cou et lui murmure que personne n’a besoin de savoir ce que nous avons fait et qu’il n’y a pas de mal à prendre du plaisir. Pour accentuer cette grande déclaration, je l’embrasse sur la bouche et lui dis de se dépêcher de prendre sa douche car elle va être en retard à son travail.
Je la regarde ensuite s’habiller, mais je lui dis de ne pas mettre de culotte et de profiter de la sensation pour cette journée. Comme elle va mettre un collant, elle me réplique que ce n’est pas très pratique. Je lui demande si elle a des Dim Up à mettre à la place, mais ce n’est pas le cas. Elle a seulement des bas et un porte-jarretelles. Pas de problèmes pour moi. La voilà donc quasiment nue sous sa jupe longue. Comme elle a une très belle et forte poitrine, je la laisse mettre un soutien-gorge sous son pull. Puis elle part travailler.
La journée de mon côté se passe très bien et je rentre vers 18h00 à son appart. Elle me rejoint une heure plus tard et dès la porte close, je l’embrasse très fort. Remontant sa jupe, je passe un doigt sur son sexe et constate qu’il est trempé. Elle me dit que toute la journée cela a été le cas pour deux raisons : elle a passé son temps à se rappeler la nuit passée (mélange d’extase et de remords) et à fantasmer sur tous les beaux mecs qu’elle a pu croiser en étant sure qu’ils la savaient nue sous sa jupe. Cela m’a bien fait rire.
(À suivre)
J’ai 34 ans et j’habite à Paris avec mon épouse âgée de 32 ans. Au besoin de mon travail, j’ai du récemment effectuer un voyage à Lyon pour rencontrer des clients. Ce voyage impliquait d’y rester 3 jours. Ayant ma belle-sœur Anne de 23 ans dans cette ville je lui ai demandé si elle pouvait m’héberger pour deux nuits, économisant ainsi les frais d’hôtel, ce qu’elle accepta tout de suite.
Avec Anne, qui par ailleurs est magnifique mais très gentillette, voire fleur bleue, nous nous entendons très bien. Aussi le mercredi soir nous passons une excellente soirée à discuter de choses et d’autres, dont de son petit ami resté chez lui.
Elle habite un petit studio en duplex avec un petit canapé en bas et un grand lit à l’étage. Lorsque la fatigue arrive et qu’il est l’heure d’aller dormir, je lui dis de me donner une simple couverture et je dormirai sur le canapé. Elle reste perplexe à l’idée que je passe une bonne nuit et me dit de plutôt dormir dans son lit qui est, cela est tout à fait juste, bien assez grand pour deux voire trois personnes. Adjugé.
Anne passe à la salle de bain et va se coucher en chemise de nuit. De mon côté, j’ai enfilé mon pyjama short et la rejoins sous la couette. Nous éteignons et dormons chacun de notre côté, loin de l’autre.
Il fait un peu trop chaud et nous nous retournons fréquemment dans le lit. A un moment, Anne rejette en partie la couette et se rendort sur le ventre, une jambe passée par-dessus la couette. Le peu de lumière me permet tout de même de remarquer que sa chemise de nuit est remontée au passage sur ses hanches et j’admire en silence cette magnifique croupe nue à côté de moi. Le résultat n’a pas tardé et je me suis mis à bander comme un fou sous la couette. Mon pyjama ne retenant plus grand chose, je décidai de l’enlever en douce.
Dans un état d’excitation extrême, je n’osais cependant pas me toucher ou faire quoi que ce soit vers elle. De son côté, après avoir eu chaud, elle a maintenant froid et retourne sous la couette allongée sur le dos.
Habitué à dormir avec mon épouse, j’imite un mouvement naturel et vient me coller contre elle, une jambe passant sur les siennes et ma main sur sa hanche opposée et dénudée. Dans cette position, nos visages ne sont qu’à quelques centimètres et mon sexe vient se coller à sa hanche. Nous dormons ainsi 10 bonnes minutes pendant lesquelles mon sexe pulse contre elle, puis elle se retourne à son tour… mais vers moi.
Ce faisant, elle me rejette sur le dos. Sa jambe droite passe au-dessus de mes jambes et de mon bas-ventre. Anne se love sur moi et pose sa tête sur mon épaule. Mon sexe est tendu sur mon ventre, coincé contre sa toison pubienne. Mon bras droit est passé dans son dos et ma main vient se coller contre sa fesse gauche dénudée. Je la caresse quelques instants puis saisis Anne par les hanches et la redresse entièrement sur moi, tout en la faisant remonter légèrement, ses jambes glissant de part et d’autre de mon corps. Mon sexe libéré se tend et vient se positionner au contact de sa vulve.
Elle ouvre les yeux et me sourit. Sans un mot, sa main droite glisse entre nos torses et att**** mon sexe et commence à le masturber. Je lui rends son sourire et pose mes mains sur ses fesses, les caresse, et remonte sur ses épaules sa chemise de nuit. Je lui redresse le torse, lui retire sa chemise de nuit et des seins superbes me sont révélés, que je m’empresse de caresser. Elle est à genoux au-dessus de moi, redressée, et tient toujours mon sexe dans sa main. Elle guide son corps au-dessus de ma verge et positionne sa vulve sur mon gland, avant de se laisser tomber dessus au plus profond en un seul mouvement, facilité par ses sécrétions déjà importantes.
Je la regarde monter et descendre lentement sur mon sexe. Je n’en crois pas mes yeux : je suis en train de baiser avec ma belle-sœur, qui plus est une superbe nana. Mon sexe est dur comme rarement et elle commence doucement à gémir. N’en pouvant plus, étant excité depuis trop longtemps, je me vide en elle. Mais pour son plus grand plaisir, ma verge reste dure et dressée à la folie.
Nous nous retournons sur le lit et, elle en dessous, je me mets à la pilonner comme un fou attendant qu’elle jouisse à son tour. Ça n’a pas tardé. Et à plusieurs reprises avant que je ne jouisse de nouveau en elle.
Je me retire d’elle et, de manière exceptionnelle, continue à bander. Elle m’allonge sur le dos et, prenant ma verge dans sa main, me branle à nouveau mais de manière frénétique cette fois. Après une bonne minute de ce traitement, je sens ma troisième jouissance arriver et manifeste mon plaisir par des petits gémissements. Anne se penche alors et englobe mon sexe dans sa bouche changeant de méthode en lui prodiguant des caresses buccales douces et exquises.
Je décharge dans sa bouche qu’elle enfonce au plus profond sur mon sexe.
Quelques minutes plus tard, nous sommes de nouveau allongés sous la couette pour dormir, nus cette fois, et nous échangeons notre premier baiser, … passionné, en prélude à la soirée prochaine.
Au réveil, nous prenons notre petit déjeuner sans un mot sur la nuit passée. Je sens qu’elle est légèrement gênée et je comprends d’une certaine manière : sa sœur est tout de même mon épouse et son copain est maintenant un cocu. Pour crever l’abcès, je lui fais un bisou dans le cou et lui murmure que personne n’a besoin de savoir ce que nous avons fait et qu’il n’y a pas de mal à prendre du plaisir. Pour accentuer cette grande déclaration, je l’embrasse sur la bouche et lui dis de se dépêcher de prendre sa douche car elle va être en retard à son travail.
Je la regarde ensuite s’habiller, mais je lui dis de ne pas mettre de culotte et de profiter de la sensation pour cette journée. Comme elle va mettre un collant, elle me réplique que ce n’est pas très pratique. Je lui demande si elle a des Dim Up à mettre à la place, mais ce n’est pas le cas. Elle a seulement des bas et un porte-jarretelles. Pas de problèmes pour moi. La voilà donc quasiment nue sous sa jupe longue. Comme elle a une très belle et forte poitrine, je la laisse mettre un soutien-gorge sous son pull. Puis elle part travailler.
La journée de mon côté se passe très bien et je rentre vers 18h00 à son appart. Elle me rejoint une heure plus tard et dès la porte close, je l’embrasse très fort. Remontant sa jupe, je passe un doigt sur son sexe et constate qu’il est trempé. Elle me dit que toute la journée cela a été le cas pour deux raisons : elle a passé son temps à se rappeler la nuit passée (mélange d’extase et de remords) et à fantasmer sur tous les beaux mecs qu’elle a pu croiser en étant sure qu’ils la savaient nue sous sa jupe. Cela m’a bien fait rire.
(À suivre)
4 years ago