L'Histoire De Rosie (6)
Michel me donne à ses amis (1)
Michel, mon patron, m’avais prise avec lui pour que je sois sa maîtresse et sa soumise.
La seule chose que j’avais à faire étais d’être prête pour lui, toujours apprêtée et féminine.
Et il était gentil avec moi, me faisait des cadeaux et m’achetait toujours toutes mes tenues.
Son jeu favori était de me faire passer sous son bureau quand il recevait des clients. Là, pendant la conversation, je caressais ses couilles et le suçait doucement. Le but était de ne pas le faire jouir avant le départ de ses clients pour le laisser exploser dans ma bouche ensuite. J’adorais faire cela.
Un jour il vint me dire de venir dans sa maison de campagne pour le weekend. Et il me donna un billet de train.
-Tu voyage seule me dit-il et je veux que tu sois Rosie pour moi. Je mets des vêtements masculins sur ma tenue de pute.
Je prends le train avec ma valise. Je suis lisse, déjà moulée dans une combinaison cat suit de résilles noires à manches longues, mais ouverte aux seins, sur mon clito et ma raie de femelle à queue. Sous mes vêtements d’homme, elle me moule, caresse et échauffe mon corps.
Un serre taille ocre et or moule mes hanches. Sous ma veste masculine, je porte déjà la robette blanche qu’il m’a achetée. De fines bretelles nouées derrière ma nuque, dos nu, ses dentelles transparentes couvrent à peine ma croupe. Pas de culotte…
Je passe aux toilettes installer mon robebud. La lourde ogive ouvre ma rondelle et s’installe dans ma grotte anale. Le bijou de bon diamètre écarte mes fesses. Je joue à onduler ma croupe en revenant à ma place, et une fois assise, je me caresse la chatte en tapant ce texte sur mon ordi. Je le sens dans ma grotte en remuant mes reins…
Michel m’attends comme prévu, il me fait monter à l’arrière de sa berline pour me changer pendant qu’il conduit…. « Tu es superbe j’ai une surprise pour toi. Avant d’aller chez moi nous allons d’abord nous arrêter pour un plan nature, ok. « « Avec joie, répondis-je en l’embrassant sur la bouche. »
Dans mon sac à main, j’ai prévu des escarpins talons aiguilles 10cm à brides….
Je retire mes bottines masculines, mon pantalon. La dentelle de ma combinaison entre en contact avec le cuir des fauteuils. Je garde ma veste, mais ouverte pendant qu’on quitte la ville. Je défais mon foulard qui cachait mon lourd collier. La nuit tombe.
Il oriente son rétro, me fait allumer le plafonnier et m’exhiber sur la nationale… Les vitres ouvertes tous les automobilistes peuvent admirer le spectacle.
« Retire ta veste maintenant, j’aime bien tes lèvres repeintes en rouge salope … Nous arrivons. »
Il s’est arrêté dans une aire perdue dans des bois, avec une table de pique-nique en béton, et deux voitures déjà garées…
Il se gare et vient ouvrir ma porte. Je ne vois personne, il me roule une pelle en m‘attrapant fermement les tétons, ce qui me fait gémir de plaisir. Il s’adosse à la voiture et m’ordonne de marcher devant lui, de faire le tour de la table en ondulant du cul comme une salope….
Ses mots crus me font tourner la tête… Mes tétons sont excités, je sens mon clito se redresser, ma chatte anale mouillée. Je réponds à ses désirs, ses ordres en cambrant ma croupe sur mes talons aiguilles, je marche en faisant délicieusement onduler mon cul sur mes hauts talons, je m’appuie même à la table pour lui faire bien voir mon cul. Je sens ma robette blanche remonter et exhiber ma raie prise par le rosebud grenat.
Michel vient vers moi et me caresse le cul, me donne ses doigts à sucer.
Je sens des ombres s’approcher. Paul et Henri, ses amis à qui il m’a promis de me donner, sont là, accompagnés de deux autres hommes murs, un peu bedonnants…. Paul m’att**** par la nuque, me fait monter sur la table, et me tiens le visage collé au béton ciré, au bord de la table. Mon cul se dresse et Michel ouvre mes cuisses, écarte mes genoux en caressant mes bas, mes jarretelles.
« Messieurs, regardez cette salope comme elle aime être exhibée. Prenez-là elle est à vous.
Paul ouvre ma bouche avec deux doigts, et un des hommes vient poser son gland goûteux sur ma langue. Il me lime la bouche lentement, se fait bien nettoyer sa queue des liqueurs de son excitation. Je me régale en gémissant sous une bouche qui vient me bouffer la chatte anale. Je sens ma raie toute ouverte, la bouche qui att**** le rosebud par la base et joue avec dans mon cul en chaleur. Je gémis…
Une nouvelle queue remplace la première sur mes lèvres. C’est le second homme, sa queue est dure, gonflée. Il m’att**** la bouche et gicle vite, comme j’aime, son gland sur ma langue à l’entrée de ma bouche. Sa crème frappe mon palais, envahit ma langue, ma bouche. Il se finit sur mon menton et laisse la place à la queue de Paul. Il plonge son gland dans ma bouche pleine de crème.
Il me regarde le sucer sans me toucher, commentant à mots crus mon cul de pute que Michel encule maintenant en même temps. Le premier homme me travaille maintenant les tétons, et écarte mon cul enculé. Je le suce de nouveau, il m’arrose la bouche à son tour !
Michel m’ordonne de garder son jus en bouche, et me tire les genoux sur le banc pour guider la grosse bite de Paul dans mon trou. Henri tape frotte sa bite sur ma bouche crémée, et je m’ouvre au gros gland qui franchit ma moule anale.
Je fais onduler ma croupe pour me prendre sa grosse queue, je mouille du cul comme une salope et je crie en poussant mon cul sur son mandrin. Michel me creuse les reins, Paul écarte mon cul en m’enculant lentement, bien à fond, écrase ses couilles en me sodomisant la chatte bien au fond. Je sens son gland ouvrir la porte du fond de ma grotte, je tends mon cul en arrière pour le garder enfoncé.
J'entends des clics d’appareil photo… c’est un des deux hommes qui m’ont giclé dans la bouche qui maintenant prend des photos.
Paul se recule pour faire quelques photos. Ma robette blanche troussée sur ma croupe défoncée….
Il s’allonge sur la table, Henri le branle. Sa grosse bite épaisse et longue bande dur, et Michel m’ordonne de monter m’empaler dos à lui. Je me cale sur mes talons aiguilles, me cambre. Je bande. Je sens sa queue frotter contre ma raie et je la guide pour m’empaler dessus en gémissant. Je fais onduler mes reins dessus, l’enfile dans mon cul. Je veux arriver à m’assoir dessus, me la mettre à écraser ses couilles. Sa grosse bite défonce mon cul et je jouis analement…. J’arrive à le prendre en entier…. Je m’empale complètement, cuisses relevées…. Les mateurs se régalent en se branlant.
Michel att**** mon cul et Henri s’installe entre mes cuisses et celles de Paul. Il guide sa queue contre celle de son ami, Michel me traite de tous les noms de salope au moment où je le sens m’enculer avec Paul. J’ai les deux queues dans ma grotte ! Henri commence à me limer, je sens ma rondelle s’ouvrir en grand, les deux bites qui coulissent dans mon cul ! Je deviens folle, les excite, leur crie de me défoncer ! Ils me défoncent le trou, me bourrent à tous les rythmes…. Henri finit par gicler dans mon cul, sa crème me remplit la grotte.
Il se retire pour me faire nettoyer sa queue avec ma bouche, Paul se déchaîne et se vide les couilles dans mon cul défoncé.
Michel me suce maintenant, il sort la queue de Paul, et je sens le sperme des deux queues couler de mon cul. Il me fait vider mon trou, faire couler le sperme sur la table de béton ciré.
Je suis épuisée, j’ai joui du cul, ils me le font répéter comme une chienne… Ils me retournent, Michel m’ordonne de laper le foutre sur la table de béton ciré… Il me fait lécher, aspirer en m’humiliant devant les deux autres. La bouche collante de jus, je dois leur dire comme j’aime leur sperme… Et j’aime vraiment leur sperme.
Michel n’en peut plus et vient se branler et éjacule sur ma langue en train de nettoyer, sur la table… Je dois tout nettoyer de nouveau…
Les deux invités ont rebandé, et ils me font mettre à genoux sur un banc, appuyée à la table et viennent m’enculer tour à tour. Ils bourrent ma chatte toute ouverte, et Michel leur demande de venir se finir sur ma bouche.
« Garde bien la langue sortie ma bonne salope. »
Ils me jutent sur la langue, me tartinent les lèvres et le menton de foutre…
Michel est heureux de toutes ces belles photos.
Il m’accompagne, le visage collant de sperme… et me fait tout recueillir sur mes doigts et lécher, avaler encore, adossée à la voiture. Les voyeurs me regardent faire en commentant vicieusement avant de partir.
Je les entends dire « à demain » en montant dans la voiture…
Il nous reste un peu de voiture à faire avant d’arriver. Je peux me doucher, glisser des bas nylons, un teddy de satin ouvert aux seins, au clito, à ma chatte anale comme j’aime. Une nuisette, des mules, et je retrouve Michel.
La soirée n’est pas finie… Ma chaise de secrétaire est prête devant l’ordi allumé, un gode turgescent fixé sur l’assise, et il me fait raconter cette soirée en me pelotant. Ensuite il me baise sur le divan, je gicle en me caressant sous ses coups de queue… Je réclame son foutre, il sort de ma grotte au moment de gicler et j’ai juste le temps de me jeter sur sa bite baveuse pour prendre une dernière giclée de sperme avant d’aller nous écrouler au lit…
Michel, mon patron, m’avais prise avec lui pour que je sois sa maîtresse et sa soumise.
La seule chose que j’avais à faire étais d’être prête pour lui, toujours apprêtée et féminine.
Et il était gentil avec moi, me faisait des cadeaux et m’achetait toujours toutes mes tenues.
Son jeu favori était de me faire passer sous son bureau quand il recevait des clients. Là, pendant la conversation, je caressais ses couilles et le suçait doucement. Le but était de ne pas le faire jouir avant le départ de ses clients pour le laisser exploser dans ma bouche ensuite. J’adorais faire cela.
Un jour il vint me dire de venir dans sa maison de campagne pour le weekend. Et il me donna un billet de train.
-Tu voyage seule me dit-il et je veux que tu sois Rosie pour moi. Je mets des vêtements masculins sur ma tenue de pute.
Je prends le train avec ma valise. Je suis lisse, déjà moulée dans une combinaison cat suit de résilles noires à manches longues, mais ouverte aux seins, sur mon clito et ma raie de femelle à queue. Sous mes vêtements d’homme, elle me moule, caresse et échauffe mon corps.
Un serre taille ocre et or moule mes hanches. Sous ma veste masculine, je porte déjà la robette blanche qu’il m’a achetée. De fines bretelles nouées derrière ma nuque, dos nu, ses dentelles transparentes couvrent à peine ma croupe. Pas de culotte…
Je passe aux toilettes installer mon robebud. La lourde ogive ouvre ma rondelle et s’installe dans ma grotte anale. Le bijou de bon diamètre écarte mes fesses. Je joue à onduler ma croupe en revenant à ma place, et une fois assise, je me caresse la chatte en tapant ce texte sur mon ordi. Je le sens dans ma grotte en remuant mes reins…
Michel m’attends comme prévu, il me fait monter à l’arrière de sa berline pour me changer pendant qu’il conduit…. « Tu es superbe j’ai une surprise pour toi. Avant d’aller chez moi nous allons d’abord nous arrêter pour un plan nature, ok. « « Avec joie, répondis-je en l’embrassant sur la bouche. »
Dans mon sac à main, j’ai prévu des escarpins talons aiguilles 10cm à brides….
Je retire mes bottines masculines, mon pantalon. La dentelle de ma combinaison entre en contact avec le cuir des fauteuils. Je garde ma veste, mais ouverte pendant qu’on quitte la ville. Je défais mon foulard qui cachait mon lourd collier. La nuit tombe.
Il oriente son rétro, me fait allumer le plafonnier et m’exhiber sur la nationale… Les vitres ouvertes tous les automobilistes peuvent admirer le spectacle.
« Retire ta veste maintenant, j’aime bien tes lèvres repeintes en rouge salope … Nous arrivons. »
Il s’est arrêté dans une aire perdue dans des bois, avec une table de pique-nique en béton, et deux voitures déjà garées…
Il se gare et vient ouvrir ma porte. Je ne vois personne, il me roule une pelle en m‘attrapant fermement les tétons, ce qui me fait gémir de plaisir. Il s’adosse à la voiture et m’ordonne de marcher devant lui, de faire le tour de la table en ondulant du cul comme une salope….
Ses mots crus me font tourner la tête… Mes tétons sont excités, je sens mon clito se redresser, ma chatte anale mouillée. Je réponds à ses désirs, ses ordres en cambrant ma croupe sur mes talons aiguilles, je marche en faisant délicieusement onduler mon cul sur mes hauts talons, je m’appuie même à la table pour lui faire bien voir mon cul. Je sens ma robette blanche remonter et exhiber ma raie prise par le rosebud grenat.
Michel vient vers moi et me caresse le cul, me donne ses doigts à sucer.
Je sens des ombres s’approcher. Paul et Henri, ses amis à qui il m’a promis de me donner, sont là, accompagnés de deux autres hommes murs, un peu bedonnants…. Paul m’att**** par la nuque, me fait monter sur la table, et me tiens le visage collé au béton ciré, au bord de la table. Mon cul se dresse et Michel ouvre mes cuisses, écarte mes genoux en caressant mes bas, mes jarretelles.
« Messieurs, regardez cette salope comme elle aime être exhibée. Prenez-là elle est à vous.
Paul ouvre ma bouche avec deux doigts, et un des hommes vient poser son gland goûteux sur ma langue. Il me lime la bouche lentement, se fait bien nettoyer sa queue des liqueurs de son excitation. Je me régale en gémissant sous une bouche qui vient me bouffer la chatte anale. Je sens ma raie toute ouverte, la bouche qui att**** le rosebud par la base et joue avec dans mon cul en chaleur. Je gémis…
Une nouvelle queue remplace la première sur mes lèvres. C’est le second homme, sa queue est dure, gonflée. Il m’att**** la bouche et gicle vite, comme j’aime, son gland sur ma langue à l’entrée de ma bouche. Sa crème frappe mon palais, envahit ma langue, ma bouche. Il se finit sur mon menton et laisse la place à la queue de Paul. Il plonge son gland dans ma bouche pleine de crème.
Il me regarde le sucer sans me toucher, commentant à mots crus mon cul de pute que Michel encule maintenant en même temps. Le premier homme me travaille maintenant les tétons, et écarte mon cul enculé. Je le suce de nouveau, il m’arrose la bouche à son tour !
Michel m’ordonne de garder son jus en bouche, et me tire les genoux sur le banc pour guider la grosse bite de Paul dans mon trou. Henri tape frotte sa bite sur ma bouche crémée, et je m’ouvre au gros gland qui franchit ma moule anale.
Je fais onduler ma croupe pour me prendre sa grosse queue, je mouille du cul comme une salope et je crie en poussant mon cul sur son mandrin. Michel me creuse les reins, Paul écarte mon cul en m’enculant lentement, bien à fond, écrase ses couilles en me sodomisant la chatte bien au fond. Je sens son gland ouvrir la porte du fond de ma grotte, je tends mon cul en arrière pour le garder enfoncé.
J'entends des clics d’appareil photo… c’est un des deux hommes qui m’ont giclé dans la bouche qui maintenant prend des photos.
Paul se recule pour faire quelques photos. Ma robette blanche troussée sur ma croupe défoncée….
Il s’allonge sur la table, Henri le branle. Sa grosse bite épaisse et longue bande dur, et Michel m’ordonne de monter m’empaler dos à lui. Je me cale sur mes talons aiguilles, me cambre. Je bande. Je sens sa queue frotter contre ma raie et je la guide pour m’empaler dessus en gémissant. Je fais onduler mes reins dessus, l’enfile dans mon cul. Je veux arriver à m’assoir dessus, me la mettre à écraser ses couilles. Sa grosse bite défonce mon cul et je jouis analement…. J’arrive à le prendre en entier…. Je m’empale complètement, cuisses relevées…. Les mateurs se régalent en se branlant.
Michel att**** mon cul et Henri s’installe entre mes cuisses et celles de Paul. Il guide sa queue contre celle de son ami, Michel me traite de tous les noms de salope au moment où je le sens m’enculer avec Paul. J’ai les deux queues dans ma grotte ! Henri commence à me limer, je sens ma rondelle s’ouvrir en grand, les deux bites qui coulissent dans mon cul ! Je deviens folle, les excite, leur crie de me défoncer ! Ils me défoncent le trou, me bourrent à tous les rythmes…. Henri finit par gicler dans mon cul, sa crème me remplit la grotte.
Il se retire pour me faire nettoyer sa queue avec ma bouche, Paul se déchaîne et se vide les couilles dans mon cul défoncé.
Michel me suce maintenant, il sort la queue de Paul, et je sens le sperme des deux queues couler de mon cul. Il me fait vider mon trou, faire couler le sperme sur la table de béton ciré.
Je suis épuisée, j’ai joui du cul, ils me le font répéter comme une chienne… Ils me retournent, Michel m’ordonne de laper le foutre sur la table de béton ciré… Il me fait lécher, aspirer en m’humiliant devant les deux autres. La bouche collante de jus, je dois leur dire comme j’aime leur sperme… Et j’aime vraiment leur sperme.
Michel n’en peut plus et vient se branler et éjacule sur ma langue en train de nettoyer, sur la table… Je dois tout nettoyer de nouveau…
Les deux invités ont rebandé, et ils me font mettre à genoux sur un banc, appuyée à la table et viennent m’enculer tour à tour. Ils bourrent ma chatte toute ouverte, et Michel leur demande de venir se finir sur ma bouche.
« Garde bien la langue sortie ma bonne salope. »
Ils me jutent sur la langue, me tartinent les lèvres et le menton de foutre…
Michel est heureux de toutes ces belles photos.
Il m’accompagne, le visage collant de sperme… et me fait tout recueillir sur mes doigts et lécher, avaler encore, adossée à la voiture. Les voyeurs me regardent faire en commentant vicieusement avant de partir.
Je les entends dire « à demain » en montant dans la voiture…
Il nous reste un peu de voiture à faire avant d’arriver. Je peux me doucher, glisser des bas nylons, un teddy de satin ouvert aux seins, au clito, à ma chatte anale comme j’aime. Une nuisette, des mules, et je retrouve Michel.
La soirée n’est pas finie… Ma chaise de secrétaire est prête devant l’ordi allumé, un gode turgescent fixé sur l’assise, et il me fait raconter cette soirée en me pelotant. Ensuite il me baise sur le divan, je gicle en me caressant sous ses coups de queue… Je réclame son foutre, il sort de ma grotte au moment de gicler et j’ai juste le temps de me jeter sur sa bite baveuse pour prendre une dernière giclée de sperme avant d’aller nous écrouler au lit…
4 years ago
