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Anne, pute-ménagère - montages de Thomas 1

Anne est une sympathique femme brune bientôt retraitée. Dynamique, active dans plusieurs sociétés, randonneuse, c’est une femme très morale, qui ne s’ennuie pas. Je la voyais chaque semaine dans le cadre d’une activité professionnelle.
Elle me saluait de loin, ou me disait bonjour gentiment lorsque je la croisais dans un couloir.
Anne, ma chère Anne, brunette ménagère sans histoire, habillée modestement, comment en suis-je arrivé à me branler frénétiquement pour toi?
Ton sourire plein de franchise, d’’honnêteté, encadré de fossettes expressives, ton visage jovial s’épanouit dans mes rêves parce que je te grimpe dessus, et que ma verge se fait une place douillette dans ton con bordé de poils grisonnants, ce qui fait naître une surprise heureuse, encore un peu gênée, dans tes prunelles qui s’illuminent.
Oui, une grosse bite gantée par ton con de dame catéchiste, tu n’avais pas pensé à ce genre de loisirs, lorsque tu multipliais tes activités au sein de tant de groupes, de commissions, par tant de
loisirs instructifs et sains?
Ce n’est pas que je sois un esprit borné, limité par ses pulsions…mais j’avoue que ma verge, qui pendant des années, s’est faufilée dans l’intimité de plusieurs dames de l’entourage d’Anne, ressentirait un bonheur partagé si elle pouvait simplement se laisser enivrer par le simple fait de s’enfiler dans le vagin d’Anne.
Nous nous connaissons, nous nous estimons, mais de nombreuses circonstances nous empêchent de concrétiser cet acte si simple: nous déshabiller, nous coucher sur un lit, et laisser monter la jouissance résultant de la simple introduction de mon membre dans la fente d’Anne, cette fente qui ne reçoit pas de visites, si ce n’est une main rapide et savonneuse, qui passe rapidement sur la toison sous la douche.

Pour Anne, le plaisir vient par l’action, par le contact social, par la culture, ce qui est excellent. Le plaisir, elle ne le conçoit pas de cette manière si primitive, si passive, qui consisterait simplement à m’attendre sur son lit, toute nue, de m’ouvrir ses cuisses un peu grasses, de m’exposer ses formes émoussées par le temps, mais toujours attractives, quitte à rougir un peu, la touffe à l’air, en voyant ce jeune homme qui la fixe avec gourmandise tout en se déshabillant fébrilement.

Pendant des années, je n’ai pas fantasmé sur Anne.

J’étais bien trop occupé à enculer ma chère Marlène, petite déesse rousse, adorablement féminine et vicieuse. J’étais en plein travail, pendant trois ans, bourrant le cul avide de foutre de Brigitte, ma jolie vieille salope.
Et je fourrais aussi Solange, très âgée elle aussi, très directe dans son envie de jouir, de se faire monter par un homme qui aurait pu être son fils. Un fils heureux de tâter les gros nichons de maman, et de grimper sur elle, quel privilège! Gicler dans le con de la dame qui jouit toujours, sans préliminaires, sans raffinements vicieux. Bonne chatte qui boit son lait, chatte bordée de poils gris, qui savait traire le pis à sperme que je lui enfonçais.

Tout cela, il faudra que je le développe un jour…mais je préfère ne pas me disperser.

J’étais en train de vous raconter que je ne me branlais pas pour Anne. Je ne m’isolais pas dans la salle de bain, les couilles sur le lavabo, pour me faire exploser la bite en imaginant mon gland disparaissant rythmiquement dans le large fessier de cette ménagère, comme c’est le cas maintenant.

J’ai fait la connaissance épistolaire de Thomas, un vicieux dans mon genre, qui passait du temps à lire les récits cochons et véridiques que j’écrivais sur un site concurrent. Ce site ayant serré la vis et supprimé tous les textes, je me retrouve ici pour mon plus grand plaisir.

Thomas fait partie de ces hommes, plus nombreux qu’on ne l’imagine, qui triquent pour leur belle-mère. Je ressens son désir, je m’excite mentalement à ses souvenirs…je vois cette dame, Annie, à la fois gênée et lubrique, provoquant hypocritement le désir de son gendre.

J’imagine le plaisir qu’il a du ressentir lorsque sa main se glissa dans la culotte d’Annie. Comme il a du bander dur, lorsque la respectable grande dame cultivée le regardait d’un air chaviré, tandis qu’elle coulait sur la main qui la masturbait.
Je pense que le ménage de Thomas ne s’en porte que mieux. Il baise sa femme encore plus vigoureusement, lorsqu’il repense aux clapotis de la mouille de sa belle-mère, rendue poisseuse par l’émotion, le vice à moitié assumé…dame branlée, dame qui mouille, main qui s’égare là où la morale l’interdit, tout partout dans cette fente de belle-mère…faire pleurer le con de la mère de sa femme…découverte aveugle de sa toison qui frissonne, jungle palpitante, devenue sauvage…mais enfin, Thomas, arrête, cela ne se fait pas…en effet, ce n’est pas bien de branler sa belle-mère, on ne doit pas fourrer ses doigts dans le vagin de la maman de sa femme.

Je suis en train de me branler en imaginant Thomas qui fait mouiller sa belle-mère. Du coup, mes phrases deviennent haletantes, elles frétillent sans verbe, elles s’enroulent comme les poils de cul d’une vieille dame qui fait la salope.
J’avais lu les directives d’un site concurrent, qui donnait des directives militaires concernant les textes érotiques. Chaque phrase devait comporter un verbe. Le texte ne devait pas être trop vulgaire.

Il faut encore se faire verbaliser quand on se branle? Ça me gonfle. Anne, si je bande pour toi, c’est dans l’espoir de tapoter ma grosse bite sur ton gros cul, c’est de faire surgir la bonne salope en toi. Bonne salope qui mouille. Ménagère qui s’ouvre du cul.
Sors ta langue, Anne. Ne parle plus, tu n’as aucun texte à lire, aucune liturgie à respecter.
Tu n’as plus besoin d’être assise bien droite sur ton banc d’église. Sois ma salope, bouge ta langue à toute vitesse sur mon gland, regarde-moi quand tu lèches. Je veux voir dans tes yeux le regard lourd des ménagères-putains qui se lâchent, qui envoient balader toute une vie de contraintes et de conventions.

Tu me fixes d’un oeil brillant, tandis que ta langue d’oratrice, de femme responsable et sérieuse, prenant la parole dans de sérieux colloques, ton dossier à la main, tandis que ta langue, dis-je, s’agite si bien sur mon gland qu’il se met à mousser, car tu me fais jouir, tu le sais, Anne, quand tu fais la grosse cochconne…un peu de liquide sort de mes couilles contractées par la jouissances…

ce n’est pas encore la grosse giclée, c’est un avant-goût du paquet de semence que je vais te balancer sur la langue, si tu continue à faire ta vieille pute. Ensuite, si tu t’asseoir sur moi, onduler ta grosse croupe pendant que je caresse des cuisses un peu grasses, que je monde les bras pour toucher tes nichons fatigués, ne te gêne pas, ma chère Anne.
Lâche toutes tes liqueurs dans ma bouche, je veux bâfrer tes coulures vaginales, quitte à ce que tes poils un peu raides m’irritent les coins de la bouche.

J’avais commencé de me masturber un peu en pensant à Anne. Vraiment très peu.
Je me branlais surtout en repenser à Brigitte, avec laquelle j’ai vécu tant d’heures salaces. La vieille dame chic à chignon, fine et pomponnée, qui me pisse dessus dans la baignoire en se branlant, qui se fait enculer en s’écartant elle-même les fesses, après s’être elle-même graissé l’oignon, Brigitte qui lèche, Brigitte en cuir, distinguée grand-mère en bas résilles, boudeuse de couilles acharnée à bientôt 75 ans…tout cela, cela prend de la place dans la mémoire d’un vicieux.
Alors, les branlettes pour Anne, c’était de l’expérimentation par petites touches.

Voyons un peu, qu’est-ce que cela me ferait de lui tâter les seins, comme sourirait-elle si je la branlais?
Je me touchais un peu pour elle, de temps en temps.
Je le côtoyais de loin, chaque semaine, dans un amphithéâtre. L’avantage de ce genre de constructions, c’est qu’une dame peut se retrouver assise plus haut que la ligne de votre regard. Même quelqu’un de sobre et retenu comme Anne peut involontairement montrer sa culotte. C’est arrivé plusieurs fois. Mon regard, comme une fusée de vice, se vrillait soudain plus haut que ses mollets galbés et blancs, plus loin que ses jolis pieds jamais maquillés.
Soudain, la forme des cuisses d’Anne n’était plus une abstraction, un déduction d’après les formes devinées sous ses jupes en grosse toile. Je les voyais, je pouvais ensuite les imaginer ouvertes, en vue d’un accouplement sympathique. Anne cuisses ouvertes, la fente d’Anne vers lequel je pointe ma verge, dans un missionnaire consciencieux. Un angle coquin me fait voir un éclat de tissu blanc.

C’est la culotte bien sage qui contient ce manchon de poils protecteurs, cette vulve en voie de garage, pauvre vulve d’Anne, vulve délaissée, vulve qui pourrait me faire tant plaisir, juste en se laissant faire! Vagin d’Anne, fermé pour cause de fermeture d’esprit.
J’essaie de bricoler un montage, de plaquer la photo d’Anne sur un corps de ménagère exhibitionniste.

J’ai envie de voir ce que cela donne, Anne qui se branle, Anne qui se tient les seins à deux mains, pour que je lui lèche les bouts.
Mais je n’arrive à rien, je ne comprends pas le fonctionnement des programmes de montages photo.
Et voilà que Thomas concrétise le fantasme.

Ses premiers montages m’explosent dans l’oeil, et dans les couilles. Je me branle. Quelqu’un d’autre a été complice de mes fantasmes pervers, et les a réalisés en deux dimensions. Je vois véritablement Anne qui fait tomber négligemment son soutien-gorge. Un bon gros nichon un peu mou est déjà sorti, le reste du soutien-gorge ne tient qu’à peine. J’avais bien choisi la photo, le résultat est crédible.
Une jeune retraitée, pourrait-on dire. Une bonne vieille salope qui se dégrafe. Je commence mon ascension du vice par étapes. D’abord Anne les nichons à l’air.
Lui sucer les bouts, la toucher.
Je ne demande pas à Thomas de me faire des montages qui la montrerait dans des situations trop extrêmes, peu crédibles. Une queue dans le vagin, une queue dans le cul, un autre dans la bouche, c’est un peu trop pour la gentille Anne. Je vais déjà m’imaginer en train de lui toucher la foufoune, je vais me branler debout devant elle et lui gicler sur les seins, ce sera déjà pas mal. Et cela suffit pour me faire jouir.

Car je me branle, je me branle pour Anne. Si elle savait! Si elle se voyait en photo-montage, ses poils de chatte dépassant de sa culotte, alors qu’elle relève sa jupe pour attirer le mâle en rut…Tous les montages sont crédibles. On sent la femme mûre, mais salope de fraîche date. Elle ne serait pas crédible avec un piercing au clito, et la foufoune taillée par le coiffeur pour cul du Paris branché.
Non, la ménagère vient de libérer sa chatounette, elle ose à peine me montrer ses appâts, ils ne sont pas encore présentés avec sophistication comme dans l’assiette d’un restaurant de luxe. Non, c’est de la bonne tambouille servie à la louche, c’est de la chatte poilue, rustique, de la vulve en sauce, un bon morceau de cul bien rustique, fraîchement libéré de son enclos de tissu grossier, uni, pas une vulve de petite salope fringuée à la mode, qui prend soin de son corps en faisant du fitness, et qui sort tous les week-ends pour se prendre de la bite.

Non, le cul d’Anne est comme un talus herbeux derrière la grange, une bonne terre grasse que personne ne vient labourer. Ce n’est pas un bout de jardin dans l’allée de la société générale des profiteurs en cravate, ce n’est pas du poil domestiqué, blasé par l’érection et les enfoncements prévisibles du samedi soir, non, le cul d’Anne, c’est de la bonne touffe honnête et fonctionnelle, bien lavé mais simplement entretenu au savon.

Dans une autre photo, Anne est mieux habillée. Assise sur un canapé profond, elle porte un chemisier en soie. On devine la coupe de champagne posée sur la table, l’ambiance feutrée, luxueuse.
Une soirée chez Anne pour prendre le temps de se lécher nos sexes, de les emboîter, de jouir l’un dans l’autre aussi longtemps que possible, après un souper aux chandelles.
Et comme le désir de jouir nous étreint, nous ne pouvons nous retenir de faire un peu de sexe pendant l’apéritif. Elle sirote sa coupe de champagne, elle est toute souriante à l’idée de se faire bientôt lécher, de me sentir gicler en elle, mais commence déjà à me branler.
Elle branle tranquillement, de manière décomplexée. Elle a maintenant pris l’habitude de tenir une bite en main, de se sentir comme une amante, voire comme une femme délurée. Elle semble heureuse de se vautrer dans le sexe.

Grâce aux montages de Thomas, je dispose d’une sorte de camp de base avant de monter aux sommets du vice. Je ne dois plus franchir un long chemin pour passer de Anne habillée en gentille ménagère à Anne en bas résille, les seins à l’air. Je commence directement au stade de la pute, pour ensuite retourner ma pute , lui écarter les fesses et lui bouffer le fion. Elle est ma salope malgré elle, une bonne pute qui s’ignore, et qui me fait bien gicler.

Anne va me faire vider les couilles, c'est une bonne pute, finalement. Je découille bien pour elle.
Published by langauchat
4 years ago
Comments
2
nudemum 3 years ago
quel plaisir de vous lire,on se laisse emporter 
Reply
thx21
thx21 4 years ago
Sublime délire comme toujours !
Reply

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