La joggeuse 1
La joggeuse
Marie avait l'intuition étrange ce matin que son jogging rituel serait différent aujourd'hui des autres jours.
C'était les vacances et elle allait courir tous les jours entre 7h30 et 10h. Quelque soit le lieu où elle se trouvait, elle ne sacrifiait jamais au rituel de son jogging matinal.
Son mari venait de lui faire l'amour, et elle se rendait compte qu'elle s'était abandonnée comme ça lui arrivait de plus en plus souvent à des pensées singulières.
Quand lui la pénétrait et la baisait, elle été trempée de désir, mais elle savait que ce désir n'était pas directement lié à ce corps qui était contre elle et qui jouissait du contact de sa nudité. Elle pensait à un autre, ou plutôt à d'autres hommes qui se succédaient parfois juste un instant dans son esprit mais pas seulement : c'était des pensées fugitives mais aussi des émotions fugaces, des sensations exquises... et tout ça l'excitait sans qu'elle n'ose se l'avouer... avec l'impression qu'elle était dans les bras d'un autre.
Il faut dire que son mari, qui n'était pas toujours aussi performant qu'avant, n'avait de cesse de lui parler de son désir de la voir se libérer, d'aller « jusqu'au bout de ses désirs » !
Au début, elle trouvait cette volonté de savoir qu'elle pourrait se donner à un autre homme avec l'accord de son mari, déplacé, comme imposé à elle, alors qu'elle n'avait jamais ressentit vraiment cette volonté de « le tromper ». Mais elle se rendait bien compte maintenant, qu'à chaque fois qu'il lui parlait d'un autre homme, elle était de moins en moins insensible.
Quand il lui susurrait d'imaginer qu'elle puisse jouir d'un autre, le plus souvent, elle ne le repoussait pas. Ça l'excitait même, et il ne pouvait que s'en rendre compte tant son sexe glissait facilement contre les parois de sa vulve humide.
Elle était dans l'épanouissement de sa maturité de femme longiligne et sportive. Elle se sentait belle, ce qui la rendait plus belle encore.
Et ce matin, une intuition étrange lui venait. Sans qu'elle sache pourquoi, c'était comme si elle se sentait prête, mais prête à quoi ?
Elle enfila son top qui moulait ses petits seins à la fois souples et fermes et dévoila son ventre magnifique, plat et avec un si joli petit nombril. Puis, après sa fine culotte, elle se glissa dans son short qui laissait deviner les formes exquises de son joli petit cul, tout en offrant ses superbes jambes longues et fines à la vue de tous.
Elle savait que quand elle courait, elle pouvait attirer certaines attentions pas toujours innocentes, mais ce n'est pas ça qui occupait ses pensées, mais plutôt l'image du beau mec qu'elle croisait depuis quelques jours.
Car ce n'étaient pas que leurs corps en pleine action qui se croisaient, mais aussi leurs regards.... quelques secondes à chaque fois, le temps que durait le sourire qu'ils s'échangeaient et qui témoignaient de l’intérêt qu'ils avaient l'un pour l'autre.
Elle se rendait compte qu'elle attendait ce moment où elle allait le voir avec impatience, et que son cœur semblait s'accélérer dès qu'elle abordait ce virage le long de la côte où elle était susceptible de le voir, car ils se croisaient toujours au même endroit.
Mais brusquement ce jour-là, elle sentit comme un vide en elle. Elle ne le vit pas droit devant elle comme d'habitude. Et elle fut envahie brusquement par l'impression absurde de se sentir terriblement seule, alors qu'elle croisait plein d'autres joggeurs!
Elle avait les jambes coupées... et elle qui ne s'arrêtait jamais, avait soudain envie d'interrompre sa course !
Elle se sentait comme une petite fille prise en faute. Ce qu'elle avait pris comme une attention vague pour un homme, et comme la flatterie d'une femme mariée d'âge mur, d'attirer ainsi le regard d'un bel éphèbe, c'était quelque chose de plus profond qui d'un coup la dévastait.
Et quand elle arriva à la hauteur d'un banc pour la première fois, elle eu l'envie de s'asseoir. Elle se sentait comme vidée physiquement et mentalement. Elle ne sait pas combien de temps ce moment dura...
Mais soudain, cette sensation profonde qui envahissait tout son être disparut ! Sur sa droite au loin, elle reconnut la silhouette si caractéristique du bel athlète qui avait ce pouvoir si étrange et puissant sur elle.
Elle ne pouvait le lâcher du regard, en position de l'observer comme elle ne l'avait pas fait jusqu'ici . Ses muscles bandés de sportif, son beau visage, sa peau halée et luisante de transpiration, tout en lui l'attirait brusquement !
Elle ne savait pas alors ce qu'elle craignait le plus, d'être vue, là, abandonnée à un désir pour lui qu'elle imaginait bêtement visible à tous. Où qu'il passe devant elle sans la voir ou pire, après un bref coup d’œil, avec indifférence.
Mais c'est autre chose qui arriva... elle croisa ses beaux yeux et elle se sentit un peu stupide de le suivre d'un regard pour lequel elle ne pouvait dissimuler son admiration. Et quand il la dépassa, elle ne put s'empêcher de mater ce qu'elle n'avait pas pu voir de son physique, son petit cul bien musclé à travers son short, ses belles cuisses par derrière, sa foulée splendide à la fois puissante et aérienne.
Elle était rassurée de l'avoir vu à nouveau, mais comme étrangement paniquée de le voir disparaître si vite... elle avait cette curieuse sensation que c'était le dernier jour où elle allait le voir... et en cela elle ne se trompait pas !
Mais encore une fois, les choses ne se passèrent pas comme elle l'avait imaginé.
Bientôt elle le vit revenir dans l'autre sens et il vint s'asseoir à côté d'elle.
Il commença à lui parler, et elle avait l'impression qu'elle entrait dans un rêve. Pourtant, la perception de sa présence physique était bien réelle, et notamment son odeur où se mêlait la transpiration et un parfum qu'elle aimait.
Elle ne se souvint pas du détail de ce qu'il lui dit, tant elle était envahit par toutes sortes d'émotions. Seulement, qu'il lui dit alors combien il la trouvait belle et qu'il lui parla de son désir de prendre un verre ensemble.
Ensuite , elle retint surtout la chaleur de sa voix à la terrasse du café, son regard chaleureux et désirant qui parcourait les traits de son visage, puis plus discrètement, le relief de ses seins.
Et puis soudainement , elle qui transpirait si peu, se mit à sentir de la sueur glisser sur son corps.
C'est qu'il venait de lui prendre la main , que sa main à lui, large et chaude était en train de réchauffer la sienne... et qu'en elle, c'était tout son corps qui se réchauffait brutalement, mais d'une façon si exquise !
Elle sentit des picotements dans son bas ventre et elle était terriblement excitée. Persuadée que tout ce qu'elle éprouvait était visible , qu'il sentait à quel point elle avait envie de lui... elle se mit à rougir !
Elle n'en pouvait plus, submergée par son désir, comme si son corps ne lui appartenait plus.
C'est alors qu'il lui dit en une phrase tout ce qu'elle attendait :
« Est-ce que tu veux venir un peu chez moi pour qu'on passe du bon temps ? »
Elle lui répondit par un sourire en pressant sa main fine contre l'épaisseur de la sienne.
Elle lui demanda juste un instant pour faire ce qu'elle n'aurait jamais imaginé faire. Envoyer un texto à son mari pour lui dire qu'elle rentrerai plus tard que prévu.
Lui, il savait ce que ça voulait dire : pour la première fois, sa femme venait d'accepter de céder aux avances d'un inconnu. Mais ce qu'il ne pouvait pas savoir, c'est si s'était juste pour prendre un verre ou pour aller plus loin !
Son beau joggeur habitait une belle villa toute proche qui surplombait la côte.
Ils montèrent un sentier main dans la main... et elle se surprit elle-même se blottissant contre lui pendant qu'ils marchaient. Elle favorisait ainsi le fait qu'il l'enlace ensuite par la taille pour faire finalement glisser sa main jusqu'au bas de son dos. Maintenant, et à chacun des pas de Marie, il frôlait l'étoffe et sentait ainsi sous ses doigts l'exquise sensation de son petit cul musclé de bourgeoise qui allait devenir pour la première fois une femme infidèle.
Quand ils passèrent le porche de la maison, il n'en fallu pas plus pour qu'ils s'embrassent fougueusement, langue contre langue, ses petits seins plaqués , comme écrasés par le large torse de son amant.
Il l'effeuilla avec un adresse qui laissait présager, malgré sa jeunesse, une belle expérience d'amant fougueux, et c'est cette fougue qui la flattait autant que le contact de son corps qu'elle désirait si fort. L'ardeur avec laquelle ce beau jeune homme la désirait elle, une femme mûre qui avait l'âge d'être sa mère !
Marie avait l'intuition étrange ce matin que son jogging rituel serait différent aujourd'hui des autres jours.
C'était les vacances et elle allait courir tous les jours entre 7h30 et 10h. Quelque soit le lieu où elle se trouvait, elle ne sacrifiait jamais au rituel de son jogging matinal.
Son mari venait de lui faire l'amour, et elle se rendait compte qu'elle s'était abandonnée comme ça lui arrivait de plus en plus souvent à des pensées singulières.
Quand lui la pénétrait et la baisait, elle été trempée de désir, mais elle savait que ce désir n'était pas directement lié à ce corps qui était contre elle et qui jouissait du contact de sa nudité. Elle pensait à un autre, ou plutôt à d'autres hommes qui se succédaient parfois juste un instant dans son esprit mais pas seulement : c'était des pensées fugitives mais aussi des émotions fugaces, des sensations exquises... et tout ça l'excitait sans qu'elle n'ose se l'avouer... avec l'impression qu'elle était dans les bras d'un autre.
Il faut dire que son mari, qui n'était pas toujours aussi performant qu'avant, n'avait de cesse de lui parler de son désir de la voir se libérer, d'aller « jusqu'au bout de ses désirs » !
Au début, elle trouvait cette volonté de savoir qu'elle pourrait se donner à un autre homme avec l'accord de son mari, déplacé, comme imposé à elle, alors qu'elle n'avait jamais ressentit vraiment cette volonté de « le tromper ». Mais elle se rendait bien compte maintenant, qu'à chaque fois qu'il lui parlait d'un autre homme, elle était de moins en moins insensible.
Quand il lui susurrait d'imaginer qu'elle puisse jouir d'un autre, le plus souvent, elle ne le repoussait pas. Ça l'excitait même, et il ne pouvait que s'en rendre compte tant son sexe glissait facilement contre les parois de sa vulve humide.
Elle était dans l'épanouissement de sa maturité de femme longiligne et sportive. Elle se sentait belle, ce qui la rendait plus belle encore.
Et ce matin, une intuition étrange lui venait. Sans qu'elle sache pourquoi, c'était comme si elle se sentait prête, mais prête à quoi ?
Elle enfila son top qui moulait ses petits seins à la fois souples et fermes et dévoila son ventre magnifique, plat et avec un si joli petit nombril. Puis, après sa fine culotte, elle se glissa dans son short qui laissait deviner les formes exquises de son joli petit cul, tout en offrant ses superbes jambes longues et fines à la vue de tous.
Elle savait que quand elle courait, elle pouvait attirer certaines attentions pas toujours innocentes, mais ce n'est pas ça qui occupait ses pensées, mais plutôt l'image du beau mec qu'elle croisait depuis quelques jours.
Car ce n'étaient pas que leurs corps en pleine action qui se croisaient, mais aussi leurs regards.... quelques secondes à chaque fois, le temps que durait le sourire qu'ils s'échangeaient et qui témoignaient de l’intérêt qu'ils avaient l'un pour l'autre.
Elle se rendait compte qu'elle attendait ce moment où elle allait le voir avec impatience, et que son cœur semblait s'accélérer dès qu'elle abordait ce virage le long de la côte où elle était susceptible de le voir, car ils se croisaient toujours au même endroit.
Mais brusquement ce jour-là, elle sentit comme un vide en elle. Elle ne le vit pas droit devant elle comme d'habitude. Et elle fut envahie brusquement par l'impression absurde de se sentir terriblement seule, alors qu'elle croisait plein d'autres joggeurs!
Elle avait les jambes coupées... et elle qui ne s'arrêtait jamais, avait soudain envie d'interrompre sa course !
Elle se sentait comme une petite fille prise en faute. Ce qu'elle avait pris comme une attention vague pour un homme, et comme la flatterie d'une femme mariée d'âge mur, d'attirer ainsi le regard d'un bel éphèbe, c'était quelque chose de plus profond qui d'un coup la dévastait.
Et quand elle arriva à la hauteur d'un banc pour la première fois, elle eu l'envie de s'asseoir. Elle se sentait comme vidée physiquement et mentalement. Elle ne sait pas combien de temps ce moment dura...
Mais soudain, cette sensation profonde qui envahissait tout son être disparut ! Sur sa droite au loin, elle reconnut la silhouette si caractéristique du bel athlète qui avait ce pouvoir si étrange et puissant sur elle.
Elle ne pouvait le lâcher du regard, en position de l'observer comme elle ne l'avait pas fait jusqu'ici . Ses muscles bandés de sportif, son beau visage, sa peau halée et luisante de transpiration, tout en lui l'attirait brusquement !
Elle ne savait pas alors ce qu'elle craignait le plus, d'être vue, là, abandonnée à un désir pour lui qu'elle imaginait bêtement visible à tous. Où qu'il passe devant elle sans la voir ou pire, après un bref coup d’œil, avec indifférence.
Mais c'est autre chose qui arriva... elle croisa ses beaux yeux et elle se sentit un peu stupide de le suivre d'un regard pour lequel elle ne pouvait dissimuler son admiration. Et quand il la dépassa, elle ne put s'empêcher de mater ce qu'elle n'avait pas pu voir de son physique, son petit cul bien musclé à travers son short, ses belles cuisses par derrière, sa foulée splendide à la fois puissante et aérienne.
Elle était rassurée de l'avoir vu à nouveau, mais comme étrangement paniquée de le voir disparaître si vite... elle avait cette curieuse sensation que c'était le dernier jour où elle allait le voir... et en cela elle ne se trompait pas !
Mais encore une fois, les choses ne se passèrent pas comme elle l'avait imaginé.
Bientôt elle le vit revenir dans l'autre sens et il vint s'asseoir à côté d'elle.
Il commença à lui parler, et elle avait l'impression qu'elle entrait dans un rêve. Pourtant, la perception de sa présence physique était bien réelle, et notamment son odeur où se mêlait la transpiration et un parfum qu'elle aimait.
Elle ne se souvint pas du détail de ce qu'il lui dit, tant elle était envahit par toutes sortes d'émotions. Seulement, qu'il lui dit alors combien il la trouvait belle et qu'il lui parla de son désir de prendre un verre ensemble.
Ensuite , elle retint surtout la chaleur de sa voix à la terrasse du café, son regard chaleureux et désirant qui parcourait les traits de son visage, puis plus discrètement, le relief de ses seins.
Et puis soudainement , elle qui transpirait si peu, se mit à sentir de la sueur glisser sur son corps.
C'est qu'il venait de lui prendre la main , que sa main à lui, large et chaude était en train de réchauffer la sienne... et qu'en elle, c'était tout son corps qui se réchauffait brutalement, mais d'une façon si exquise !
Elle sentit des picotements dans son bas ventre et elle était terriblement excitée. Persuadée que tout ce qu'elle éprouvait était visible , qu'il sentait à quel point elle avait envie de lui... elle se mit à rougir !
Elle n'en pouvait plus, submergée par son désir, comme si son corps ne lui appartenait plus.
C'est alors qu'il lui dit en une phrase tout ce qu'elle attendait :
« Est-ce que tu veux venir un peu chez moi pour qu'on passe du bon temps ? »
Elle lui répondit par un sourire en pressant sa main fine contre l'épaisseur de la sienne.
Elle lui demanda juste un instant pour faire ce qu'elle n'aurait jamais imaginé faire. Envoyer un texto à son mari pour lui dire qu'elle rentrerai plus tard que prévu.
Lui, il savait ce que ça voulait dire : pour la première fois, sa femme venait d'accepter de céder aux avances d'un inconnu. Mais ce qu'il ne pouvait pas savoir, c'est si s'était juste pour prendre un verre ou pour aller plus loin !
Son beau joggeur habitait une belle villa toute proche qui surplombait la côte.
Ils montèrent un sentier main dans la main... et elle se surprit elle-même se blottissant contre lui pendant qu'ils marchaient. Elle favorisait ainsi le fait qu'il l'enlace ensuite par la taille pour faire finalement glisser sa main jusqu'au bas de son dos. Maintenant, et à chacun des pas de Marie, il frôlait l'étoffe et sentait ainsi sous ses doigts l'exquise sensation de son petit cul musclé de bourgeoise qui allait devenir pour la première fois une femme infidèle.
Quand ils passèrent le porche de la maison, il n'en fallu pas plus pour qu'ils s'embrassent fougueusement, langue contre langue, ses petits seins plaqués , comme écrasés par le large torse de son amant.
Il l'effeuilla avec un adresse qui laissait présager, malgré sa jeunesse, une belle expérience d'amant fougueux, et c'est cette fougue qui la flattait autant que le contact de son corps qu'elle désirait si fort. L'ardeur avec laquelle ce beau jeune homme la désirait elle, une femme mûre qui avait l'âge d'être sa mère !
4 years ago