L'Histoire De Rosie (8)
Michel me vend a Norbert (1)
Quelque temps après, Michel nous annonça à Natacha et moi qu’il avait trouvé un autre job de directeur dans une boite qui commercialisait des jacuzzis. Toutes les deux nous étions affolées à l’idée qu’il allait nous abandonner mais il nous rassura très vite. Nous allions l’accompagner dans son nouveau boulot.
Il avait exigé d’avoir ses deux « collaboratrices » avec lui et nous dit que ça allait être mieux car il avait plus de pouvoir dans sa nouvelle boite. Nous avons donc commencé une nouvelle vie dans laquelle notre boulot était le même qu’avant. A savoir : Etre toujours les deux salopes à disposition de Michel et accessoirement de ses amis et connaissances. Nous étions donc heureuses.
Au bout de quelques temps, Michel me dit que je devais m’occuper avec lui de l’installation de quelques jacuzzis. Ce n’était pas dans ses habitudes mais comme c‘était mon patron après tout il fallait bien que je m’exécute. Il commença donc à m’envoyer dans des missions que je menais a bien avec célérité.
Un jour, Michel m’a envoyé seule une semaine pour installer un jacuzzi dans un club de gym gay qui venait d'ouvrir ou plutôt qui allait ouvrir. Lors de l'installation je me faisais draguer sans arrêt par les gays du club de gym. Je ne pouvais pas faire dix mètres dans le club sans me prendre une main au cul ou me faire caresser je ne sais où le pire c'est que le patron était le plus insistant. J’étais flattée de plaire à ces garçons et j’avais très envie de céder a leurs avances mais je les laissais à distance pour le moment car Michel ne m’avais pas donné ordre de me laisser faire. Ce n'est que quelques jours après que Michel m'a convoqué pour me coller une soufflante en expliquant que le client était roi qu'il avait dû se battre pour que ce directeur ne change pas de fournisseur. Il fallait que je me laisse faire et que j’obéisse à ce qu’on me demandait. Enfin j’allais pouvoir me laisser aller. Ça n’a pas trainé le jour même le patron du club m’appela dans son bureau.
Là pour la première fois j'ai découvert son arrière bureau. En fait un petit studio. Jusqu'à maintenant je pensais que ce petit studio était destiné à servir de garçonnière. Tous les employés pensaient que cette pièce lui servait pour s'occuper de sa secrétaire, pour s'occuper de sa conseillère en banque et pour toutes les demoiselles qu'il pouvait croiser. Sur le coup je n'ai pas du tout pensé à ça sur le coup je me suis dit que j'allais encore me faire engueuler. À mon grand étonnement il a été adorable avec moi je dirais même mieux il a carrément était affectueux et délicat. Il m'a fait asseoir dans le canapé et s'est assis dans un beau fauteuil devant le canapé. C'est à partir de là qu'il a commencé à me faire des allusions indécentes, des allusions sexuelles et des allusions sur le fait que j’étais une soumise.
Il m'a expliqué que Michel l’avait autorisé à se servir de moi. J’étais déçue que Michel ne m’ait pas expliqué tout de suite l’intégralité de ma mission mais après tout c’était mon maitre et il faisait ce qu’il voulait de moi. Et je me sentais prête à me donner à cet homme qui me plaisait beaucoup en fait. Donc je pris ma posture la plus chienne et pute possible et je lui laissais voir que j’étais prête à obéir à tous ses désirs.
Alors il s'est levé pour se diriger vers la cuisine et est revenu dans mon dos puis sur mon côté droit. Là je n'ai rien vu venir quand il me dit, « Montre comme tu es obéissante maintenant tu vas me pomper ». J'ai ouvert grand la bouche alors il a approché son sexe et, en même temps m'a collé une grande claque dans la figure en me disant que dans cette pièce c'est lui qui commandais. J’étais soufflée. Il m’expliqua alors que c’était son plaisir de rudoyer un peu ses partenaires. Je n’étais contre car Michel me fouettais a l’occasion et, bien sûr, j’aimais ça. Je tendis donc mes joues à ses désirs. J’ouvrais la bouche pour engloutir son sexe et il me l’enfonça jusqu’à la glotte en me tenant la tête. Une gorge profonde, ma spécialité, j’entendis son gémissement de plaisir.
Et là c’était parti, je pris une gifle encore plus forte et il a sorti un collier en cuir pour le mettre autour de mon cou. Là il m'a dit qu'il allait faire de moi une soumise qui obéirait à tous ses désirs. Pendant qu'il me parlait il a imprégné un chiffon d'un liquide que je connaissais bien. Il me l’a collé sur le visage et j’ai respirée à fond. La tête m’a tournée et j’ai sentis mon cœur battre la chamade. Le Popper, l’ami de toute salope qui veulent que leur chatte s’ouvre bien pour la pénétration.
Là j’étais prête à faire tout ce qu'il désirait. J'ai repris son sexe dans la bouche et je me suis mise à le pomper comme une folle. J'adorais frotter ma langue contre son gland, j'adorais ce goût sauvage et intime. Il me tenait la tête et me baisait la bouche et c'est comme ça qu'à un moment il s'est contracté et j'ai senti sa liqueur se vider dans ma gorge. Il m'a tenu la tête pour que j'avale sa liqueur jusqu'à la dernière goutte.
Ce n’est qu'après il m'a fait déshabiller et il m'a tendu un tanga avec une douce robe longue. Voilà comment en moins d'une heure, je me suis retrouvée à la merci de mon nouveau patron en douce robe avec un tanga en dessous et en plus totalement soumise. Voilà comment cet après-midi-là j'ai appris à obéir à un autre patron que Michel et à me soumettre à lui. Ce vendredi après-midi j'ai appris aussi que Michel avait prévu le coup de longue date et qu’il m’avait vendue ou plutôt louée à son client. Je devais me mettre à sa totale disposition tant qu’il le voudrait et en plus je devais faire comme si je débutais dans la soumission. Apres tout, ce que j’avais vécue avant m’avais tellement plu que le fait, disons, de recommencer à zéro m’excitait formidablement. D’un coup j’oubliais tout ce que j’avais vécue avant et je me retrouvais dans la peau d’une débutante. Ma vie allait de nouveau changer.
Ce vendredi après-midi là j'ai appris à sucer mon patron, j'ai appris à bien porter une robe, j'ai appris à me déplacer de façon plus féminine, j'ai appris à marcher avec des escarpins. Ce vendredi après-midi a changé ma vie, mon patron m'a expliqué que désormais quand j'irai dans ce club je me laisserai caresser, je commençais à aimer lui obéir.
Ainsi vêtue il parlait de moi au féminin, cela avait quand même une petite tendance à m'exciter, ce vendredi après-midi j'ai eu le droit de le sucer à plusieurs reprises, il est parti dans ma bouche je me suis fait doigter mon petit cul où il a réussi à rentrer 4 doigts; grâce à ce qu'il m'avait fait respirer je n'ai pas protesté une seule fois je me suis laissée faire comme une petite soumise qu'il avait fait de moi.
Vers 20h quand il m'a libéré il m'a fait partir en m'obligeant à porter le tanga, une robe moulante sculptant mon corps ainsi qu'un collant opaque. Le tout sous mes vêtements. Dans la rue j'étais très gênée car j'avais l'impression que tout le monde voyait comment j'étais habillée et en même temps le contact de ces vêtements m'excitait énormément. Quand nous nous sommes quittés il m'a donné rendez-vous le lendemain pour parfaire mon éducation et ce n'était qu'un début car il m'a garanti que j'allais être étonnée de voir ce qu'il allait faire de moi. Vu qu'il avait pris des photos de moi je n'avais pas le choix j'étais obligée de revenir .Il me tenait et ça me plaisais
.
Norbert me possède (2)
Me voilà donc sur le chemin le samedi pour retourner au boulot, c’est un jour où je ne travaille pas, normalement. J’ai suivi les consignes de Norbert (mon nouveau patron) et, sous mes vêtements, je me suis parée de son tanga et de sa robe moulante. Arrivée au boulot Norbert m’accueille avec « un bonjour ma belle », une fois rentrée dans son bureau j’ai eu le droit à une douce bise et une main bien indiscrète mais qui a instantanément fait grossir mon clito. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il prit possession de moi et me mis un large de collier en cuir rouge autour du cou, il fit attention à bien le serrer mais pas trop. Il me prit par la main et m’emmena dans sa « garçonnière ».
Arrivé dans cette salle il me débarrassa de mon pantalon de ma veste et mon pull sans que je n’aie rien à faire, il m’a tendu une paire d’escarpins qu’il m’a fait chausser et je l’ai vu partir dans la salle de bain puis revenir avec une brosse à cheveux. À l’époque j’avais les cheveux assez longs et il me les a coiffé de façon à ce que j’ai l’air un peu plus féminin. Une fois bien coiffé il s’est approché de moi a sorti son sexe de son pantalon et me l'a tendu pour que je le prenne en bouche.
Pour la forme j’ai protesté mais une grande claque m’a remis les idées en place et je me suis mis à lui faire une petite pipe. Il me tenait la tête et me traitait de tous les noms, de salope, de traînée, de chienne soumise, de vide couilles… la bouche pleine et les minutes passant, j’ai fini par y prendre goût. J’étais assise sur le siège en cuir, je m’accrochais à ses cuisses et ma bouche était pleine de ce sexe désireux de moi. J’ai senti son engin se contracter et il a fini par se vider dans ma bouche et il m’a tenu la tête pour que j’avale tout. Là il m’a dit que ma formation était en cours et que si tout se passais bien j’allais devenir sa soumise, sa femelle et que je n’aurais rien à regretter.
Il me dit d’aller m’allonger sur son lit où des draps en satin m’attendaient pendant ce temps, il prit mes chaussures, mon pantalon, ma veste et mon pull et quitta la pièce. Quand il est revenu il m’a expliqué qu’il était parti mettre mes affaires dans sa voiture et sa voiture était garée loin du boulot, ainsi si je voulais partir je n’avais pas le choix il fallait que je parte travestie par ses soins… il m’a expliqué que j’allais être sa femelle en formation tout le weekend jusqu’au lundi matin. Il s’est déshabillé, il était grand, fort et beau. Puis il est venu s’allonger à côté de moi sur le lit ; il est venu m’embrasser le cou et l'oreille en me disant que j'allais apprendre à devenir sa soumise, sa chienne et sa femelle. Il allait me rendre obéissante et offerte.
Il m’a pris la tête et m’a donné son sexe à pomper de nouveau, chose que je fis sans broncher ce coup-ci. Pendant que je le suçais il s’est mis à me caresser le corps avec beaucoup de douceur avant de s’attarder plus longuement sur mon sexe et surtout mes fesses. Je me suis étonné à constater combien mes fesses étaient sensibles à ses caresses; il s’en est rendu compte et du coup il a été bien plus insistant sur la raie de mes fesses et moi je me tortillais de plus en plus. Puis ce qui devait arriver arriva, il a glissé un doigt dans ma chatte anale. Je me sentais mieux mais j’en voulais encore, il l’a senti puis en a glissé un deuxième puis un troisième. Il y allait de bon cœur avec ses trois doigts dans mon petit trou et je sentais ce dernier se dilater à grande vitesse. Pendant qu’il me doigtait, il me disait qu’il allait faire une grosse cochonne de moi et je ne demandais que ça. Il m’a expliqué que dans peu de temps, j'allais être fécondée par le sexe que j'avais dans ma bouche.
Il m’a expliqué qu’à partir de ce moment-là il aurait fait de moi une femme et que je ne pourrai plus rien lui refuser. Il m’a dit qu’au rythme où j’allais je prendrai rapidement goût à sa liqueur, que ce soit par voie orale ou anale. Il me dit qu’au début il allait me maquiller mais qu’ensuite il faudrait que j’apprenne à le faire toute seule. Il faudrait que je me vernisse les ongles des mains et des pieds. Il allait aussi me faire prendre des médicaments pour que je me débarrasse de mes poils et que par la même occasion une poitrine allait naître. J’étais en train de me dire que ce qu’il allait me faire faire allait être sans retour possible.
Pendant que je le suçais je me posais plein de questions, Qu’allais-je devenir entre ses mains… A force de penser j’ai fini par ralentir un peu la fellation que je lui faisais. Il me l’a fait savoir et je me suis à nouveau remise à la tâche. Là je l’ai senti retirer ses doigts, qui étaient toujours en moi, et je l’ai senti introduire autre chose dans ma chatte mais bien plus profondément. Le sentiment de douleur a rapidement été remplacé par une sensation de plaisir intense, il le savait bien et en a profité pour jouer avec puis le faire aller et venir. C’est ainsi que j’ai appris à prendre du plaisir avec un godemichet
.
Ce matin quand je suis arrivée au boulot je ne me doutais à quel point Norbert allait faire de moi sa femelle.
Je deviens La femelle de Norbert (3)
Norbert m'avait faite toute belle et il était en train de goder mon petit trou. Quand j'ai senti le gode sortir de mes fesses j'ai pu le voir et là j'étais très étonnée de voir son énorme taille. Je sentais maintenant un vide dans mes fesses et machinalement je remuais le croupion comme pour demander à être prise encore. Il a posé le gode par terre et ma allongée sur le lit, jambes très écartées, c'était vraiment très agréable de se sentir ainsi offerte à son patron. Le propriétaire et fondateur de la société où je travaillais était en train de présenter son gland turgescent à l'entrée de mes fesses et je ne demandais que ça.
Je l'ai senti s'agripper fermement à mes cuisses et commencer à forcer mon intimité, tout doucement il s'est immiscé et a fini par arriver en butée, j'étais aux anges. J'en suis arrivée à pousser des cris de femelle en chaleur tellement mon mâle me faisait du bien. Pas une seconde il ne me serait venu à l'idée de me débattre; je me laissais faire comme une petite femme.., ce qu'il voulait faire de moi... La douceur à laisser place à la fermeté et je commençais à sentir ses coups de boutoir toujours plus puissants en moi. De temps à autre il cessait et venait m'embrasser de force au début, puis ensuite je me laissais faire, j'ai même été jusqu'à attendre ses baisers qui ont fini par être doux.
Norbert était en train de me féminiser tout en douceur et par les vêtements et par mon comportement envers lui. Voilà déjà dix bonnes minutes qu'il allait et venait au plus profond de moi et je commençais vraiment à y prendre plaisir. Il m'embrassait sur la bouche et m'embrassait le ventre pendant qu'il me possédait je me sentais vraiment féminine, vraiment à la place d'une femme. Je l'ai senti se contracter, je connaissais bien ce moment quand j'étais sur le point de partir en masturbant mon clito; là c'était mon patron qui était sur le point de se vider en moi. Je l'ai vu fermer les yeux et se caler au fond de moi, au plus profond de moi et j'ai senti sa liqueur se répandre dans mes entrailles. Il est venu m'embrasser goulûment forçant mes jambes à s'écarter un peu plus je sentais maintenant ses bras sur mes hanches. Quelques minutes passèrent et il est venu me glisser un petit mot à l'oreille: "maintenant tu es à moi"...
Son dard était encore dur et il m'a un peu poussé avec pour que nous puissions tous les deux être allongé sur le lit, c'est vraiment très agréable d'être traitée comme une femme. Je ne savais pas combien c'était agréable de se faire caresser après l'amour par mon amant.
Mais là la femme c'était moi... ayant repris ses esprits Norbert est sorti de moi, je sentais son sperme se déplacer vers la sortie de mon petit trou. Là à ma grande surprise il m'a tendu un Tampax qu'il a lui-même introduit dans ma chatte. « Garde ma liqueur en toi ma belle, tu es faite pour l'amour » me dit-il...!!! Il s'est relevé, s'est rhabillé, c'est éloigné et il est revenu avec une robe longue et douce qu'il m'a donné à enfiler. Une fois la robe sur moi je me suis tournée sur moi-même pour lui montrer combien elle m'allait. Il est arrivé derrière moi m'a saisie par les épaules et m'a embrassé le cou et me le mordant un peu en même temps.
Là il me confesse: "qu'il ne pensait pas que je serais à ce point soumise et obéissante et qu'il réussirait à ce point à faire de moi sa femelle aussi rapidement". Là il a sorti un gros collier en cuir rouge il m'a posé autour du cou, il l'a bien serré en faisant attention à quand même ne pas m'étrangler. Toujours dans mon dos à travers ma robe il a commencé à me pincer les tétons, je trouvais ça vraiment très excitant; il m'a encore glissé à l'oreille comme quoi: "il allait faire de moi une énorme salope, une chienne assoiffée de sexe", je suis faite pour ça, je suis née pour ça".
Le weekend s'annonçait chaud et mémorable voire même peut-être probablement inaltérable...
Je suis la femme de Norbert (4)
L'après-midi avançait et j'étais arrivé en homme et maintenant j'étais une vraie femme offerte à mon homme.
Norbert m'a fait enfiler une douce culotte en lycra sous ma robe j'étais très heureuse de pouvoir me déplacer ainsi dans la maison. Je me sentais vraiment une femelle en chaleur. Tout l'après-midi j'ai dû le sucer quand il le désirait, tout l'après-midi il m'a embrassée avec passion et je me suis laissé faire.
Il m'a fait enfiler des escarpins avec de très hauts talons et m'a fait marcher tout l'après-midi pour que j'apprenne à les porter correctement sans me faire mal. Il m'a parfumée et maquillée. M’a coiffée d’une perruque blonde. J’ai glissée aussi mes jambes rasées dans des bas nylons et revêtus des jarretelles pour les tenir. J’étais de plus en plus féminine et même ma voie avait changée.
Il a mis la télé pour me montrer un DVD avec pour sujet les Sissi soumises. Il s'est enfoncé dans le canapé, j'étais assise à côté de lui et pendant tout le film je l'ai sucé en m'inspirant de ce que je voyais à la télé.
Rapidement son sexe s'est contracté et il m’a rempli la bouche en m'obligeant à tout avaler. Je l’ai fait avec délice. J'ai très rapidement pris goût à tenir ce sexe dans la main, à prendre son sexe de belle taille dans la bouche, je prends vraiment grand plaisir à caresser sous le prépuce avec ma langue et en plus manifestement cela lui fait de l'effet. J'adore lui gober les boules une par une et sentir ses poils coupés dans ma bouche maintenant il exige que je le regarde dans les yeux quand je le suce c'est une forme de soumission que j'apprécie.
Après le film il m'a fait enfiler une culotte en latex avec un gode à l'arrière du coup j'ai passé la soirée avec un beau gode dans les fesses cela m'a fait énormément de bien et je n'ai pas débandé de la soirée.
Toute la soirée Norbert m'a traitée de tous les noms, il m'a dit que j'étais faite pour me faire défoncer du matin au soir, que j'étais faite pour lui obéir, que j'étais faite pour lui pomper le dard. C’était tellement bon de l’entendre m’insulter. Et je savais que ça lui faisait plaisir. Je regrettais seulement qu’il ait ralentis un peu les coups qu’il m’infligeait au début.
Il m'a dit qu'à ce rythme à la fin du weekend je lui serai totalement soumise et que je pourrais aller le sucer sous le bureau quand il me le demandera au boulot.
Il m'a complètement épilée ; que ce soit sous les bras, la poitrine, les jambes, le dos, les fesses et le sexe. J'étais maintenant totalement imberbe. Il m'a dit qu'une femelle ne doit pas être poilu et que j'étais sa femelle. Toute épilée comme ça je me sentis vraiment femelle et je dois dire que j’étais vraiment très belle
.
Avant de me coucher il m'a fait enfiler un body manches longues en lycra fendu pour pouvoir avoir accès à mes fesses toute la nuit, vu combien j'étais excitée je me suis laissé faire... Je ne pensais pas que j'allais prendre goût aussi vite à me faire dilater la rondelle, mon patron avait vraiment bien trouvé sa proie. Quoi de plus agréable que de se faire câliner par son patron le weekend alors que pendant la semaine il était en général assez ferme et autoritaire. Je n'ose imaginer ce que mes collègues penseraient de moi s’ils savaient ce que je suis en train de faire ce weekend avec leur patron. J'espère quand même qu'en devenant la femelle de Norbert j'aurais le droit à une petite promotion...Je plaisante car ma promotion je l’avais déjà.
Vers 21h nous nous sommes couchés il m'a fait l'amour pendant au moins une heure et c'est ainsi que je me suis endormie avec son sexe profondément enfoncé dans mon petit trou. J'étais devenue sa femme totalement cette nuit mais mon petit doigt me dit que ça allait durer beaucoup plus longtemps. Il était collé dans mon dos, ses bras m’enlaçaient, son sexe toujours enfoncé dans ma chatte offerte et je me sentais vraiment comme sa douce femelle.
Quelque temps après, Michel nous annonça à Natacha et moi qu’il avait trouvé un autre job de directeur dans une boite qui commercialisait des jacuzzis. Toutes les deux nous étions affolées à l’idée qu’il allait nous abandonner mais il nous rassura très vite. Nous allions l’accompagner dans son nouveau boulot.
Il avait exigé d’avoir ses deux « collaboratrices » avec lui et nous dit que ça allait être mieux car il avait plus de pouvoir dans sa nouvelle boite. Nous avons donc commencé une nouvelle vie dans laquelle notre boulot était le même qu’avant. A savoir : Etre toujours les deux salopes à disposition de Michel et accessoirement de ses amis et connaissances. Nous étions donc heureuses.
Au bout de quelques temps, Michel me dit que je devais m’occuper avec lui de l’installation de quelques jacuzzis. Ce n’était pas dans ses habitudes mais comme c‘était mon patron après tout il fallait bien que je m’exécute. Il commença donc à m’envoyer dans des missions que je menais a bien avec célérité.
Un jour, Michel m’a envoyé seule une semaine pour installer un jacuzzi dans un club de gym gay qui venait d'ouvrir ou plutôt qui allait ouvrir. Lors de l'installation je me faisais draguer sans arrêt par les gays du club de gym. Je ne pouvais pas faire dix mètres dans le club sans me prendre une main au cul ou me faire caresser je ne sais où le pire c'est que le patron était le plus insistant. J’étais flattée de plaire à ces garçons et j’avais très envie de céder a leurs avances mais je les laissais à distance pour le moment car Michel ne m’avais pas donné ordre de me laisser faire. Ce n'est que quelques jours après que Michel m'a convoqué pour me coller une soufflante en expliquant que le client était roi qu'il avait dû se battre pour que ce directeur ne change pas de fournisseur. Il fallait que je me laisse faire et que j’obéisse à ce qu’on me demandait. Enfin j’allais pouvoir me laisser aller. Ça n’a pas trainé le jour même le patron du club m’appela dans son bureau.
Là pour la première fois j'ai découvert son arrière bureau. En fait un petit studio. Jusqu'à maintenant je pensais que ce petit studio était destiné à servir de garçonnière. Tous les employés pensaient que cette pièce lui servait pour s'occuper de sa secrétaire, pour s'occuper de sa conseillère en banque et pour toutes les demoiselles qu'il pouvait croiser. Sur le coup je n'ai pas du tout pensé à ça sur le coup je me suis dit que j'allais encore me faire engueuler. À mon grand étonnement il a été adorable avec moi je dirais même mieux il a carrément était affectueux et délicat. Il m'a fait asseoir dans le canapé et s'est assis dans un beau fauteuil devant le canapé. C'est à partir de là qu'il a commencé à me faire des allusions indécentes, des allusions sexuelles et des allusions sur le fait que j’étais une soumise.
Il m'a expliqué que Michel l’avait autorisé à se servir de moi. J’étais déçue que Michel ne m’ait pas expliqué tout de suite l’intégralité de ma mission mais après tout c’était mon maitre et il faisait ce qu’il voulait de moi. Et je me sentais prête à me donner à cet homme qui me plaisait beaucoup en fait. Donc je pris ma posture la plus chienne et pute possible et je lui laissais voir que j’étais prête à obéir à tous ses désirs.
Alors il s'est levé pour se diriger vers la cuisine et est revenu dans mon dos puis sur mon côté droit. Là je n'ai rien vu venir quand il me dit, « Montre comme tu es obéissante maintenant tu vas me pomper ». J'ai ouvert grand la bouche alors il a approché son sexe et, en même temps m'a collé une grande claque dans la figure en me disant que dans cette pièce c'est lui qui commandais. J’étais soufflée. Il m’expliqua alors que c’était son plaisir de rudoyer un peu ses partenaires. Je n’étais contre car Michel me fouettais a l’occasion et, bien sûr, j’aimais ça. Je tendis donc mes joues à ses désirs. J’ouvrais la bouche pour engloutir son sexe et il me l’enfonça jusqu’à la glotte en me tenant la tête. Une gorge profonde, ma spécialité, j’entendis son gémissement de plaisir.
Et là c’était parti, je pris une gifle encore plus forte et il a sorti un collier en cuir pour le mettre autour de mon cou. Là il m'a dit qu'il allait faire de moi une soumise qui obéirait à tous ses désirs. Pendant qu'il me parlait il a imprégné un chiffon d'un liquide que je connaissais bien. Il me l’a collé sur le visage et j’ai respirée à fond. La tête m’a tournée et j’ai sentis mon cœur battre la chamade. Le Popper, l’ami de toute salope qui veulent que leur chatte s’ouvre bien pour la pénétration.
Là j’étais prête à faire tout ce qu'il désirait. J'ai repris son sexe dans la bouche et je me suis mise à le pomper comme une folle. J'adorais frotter ma langue contre son gland, j'adorais ce goût sauvage et intime. Il me tenait la tête et me baisait la bouche et c'est comme ça qu'à un moment il s'est contracté et j'ai senti sa liqueur se vider dans ma gorge. Il m'a tenu la tête pour que j'avale sa liqueur jusqu'à la dernière goutte.
Ce n’est qu'après il m'a fait déshabiller et il m'a tendu un tanga avec une douce robe longue. Voilà comment en moins d'une heure, je me suis retrouvée à la merci de mon nouveau patron en douce robe avec un tanga en dessous et en plus totalement soumise. Voilà comment cet après-midi-là j'ai appris à obéir à un autre patron que Michel et à me soumettre à lui. Ce vendredi après-midi j'ai appris aussi que Michel avait prévu le coup de longue date et qu’il m’avait vendue ou plutôt louée à son client. Je devais me mettre à sa totale disposition tant qu’il le voudrait et en plus je devais faire comme si je débutais dans la soumission. Apres tout, ce que j’avais vécue avant m’avais tellement plu que le fait, disons, de recommencer à zéro m’excitait formidablement. D’un coup j’oubliais tout ce que j’avais vécue avant et je me retrouvais dans la peau d’une débutante. Ma vie allait de nouveau changer.
Ce vendredi après-midi là j'ai appris à sucer mon patron, j'ai appris à bien porter une robe, j'ai appris à me déplacer de façon plus féminine, j'ai appris à marcher avec des escarpins. Ce vendredi après-midi a changé ma vie, mon patron m'a expliqué que désormais quand j'irai dans ce club je me laisserai caresser, je commençais à aimer lui obéir.
Ainsi vêtue il parlait de moi au féminin, cela avait quand même une petite tendance à m'exciter, ce vendredi après-midi j'ai eu le droit de le sucer à plusieurs reprises, il est parti dans ma bouche je me suis fait doigter mon petit cul où il a réussi à rentrer 4 doigts; grâce à ce qu'il m'avait fait respirer je n'ai pas protesté une seule fois je me suis laissée faire comme une petite soumise qu'il avait fait de moi.
Vers 20h quand il m'a libéré il m'a fait partir en m'obligeant à porter le tanga, une robe moulante sculptant mon corps ainsi qu'un collant opaque. Le tout sous mes vêtements. Dans la rue j'étais très gênée car j'avais l'impression que tout le monde voyait comment j'étais habillée et en même temps le contact de ces vêtements m'excitait énormément. Quand nous nous sommes quittés il m'a donné rendez-vous le lendemain pour parfaire mon éducation et ce n'était qu'un début car il m'a garanti que j'allais être étonnée de voir ce qu'il allait faire de moi. Vu qu'il avait pris des photos de moi je n'avais pas le choix j'étais obligée de revenir .Il me tenait et ça me plaisais
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Norbert me possède (2)
Me voilà donc sur le chemin le samedi pour retourner au boulot, c’est un jour où je ne travaille pas, normalement. J’ai suivi les consignes de Norbert (mon nouveau patron) et, sous mes vêtements, je me suis parée de son tanga et de sa robe moulante. Arrivée au boulot Norbert m’accueille avec « un bonjour ma belle », une fois rentrée dans son bureau j’ai eu le droit à une douce bise et une main bien indiscrète mais qui a instantanément fait grossir mon clito. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il prit possession de moi et me mis un large de collier en cuir rouge autour du cou, il fit attention à bien le serrer mais pas trop. Il me prit par la main et m’emmena dans sa « garçonnière ».
Arrivé dans cette salle il me débarrassa de mon pantalon de ma veste et mon pull sans que je n’aie rien à faire, il m’a tendu une paire d’escarpins qu’il m’a fait chausser et je l’ai vu partir dans la salle de bain puis revenir avec une brosse à cheveux. À l’époque j’avais les cheveux assez longs et il me les a coiffé de façon à ce que j’ai l’air un peu plus féminin. Une fois bien coiffé il s’est approché de moi a sorti son sexe de son pantalon et me l'a tendu pour que je le prenne en bouche.
Pour la forme j’ai protesté mais une grande claque m’a remis les idées en place et je me suis mis à lui faire une petite pipe. Il me tenait la tête et me traitait de tous les noms, de salope, de traînée, de chienne soumise, de vide couilles… la bouche pleine et les minutes passant, j’ai fini par y prendre goût. J’étais assise sur le siège en cuir, je m’accrochais à ses cuisses et ma bouche était pleine de ce sexe désireux de moi. J’ai senti son engin se contracter et il a fini par se vider dans ma bouche et il m’a tenu la tête pour que j’avale tout. Là il m’a dit que ma formation était en cours et que si tout se passais bien j’allais devenir sa soumise, sa femelle et que je n’aurais rien à regretter.
Il me dit d’aller m’allonger sur son lit où des draps en satin m’attendaient pendant ce temps, il prit mes chaussures, mon pantalon, ma veste et mon pull et quitta la pièce. Quand il est revenu il m’a expliqué qu’il était parti mettre mes affaires dans sa voiture et sa voiture était garée loin du boulot, ainsi si je voulais partir je n’avais pas le choix il fallait que je parte travestie par ses soins… il m’a expliqué que j’allais être sa femelle en formation tout le weekend jusqu’au lundi matin. Il s’est déshabillé, il était grand, fort et beau. Puis il est venu s’allonger à côté de moi sur le lit ; il est venu m’embrasser le cou et l'oreille en me disant que j'allais apprendre à devenir sa soumise, sa chienne et sa femelle. Il allait me rendre obéissante et offerte.
Il m’a pris la tête et m’a donné son sexe à pomper de nouveau, chose que je fis sans broncher ce coup-ci. Pendant que je le suçais il s’est mis à me caresser le corps avec beaucoup de douceur avant de s’attarder plus longuement sur mon sexe et surtout mes fesses. Je me suis étonné à constater combien mes fesses étaient sensibles à ses caresses; il s’en est rendu compte et du coup il a été bien plus insistant sur la raie de mes fesses et moi je me tortillais de plus en plus. Puis ce qui devait arriver arriva, il a glissé un doigt dans ma chatte anale. Je me sentais mieux mais j’en voulais encore, il l’a senti puis en a glissé un deuxième puis un troisième. Il y allait de bon cœur avec ses trois doigts dans mon petit trou et je sentais ce dernier se dilater à grande vitesse. Pendant qu’il me doigtait, il me disait qu’il allait faire une grosse cochonne de moi et je ne demandais que ça. Il m’a expliqué que dans peu de temps, j'allais être fécondée par le sexe que j'avais dans ma bouche.
Il m’a expliqué qu’à partir de ce moment-là il aurait fait de moi une femme et que je ne pourrai plus rien lui refuser. Il m’a dit qu’au rythme où j’allais je prendrai rapidement goût à sa liqueur, que ce soit par voie orale ou anale. Il me dit qu’au début il allait me maquiller mais qu’ensuite il faudrait que j’apprenne à le faire toute seule. Il faudrait que je me vernisse les ongles des mains et des pieds. Il allait aussi me faire prendre des médicaments pour que je me débarrasse de mes poils et que par la même occasion une poitrine allait naître. J’étais en train de me dire que ce qu’il allait me faire faire allait être sans retour possible.
Pendant que je le suçais je me posais plein de questions, Qu’allais-je devenir entre ses mains… A force de penser j’ai fini par ralentir un peu la fellation que je lui faisais. Il me l’a fait savoir et je me suis à nouveau remise à la tâche. Là je l’ai senti retirer ses doigts, qui étaient toujours en moi, et je l’ai senti introduire autre chose dans ma chatte mais bien plus profondément. Le sentiment de douleur a rapidement été remplacé par une sensation de plaisir intense, il le savait bien et en a profité pour jouer avec puis le faire aller et venir. C’est ainsi que j’ai appris à prendre du plaisir avec un godemichet
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Ce matin quand je suis arrivée au boulot je ne me doutais à quel point Norbert allait faire de moi sa femelle.
Je deviens La femelle de Norbert (3)
Norbert m'avait faite toute belle et il était en train de goder mon petit trou. Quand j'ai senti le gode sortir de mes fesses j'ai pu le voir et là j'étais très étonnée de voir son énorme taille. Je sentais maintenant un vide dans mes fesses et machinalement je remuais le croupion comme pour demander à être prise encore. Il a posé le gode par terre et ma allongée sur le lit, jambes très écartées, c'était vraiment très agréable de se sentir ainsi offerte à son patron. Le propriétaire et fondateur de la société où je travaillais était en train de présenter son gland turgescent à l'entrée de mes fesses et je ne demandais que ça.
Je l'ai senti s'agripper fermement à mes cuisses et commencer à forcer mon intimité, tout doucement il s'est immiscé et a fini par arriver en butée, j'étais aux anges. J'en suis arrivée à pousser des cris de femelle en chaleur tellement mon mâle me faisait du bien. Pas une seconde il ne me serait venu à l'idée de me débattre; je me laissais faire comme une petite femme.., ce qu'il voulait faire de moi... La douceur à laisser place à la fermeté et je commençais à sentir ses coups de boutoir toujours plus puissants en moi. De temps à autre il cessait et venait m'embrasser de force au début, puis ensuite je me laissais faire, j'ai même été jusqu'à attendre ses baisers qui ont fini par être doux.
Norbert était en train de me féminiser tout en douceur et par les vêtements et par mon comportement envers lui. Voilà déjà dix bonnes minutes qu'il allait et venait au plus profond de moi et je commençais vraiment à y prendre plaisir. Il m'embrassait sur la bouche et m'embrassait le ventre pendant qu'il me possédait je me sentais vraiment féminine, vraiment à la place d'une femme. Je l'ai senti se contracter, je connaissais bien ce moment quand j'étais sur le point de partir en masturbant mon clito; là c'était mon patron qui était sur le point de se vider en moi. Je l'ai vu fermer les yeux et se caler au fond de moi, au plus profond de moi et j'ai senti sa liqueur se répandre dans mes entrailles. Il est venu m'embrasser goulûment forçant mes jambes à s'écarter un peu plus je sentais maintenant ses bras sur mes hanches. Quelques minutes passèrent et il est venu me glisser un petit mot à l'oreille: "maintenant tu es à moi"...
Son dard était encore dur et il m'a un peu poussé avec pour que nous puissions tous les deux être allongé sur le lit, c'est vraiment très agréable d'être traitée comme une femme. Je ne savais pas combien c'était agréable de se faire caresser après l'amour par mon amant.
Mais là la femme c'était moi... ayant repris ses esprits Norbert est sorti de moi, je sentais son sperme se déplacer vers la sortie de mon petit trou. Là à ma grande surprise il m'a tendu un Tampax qu'il a lui-même introduit dans ma chatte. « Garde ma liqueur en toi ma belle, tu es faite pour l'amour » me dit-il...!!! Il s'est relevé, s'est rhabillé, c'est éloigné et il est revenu avec une robe longue et douce qu'il m'a donné à enfiler. Une fois la robe sur moi je me suis tournée sur moi-même pour lui montrer combien elle m'allait. Il est arrivé derrière moi m'a saisie par les épaules et m'a embrassé le cou et me le mordant un peu en même temps.
Là il me confesse: "qu'il ne pensait pas que je serais à ce point soumise et obéissante et qu'il réussirait à ce point à faire de moi sa femelle aussi rapidement". Là il a sorti un gros collier en cuir rouge il m'a posé autour du cou, il l'a bien serré en faisant attention à quand même ne pas m'étrangler. Toujours dans mon dos à travers ma robe il a commencé à me pincer les tétons, je trouvais ça vraiment très excitant; il m'a encore glissé à l'oreille comme quoi: "il allait faire de moi une énorme salope, une chienne assoiffée de sexe", je suis faite pour ça, je suis née pour ça".
Le weekend s'annonçait chaud et mémorable voire même peut-être probablement inaltérable...
Je suis la femme de Norbert (4)
L'après-midi avançait et j'étais arrivé en homme et maintenant j'étais une vraie femme offerte à mon homme.
Norbert m'a fait enfiler une douce culotte en lycra sous ma robe j'étais très heureuse de pouvoir me déplacer ainsi dans la maison. Je me sentais vraiment une femelle en chaleur. Tout l'après-midi j'ai dû le sucer quand il le désirait, tout l'après-midi il m'a embrassée avec passion et je me suis laissé faire.
Il m'a fait enfiler des escarpins avec de très hauts talons et m'a fait marcher tout l'après-midi pour que j'apprenne à les porter correctement sans me faire mal. Il m'a parfumée et maquillée. M’a coiffée d’une perruque blonde. J’ai glissée aussi mes jambes rasées dans des bas nylons et revêtus des jarretelles pour les tenir. J’étais de plus en plus féminine et même ma voie avait changée.
Il a mis la télé pour me montrer un DVD avec pour sujet les Sissi soumises. Il s'est enfoncé dans le canapé, j'étais assise à côté de lui et pendant tout le film je l'ai sucé en m'inspirant de ce que je voyais à la télé.
Rapidement son sexe s'est contracté et il m’a rempli la bouche en m'obligeant à tout avaler. Je l’ai fait avec délice. J'ai très rapidement pris goût à tenir ce sexe dans la main, à prendre son sexe de belle taille dans la bouche, je prends vraiment grand plaisir à caresser sous le prépuce avec ma langue et en plus manifestement cela lui fait de l'effet. J'adore lui gober les boules une par une et sentir ses poils coupés dans ma bouche maintenant il exige que je le regarde dans les yeux quand je le suce c'est une forme de soumission que j'apprécie.
Après le film il m'a fait enfiler une culotte en latex avec un gode à l'arrière du coup j'ai passé la soirée avec un beau gode dans les fesses cela m'a fait énormément de bien et je n'ai pas débandé de la soirée.
Toute la soirée Norbert m'a traitée de tous les noms, il m'a dit que j'étais faite pour me faire défoncer du matin au soir, que j'étais faite pour lui obéir, que j'étais faite pour lui pomper le dard. C’était tellement bon de l’entendre m’insulter. Et je savais que ça lui faisait plaisir. Je regrettais seulement qu’il ait ralentis un peu les coups qu’il m’infligeait au début.
Il m'a dit qu'à ce rythme à la fin du weekend je lui serai totalement soumise et que je pourrais aller le sucer sous le bureau quand il me le demandera au boulot.
Il m'a complètement épilée ; que ce soit sous les bras, la poitrine, les jambes, le dos, les fesses et le sexe. J'étais maintenant totalement imberbe. Il m'a dit qu'une femelle ne doit pas être poilu et que j'étais sa femelle. Toute épilée comme ça je me sentis vraiment femelle et je dois dire que j’étais vraiment très belle
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Avant de me coucher il m'a fait enfiler un body manches longues en lycra fendu pour pouvoir avoir accès à mes fesses toute la nuit, vu combien j'étais excitée je me suis laissé faire... Je ne pensais pas que j'allais prendre goût aussi vite à me faire dilater la rondelle, mon patron avait vraiment bien trouvé sa proie. Quoi de plus agréable que de se faire câliner par son patron le weekend alors que pendant la semaine il était en général assez ferme et autoritaire. Je n'ose imaginer ce que mes collègues penseraient de moi s’ils savaient ce que je suis en train de faire ce weekend avec leur patron. J'espère quand même qu'en devenant la femelle de Norbert j'aurais le droit à une petite promotion...Je plaisante car ma promotion je l’avais déjà.
Vers 21h nous nous sommes couchés il m'a fait l'amour pendant au moins une heure et c'est ainsi que je me suis endormie avec son sexe profondément enfoncé dans mon petit trou. J'étais devenue sa femme totalement cette nuit mais mon petit doigt me dit que ça allait durer beaucoup plus longtemps. Il était collé dans mon dos, ses bras m’enlaçaient, son sexe toujours enfoncé dans ma chatte offerte et je me sentais vraiment comme sa douce femelle.
4 years ago