Dominique
J'avais 23 ans, il avait la cinquantaine. Je chassais sur le "Rézo", c'est-à-dire par téléphone, sur des 08 très honéreux, et j'ai remarqué une annonce ; "Dominique, mâle dominateur, pour homme, femme ou trans!". Au début, j'ai pensé qu'un mec qui cherche "homme, femme ou trans", il ne sait pas ce qu'il veut et que ce n'est qu'un morfale. Mais sa voix grave me plaisait, et puis, peut-être, l'instinct, allez savoir.... J'ai répondu à son annonce, l'ai demandé en duo, et nous avons commencé à nous décrire. Ce qu'il m'a dit m'a convaincu, et je lui ai proposé que l'on se voit le soir même chez moi. Il était OK, je lui ai donné mon adresse, fixé une heure de rendez-vous et c'est toute émoustillée que je suis rentrée chez moi pour me préparer.
Ce soir-là, je voulais faire le plus pute possible, donc, je n'ai pas hésitée, j'y suis allée à fond ! Bas, porte-jaretelles, string, talons aiguilles, robe moulante, ultra maquillée, j'ai sorti tous mes gadgets (menottes, gag-ball, collier, laisse,etc...), je voulais vraiment devenir sa chienne. Il est arrivé à l'heure dite, et, tout de suite, je me suis dit que c'était vraiment étrange ce qu'il allait se passer. Il n'était pas beau, loin de là, mais il m'attirait irrésistiblement. Grand, chauve, lunettes, baskets, jean, sweat à capuche, il me regarda de haut en bas, sourit, et me dit "hey, mais c'est qu't'es bonne, toi !". Il referma la porte, me prit à la gorge, me colla contre le mur et me roula une pelle merveilleuse. Puis il passa sa main sous ma robe et commença à me doigter le cul. J'ai levé une jambe pour l'aider dans sa manoeuvre, et son doigt commença à me rentrer dedans. Il le ressortit et me le fit gouter. "C'est bon, hein ? Ca a quel goût ?". "Le goût de mon cul !". "C'est bien, ma chérie, c'est très bien. Je vais bien m'occuper de toi. J'adore les petites putes dans ton genre !". Il continua pendant un long moment à me galocher, me doigter, me faire goûter ses doigts, car il arrivait à en mettre plusieurs au bout d'un moment. Puis il me força à me mettre à genoux, dégraffa sa ceinture, fit tomber son pantalon, son boxer, et me proposa une queue bien dure, pas spécialement énorme, mais tout à fait convenable. "Tiens, suce, salope, je sais qu't'aimes ça !". Et c'est vrai que j'ai toujours adoré sucer des queues. Alors je l'ai pris dans ma bouche, et j'ai commencé à le pomper. J'étais toujours contre le mur, ce qui fait qu'il était en appui, et par moments, il pouvait me pistonner et me baiser par la bouche. J'adorais ça ! Il me prenait par les cheveux et me mettait de grands coups de bite dans la bouche, c'était génial, je prenais un pied d'enfer. Tout à coup, il me fit remettre debout en me tirant par les cheveux et me balança sur le canapé. Il se mit devant moi et commença à se déshabiller. Une fois nu, il se mit sur le canapé à coté de moi, et me força à le sucer à nouveau. Il me mit quelques petites gifles, et je lui ai demandé d'y aller plus fort. Alors il n'hésita pas et commença à me frapper plus brutalement. Il m'attrapa par les cheveux, me releva la tête et me cracha au visage. le râle de plaisir que j'ai dû emettre a dû lui plaire car il recommença plusieurs fois. Enfin j'avais trouver un mec qui savait me dominer comme j'aimais !
Il se releva de la banquette et m'ordonna de me mettre à quatre pattes. Il prit les menottes, me demanda de mettre les mains dans le dos et m'attacha. Il prit le collier et la laisse, me les mit en serrant très fort puis me baillonna avec le gag-ball. Il grimpa sur le canapé, me mit un pied sur la figure et me pénétra sans pitié, tout en me tenant en laisse, histoire que je comprenne bien la leçon. Il me pistonna en force pendant un long moment. Je sentais mon cul se dilater sous ses coups de boutoir. Parfois, il s'arrétait, restait au fond de moi, parfois il ressortait pour me pénétrer encore plus fort, il me déchirait l'anus. J'avais mal, mais c'était une douleur exquise. Il avait toujours son pied sur ma tête, mais au bout d'un moment, il me baissa le gag-ball et m'ordonna de lui lécher les orteils. "Sois ma pute ! Lêche les pieds de ton maitre pendant qu'il t'encule ! et dis merci, Maitre !". "Merrci, Maitre !". "Encore !". "Merci, Maitre !". "C'est bien ! Sale putain !". J'étais en état second tellement je prenais mon pied. Après m'avoir longuement sodomisé, il me fit mettre à genoux devant lui, me réajustat le baillon dans la bouche, il finit en se masturbant devant moi et me balanca son sperme sur le visage en poussant un grand cri. "SALOOOOPE !". J'en avais partout, tellement son éjaculation était massive. Il me réenleva le gag-ball et avec ses doigts, il me fit goûter à son jus, ainsi qu'à un dernier crachât. Il me fit relever, me prit par la laisse et m'amana dans la salle de bains. Il me mit devant le miroir au dessus du lavabo. "T'as vu ? T'es belle, comme ça, non ? La gueule pleine de foutre ! C'est ça qu'tu voulais, hein, salope !". J'étais toujours menottée dans le dos. Alors de sa main gauche, il me prit par les cheveux pour me forcer à regarder dans le miroir, et de la main droite, il se mit à me branler très fort. "Tu vas jouir pour moi, t'as compris, p'tite pute ? je veux que tu balances la purée, toi aussi !".J'étais tellement excitée par ce que j'avais vécu juste avanr qu'il n'a pas fallu longtemps avant que je parte. Je me suis vidé dans le lavabo au bout de quelques allers-retours en gémissant de plaisir. Puis il me déclara "Allez, maintenant, je vais te nettoyer la gueule de tout ce sperme... mais à ma manière !". Il enleva les menottes, m'ota ma robe, me remit les menottes, toujours dans le dos, et me fit grimper dans la baignoire. J'étais donc en talons aiguilles, bas, porte-jaretelles, string, collier et laisse, menottée, à genoux dans la baighoire. Lui était complètement nu, monté sur les deux bords de la baignoire. Je voyais son sourire et je m'apprétais à subir une humiliation totale, mais je m'en foutais, j'étais prête à tout pour cet amant là. Et donc, il me pissa dessus, un jet continu qui dura très longtemps. il rigolait en m'arrosant, et son rire me faisait encore plus plaisir.
Quand il a fini, il me tendit la main pour m'aider à sortir de la baighoire. En sortant, je me suis de moi-même baissée pour embrasser sa queue, la lécher, le sucer avec son odeur d'urine et de sperme. C'était génial ! Lui rigolait. "Putain, t'es une gourmande, toi ! J'ai déjà niqué des voraces, mais comme toi... Allez, arrête, si tu veux une deuxième tournée, faut que je recharges les batteries, avant !". Alors nous sommes retourné au salon, où nous bavardé de choses et d'autres. Mais je n'arrivais pas à lacher sa queue, je la caressais, je la branlais, lui faisais des petits bisous, bref, j'étais devenue accro à sa queue. Au bout d'un moment, n'y tenant plus, je l'ai carrément sucé, et je me suis promis que, tant qu'il n'avait pas joui, je continuerai à le pomper. Il m'a bien fallu une demi-heure, mais je suis arrivé à mes fins. Il me gicla dans la bouche tout en me mainteenant la tête, pour ne pas que j'en perde une goutte. Mon plaisir était total et nous avons ensuite dormi ensemble.
Le lendemain matin, avant qu'il ne parte, nous avons à nouveau baisé, mais ce coup-ci de manière beaucoup plus soft. Il èjacula dans mon cul et je sentis son jus chaud et crémeux qui ressortais de mon cul. Je le bus en le receuillant avec mes doigts. Il se rhabilla et on se fit la promesse de se revoir bientôt. Je ne l'ai jamais revu. Merci Dominique pour cette merveilleuse soirée.
Ce soir-là, je voulais faire le plus pute possible, donc, je n'ai pas hésitée, j'y suis allée à fond ! Bas, porte-jaretelles, string, talons aiguilles, robe moulante, ultra maquillée, j'ai sorti tous mes gadgets (menottes, gag-ball, collier, laisse,etc...), je voulais vraiment devenir sa chienne. Il est arrivé à l'heure dite, et, tout de suite, je me suis dit que c'était vraiment étrange ce qu'il allait se passer. Il n'était pas beau, loin de là, mais il m'attirait irrésistiblement. Grand, chauve, lunettes, baskets, jean, sweat à capuche, il me regarda de haut en bas, sourit, et me dit "hey, mais c'est qu't'es bonne, toi !". Il referma la porte, me prit à la gorge, me colla contre le mur et me roula une pelle merveilleuse. Puis il passa sa main sous ma robe et commença à me doigter le cul. J'ai levé une jambe pour l'aider dans sa manoeuvre, et son doigt commença à me rentrer dedans. Il le ressortit et me le fit gouter. "C'est bon, hein ? Ca a quel goût ?". "Le goût de mon cul !". "C'est bien, ma chérie, c'est très bien. Je vais bien m'occuper de toi. J'adore les petites putes dans ton genre !". Il continua pendant un long moment à me galocher, me doigter, me faire goûter ses doigts, car il arrivait à en mettre plusieurs au bout d'un moment. Puis il me força à me mettre à genoux, dégraffa sa ceinture, fit tomber son pantalon, son boxer, et me proposa une queue bien dure, pas spécialement énorme, mais tout à fait convenable. "Tiens, suce, salope, je sais qu't'aimes ça !". Et c'est vrai que j'ai toujours adoré sucer des queues. Alors je l'ai pris dans ma bouche, et j'ai commencé à le pomper. J'étais toujours contre le mur, ce qui fait qu'il était en appui, et par moments, il pouvait me pistonner et me baiser par la bouche. J'adorais ça ! Il me prenait par les cheveux et me mettait de grands coups de bite dans la bouche, c'était génial, je prenais un pied d'enfer. Tout à coup, il me fit remettre debout en me tirant par les cheveux et me balança sur le canapé. Il se mit devant moi et commença à se déshabiller. Une fois nu, il se mit sur le canapé à coté de moi, et me força à le sucer à nouveau. Il me mit quelques petites gifles, et je lui ai demandé d'y aller plus fort. Alors il n'hésita pas et commença à me frapper plus brutalement. Il m'attrapa par les cheveux, me releva la tête et me cracha au visage. le râle de plaisir que j'ai dû emettre a dû lui plaire car il recommença plusieurs fois. Enfin j'avais trouver un mec qui savait me dominer comme j'aimais !
Il se releva de la banquette et m'ordonna de me mettre à quatre pattes. Il prit les menottes, me demanda de mettre les mains dans le dos et m'attacha. Il prit le collier et la laisse, me les mit en serrant très fort puis me baillonna avec le gag-ball. Il grimpa sur le canapé, me mit un pied sur la figure et me pénétra sans pitié, tout en me tenant en laisse, histoire que je comprenne bien la leçon. Il me pistonna en force pendant un long moment. Je sentais mon cul se dilater sous ses coups de boutoir. Parfois, il s'arrétait, restait au fond de moi, parfois il ressortait pour me pénétrer encore plus fort, il me déchirait l'anus. J'avais mal, mais c'était une douleur exquise. Il avait toujours son pied sur ma tête, mais au bout d'un moment, il me baissa le gag-ball et m'ordonna de lui lécher les orteils. "Sois ma pute ! Lêche les pieds de ton maitre pendant qu'il t'encule ! et dis merci, Maitre !". "Merrci, Maitre !". "Encore !". "Merci, Maitre !". "C'est bien ! Sale putain !". J'étais en état second tellement je prenais mon pied. Après m'avoir longuement sodomisé, il me fit mettre à genoux devant lui, me réajustat le baillon dans la bouche, il finit en se masturbant devant moi et me balanca son sperme sur le visage en poussant un grand cri. "SALOOOOPE !". J'en avais partout, tellement son éjaculation était massive. Il me réenleva le gag-ball et avec ses doigts, il me fit goûter à son jus, ainsi qu'à un dernier crachât. Il me fit relever, me prit par la laisse et m'amana dans la salle de bains. Il me mit devant le miroir au dessus du lavabo. "T'as vu ? T'es belle, comme ça, non ? La gueule pleine de foutre ! C'est ça qu'tu voulais, hein, salope !". J'étais toujours menottée dans le dos. Alors de sa main gauche, il me prit par les cheveux pour me forcer à regarder dans le miroir, et de la main droite, il se mit à me branler très fort. "Tu vas jouir pour moi, t'as compris, p'tite pute ? je veux que tu balances la purée, toi aussi !".J'étais tellement excitée par ce que j'avais vécu juste avanr qu'il n'a pas fallu longtemps avant que je parte. Je me suis vidé dans le lavabo au bout de quelques allers-retours en gémissant de plaisir. Puis il me déclara "Allez, maintenant, je vais te nettoyer la gueule de tout ce sperme... mais à ma manière !". Il enleva les menottes, m'ota ma robe, me remit les menottes, toujours dans le dos, et me fit grimper dans la baignoire. J'étais donc en talons aiguilles, bas, porte-jaretelles, string, collier et laisse, menottée, à genoux dans la baighoire. Lui était complètement nu, monté sur les deux bords de la baignoire. Je voyais son sourire et je m'apprétais à subir une humiliation totale, mais je m'en foutais, j'étais prête à tout pour cet amant là. Et donc, il me pissa dessus, un jet continu qui dura très longtemps. il rigolait en m'arrosant, et son rire me faisait encore plus plaisir.
Quand il a fini, il me tendit la main pour m'aider à sortir de la baighoire. En sortant, je me suis de moi-même baissée pour embrasser sa queue, la lécher, le sucer avec son odeur d'urine et de sperme. C'était génial ! Lui rigolait. "Putain, t'es une gourmande, toi ! J'ai déjà niqué des voraces, mais comme toi... Allez, arrête, si tu veux une deuxième tournée, faut que je recharges les batteries, avant !". Alors nous sommes retourné au salon, où nous bavardé de choses et d'autres. Mais je n'arrivais pas à lacher sa queue, je la caressais, je la branlais, lui faisais des petits bisous, bref, j'étais devenue accro à sa queue. Au bout d'un moment, n'y tenant plus, je l'ai carrément sucé, et je me suis promis que, tant qu'il n'avait pas joui, je continuerai à le pomper. Il m'a bien fallu une demi-heure, mais je suis arrivé à mes fins. Il me gicla dans la bouche tout en me mainteenant la tête, pour ne pas que j'en perde une goutte. Mon plaisir était total et nous avons ensuite dormi ensemble.
Le lendemain matin, avant qu'il ne parte, nous avons à nouveau baisé, mais ce coup-ci de manière beaucoup plus soft. Il èjacula dans mon cul et je sentis son jus chaud et crémeux qui ressortais de mon cul. Je le bus en le receuillant avec mes doigts. Il se rhabilla et on se fit la promesse de se revoir bientôt. Je ne l'ai jamais revu. Merci Dominique pour cette merveilleuse soirée.
3 years ago
