Karim
Karim , il était Algérien, grand, beau, balèze, musclé. Quand je l'ai connu, il avait 36 ans et moi 25, il travaillait comme gardien de nuit dans une fourrière automobile et c'est là que je l'ai rencontré. Un soir, un de mes amants était venu me "voir", on avait baisé et quand il est reparti de chez moi, plus de bagnole ! il est revenu chez moi, dans tous ses états,, il fallait qu'il rentre chez lui, et il était complètement affolé, comment expliquer à maman, bref... Je n'avais pas eu le temps de me changer, je lui ai dit qu'il fallait aller au commissariat pour savoir si on lui avait volé sa voiture ou quoi et je lui ai proposé de l'amener en scooter. Je passe les détails (ça a été épique !) et nous arrivons à la fourrière. je sonne et je vois ce magnifique reubeu qui vient nous ouvrir. D'emblée, je tombe sous le charme. Il me plait comme jamais un homme ne m'a plu. Un sourire ravageur, des dents blanches, un regard, bref, je suis tombée amoureuse de lui immédiatement. Le coup de foudre. Pendant que l'autre con va récupérer sa bagnole, je me mets à le vamper, mais il s'aperçoit vite que je ne suis pas une femme comme les autres.
- "T'es un pédé ?"
-"Non, je suis un travesti."
-"T'es un pédé ! J'aime pas les mecs !"
Il a fallu que lui explique la différence qu'il pouvait y avoir, ça a été assez long, mais il a compris. Je lui ai proposé un rencard après le boulot, J'allais aller le chercher au bout de la rue à 7h30, pas que ses remplaçants le voie, et je l'amenais chez moi.
il est arrivé à l'heure dite, je lui ai prété un casque, il est monté derrière moi,et m'a pris par les hanches. J'étais complètement subjuguée par lui. Nous sommes montés jusque chez moi, je lui ai fait un café, nous nous sommes assis l'un en face de l'autre, je me suis déchaussée, et je me suis mis à lui faire du pied. Avec mon pied droit, je me suis mis à lui caresser le sexe. Oh la vache, mais il était monté comme un âne, ce beau salaud ! Il se laissait faire, tout en me souriant. Quand il a fini son petit déjeuner, je me suis levé, je l'ai pris par la main et je l'ai emmené jusqu'à mon lit. Là, il m'a embrassé longuement. tout en enlevant ses fringues. Gros biceps, tablettes de chocolat, pectoraux, cuisses fermes, il était magnifique. Mais ce que je remarquais le plus, c'était le renflement de son slip. Alors j'ai voulu vérifier, j'ai lécher son slip et j'ai senti qu'il avait une bite énorme. Je baisse l'élastique et là, ... "WAOW", je me retrouve devant la plus grosse queue qu'il m'ait été donné de rencontrer. Bien plus que 20 cm, mais c'est surtout l'épaisseur qui était impressionnante ! Enorme ! Il me prend par la nuque et me force à le sucer. Sauf que j'ai du mal à le prendre en bouche. Alors il se met debout sur le lit, me la met dans la gueule et me pistonne comme s'il voulait me violer par la bouche. J'étouffe, j'ai des nausées, je suis au bord de dégueuler plusieurs fois, mais lui me tient par les cheveux et me défonce par la bouche. Il m'insulte en arabe, me gifle, je suis sa pute, mais j'aime ça ! Et puis il retire de ma bouche, me met à quatre pattes, pointe son énorme queue sur mon petit trou et m'encule sans ménagement. Sur le coup, je me mets à hurler et m'allonge sous la douleur. Il me remet à genoux, me colle une énorme claque sur les fesses, et me remet sa bite dans le cul. La douleur est atroce, mais il a l'air de prendre du plaisir, alors je le laisse faire. Ce beau salaud me défonce, mais j'aime tellement ça que je ne dis rien. Au contraire, je prends un pied terrible. Il me pistonne comme si j'étais sa pute et ça me plait. Il me traite de "Khaba", me retourne, je suis sur le dos, il m'encule comme une chienne que je suis,et au moment de jouir, il sort de men cul, s'avance jusqu'au dessus de mon visage et m'arrose comme un dingue en poussant un hurlement. - "Nettoies-moi ! Nettoies-moi la bite, sale putain !"
Oh que oui, j'allais le faire. J'aurai fait tout ce qu'il m'aurait demandé. Un amant pareil, j'en cherchais un depuis des années. Avec Karim, ça a duré pas loin de deux ans. Et c'était toujours fantastique. Une queue énorme, de la domination, une ou deux fois par semaine, un amant sublime. Et puis, un jour, il a trouvé une femme, et là, la concurence était déloyale. mais j'espère qu'il est heureux et qu'il va bien.
Merci Karim
- "T'es un pédé ?"
-"Non, je suis un travesti."
-"T'es un pédé ! J'aime pas les mecs !"
Il a fallu que lui explique la différence qu'il pouvait y avoir, ça a été assez long, mais il a compris. Je lui ai proposé un rencard après le boulot, J'allais aller le chercher au bout de la rue à 7h30, pas que ses remplaçants le voie, et je l'amenais chez moi.
il est arrivé à l'heure dite, je lui ai prété un casque, il est monté derrière moi,et m'a pris par les hanches. J'étais complètement subjuguée par lui. Nous sommes montés jusque chez moi, je lui ai fait un café, nous nous sommes assis l'un en face de l'autre, je me suis déchaussée, et je me suis mis à lui faire du pied. Avec mon pied droit, je me suis mis à lui caresser le sexe. Oh la vache, mais il était monté comme un âne, ce beau salaud ! Il se laissait faire, tout en me souriant. Quand il a fini son petit déjeuner, je me suis levé, je l'ai pris par la main et je l'ai emmené jusqu'à mon lit. Là, il m'a embrassé longuement. tout en enlevant ses fringues. Gros biceps, tablettes de chocolat, pectoraux, cuisses fermes, il était magnifique. Mais ce que je remarquais le plus, c'était le renflement de son slip. Alors j'ai voulu vérifier, j'ai lécher son slip et j'ai senti qu'il avait une bite énorme. Je baisse l'élastique et là, ... "WAOW", je me retrouve devant la plus grosse queue qu'il m'ait été donné de rencontrer. Bien plus que 20 cm, mais c'est surtout l'épaisseur qui était impressionnante ! Enorme ! Il me prend par la nuque et me force à le sucer. Sauf que j'ai du mal à le prendre en bouche. Alors il se met debout sur le lit, me la met dans la gueule et me pistonne comme s'il voulait me violer par la bouche. J'étouffe, j'ai des nausées, je suis au bord de dégueuler plusieurs fois, mais lui me tient par les cheveux et me défonce par la bouche. Il m'insulte en arabe, me gifle, je suis sa pute, mais j'aime ça ! Et puis il retire de ma bouche, me met à quatre pattes, pointe son énorme queue sur mon petit trou et m'encule sans ménagement. Sur le coup, je me mets à hurler et m'allonge sous la douleur. Il me remet à genoux, me colle une énorme claque sur les fesses, et me remet sa bite dans le cul. La douleur est atroce, mais il a l'air de prendre du plaisir, alors je le laisse faire. Ce beau salaud me défonce, mais j'aime tellement ça que je ne dis rien. Au contraire, je prends un pied terrible. Il me pistonne comme si j'étais sa pute et ça me plait. Il me traite de "Khaba", me retourne, je suis sur le dos, il m'encule comme une chienne que je suis,et au moment de jouir, il sort de men cul, s'avance jusqu'au dessus de mon visage et m'arrose comme un dingue en poussant un hurlement. - "Nettoies-moi ! Nettoies-moi la bite, sale putain !"
Oh que oui, j'allais le faire. J'aurai fait tout ce qu'il m'aurait demandé. Un amant pareil, j'en cherchais un depuis des années. Avec Karim, ça a duré pas loin de deux ans. Et c'était toujours fantastique. Une queue énorme, de la domination, une ou deux fois par semaine, un amant sublime. Et puis, un jour, il a trouvé une femme, et là, la concurence était déloyale. mais j'espère qu'il est heureux et qu'il va bien.
Merci Karim
3 years ago