Raymond S
Raymond S
Je viens d'apprendre pas le journal, le décès de Raymond S. Je vais taire son nom de famille par respect. Raymond est décédé à l'âge de 88 ans, c'est un âge vénérable.
Qui est ce Raymond pour que je raconte cette histoire? Quand j'avais 15 ou 16 ans il était mon professeur de français au secondaire et il était aussi le tuteur de ma classe. Il avait 31 ans à cette époque et comme tous les professeurs il représentait l'autorité. Adolescent, j'avais beaucoup de difficulté avec l'autorité, surtout à l'époque Yé-Yé, et en pleine révolution tranquille.
Raymond était un professeur sérieux, discipliné et sévère, il n'était pas grand à peine 1 mètre 70 centimètres. Il était mince pour ne pas dire maigre, il était chétif, même que sa tête était trop grosse pour ses épaules étroites. À son crédit, il était soigné de sa personne, il était toujours bien habillé avec ses innombrables vestons en tweed.
Les joues de son visage avaient des cratères, signe qu'il avait souffert d'acné sévère à l'adolescence, il avait les cheveux châtains épais bien coiffés comme un crooneur, il avait les traits fins avec un nez aussi fin. On voyait rarement ses dents car il ne riait jamais, sauf avec ses collègues et il avait une belle dentition. Ses yeux étaient verts et perçants quand il te fixait dans les yeux. Il avait des petites manières efféminées avec ses petites mains de femmes agitées quand il parlait.
Évidemment, ont le soupçonnaient d'être homosexuel, de là, sa sévérité pour se faire respecter d'une bande d'adolescents turbulents. Mais, j'avoue qu'il était un bon professeur. Il détestait la paresse et j'étais, hélas, un paresseux et un jour il m'a dit « Lionel... je sais que tu peux faire mieux que ça... tu es intelligent... si tu ne comprends pas quelque chose vient me voir... je ne ferais un plaisir de t'expliquer!»
À partir de ce moment, je suis devenu un élève studieux et je voyais dans son regard le plaisir qu'il avait à m'enseigner. Et plus tard, il me dira avec un sourire; « Tu vois... quand on veut travailler... on réussit... et tu vas bien!» En effet, j'étais encouragé et j'ai continué si bien que je n'ai pas eu de difficulté à l'examen final. J'ai eu Raymond comme professeur durant deux ans et bien tant mieux.
Souvent les gars de la classe le ridiculisaient, moi, je me portais à sa défense, on me traitait de tapette et de fifi. Certains ont eu des claques sur la gueule de ma part. Peut-être que certains savaient des choses sur moi. Je me prostituais, hé oui, si ça vous choque tant pis, mais je ne cacherais pas ces faits. J'ai vécu ces années et je ne le regrette pas.
Les années ont passé et me voilà à l'âge de 20 ans. Je suis sur un coin de rue en plein hiver, le vent souffle et dégage de la poudrerie sur les toits des immeubles. Il y a grève des autobus, encore une, mais le métro fonctionne. Je dois me rendre au métro le plus proche. J'ai été chez ma blonde (petite amie) pour passer la soirée. En faisant de l'autostop, je me suis rendu sur la rue Sherbrooke et je dois atteindre le métro.
Je suis vêtu d'une gabardine ceinturée à la taille et ce n'est pas très chaud et les pieds gelés dans mes petites bottes de cuire. Je me dis; «pourquoi tu es allé voir ta blonde? On ne peut même pas baiser avec toute la famille dans la maison!» Je m'en veux d'être sorti par un froid sibérien. Je tends mon pouce et une voiture arrête. Il me semble que la voiture est pleine de mon monde. Une vitre se baisse et je reconnais Raymond mon ex-professeur. ( Ici tous les diadoques ne sont pas du mot-à-mot, mais le sens des conversations. )
- Hé! C'est bien toi... je t'ai reconnu avec tes cheveux longs!
- Ah ben! Salut!
- Tu vas ou comme ça?
- Ben au métro le plus proche!
- Embarque!
Il ouvre la portière et il me fait signe de m'assoir sur ses genoux. Ce que je vois dans la voiture se sont que des hommes qui semblent être sur le party comme on dit. Je m'assois une fesse sur sa cuisse et il ferme la portière. Une odeur d'alcool me monte au nez et je constate que Raymond est un peu pompette. Ça me faisait de le voir ainsi, il n'avait pas son air de professeur sérieux. Je me tiens avec une main sur le tableau de bord et lui il me tient par la taille. Tout le monde dans l'auto parle fort et un demande qui je suis. Raymond répond que j'étais un de ses élèves et un fait; « houuuu!» Raymond rectifie les faits que j'étais un de ses élèves sans plus.
- Je suis bien content de te voir! Me dit-il
- C'est drôle le hasard!
- Qu'est-ce que tu deviens?
- Je travaille comme machiniste!
- Ah oui! C'est bien... mais que fais-tu ici dans ce froid?
Je lui explique que je venais de voir ma blonde et que j'aurais dû demeurer sagement à la maison. Il me fait la remarque que j'aurais dû prendre un taxi, mais je lui dis que je n'avais pas assez d'argent pour ça. Il me dit;
- Tu viens avec nous?
- Quoi? Non! Où ça?
- Chez un ami qui fête... je ne sais pas trop quoi! Dit-il en riant.
Un type à l'arrière dit « plus on est de fous plus on rit!»
- Juste un verre... on ira te conduire au métro après! Dit Raymond.
- Bon... ok! Que je réponds.
Quelque chose me disait que cette soirée ne serait pas tout à fait gâchée. Raymond est visiblement bien heureux de ma réponse. Par l'ouverture de ma gabardine, il met sa main sur ma cuisse et il me parle de tout et de rien, du passé, où il enseignait maintenant. Je ne sais pas s'il voulait me tester, mais sa main a glissé un peu plus haut en effleurant subtilement mes parties.
On arrive à la destination et on débarque tous. J'entends des voix et de la musique d'une vieille maison. On entre et il y a du monde, un homme d'une quarantaine d'année vient nous voir et récolte nos manteaux. Il doit y avoir 20 ou 25 personnes dans la maison, que des hommes. Raymond est à côté de moi et il me présente fièrement à tous ceux qui s'approchent de nous.
Raymond n'a pas changé, il est toujours aussi bien soigné et je remarque sa petitesse à côté de moi et je fais 1 mètre 60, donc une tête de plus que lui. Il me fait une remarque sur mes cheveux longs mais il me dit que cela me va bien. Il me quitte pour aller chercher des verres. Deux ou trois hommes me regardent, me sourient et je me dis; « mais qu'est-ce que je fais ici? Ce sont tous des homos? Et on veut me bouffer!»
Moi qui n'avais pas eu de sexe depuis quelque temps, l'idée d'une queue ne me déplaisait pas. Il y avait de beaux hommes dans cette maison, des hommes de 30 à 50 ans. Raymond revient avec des bloody Mary. On parle de tout et de rien, on parle de l'époque qu'il m'enseignait.
- Tu sais... tu savais... que je suis... homo?
Je lui souris et je fais signe que oui.
- Mais... je ne suis pas un pédophile... quoique des fois... on peut avoir des fantasmes!
Je ne dis rien et il rajoute;
- Tu... étais un fantasme pour moi... ça te choque?
- Euh non!
- Il y avait des petites rumeurs... à ton sujet!
- Des rumeurs?
- Hum! Que... tu... des fois... avec des hommes... est-ce vrai?
Je rougis.
- Oh tu n'as pas à rougir!
Il prend mon verre vide et il me dit qu'il va m'en donner un autre. J'ai chaud et j'ai le cœur qui bat la chamade. Je ne me vois pas coucher avec mon ancien prof, mais il y a un grand mec qui me regarde depuis tantôt et j'avoue que ça me titille. Raymond revient avec des verres, on cogne nos verres et il me dit;
- Tu sais... on peut aller chez moi... et discuter... ici il y a du bruit... on serait plus tranquille chez moi!
- Je ne sais pas si...
- Si quoi? Je ne vais pas te sauter dessus... et puis... je commence à être un peu saoul... tu serais gentil de prendre soin de moi!
J'accepte d'aller le mener chez lui car en effet, il était pas mal saoul, et j'étais curieux de voir où cela me mènerait. Au fond, une bonne partie de jambes en l'air ne sera pas de refus. On prend un taxi et dans la voiture il me dit que je suis gentil en me tapotant la cuisse. Il habite une tour à appartement et son appartement est luxueux. C'est meublé avec goût et c'est moderne. Raymond ne me semble pas aussi saoul qu'il voulait bien le paraître. On est au salon, il m'offre un verre.
- Tu sais que tu es un maudit beau gars? Je ne pouvais pas te laisser avec cette meute de loups! Dit-il en riant.
Il me regarde et il est assit près de moi sur le sofa cuisses croisées. Et il me lance;
- Parles-moi de ces rumeurs... je veux tout savoir... est-ce vrai?
- Vous avez entendu quoi?
- Tu me dis tu!
- Ok tu as entendu quoi! Que je demande.
- Ben... tu connais Simon?
- Le prof d'anglais?
- Oui... Simon... lui osait avec des élèves!
- Ha! Je savais qu'il était...
- Oui... il l'était... et il a couché avec un garçon qui avait déjà fait ça avec toi!
Je le regarde et je cherche dans ma mémoire.
- Pierre?
- Voilà... s'en ai un!
- Heu! Germain!
- Et de deux! Il en avait d'autres?
- Je ne me souviens pas!
Il se rapproche de moi et il place une de mes mèches de cheveux.
- Et cette rumeur que tu couchais pour de l'argent!
- Qui a parlé de ça?
- Un homme... qui t'avait... disons loué!
- Qui ça?
- Hétu!
- Je ne vois pas qui?
- C'est un ami et il est venue me rencontrer à l'école pour me remettre quelque chose... j'ai déjà eu quelques aventures avec lui... il t'a aperçue et il m'a raconté que tu étais un bon coup... comme on dit!
Je suis perplexe et cherche dans ma mémoire suite à la description qu'il me faisait. Il dit; « Émile!» Ça me revient et je dis oui.
- Je ne te juge pas... mais pourquoi tu faisais ça?
- Ben... l'argent... pis je ne détestais pas ça... je vivais avec mon père à cette époque... les choses n'étaient pas faciles... il buvait tout le temps!
- Ah! C'est pour ça que tu étais si bien habillé! Je me souviens de ce veston en daim... je t'avais complimenté!
- Oui... je me souviens!
Il y a un silence et Raymond se rapproche encore plus de moi. Je me dis; « Qu'est-ce que je fais s'il veut m'embrasser? Je le repousse? Ou je l'embrasse?» Je n'ai pas le temps de réfléchir à plus qu'il pose ses lèvres sur les miennes. Il a les lèvres tendres et molles, je me dis; « tant pis! C'est parti!». Sa langue douce entre dans ma bouche que j'ouvre pour accueillir sa langue. Nos langues tournoient, je suce sa langue, il suce la mienne, on continue de s'embrasser, sa main cajole mes pectoraux, il pince délicatement un de mes mamelons.
Je mets ma main entre ses cuisses et je tripote son sexe dur. Il en fait autant, il me malaxe le paquet, on cesse de s'embrasser avec un bruit de succion quand je quitte sa bouche.
- Ouf! Je crois qu'on devrait passer à autre chose... et passer à la chambre! Me dit-il d'un souffle.
- Euh! J'aimerais me rafraîchir! Que je dis
- Mais oui... dans la salle de bain... il y a tout ce qu'il faut dans l'armoire!
Je me dirige à la salle de bain avec une bosse qui déforme mon jean's. La salle de bain est vaste et il y une armoire. Il y a des serviettes, des bouteilles de sel de bain, des parfums et juste dans le tiroir, une poire anale. « ha! le petit coquin! » J'en profite pour me laver le rectum et avant de prendre ma douche, j'ouvre un peu la porte et je demande à Raymond s'il n'aurait pas un élastique pour me tenir les cheveux.
Il entre dans la salle de bain et je suis nu comme un ver. Je ne cherche pas à me cacher, je n'ai pas de pudeur. Il me scrute et ça me fait sourire, je suis à moitié bandé et je lui fais face.
- Mon Dieu que tu es beau!
Je souris et je prends l'élastique et j'attache mes cheveux. Il me regarde faire avec un air démonté. Je vais sous la douche et je tire le rideau. Un coup lavé et essuyé, je sors de la salle de bain à poil. J'ai 20 ans et je suis effronté, je n'ai pas honte de mon corps, je suis bien fait et je le sais, et je suis imberbe avec un beau cul, pour me l'avoir fait dire assez souvent. J'ai pratiqué la natation depuis l'âge de 6 ans, alors j'ai de belles cuisses, une taille fine, de bonne épaules. Mon sexe fait pas loin de 17 centimètres, pas très épais, mais il paraît plus long à cause de mon long prépuce qui couvre mon gland même hyper bandé.
Je me dirige vers la chambre et Raymond est en string. Il semble intimidé par ma présence nu. Raymond a un corps d'adolescent, chétif presque maigre, il a un peu de poil entre ses pectoraux sans plus. Je remarque ses cuisses fines mais fuselées toute de même et sans poils. Je vois dans son slip moulant la forme cylindrique de son sexe qui semble suivre la proportion de son corps.
- Je vais moi aussi me rafraîchir... et je reviens... tu peux t'installer dans le lit...
Et il quitte, je remarque ses petites fesses qui me semblent bien rondes et dodues, bref, il a un beau petit cul. Moi qui aime les belles petites fesses, je vais me régaler. Raymond, ne sait pas à qui il a affaire, je suis un affamé de sexe, un gourmand et j'en ai jamais assez. Il m'est arrivé parfois après avoir baisé avec ma blonde, d'aller dans un café gai et de coucher avec gars, juste pour calmer ma forte libido. Mon appétit sexuel n'a pas de limite, même que ma blonde me traite de maniaque sexuel, ce qui va provoquer une rupture un peu plus tard.
Je suis dans le lit sous les couvertures et je regarde autour de moi le mobilier luxueux. Je n'en reviens que je vais baiser avec mon professeur d secondaire, professeur que je n'aimais pas trop en plus. Je me dis; «bah! Tu as déjà eu pire... lui au moins il est jeune et beau!» Je vois Raymond revenir, il court la main entre ses cuisses, il se précipite rapidement sous les couvertures et il se couvre jusqu'au menton. Je le sens frémir et grelotter.
- Tu as froid? Que je demande.
- Oui! Brrrr! Je ne sais pas pourquoi? Je suis peut-être nerveux aussi!
- C'est moi qui te fais ça? Viens... embarque sur moi... je vais te réchauffer!
Habituellement, je laisse à l'autre de prendre l'initiative, sauf avec les femmes. Il embarque sur moi et il a le corps froid. Son nez touche à mon nez, je l'embrasse, je le frenche littéralement. Mes mains frottent son dos pour le réchauffer, sa peau est douce, mes mains caressent ses fesses et je me dis; « mmmm! Il a vraiment un beau petit cul... on dirait ma blonde!» Je sens son sexe dur près du mien qui est dur aussi.
- Ça va?
- Oui... ça va mieux...
Alors je le bascule, je l'embrasse de nouveau, je suis sur lui, il ouvre les cuisses, mon sexe est sur le sien et l'excitation monte. Je me glisse un peu plus bas, il retire les couvertures sur moi. Je bécote ses mamelons et je les suce. J'ai vraiment l'impression d'avoir un adolescent sous moi, il est si frêle et petit. Son ventre est plat, sans poils, il a un petit nombril et je bécote son ventre et je le lèche. Il émet des sons de satisfaction. Voilà que j'ai sous mon nez son sexe érigé, 15 centimètres pas plus, il a par contre un beau gland rose plus large que le corps de sa queue. Je vois aussi ses couilles dans un sac crispé rose, un sac que je peux me mettre en entier dans la bouche.
Il relève les genoux et il écarte encore plus ses cuisses qui sont imberbes et je caresse l'intérieur de sa cuisse droite avec ma joue. On dirait vraiment des cuisses d'adolescent, j'embrasse et je lèche l'intérieur de ses deux cuisses. Puis, je lèche ses couilles et je lèche sa queue, j'embouche sa queue et je commence à sucer. Je peux prendre sa queue en entier dans ma bouche, mon nez s'écrase sur son pubis. Sa queue est agréable en bouche, elle est dure, très dure, on dirait un os.
- Haannnn! Ouiiii... c'est bon.... han! Tu suces bien... mais ne me fais pas jouir tout de suite!
J'arrête de sucer et je me concentre sur ses couilles. Je me les mettre entièrement dans ma bouche, je suce avec une bonne succion, il soulève un peu le bassin, ce qui me fait mettre mes mains sous ses fesses. Avec mes pouces, j'écarte ses joues de fesses et je vois son anus plissé rose foncé. Il a n'a pas une raie trop poilue, alors je lèche son anus, il soulève encore plus son bassin en faisant un long « haannnnn!»
Je darde son anus qui ne résiste pas à ma langue qui s'enfonce et qui farfouille son intimité. Je sais maintenant qu'il est un adepte de la sodomie, son anus est ouvert comme une petite bouche, ma langue va et vient dans son trou.
- Han! Han! Arrête! Arrête... tu vas me faire jouir!
Alors j'arrête, je le regarde en essuyant ma bouche.
- Ouf! Je ne te savais pas aussi... cochon!
- Et tu n'as rien vu encore! Que je réponds.
- À moi maintenant... couches-toi!
Je me couche et il embarque sur moi. J'ouvre les cuisses et il m'embrasse et il suce mes mamelons. Je frissonne, il descend en bécotant mon corps, puis il prend ma queue et il me dit;
- Tu n'es pas circoncis... c'est la première fois que je vois un prépuce aussi long!
- Désolé si tu n'aimes pas ça... je ne me couperais pas ma peau!
- Non! Non! Je trouve ça beau... différent!
Il met son bout de langue sur le bout de ma peau de prépuce.
- Mmmm! J'aime ça me faire mâchouiller le bout... même tu peux le mordre... gentiment... oui comme ça!
Il me mâchouille et suce mon bout de peau, il semble amusé et je lui explique que c'est très agréable et que seul les non circoncis peuvent comprendre. Il coulisse ma peau lentement et il fait surgir mon gland qui est tout luisant de mouille, je mouille beaucoup quand je suis excité. Il regarde mon gland comme un enfant qui regarde un nouveau jouet fasciné de voir comment ça marche. Il lèche mon gland en me regardant et il fait; « hummmm! C'est salé!» Puis, il commence une fellation, je fais; « hannn!» à mon tour, il suce bien, il aime ça et on le sent.
En étant pas circoncis, j'ai le gland plus sensible qu'un circoncis, il a fallu que j'apprenne à contenir mon envie de jouir et je suis passé maître à ce jeu. Raymond me suce à grands coups de tête et je réponds en des coups de reins pour bien lui enfoncer ma queue au fond de sa bouche. Il arrête de me sucer, il tient toujours ma queue qu'il masturbe un peu en me suçant les couilles. Je me soulève les fesses et sans hésiter, il suce et lèche mon anus. Plus audacieux que moi, il me plante un doigt dans le rectum, je fais; « MMmmmmmm!» Il comprend que j'aime ça et il en met deux, il me fornique le trou à deux doigts.
- Vous n'avez pas honte monsieur le professeur de faire ça à un de vos élèves?
- Oui j'ai honte... mais je réalise un de mes fantasmes!
Il continue à me lécher les couilles et il me suce la queue tout en me forniquant l'anus.
- Mmmmm! Tu n'es pas vierge toi!
- Non... et ça fait longtemps!
- Moi non plus je ne suis pas vierge et ça fait plus longtemps que toi!
Je me dandine les fesses sur ses doigts inquisiteurs et je lui demande d'arrêter car j'étais sur le point de jouir, ma queue coulait du présperme au grand plaisir de Raymond qui se régalait. Je lui demande de faire un 69 avec lui sur moi. Il se place et il enfourche mon visage. J'ai vraiment l'impression d'avoir un adolescent sur moi mon avec son beau petit cul. J'embrasse l'intérieur de ses cuisses, je caresse ses jolies fesses dodues et je soulève la tête pour darder son anus de ma langue.
Il me dévore la queue en mettant un doigt dans mon anus. Je prends sa queue en bouche et moi aussi je lui enfonce un doigt que ses fesses mangent. Ça devient intense et passionné, on gigote et je le serre fort sur moi. On fait des bruits de succion et des «mmmm!» étouffés. Je suis au bord de l'éjaculation et lui aussi. J'ouvre les cuisses le plus possible et je crie la bouche pleine, j'éjacule. Mon éjaculation entraîne la sienne, sur le coup, on se retrouve sur le flanc en train de s'avaler et de se boire notre sperme.
Il a un sperme onctueux, abondant et magnifiquement goûteux. Quand j'ai commencé à avaler du sperme, je n'aimais pas vraiment ça, mais, c'est comme le vin, on finit par aimer ça. J'avale la dernière rasade et je suce délicatement son gland et il me fait la même chose, c'est un connaisseur. La tempête passe, se calme, on se laisse et on est sur le dos.
- Whaaaa! C'était intense.... trop bon! Me dit-il.
Je me redresse pour me tenir sur mon coude et je le regarde respirer rapidement. Sa queue pourpre est bien dressée et luisant de salive.
- Tu en avais beaucoup! Rajoute-t-il.
- Toi aussi... j'espère que tu aimes ça?
- Non! Me dit-il en riant.
- Moi non plus! Que je fais en riant aussi.
On se redresse et on s'appuie à la tête de lit. Il me caresse une cuisse et il prend ma queue qu'il masturbe lentement.
- Je n'aurais jamais pensé vivre ça un jour... un de mes anciens élèves!
- Moi non plus... avec un prof que je n'aimais pas!
- Pardon!
- Oui... tu étais chiant!
- Pffff! Regarde mon physique... vous étiez tous plus grands et plus gros que moi... ça été le cauchemar de ma vie... être petit... trop petit pour ci... trop petit pour ça...
Je pends sa queue en main.
- C'est vrai que tu es "midget" mais tu es... mignon!
- " Midget!" J'aime bien... mignon... ça me rappelle le collège... les prêtres....ôôôô... ça te fait bander ce que je te dis?
- Ils ont abusé de toi?
- Je crois qu'on s'abusait les uns les autres! Dit-il en riant.
Il se place entre mes cuisses et il lèche mon long prépuce.
- J'aime bien ton sexe... il est différent... mmmm... succulent!
Je bande très dur et il commence à me sucer la queue. Je le regarde faire et mes yeux se posent sur ses fesses rondelettes toutes pâles. Je l'arrête de me sucer et je lui dis de demeurer sur le ventre. Je bécote ses épaules, son dos, son creux de reins, je bécote ses fesses. Je me place le torse entre ses cuisses ouvertes, je prends ses deux fesses à pleine main et je lèche lentement le fond de sa raie.
Il a un peu de poil dans la raie et j'aime le poil dans une raie, ça fait virile et mâle. J'embrasse, je lèche, je suce et je french son anus. Pour moi c'est une petite bouche qui peut me donner accès à son intimité. Il soulève le bassin, roule des hanches, il se lamente de plaisir. J'avoue que je me régale, j'aime une belle paire de fesses, soit des fesses de femmes ou d'hommes.
Il se tient sur ses genoux en position de petite chienne tête en bas. Je mordille ses pointes de fesses, je lèche ses couilles et je suce sa queue que je pousse entre ses cuisses. Il est magnifiquement bandé et placé pour se faire enculer. Son anus est grandement ouverte, distendu, je fornique sa bouche anale avec ma langue. Il est comme moi, c'est un sodomite, il aime se faire mettre.
Je luge mon gland dans sa raie, je caresse son anus de mon gland, et il me dit;
- Il y a tout ce qu'il faut dans le tiroir du meuble de chevet!
Je m'étire le bras et j'ouvre le tiroir, je vois un tube de lubrifiant et je vois un godemiché qui me semble en verre. Je le sors, il a une bonne taille avec un gros gland. Je n'avais jamais vu ça avant, je ne savais même pas que ça existait. Moi, quand je voulais me sodomiser moi-même, je prenais un long concombre où un goulot de bouteille de bière, il me dit;
- Il faut bien s'amuser!
Je laisse le godemiché dans le tiroir et j'enduis du lubrifiant dans sa raie et je lui enfonce doucement deux doigts bien graissés. Il fait; «mmmmmouiiiiiii!» Je graisse ma queue, j'appuie mon gland sur son anus qui n'offre pas de résistance, ma queue s'enfonce dans ses fesses. Un coup au fond, je ne bouge plus, j'apprécie la chaleur et le serrement sur ma queue.
Il relève son corps à l'aide de ses mains, ce qui m'indique qu'il est prêt pour la saillie. Je commence à le forniquer, il a vraiment un beau petit cul. Je vais de plus en plus vite et il suit de rythme. J'arrête et je sors de son cul et je me précipite le visage dans sa raie pour lécher son anus totalement ouvert.
- Houuuu! Ce que tu es cochon!
Je remets ma queue dans ses entrailles et je le baise à fond de train. Ça fait " floc- floc " sur ses fesses, il fait des « han! Han! Han!» Je vois qu'il se masturbe sous lui, je suis follement excité. Je beugle mon plaisir et j'éjacule dans son ventre. Lui aussi il jouit, c'est l'apothéose de la jouissance. Je suis bien au fond de lui, et je termine ma jouissance.
- Fiou! On va faire des dégâts... il y a des kleenex...
- Pas besoin! Que je lui dis.
Je sors de ses fesses et je me précipite pour sucer son anus, je lèche ce jus qui est si précieux pour moi. J'ai toujours aimé ça, je ne fais pas ça à ma blonde, elle ne comprendrait pas.
- Mais tu es vraiment cochon!
- Je te l'avais dit!
- Mmmm! C'est bon... ah oui...
Un coup rassasié, je me redresse et je vais m'appuyer à la tête de lit. Il vient me rejoindre avec un air déconfit.
- C'est la deuxième fois qu'on me fait ça!
- Ça t'écœure?
- Non... c'est... tellement cochon que s'en est excitant!
Il m'embrasse et il me french en me suçant la langue.
- Tu vois... pas mal au cœur!
- Tu me suces alors?
- Pas de problème!
Il lèche et suce ma queue.
- C'est...
- Salé?
- Oui... c'est salé! Qu'il dit en me suçant la queue qui avait un peu ramolli.
- Tu t'en sers souvent... de ton...
- Godemiché?
- C'est plus pour les autres... j'aime regarder cette queue en verre entrer dans un beau cul... je suis pervers hein?
- Chacun son truc... mais moi qui ne croyais " stockup " pincé et froid!
- Moi je savais que tu étais un petit vicieux!
- Tu veux me le...
- Avec plaisir!
Je suis toujours appuyé à la tête de lit, les genoux relevés et largement écartelés. Il enduit le godemiché de lubrifiant, il a un petit sourire amusé, il place le gland de verre sur mon anus et il me recommande de m'allonger sur le dos ce que je fais avec les genoux relevés. Il a le visage au-dessus de mon sexe, il est aux premières loges et il regarde le godemiché s'enfoncer entre mes fesses.
- Hannnnn! C'est froid... mais c'est bon!
Le long et large godemiché va et vient dans mon rectum. Je ferme les yeux et je me laisse violer par ce phallus de verre lisse.
- Mmmm! Que c'est beau à voir... tu dois aimer ça... tu bandes encore!
Je ne dis rien et ma respiration est saccadée car c'est une véritable caresse. Puis, il me suce la queue tout en me forniquant l'anus. Je ne sais pas combien de temps il m'a fait ça, mais c'était réellement bon, si bon que je suis venue. Mon orgasme était dans tout mon ventre et mon cul. Il dégustait mon liquide, je ne savais pas à l'époque, mais je jouissais de la prostate. Il sort le manche de verre de mes fesses, il me regarde et dit;
- Hors de tout doute que tu as aimé ça!
- Ouf! Oui... c'était extraordinaire!
Il se lève pour aller laver l'instrument et je me suis endormi. Au matin, je me fais réveiller par l'odeur du café. Je me lève et je vais à la cuisine. Il est debout en robe de chambre, je lui dis «bonjour!» et je vais à la douche. Je mets mon slip et je vais prendre mon café. Il me semble distant.
- Tu vas bien? Que je demande
- Mais oui!
- Tu me sembles préoccupé?
- Bah un peu!
- Ah pourquoi?
- Ben je ne sais pas si je vais te revoir!
- Pourquoi?
- Tu as une blonde... et je pense ce qui est arrivé... c'est un accident!
Je ne sais pas quoi lui dire, je ne voulais pas une relation amoureuse avec un homme. Coucher avec un gars pour moi ce n'est que du bon sexe. Je lui explique ma façon de penser et je lui dis que s'il veut baiser avec moi qu'il n'y avait pas problème. D'ailleurs après notre conversation on a baisé et je suis parti.
Deux semaines plus tard, j'étais chez lui et on a passé une nuit torride. Plusieurs nuits comme ça vont suivre, j'avais même rompu avec ma blonde. Cette aventure a duré plusieurs mois et j'ai même baisé avec un de ses amis pour un trip à trois, mais ça c'est une autre histoire. Quand j'ai vu dans le journal son décès, je me suis rappelé cette formidable aventure. Je ne sais pas ce qu'il est advenue de lui après moi.
Il avait compris que j'étais, et je le suis encore, bisexuel. Je ne peux pas me passer des femmes et non plus des hommes. Lui, il me voulait en exclusivité, ça ne pouvait pas continuer. Je garde un souvenir intarissable de mon professeur, repose en paix Raymond S.
Je viens d'apprendre pas le journal, le décès de Raymond S. Je vais taire son nom de famille par respect. Raymond est décédé à l'âge de 88 ans, c'est un âge vénérable.
Qui est ce Raymond pour que je raconte cette histoire? Quand j'avais 15 ou 16 ans il était mon professeur de français au secondaire et il était aussi le tuteur de ma classe. Il avait 31 ans à cette époque et comme tous les professeurs il représentait l'autorité. Adolescent, j'avais beaucoup de difficulté avec l'autorité, surtout à l'époque Yé-Yé, et en pleine révolution tranquille.
Raymond était un professeur sérieux, discipliné et sévère, il n'était pas grand à peine 1 mètre 70 centimètres. Il était mince pour ne pas dire maigre, il était chétif, même que sa tête était trop grosse pour ses épaules étroites. À son crédit, il était soigné de sa personne, il était toujours bien habillé avec ses innombrables vestons en tweed.
Les joues de son visage avaient des cratères, signe qu'il avait souffert d'acné sévère à l'adolescence, il avait les cheveux châtains épais bien coiffés comme un crooneur, il avait les traits fins avec un nez aussi fin. On voyait rarement ses dents car il ne riait jamais, sauf avec ses collègues et il avait une belle dentition. Ses yeux étaient verts et perçants quand il te fixait dans les yeux. Il avait des petites manières efféminées avec ses petites mains de femmes agitées quand il parlait.
Évidemment, ont le soupçonnaient d'être homosexuel, de là, sa sévérité pour se faire respecter d'une bande d'adolescents turbulents. Mais, j'avoue qu'il était un bon professeur. Il détestait la paresse et j'étais, hélas, un paresseux et un jour il m'a dit « Lionel... je sais que tu peux faire mieux que ça... tu es intelligent... si tu ne comprends pas quelque chose vient me voir... je ne ferais un plaisir de t'expliquer!»
À partir de ce moment, je suis devenu un élève studieux et je voyais dans son regard le plaisir qu'il avait à m'enseigner. Et plus tard, il me dira avec un sourire; « Tu vois... quand on veut travailler... on réussit... et tu vas bien!» En effet, j'étais encouragé et j'ai continué si bien que je n'ai pas eu de difficulté à l'examen final. J'ai eu Raymond comme professeur durant deux ans et bien tant mieux.
Souvent les gars de la classe le ridiculisaient, moi, je me portais à sa défense, on me traitait de tapette et de fifi. Certains ont eu des claques sur la gueule de ma part. Peut-être que certains savaient des choses sur moi. Je me prostituais, hé oui, si ça vous choque tant pis, mais je ne cacherais pas ces faits. J'ai vécu ces années et je ne le regrette pas.
Les années ont passé et me voilà à l'âge de 20 ans. Je suis sur un coin de rue en plein hiver, le vent souffle et dégage de la poudrerie sur les toits des immeubles. Il y a grève des autobus, encore une, mais le métro fonctionne. Je dois me rendre au métro le plus proche. J'ai été chez ma blonde (petite amie) pour passer la soirée. En faisant de l'autostop, je me suis rendu sur la rue Sherbrooke et je dois atteindre le métro.
Je suis vêtu d'une gabardine ceinturée à la taille et ce n'est pas très chaud et les pieds gelés dans mes petites bottes de cuire. Je me dis; «pourquoi tu es allé voir ta blonde? On ne peut même pas baiser avec toute la famille dans la maison!» Je m'en veux d'être sorti par un froid sibérien. Je tends mon pouce et une voiture arrête. Il me semble que la voiture est pleine de mon monde. Une vitre se baisse et je reconnais Raymond mon ex-professeur. ( Ici tous les diadoques ne sont pas du mot-à-mot, mais le sens des conversations. )
- Hé! C'est bien toi... je t'ai reconnu avec tes cheveux longs!
- Ah ben! Salut!
- Tu vas ou comme ça?
- Ben au métro le plus proche!
- Embarque!
Il ouvre la portière et il me fait signe de m'assoir sur ses genoux. Ce que je vois dans la voiture se sont que des hommes qui semblent être sur le party comme on dit. Je m'assois une fesse sur sa cuisse et il ferme la portière. Une odeur d'alcool me monte au nez et je constate que Raymond est un peu pompette. Ça me faisait de le voir ainsi, il n'avait pas son air de professeur sérieux. Je me tiens avec une main sur le tableau de bord et lui il me tient par la taille. Tout le monde dans l'auto parle fort et un demande qui je suis. Raymond répond que j'étais un de ses élèves et un fait; « houuuu!» Raymond rectifie les faits que j'étais un de ses élèves sans plus.
- Je suis bien content de te voir! Me dit-il
- C'est drôle le hasard!
- Qu'est-ce que tu deviens?
- Je travaille comme machiniste!
- Ah oui! C'est bien... mais que fais-tu ici dans ce froid?
Je lui explique que je venais de voir ma blonde et que j'aurais dû demeurer sagement à la maison. Il me fait la remarque que j'aurais dû prendre un taxi, mais je lui dis que je n'avais pas assez d'argent pour ça. Il me dit;
- Tu viens avec nous?
- Quoi? Non! Où ça?
- Chez un ami qui fête... je ne sais pas trop quoi! Dit-il en riant.
Un type à l'arrière dit « plus on est de fous plus on rit!»
- Juste un verre... on ira te conduire au métro après! Dit Raymond.
- Bon... ok! Que je réponds.
Quelque chose me disait que cette soirée ne serait pas tout à fait gâchée. Raymond est visiblement bien heureux de ma réponse. Par l'ouverture de ma gabardine, il met sa main sur ma cuisse et il me parle de tout et de rien, du passé, où il enseignait maintenant. Je ne sais pas s'il voulait me tester, mais sa main a glissé un peu plus haut en effleurant subtilement mes parties.
On arrive à la destination et on débarque tous. J'entends des voix et de la musique d'une vieille maison. On entre et il y a du monde, un homme d'une quarantaine d'année vient nous voir et récolte nos manteaux. Il doit y avoir 20 ou 25 personnes dans la maison, que des hommes. Raymond est à côté de moi et il me présente fièrement à tous ceux qui s'approchent de nous.
Raymond n'a pas changé, il est toujours aussi bien soigné et je remarque sa petitesse à côté de moi et je fais 1 mètre 60, donc une tête de plus que lui. Il me fait une remarque sur mes cheveux longs mais il me dit que cela me va bien. Il me quitte pour aller chercher des verres. Deux ou trois hommes me regardent, me sourient et je me dis; « mais qu'est-ce que je fais ici? Ce sont tous des homos? Et on veut me bouffer!»
Moi qui n'avais pas eu de sexe depuis quelque temps, l'idée d'une queue ne me déplaisait pas. Il y avait de beaux hommes dans cette maison, des hommes de 30 à 50 ans. Raymond revient avec des bloody Mary. On parle de tout et de rien, on parle de l'époque qu'il m'enseignait.
- Tu sais... tu savais... que je suis... homo?
Je lui souris et je fais signe que oui.
- Mais... je ne suis pas un pédophile... quoique des fois... on peut avoir des fantasmes!
Je ne dis rien et il rajoute;
- Tu... étais un fantasme pour moi... ça te choque?
- Euh non!
- Il y avait des petites rumeurs... à ton sujet!
- Des rumeurs?
- Hum! Que... tu... des fois... avec des hommes... est-ce vrai?
Je rougis.
- Oh tu n'as pas à rougir!
Il prend mon verre vide et il me dit qu'il va m'en donner un autre. J'ai chaud et j'ai le cœur qui bat la chamade. Je ne me vois pas coucher avec mon ancien prof, mais il y a un grand mec qui me regarde depuis tantôt et j'avoue que ça me titille. Raymond revient avec des verres, on cogne nos verres et il me dit;
- Tu sais... on peut aller chez moi... et discuter... ici il y a du bruit... on serait plus tranquille chez moi!
- Je ne sais pas si...
- Si quoi? Je ne vais pas te sauter dessus... et puis... je commence à être un peu saoul... tu serais gentil de prendre soin de moi!
J'accepte d'aller le mener chez lui car en effet, il était pas mal saoul, et j'étais curieux de voir où cela me mènerait. Au fond, une bonne partie de jambes en l'air ne sera pas de refus. On prend un taxi et dans la voiture il me dit que je suis gentil en me tapotant la cuisse. Il habite une tour à appartement et son appartement est luxueux. C'est meublé avec goût et c'est moderne. Raymond ne me semble pas aussi saoul qu'il voulait bien le paraître. On est au salon, il m'offre un verre.
- Tu sais que tu es un maudit beau gars? Je ne pouvais pas te laisser avec cette meute de loups! Dit-il en riant.
Il me regarde et il est assit près de moi sur le sofa cuisses croisées. Et il me lance;
- Parles-moi de ces rumeurs... je veux tout savoir... est-ce vrai?
- Vous avez entendu quoi?
- Tu me dis tu!
- Ok tu as entendu quoi! Que je demande.
- Ben... tu connais Simon?
- Le prof d'anglais?
- Oui... Simon... lui osait avec des élèves!
- Ha! Je savais qu'il était...
- Oui... il l'était... et il a couché avec un garçon qui avait déjà fait ça avec toi!
Je le regarde et je cherche dans ma mémoire.
- Pierre?
- Voilà... s'en ai un!
- Heu! Germain!
- Et de deux! Il en avait d'autres?
- Je ne me souviens pas!
Il se rapproche de moi et il place une de mes mèches de cheveux.
- Et cette rumeur que tu couchais pour de l'argent!
- Qui a parlé de ça?
- Un homme... qui t'avait... disons loué!
- Qui ça?
- Hétu!
- Je ne vois pas qui?
- C'est un ami et il est venue me rencontrer à l'école pour me remettre quelque chose... j'ai déjà eu quelques aventures avec lui... il t'a aperçue et il m'a raconté que tu étais un bon coup... comme on dit!
Je suis perplexe et cherche dans ma mémoire suite à la description qu'il me faisait. Il dit; « Émile!» Ça me revient et je dis oui.
- Je ne te juge pas... mais pourquoi tu faisais ça?
- Ben... l'argent... pis je ne détestais pas ça... je vivais avec mon père à cette époque... les choses n'étaient pas faciles... il buvait tout le temps!
- Ah! C'est pour ça que tu étais si bien habillé! Je me souviens de ce veston en daim... je t'avais complimenté!
- Oui... je me souviens!
Il y a un silence et Raymond se rapproche encore plus de moi. Je me dis; « Qu'est-ce que je fais s'il veut m'embrasser? Je le repousse? Ou je l'embrasse?» Je n'ai pas le temps de réfléchir à plus qu'il pose ses lèvres sur les miennes. Il a les lèvres tendres et molles, je me dis; « tant pis! C'est parti!». Sa langue douce entre dans ma bouche que j'ouvre pour accueillir sa langue. Nos langues tournoient, je suce sa langue, il suce la mienne, on continue de s'embrasser, sa main cajole mes pectoraux, il pince délicatement un de mes mamelons.
Je mets ma main entre ses cuisses et je tripote son sexe dur. Il en fait autant, il me malaxe le paquet, on cesse de s'embrasser avec un bruit de succion quand je quitte sa bouche.
- Ouf! Je crois qu'on devrait passer à autre chose... et passer à la chambre! Me dit-il d'un souffle.
- Euh! J'aimerais me rafraîchir! Que je dis
- Mais oui... dans la salle de bain... il y a tout ce qu'il faut dans l'armoire!
Je me dirige à la salle de bain avec une bosse qui déforme mon jean's. La salle de bain est vaste et il y une armoire. Il y a des serviettes, des bouteilles de sel de bain, des parfums et juste dans le tiroir, une poire anale. « ha! le petit coquin! » J'en profite pour me laver le rectum et avant de prendre ma douche, j'ouvre un peu la porte et je demande à Raymond s'il n'aurait pas un élastique pour me tenir les cheveux.
Il entre dans la salle de bain et je suis nu comme un ver. Je ne cherche pas à me cacher, je n'ai pas de pudeur. Il me scrute et ça me fait sourire, je suis à moitié bandé et je lui fais face.
- Mon Dieu que tu es beau!
Je souris et je prends l'élastique et j'attache mes cheveux. Il me regarde faire avec un air démonté. Je vais sous la douche et je tire le rideau. Un coup lavé et essuyé, je sors de la salle de bain à poil. J'ai 20 ans et je suis effronté, je n'ai pas honte de mon corps, je suis bien fait et je le sais, et je suis imberbe avec un beau cul, pour me l'avoir fait dire assez souvent. J'ai pratiqué la natation depuis l'âge de 6 ans, alors j'ai de belles cuisses, une taille fine, de bonne épaules. Mon sexe fait pas loin de 17 centimètres, pas très épais, mais il paraît plus long à cause de mon long prépuce qui couvre mon gland même hyper bandé.
Je me dirige vers la chambre et Raymond est en string. Il semble intimidé par ma présence nu. Raymond a un corps d'adolescent, chétif presque maigre, il a un peu de poil entre ses pectoraux sans plus. Je remarque ses cuisses fines mais fuselées toute de même et sans poils. Je vois dans son slip moulant la forme cylindrique de son sexe qui semble suivre la proportion de son corps.
- Je vais moi aussi me rafraîchir... et je reviens... tu peux t'installer dans le lit...
Et il quitte, je remarque ses petites fesses qui me semblent bien rondes et dodues, bref, il a un beau petit cul. Moi qui aime les belles petites fesses, je vais me régaler. Raymond, ne sait pas à qui il a affaire, je suis un affamé de sexe, un gourmand et j'en ai jamais assez. Il m'est arrivé parfois après avoir baisé avec ma blonde, d'aller dans un café gai et de coucher avec gars, juste pour calmer ma forte libido. Mon appétit sexuel n'a pas de limite, même que ma blonde me traite de maniaque sexuel, ce qui va provoquer une rupture un peu plus tard.
Je suis dans le lit sous les couvertures et je regarde autour de moi le mobilier luxueux. Je n'en reviens que je vais baiser avec mon professeur d secondaire, professeur que je n'aimais pas trop en plus. Je me dis; «bah! Tu as déjà eu pire... lui au moins il est jeune et beau!» Je vois Raymond revenir, il court la main entre ses cuisses, il se précipite rapidement sous les couvertures et il se couvre jusqu'au menton. Je le sens frémir et grelotter.
- Tu as froid? Que je demande.
- Oui! Brrrr! Je ne sais pas pourquoi? Je suis peut-être nerveux aussi!
- C'est moi qui te fais ça? Viens... embarque sur moi... je vais te réchauffer!
Habituellement, je laisse à l'autre de prendre l'initiative, sauf avec les femmes. Il embarque sur moi et il a le corps froid. Son nez touche à mon nez, je l'embrasse, je le frenche littéralement. Mes mains frottent son dos pour le réchauffer, sa peau est douce, mes mains caressent ses fesses et je me dis; « mmmm! Il a vraiment un beau petit cul... on dirait ma blonde!» Je sens son sexe dur près du mien qui est dur aussi.
- Ça va?
- Oui... ça va mieux...
Alors je le bascule, je l'embrasse de nouveau, je suis sur lui, il ouvre les cuisses, mon sexe est sur le sien et l'excitation monte. Je me glisse un peu plus bas, il retire les couvertures sur moi. Je bécote ses mamelons et je les suce. J'ai vraiment l'impression d'avoir un adolescent sous moi, il est si frêle et petit. Son ventre est plat, sans poils, il a un petit nombril et je bécote son ventre et je le lèche. Il émet des sons de satisfaction. Voilà que j'ai sous mon nez son sexe érigé, 15 centimètres pas plus, il a par contre un beau gland rose plus large que le corps de sa queue. Je vois aussi ses couilles dans un sac crispé rose, un sac que je peux me mettre en entier dans la bouche.
Il relève les genoux et il écarte encore plus ses cuisses qui sont imberbes et je caresse l'intérieur de sa cuisse droite avec ma joue. On dirait vraiment des cuisses d'adolescent, j'embrasse et je lèche l'intérieur de ses deux cuisses. Puis, je lèche ses couilles et je lèche sa queue, j'embouche sa queue et je commence à sucer. Je peux prendre sa queue en entier dans ma bouche, mon nez s'écrase sur son pubis. Sa queue est agréable en bouche, elle est dure, très dure, on dirait un os.
- Haannnn! Ouiiii... c'est bon.... han! Tu suces bien... mais ne me fais pas jouir tout de suite!
J'arrête de sucer et je me concentre sur ses couilles. Je me les mettre entièrement dans ma bouche, je suce avec une bonne succion, il soulève un peu le bassin, ce qui me fait mettre mes mains sous ses fesses. Avec mes pouces, j'écarte ses joues de fesses et je vois son anus plissé rose foncé. Il a n'a pas une raie trop poilue, alors je lèche son anus, il soulève encore plus son bassin en faisant un long « haannnnn!»
Je darde son anus qui ne résiste pas à ma langue qui s'enfonce et qui farfouille son intimité. Je sais maintenant qu'il est un adepte de la sodomie, son anus est ouvert comme une petite bouche, ma langue va et vient dans son trou.
- Han! Han! Arrête! Arrête... tu vas me faire jouir!
Alors j'arrête, je le regarde en essuyant ma bouche.
- Ouf! Je ne te savais pas aussi... cochon!
- Et tu n'as rien vu encore! Que je réponds.
- À moi maintenant... couches-toi!
Je me couche et il embarque sur moi. J'ouvre les cuisses et il m'embrasse et il suce mes mamelons. Je frissonne, il descend en bécotant mon corps, puis il prend ma queue et il me dit;
- Tu n'es pas circoncis... c'est la première fois que je vois un prépuce aussi long!
- Désolé si tu n'aimes pas ça... je ne me couperais pas ma peau!
- Non! Non! Je trouve ça beau... différent!
Il met son bout de langue sur le bout de ma peau de prépuce.
- Mmmm! J'aime ça me faire mâchouiller le bout... même tu peux le mordre... gentiment... oui comme ça!
Il me mâchouille et suce mon bout de peau, il semble amusé et je lui explique que c'est très agréable et que seul les non circoncis peuvent comprendre. Il coulisse ma peau lentement et il fait surgir mon gland qui est tout luisant de mouille, je mouille beaucoup quand je suis excité. Il regarde mon gland comme un enfant qui regarde un nouveau jouet fasciné de voir comment ça marche. Il lèche mon gland en me regardant et il fait; « hummmm! C'est salé!» Puis, il commence une fellation, je fais; « hannn!» à mon tour, il suce bien, il aime ça et on le sent.
En étant pas circoncis, j'ai le gland plus sensible qu'un circoncis, il a fallu que j'apprenne à contenir mon envie de jouir et je suis passé maître à ce jeu. Raymond me suce à grands coups de tête et je réponds en des coups de reins pour bien lui enfoncer ma queue au fond de sa bouche. Il arrête de me sucer, il tient toujours ma queue qu'il masturbe un peu en me suçant les couilles. Je me soulève les fesses et sans hésiter, il suce et lèche mon anus. Plus audacieux que moi, il me plante un doigt dans le rectum, je fais; « MMmmmmmm!» Il comprend que j'aime ça et il en met deux, il me fornique le trou à deux doigts.
- Vous n'avez pas honte monsieur le professeur de faire ça à un de vos élèves?
- Oui j'ai honte... mais je réalise un de mes fantasmes!
Il continue à me lécher les couilles et il me suce la queue tout en me forniquant l'anus.
- Mmmmm! Tu n'es pas vierge toi!
- Non... et ça fait longtemps!
- Moi non plus je ne suis pas vierge et ça fait plus longtemps que toi!
Je me dandine les fesses sur ses doigts inquisiteurs et je lui demande d'arrêter car j'étais sur le point de jouir, ma queue coulait du présperme au grand plaisir de Raymond qui se régalait. Je lui demande de faire un 69 avec lui sur moi. Il se place et il enfourche mon visage. J'ai vraiment l'impression d'avoir un adolescent sur moi mon avec son beau petit cul. J'embrasse l'intérieur de ses cuisses, je caresse ses jolies fesses dodues et je soulève la tête pour darder son anus de ma langue.
Il me dévore la queue en mettant un doigt dans mon anus. Je prends sa queue en bouche et moi aussi je lui enfonce un doigt que ses fesses mangent. Ça devient intense et passionné, on gigote et je le serre fort sur moi. On fait des bruits de succion et des «mmmm!» étouffés. Je suis au bord de l'éjaculation et lui aussi. J'ouvre les cuisses le plus possible et je crie la bouche pleine, j'éjacule. Mon éjaculation entraîne la sienne, sur le coup, on se retrouve sur le flanc en train de s'avaler et de se boire notre sperme.
Il a un sperme onctueux, abondant et magnifiquement goûteux. Quand j'ai commencé à avaler du sperme, je n'aimais pas vraiment ça, mais, c'est comme le vin, on finit par aimer ça. J'avale la dernière rasade et je suce délicatement son gland et il me fait la même chose, c'est un connaisseur. La tempête passe, se calme, on se laisse et on est sur le dos.
- Whaaaa! C'était intense.... trop bon! Me dit-il.
Je me redresse pour me tenir sur mon coude et je le regarde respirer rapidement. Sa queue pourpre est bien dressée et luisant de salive.
- Tu en avais beaucoup! Rajoute-t-il.
- Toi aussi... j'espère que tu aimes ça?
- Non! Me dit-il en riant.
- Moi non plus! Que je fais en riant aussi.
On se redresse et on s'appuie à la tête de lit. Il me caresse une cuisse et il prend ma queue qu'il masturbe lentement.
- Je n'aurais jamais pensé vivre ça un jour... un de mes anciens élèves!
- Moi non plus... avec un prof que je n'aimais pas!
- Pardon!
- Oui... tu étais chiant!
- Pffff! Regarde mon physique... vous étiez tous plus grands et plus gros que moi... ça été le cauchemar de ma vie... être petit... trop petit pour ci... trop petit pour ça...
Je pends sa queue en main.
- C'est vrai que tu es "midget" mais tu es... mignon!
- " Midget!" J'aime bien... mignon... ça me rappelle le collège... les prêtres....ôôôô... ça te fait bander ce que je te dis?
- Ils ont abusé de toi?
- Je crois qu'on s'abusait les uns les autres! Dit-il en riant.
Il se place entre mes cuisses et il lèche mon long prépuce.
- J'aime bien ton sexe... il est différent... mmmm... succulent!
Je bande très dur et il commence à me sucer la queue. Je le regarde faire et mes yeux se posent sur ses fesses rondelettes toutes pâles. Je l'arrête de me sucer et je lui dis de demeurer sur le ventre. Je bécote ses épaules, son dos, son creux de reins, je bécote ses fesses. Je me place le torse entre ses cuisses ouvertes, je prends ses deux fesses à pleine main et je lèche lentement le fond de sa raie.
Il a un peu de poil dans la raie et j'aime le poil dans une raie, ça fait virile et mâle. J'embrasse, je lèche, je suce et je french son anus. Pour moi c'est une petite bouche qui peut me donner accès à son intimité. Il soulève le bassin, roule des hanches, il se lamente de plaisir. J'avoue que je me régale, j'aime une belle paire de fesses, soit des fesses de femmes ou d'hommes.
Il se tient sur ses genoux en position de petite chienne tête en bas. Je mordille ses pointes de fesses, je lèche ses couilles et je suce sa queue que je pousse entre ses cuisses. Il est magnifiquement bandé et placé pour se faire enculer. Son anus est grandement ouverte, distendu, je fornique sa bouche anale avec ma langue. Il est comme moi, c'est un sodomite, il aime se faire mettre.
Je luge mon gland dans sa raie, je caresse son anus de mon gland, et il me dit;
- Il y a tout ce qu'il faut dans le tiroir du meuble de chevet!
Je m'étire le bras et j'ouvre le tiroir, je vois un tube de lubrifiant et je vois un godemiché qui me semble en verre. Je le sors, il a une bonne taille avec un gros gland. Je n'avais jamais vu ça avant, je ne savais même pas que ça existait. Moi, quand je voulais me sodomiser moi-même, je prenais un long concombre où un goulot de bouteille de bière, il me dit;
- Il faut bien s'amuser!
Je laisse le godemiché dans le tiroir et j'enduis du lubrifiant dans sa raie et je lui enfonce doucement deux doigts bien graissés. Il fait; «mmmmmouiiiiiii!» Je graisse ma queue, j'appuie mon gland sur son anus qui n'offre pas de résistance, ma queue s'enfonce dans ses fesses. Un coup au fond, je ne bouge plus, j'apprécie la chaleur et le serrement sur ma queue.
Il relève son corps à l'aide de ses mains, ce qui m'indique qu'il est prêt pour la saillie. Je commence à le forniquer, il a vraiment un beau petit cul. Je vais de plus en plus vite et il suit de rythme. J'arrête et je sors de son cul et je me précipite le visage dans sa raie pour lécher son anus totalement ouvert.
- Houuuu! Ce que tu es cochon!
Je remets ma queue dans ses entrailles et je le baise à fond de train. Ça fait " floc- floc " sur ses fesses, il fait des « han! Han! Han!» Je vois qu'il se masturbe sous lui, je suis follement excité. Je beugle mon plaisir et j'éjacule dans son ventre. Lui aussi il jouit, c'est l'apothéose de la jouissance. Je suis bien au fond de lui, et je termine ma jouissance.
- Fiou! On va faire des dégâts... il y a des kleenex...
- Pas besoin! Que je lui dis.
Je sors de ses fesses et je me précipite pour sucer son anus, je lèche ce jus qui est si précieux pour moi. J'ai toujours aimé ça, je ne fais pas ça à ma blonde, elle ne comprendrait pas.
- Mais tu es vraiment cochon!
- Je te l'avais dit!
- Mmmm! C'est bon... ah oui...
Un coup rassasié, je me redresse et je vais m'appuyer à la tête de lit. Il vient me rejoindre avec un air déconfit.
- C'est la deuxième fois qu'on me fait ça!
- Ça t'écœure?
- Non... c'est... tellement cochon que s'en est excitant!
Il m'embrasse et il me french en me suçant la langue.
- Tu vois... pas mal au cœur!
- Tu me suces alors?
- Pas de problème!
Il lèche et suce ma queue.
- C'est...
- Salé?
- Oui... c'est salé! Qu'il dit en me suçant la queue qui avait un peu ramolli.
- Tu t'en sers souvent... de ton...
- Godemiché?
- C'est plus pour les autres... j'aime regarder cette queue en verre entrer dans un beau cul... je suis pervers hein?
- Chacun son truc... mais moi qui ne croyais " stockup " pincé et froid!
- Moi je savais que tu étais un petit vicieux!
- Tu veux me le...
- Avec plaisir!
Je suis toujours appuyé à la tête de lit, les genoux relevés et largement écartelés. Il enduit le godemiché de lubrifiant, il a un petit sourire amusé, il place le gland de verre sur mon anus et il me recommande de m'allonger sur le dos ce que je fais avec les genoux relevés. Il a le visage au-dessus de mon sexe, il est aux premières loges et il regarde le godemiché s'enfoncer entre mes fesses.
- Hannnnn! C'est froid... mais c'est bon!
Le long et large godemiché va et vient dans mon rectum. Je ferme les yeux et je me laisse violer par ce phallus de verre lisse.
- Mmmm! Que c'est beau à voir... tu dois aimer ça... tu bandes encore!
Je ne dis rien et ma respiration est saccadée car c'est une véritable caresse. Puis, il me suce la queue tout en me forniquant l'anus. Je ne sais pas combien de temps il m'a fait ça, mais c'était réellement bon, si bon que je suis venue. Mon orgasme était dans tout mon ventre et mon cul. Il dégustait mon liquide, je ne savais pas à l'époque, mais je jouissais de la prostate. Il sort le manche de verre de mes fesses, il me regarde et dit;
- Hors de tout doute que tu as aimé ça!
- Ouf! Oui... c'était extraordinaire!
Il se lève pour aller laver l'instrument et je me suis endormi. Au matin, je me fais réveiller par l'odeur du café. Je me lève et je vais à la cuisine. Il est debout en robe de chambre, je lui dis «bonjour!» et je vais à la douche. Je mets mon slip et je vais prendre mon café. Il me semble distant.
- Tu vas bien? Que je demande
- Mais oui!
- Tu me sembles préoccupé?
- Bah un peu!
- Ah pourquoi?
- Ben je ne sais pas si je vais te revoir!
- Pourquoi?
- Tu as une blonde... et je pense ce qui est arrivé... c'est un accident!
Je ne sais pas quoi lui dire, je ne voulais pas une relation amoureuse avec un homme. Coucher avec un gars pour moi ce n'est que du bon sexe. Je lui explique ma façon de penser et je lui dis que s'il veut baiser avec moi qu'il n'y avait pas problème. D'ailleurs après notre conversation on a baisé et je suis parti.
Deux semaines plus tard, j'étais chez lui et on a passé une nuit torride. Plusieurs nuits comme ça vont suivre, j'avais même rompu avec ma blonde. Cette aventure a duré plusieurs mois et j'ai même baisé avec un de ses amis pour un trip à trois, mais ça c'est une autre histoire. Quand j'ai vu dans le journal son décès, je me suis rappelé cette formidable aventure. Je ne sais pas ce qu'il est advenue de lui après moi.
Il avait compris que j'étais, et je le suis encore, bisexuel. Je ne peux pas me passer des femmes et non plus des hommes. Lui, il me voulait en exclusivité, ça ne pouvait pas continuer. Je garde un souvenir intarissable de mon professeur, repose en paix Raymond S.
3 years ago