Mon premier Gang-Bang
Dans ma vie de travesti, il y a deux types d'hommes que j'ai toujours recherché ; les Maghrébins et les hommes mûrs. J'avais fait la connaissance, alors que j'avais tout juste la vingtaine d'un homme qui avait un peu plus que la soixantaine, puisqu'il était à la retraite, et, qu'à cette époque, la retraite était à soixante ans. Jipé, c'était un ancien militaire et un ancien rugbtman. Il mesurait pas loin de deux mètres, était très baraqué et dominateur comme j'aimais. J'ai passé avec lui de très très bons moments, vraiment très chauds. Un soir, après une partie de jambes en l'air particulièrement hard, il me déclara qu'il adorait baiser avec moi et me proposa d'aller plus loin dans notre relation.
- "Est-ce que ça te dirait que, la prochaine fois, je vienne avec un pote et qu'on te baise tous les deux ?"
Déjà, j'étais contente qu'il y ait une prochaine fois, et je lui ai répondu que, si son pote baisait aussi bien lui, il n'y avait aucun problème. J'avais déjà baisé avec deux mecs en même temps et j'avais adoré ces expériences. Il me présenta donc un de ses amis et la soirée fut fantastique. Une nuit inoubliable où ils me sautèrent tous les deux comme si j'étais leur objet sexuel. Et c'est à la fin de cette soirée qu'il me proposa encore une autre chose.
- "Voilà. J'ai des copains qui habitent dans l'Aisne. Je passe te prendre un samedi matin, on va là-bas, on te partouze, et je te ramène le dimanche soir. Ca te tente ?"
J'avais déjà entendu parler des Gang-Bangs, qu'on appelait "tournantes", à l'époque, j'avais vu des pornos, mais je n'y avais jamais participé. Ce coup-là, je lui ai demandé de me laisser réfléchir, je ne savais pas combien de mecs il y aurait, comment ils étaient, ce qu'ils voulaient faire de moi, bref, il fallait qu'on en discute. Je le revis quelques jours plus tard, et nous en avons parlé. Il m'a dit qu'ils seraient cinq, qu'il ferait attention à ce que les choses ne dé****nt pas et se portait garant de mon bien-être et que, au cas où quelque chose ne me plaisait pas ou me faisait du mal, aussi bien physiquement que mentalement, il serait là pour dire stop. La seule chose qu'il me demandait, c'était de lui faire confiance.
Et donc, un samedi matin, il est venu me chercher avec son copain, en bas de chez moi. Son ami conduisait et lui s'est mis à l'arrière avec moi. Il s'est mis direct à m'embrasser, me peloter, me caresser, me titiller la rondelle, à peine partie, j'étais déjà en transe (sans jeu de mots !). Nous avons roulé un long moment comme ça, j'étais excitée comme pas possible. Nous sommes sortis de l'autoroute, avons emprunter des petites routes de campagne et ils se sont arrêtés sur une aire de parking au milieu d'une forêt.
- "Bon, on va bientôt arriver, alors pour faire bonne impression, il va falloir que tu te changes !"
Je m'étais plutôt habillée sexy, avec des bottes, bas, mini-jupe, petit chemisier assez transparent, mais ils sortirent, ouvrirent le coffre et prirent un sac en plastique.
- "Va te changer dans le bois, on va t'accompagner !"
Je pris le sac et commença à rentrer dans le bois. Je me suis déshabillée entièrement et j'ai revétue ce qu'il y avait dans le sac, c'est-à-dire une paire de cuissardes noires en vinyle, une culotte noire et un caraco noir. Ils me regardaient faire en se masturbant. Une fois rhabillée, ils me ramenèrent à la voiture et inversèrent les rôles, Jipé prenant le volant et son ami à l'arrière, lui aussi me tripotant, me galochant et me doigtant. Nous avons roulé quelques minutes ainsi, et tout à coup, Jipé tourna dans une cour de ferme au milieu de nulle part. Pas très rassurant, tout ça. Il coupa le moteur, descendit, ouvrit ma portière et me prit par les cheveux, me forçant à descendre.
- " Alphonse ! Etienne ! On est là !"
Je vis sortir du bâtiment principal de la ferme deux mecs pas très catholiques, l'air bien éméchés. Ils se saluèrent, l'un d'eux me releva le menton et m'observa.
- " Elle est pas mal, la p'tite salope ! On va bien s'occuper d'toi, ma chérie !"
Je commençais sèrieusement à regretter d'avoir accepter la proposition de Jipé. Toujours en me tirant par la tignasse, il m'amena vers une grange, me fit entrer puis me forca à grimper un escalier jusqu'au grenier. Là, il ouvrit une porte. Il s'agissait d'une petite pièce où il n'y avait qu'un poteau central et un lit en métal avec un matelas pourri qui puait, c'était une infection. Sur un mur, il y avait une grille où je voyais des martinets, des badines, des fouets. Je dis tout de suite à Jipé :
- "Je ne veux pas que l'on me fouette !"
Il me regarda et me dit juste :
- "Très bien !"
Il alla quand même à la grille et retira deux paires de menottes. Il revint vers moi, me mit les mains dans le dos autour du poteau et m'attacha. Puis il m'ordonna de me mettre à genoux et m'emprisonna les chevilles exactement de la même manière, derrière le poteau. Je vis alors que les trois autres étaient déjà à poil et se branlaient. Un des deux fermiers s'approcha de moi et me dit :
- " Ouvre la bouche !"
J'obeis et il me glissa sa queue dans la bouche. Il me tint par les tempes et me pistonna comme un fou. Puis c'est au tour du second fermier de faire la même chose. Puis au copain de Jipé, puis à Jipé. Leur manège dure un temps fou. Et enfin ils me détachent, mais c'est pour me coller sur le lit dégueulasse. L'odeur est épouvantable. ils s'y mettent à quatre pour m'attacher au barreaux du plumard. Et là, ils se mettent tous à me sodomiser les uns après les autres ou à me violer par la bouche. Un des deux fermiers commença à gémir et se vida dans ma bouche. Et tous, les uns après les autres, firent de même, mais tous, sans exceptions, se remirent dans la foulée à me rebaiser, à me forcer la bouche. Ils jouirent, au total, deux ou trois fois chacun, sauf un fermier, trop bourré, sans doute, qui n'éjacula qu'une fois. Ce qui m'inquiétait, c'est que Jipé m'avait dit qu'il y aurait cinq gars et je n'en avais vu que quatre. Et déjà, la soirée avait été mouvementée !
Ils me détachèrent au bout de plusieurs heures, et nous sommes tous allés à la ferme. Nous avons bu (beaucoup !), mangé, rigolé et je me mis au lit avec Jipé. Rien de plus ne se passa ce soir-là, trop imbibé. Le lendemain matin, petit déjeuner, douche, et quand je revins, toute fraîche, remaquillée, Réhabillée de ma tenue de la veille au départ de chez moi, un autre homme était là. Rien à voir avec les autres. Costard, cravate, mocassins, rasé de frais, pas un bel homme, mais un homme avec de la prestance. Jipé me présenta :
- "Estelle, je te présente Monsieur le Maire. Monsieur le Maire, Estelle."
Il me dévisagea, et je sentis un certain mal-être. Il y avait dans son regard de la cruauté. On sentait que cet homme devait aimer faire souffrir les autres. Il s'approcha de moi, passa sa main sous ma jupe, remonta le long de mes cuisses et m'attrapa les bourses. Il se mit à me les serrer si fort que je ne pus retenir un petit gémissement. "Sale pute !" furent les premiers mots qu'il m'adressa.il me broyait si fort quue je ne pouvais me retenir de me dandiner. Et ça avait l'air de lui plaire car il ne me lachait pas du regard en souriant. Il relacha l'étreinte et me fit lêcher ses doigts.
- " C'est bien, j'adore les petites chiennes dociles dans ton genre. Maintenant, tu vas te mettre à genoux et tu vas me sucer devant tout le monde."
Je me suis mise à genoux, il a ouvert sa braguette et a sorti une bite déjà bien dure, pas énorme, mais pas mal quand même. Il me prit par les cheveux d'une main, l'autre écartant sa veste. Je me suis accroché à ses hanches et ai commencé mes va-et-vients le long de sa pine.
- " Suce-moi, salope ! Suce-moi bien ! Après, je vais te casser le cul !"
Mais pour l'instant, il se contentait de me baiser par la bouche. Cela a duré un long moment et je pouvais voir que tous les autres, dans la salle à manger, avaient baissé leurs pantalons et se masturbaient comme des enragés. d'un coup, il retira son dard de ma bouche.
- " Allez, mets toi à quatre pattes sur la banquette, maintenant, je vais t'enfiler !"
Obeïssante, je me suis mis à genoux sur la banquette, j'ai relevée ma jupe, écartée ma culotte, et j'ai attendu le bon plaisir de Monsieur le Maire. Il s'est craché dans les doigts pour lubrifier sa queue, m'a craché dans le cul pour lubrifier aussi mon anus et a commencé à me pénétrer tout doucement. Ce salop-là prenait tout son temps pour bien me faire savoir qu'il était en train de m'enculer. Il m'astiquait très lentement et parfois, il me mettait un grand coup de rein. Parfois, également, une grande claque sur les miches. L'ami de Jipé, n'y tenant plus, vint se placer devant moi et me fit une énorme éjac faciale. J'étais recouverte de sa semence. Ce fut le point de départ du déchainement. Les trois autres les uns après les autres vinrent se vider les couilles sur mon visage. Mais le pire fut lorsque le Maire se colla à mon cul. Je sentis un liquide chaud couler dans mon cul et je croyais qu'il était en train de jouir en moi... mais en fait; ce salop était en train de me pisser dans le cul, et ça le faisait bien rire ! Peu après, il se retira et lui aussi me facialisa, j'étais humiliée comme jamais. Et je repensais au matelas pourri dans la grange, c'était ça, l'odeur. Combien de trans, de femmes aavaient été souillés par ces sadiques ?
Le Maire se rhabilla et il partit en remerciant tout le monde pour ce bon moment (sauf moi, bien sûr !). Je fus ramenée à la grange, où tous me rebaisèrent, Jipé me ramena, son copain était derrière et moi devant avec lui. Il me demanda ce que j'avais pensé du week-end, je lui répondis que, dans l'ensemble, j'avais plutôt apprécié. Quand il vit que son pote s'était assoupi à l'arrière, il me proposa un dernier petit coup dans une foret, je l'ai sucé contre un arbre et il m'a enculé sauvagement. Et puis on est rentré tranquillement. On a continué à se voir régulièrement, mais je n'ai plus fait de Gang-Bang, du moins plus avec lui !
- "Est-ce que ça te dirait que, la prochaine fois, je vienne avec un pote et qu'on te baise tous les deux ?"
Déjà, j'étais contente qu'il y ait une prochaine fois, et je lui ai répondu que, si son pote baisait aussi bien lui, il n'y avait aucun problème. J'avais déjà baisé avec deux mecs en même temps et j'avais adoré ces expériences. Il me présenta donc un de ses amis et la soirée fut fantastique. Une nuit inoubliable où ils me sautèrent tous les deux comme si j'étais leur objet sexuel. Et c'est à la fin de cette soirée qu'il me proposa encore une autre chose.
- "Voilà. J'ai des copains qui habitent dans l'Aisne. Je passe te prendre un samedi matin, on va là-bas, on te partouze, et je te ramène le dimanche soir. Ca te tente ?"
J'avais déjà entendu parler des Gang-Bangs, qu'on appelait "tournantes", à l'époque, j'avais vu des pornos, mais je n'y avais jamais participé. Ce coup-là, je lui ai demandé de me laisser réfléchir, je ne savais pas combien de mecs il y aurait, comment ils étaient, ce qu'ils voulaient faire de moi, bref, il fallait qu'on en discute. Je le revis quelques jours plus tard, et nous en avons parlé. Il m'a dit qu'ils seraient cinq, qu'il ferait attention à ce que les choses ne dé****nt pas et se portait garant de mon bien-être et que, au cas où quelque chose ne me plaisait pas ou me faisait du mal, aussi bien physiquement que mentalement, il serait là pour dire stop. La seule chose qu'il me demandait, c'était de lui faire confiance.
Et donc, un samedi matin, il est venu me chercher avec son copain, en bas de chez moi. Son ami conduisait et lui s'est mis à l'arrière avec moi. Il s'est mis direct à m'embrasser, me peloter, me caresser, me titiller la rondelle, à peine partie, j'étais déjà en transe (sans jeu de mots !). Nous avons roulé un long moment comme ça, j'étais excitée comme pas possible. Nous sommes sortis de l'autoroute, avons emprunter des petites routes de campagne et ils se sont arrêtés sur une aire de parking au milieu d'une forêt.
- "Bon, on va bientôt arriver, alors pour faire bonne impression, il va falloir que tu te changes !"
Je m'étais plutôt habillée sexy, avec des bottes, bas, mini-jupe, petit chemisier assez transparent, mais ils sortirent, ouvrirent le coffre et prirent un sac en plastique.
- "Va te changer dans le bois, on va t'accompagner !"
Je pris le sac et commença à rentrer dans le bois. Je me suis déshabillée entièrement et j'ai revétue ce qu'il y avait dans le sac, c'est-à-dire une paire de cuissardes noires en vinyle, une culotte noire et un caraco noir. Ils me regardaient faire en se masturbant. Une fois rhabillée, ils me ramenèrent à la voiture et inversèrent les rôles, Jipé prenant le volant et son ami à l'arrière, lui aussi me tripotant, me galochant et me doigtant. Nous avons roulé quelques minutes ainsi, et tout à coup, Jipé tourna dans une cour de ferme au milieu de nulle part. Pas très rassurant, tout ça. Il coupa le moteur, descendit, ouvrit ma portière et me prit par les cheveux, me forçant à descendre.
- " Alphonse ! Etienne ! On est là !"
Je vis sortir du bâtiment principal de la ferme deux mecs pas très catholiques, l'air bien éméchés. Ils se saluèrent, l'un d'eux me releva le menton et m'observa.
- " Elle est pas mal, la p'tite salope ! On va bien s'occuper d'toi, ma chérie !"
Je commençais sèrieusement à regretter d'avoir accepter la proposition de Jipé. Toujours en me tirant par la tignasse, il m'amena vers une grange, me fit entrer puis me forca à grimper un escalier jusqu'au grenier. Là, il ouvrit une porte. Il s'agissait d'une petite pièce où il n'y avait qu'un poteau central et un lit en métal avec un matelas pourri qui puait, c'était une infection. Sur un mur, il y avait une grille où je voyais des martinets, des badines, des fouets. Je dis tout de suite à Jipé :
- "Je ne veux pas que l'on me fouette !"
Il me regarda et me dit juste :
- "Très bien !"
Il alla quand même à la grille et retira deux paires de menottes. Il revint vers moi, me mit les mains dans le dos autour du poteau et m'attacha. Puis il m'ordonna de me mettre à genoux et m'emprisonna les chevilles exactement de la même manière, derrière le poteau. Je vis alors que les trois autres étaient déjà à poil et se branlaient. Un des deux fermiers s'approcha de moi et me dit :
- " Ouvre la bouche !"
J'obeis et il me glissa sa queue dans la bouche. Il me tint par les tempes et me pistonna comme un fou. Puis c'est au tour du second fermier de faire la même chose. Puis au copain de Jipé, puis à Jipé. Leur manège dure un temps fou. Et enfin ils me détachent, mais c'est pour me coller sur le lit dégueulasse. L'odeur est épouvantable. ils s'y mettent à quatre pour m'attacher au barreaux du plumard. Et là, ils se mettent tous à me sodomiser les uns après les autres ou à me violer par la bouche. Un des deux fermiers commença à gémir et se vida dans ma bouche. Et tous, les uns après les autres, firent de même, mais tous, sans exceptions, se remirent dans la foulée à me rebaiser, à me forcer la bouche. Ils jouirent, au total, deux ou trois fois chacun, sauf un fermier, trop bourré, sans doute, qui n'éjacula qu'une fois. Ce qui m'inquiétait, c'est que Jipé m'avait dit qu'il y aurait cinq gars et je n'en avais vu que quatre. Et déjà, la soirée avait été mouvementée !
Ils me détachèrent au bout de plusieurs heures, et nous sommes tous allés à la ferme. Nous avons bu (beaucoup !), mangé, rigolé et je me mis au lit avec Jipé. Rien de plus ne se passa ce soir-là, trop imbibé. Le lendemain matin, petit déjeuner, douche, et quand je revins, toute fraîche, remaquillée, Réhabillée de ma tenue de la veille au départ de chez moi, un autre homme était là. Rien à voir avec les autres. Costard, cravate, mocassins, rasé de frais, pas un bel homme, mais un homme avec de la prestance. Jipé me présenta :
- "Estelle, je te présente Monsieur le Maire. Monsieur le Maire, Estelle."
Il me dévisagea, et je sentis un certain mal-être. Il y avait dans son regard de la cruauté. On sentait que cet homme devait aimer faire souffrir les autres. Il s'approcha de moi, passa sa main sous ma jupe, remonta le long de mes cuisses et m'attrapa les bourses. Il se mit à me les serrer si fort que je ne pus retenir un petit gémissement. "Sale pute !" furent les premiers mots qu'il m'adressa.il me broyait si fort quue je ne pouvais me retenir de me dandiner. Et ça avait l'air de lui plaire car il ne me lachait pas du regard en souriant. Il relacha l'étreinte et me fit lêcher ses doigts.
- " C'est bien, j'adore les petites chiennes dociles dans ton genre. Maintenant, tu vas te mettre à genoux et tu vas me sucer devant tout le monde."
Je me suis mise à genoux, il a ouvert sa braguette et a sorti une bite déjà bien dure, pas énorme, mais pas mal quand même. Il me prit par les cheveux d'une main, l'autre écartant sa veste. Je me suis accroché à ses hanches et ai commencé mes va-et-vients le long de sa pine.
- " Suce-moi, salope ! Suce-moi bien ! Après, je vais te casser le cul !"
Mais pour l'instant, il se contentait de me baiser par la bouche. Cela a duré un long moment et je pouvais voir que tous les autres, dans la salle à manger, avaient baissé leurs pantalons et se masturbaient comme des enragés. d'un coup, il retira son dard de ma bouche.
- " Allez, mets toi à quatre pattes sur la banquette, maintenant, je vais t'enfiler !"
Obeïssante, je me suis mis à genoux sur la banquette, j'ai relevée ma jupe, écartée ma culotte, et j'ai attendu le bon plaisir de Monsieur le Maire. Il s'est craché dans les doigts pour lubrifier sa queue, m'a craché dans le cul pour lubrifier aussi mon anus et a commencé à me pénétrer tout doucement. Ce salop-là prenait tout son temps pour bien me faire savoir qu'il était en train de m'enculer. Il m'astiquait très lentement et parfois, il me mettait un grand coup de rein. Parfois, également, une grande claque sur les miches. L'ami de Jipé, n'y tenant plus, vint se placer devant moi et me fit une énorme éjac faciale. J'étais recouverte de sa semence. Ce fut le point de départ du déchainement. Les trois autres les uns après les autres vinrent se vider les couilles sur mon visage. Mais le pire fut lorsque le Maire se colla à mon cul. Je sentis un liquide chaud couler dans mon cul et je croyais qu'il était en train de jouir en moi... mais en fait; ce salop était en train de me pisser dans le cul, et ça le faisait bien rire ! Peu après, il se retira et lui aussi me facialisa, j'étais humiliée comme jamais. Et je repensais au matelas pourri dans la grange, c'était ça, l'odeur. Combien de trans, de femmes aavaient été souillés par ces sadiques ?
Le Maire se rhabilla et il partit en remerciant tout le monde pour ce bon moment (sauf moi, bien sûr !). Je fus ramenée à la grange, où tous me rebaisèrent, Jipé me ramena, son copain était derrière et moi devant avec lui. Il me demanda ce que j'avais pensé du week-end, je lui répondis que, dans l'ensemble, j'avais plutôt apprécié. Quand il vit que son pote s'était assoupi à l'arrière, il me proposa un dernier petit coup dans une foret, je l'ai sucé contre un arbre et il m'a enculé sauvagement. Et puis on est rentré tranquillement. On a continué à se voir régulièrement, mais je n'ai plus fait de Gang-Bang, du moins plus avec lui !
3 years ago
