Je ne suis qu'une bouche à sperme...

Samedi soir, je suis allée au parc...

Je me suis stationnée pas très loin du bloc toilettes au milieu du parc, puis l'ai rejoint à pieds, tranquillement...

Il faisait encore 22° à cette heure-ci déjà bien avancée de la nuit, donc déambuler dans ma tenue de pute était très agréable...

Robe courte noire, qui laissait paraître le porte-jarretelles chipé à ma belle-mère, ainsi que son tanga en dentelle rose. Je portais également ses bas résilles avec une superbe paire de slingbacks...


Pour parachever le tout, j'avais mis à mon cou un collier en cuir au crochet duquel 1 chaîne partait pincer chaque téton...

J'atteignis le bloc-toilettes après quelques minutes de marche sur le bord de la route, ne me cachant pas des quelques voitures qui passèrent dans la nuit noire...

A ma déception, aucune personne ni voiture n'était présente...

Je décidai alors de faire le tour du bloc-toilettes, faisant ainsi claquer mes talons sur le carrelage de l'édifice...

Arrivée au bout, aux urinoirs, pas l'ombre d'un chat non plus...

L'avantage de cet endroit où je me trouvais est qu'il permet de voir la route et l'entrée du parking au travers d'un bosquet, donc sans être vue...

Dans mon accoutrement de princesse, je me sentais l'âme du salope, je voulais de la queue, des couilles, du foutre...

Cela faisait 1 mois que je n'étais pas sortie, 1 mois de sevrage qui me donnait des papillons au ventre, des vertiges à la tête rien qu'en pensant à ce qui pouvait m'arriver de mieux ce soir-là...

Lancée dans mes pensées qui me chauffaient, j'ai vu arriver et se garer une voiture, puis ses phares s'éteindre et sa portière claquer, puis dans la foulée plusieurs autres voitures arriver alors qu'il n'y avait personne quelques minutes à peine auparavant...

Je sentais mon coeur battre quand j'ai vu se profiler dans la noirceur de la nuit plusieurs ombres en ma direction, doucement...

Je distinguais 1 personne, puis une 2e et encore une 3e à la suite...

Passant devant moi doucement en se frottant le paquet, ces cochons ralentirent pour m'ausculter de la tête aux pieds, enfin surtout le bas du corps, ma tenue faisait assurément effet...

Se rendant compte à quelle traînée ces visiteurs du soir avaient affaires, l'un deux me lança doucement mais sèchement :

"A genoux salope !"

N'ayant d'autre choix que de m'exécuter, je succombai aux mains qui s'étaient mises sur mes épaules et qui m'imposaient de descendre...

En 3 fois rien de temps, ils ont commencé à se branler sur ma figure, qui y allant de sa queue, qui de ses couilles...

Ils me violaient la bouche, l'un après l'autre, puis ils s'y sont mis à 2 pour m'imposer la visite mitoyenne de mon orifice buccal...

Puis 2 se sont mis à me lever et me faire asseoir sur la rambarde contre laquelle j'étais adossée, permettant ainsi au 3e de m'écarter subrepticement les cuisses et prendre à pleine bouche mon spaghetti...


Au bout de 20 minutes, un premier cochon me remplit la bouche de son sperme, suivi par les autres qui déversaient leur foutre sur ma face de pute...

Un s'est mis à me prendre en photos pour son album souvenir, puis il en a prises avec mon mobile que je lui ai tendu...

Je sentais le savant mélange de leur semence perler sur mes joues, et goutter sur mon menton...


Puis ils disparurent aussi vite qu'ils étaient apparus en découpant le noir de la nuit...

Me laissant là seule comme une vraie salope me sentir comme une vraie tarte à la crème...

N'en tenant plus, je me suis mise à lécher mes lèvres de ce succulent nectar, puis avec mes doigts de partir à la récolte de ce baume rajeunissant, jusqu'à la dernière goutte...




Et j'ai adoré ça...

Finalement épuisée par cette soirée des plus mémorables qui semblait destinée aux oubliettes, je fis une brève toilette au lavabo juste à côté...



Puis repris ma voiture, direction maison...



Si cette aventure vous a plu, il y a des chances que la précédente le fasse également...

L'histoire du mari qui m'a invitée à venir enfiler la robe de mariée de sa femme :

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