J’ai revu Claudine à l’EMC !
Dans mon précédent billet j’ai écrit qu’il était rare de voir des travestis dans un sauna. Pourtant, cet après-midi (lundi 20 juin) j’ai revu celui/celle que j’avais déjà rencontré et nous avons pu approfondir notre connaissance.
De passage à Paris je me suis bien sûr précipité à l’EMC. J’y étais à 14 h 30 et 5 minutes plus tard je me masturbais au hammam.
N’ayant pas reçu l’accueil que j’attendais je commence le tour de l’établissement : la backroom est vide, dans la salle de repos du bas un homme à genoux en suce un autre, pas mal de branleurs dans la salle de ciné, les occupants du jacuzzi ont l’air sages, le sauna est vide…J’entreprends la visite des cabines. Il y en a pas mal d’occupées. J’entre dans l’une d’elle dont l’occupant est étendu sur le ventre la tête recouverte de la serviette. Je caresse ses fesses et sa bite qui dépasse entre ses jambes. Aussitôt il se met à quatre patte pour m’offrir son trou.
C’est ça qu’on aime au sauna : pas de chichi, pas de drague, pas de bla-bla, pas d’invitation à prendre un pot ou à dîner, on va droit au but.
Vite du lub au distributeur dans la cabine et je lui doigte l’anus avec le pouce, l’index bien profond, deux doigts… Il est étroit. En même temps je lui branle la bite et lui triture les couilles. Il aime ça, il roucoule, il chaloupe du cul. Pas égoïste il réussi à passer sa main entre ses jambes pour me branler. C’est bon. Il faut que je l’encule. Je me précipite dans le couloir pour prendre une capote au distributeur et je rejoint mon compagnon qui m’attend sagement. Malheureusement, avec les mains glissantes de lub j’ai du mal à déchirer l’enveloppe de la capote. J’essaye avec la serviette, j’y mets les dents, j’envisage de demander l’aide du voyeur qui est à la porte… Finalement j’y arrive mais, bien sûr, j’ai debandé. Il faut que je me branle pour mettre la capote. Ça y est. Mais il est trop haut, je monte sur la banquette mais maintenant c’est lui qui est trop bas et puis il est étroit, ça rentre pas .. Décidément ça ne va pas, je renonce en le remerciant.
À moi de m’étendre en cabine pour attendre le passant. Je choisis celle du premier couloir après la piscine avec une banquette deux places et un grand miroir au mur. Le confort. Rapidement je reçois de la visite. Il a des tétons énormes, vraiment énormes, presque un centimètre. Il a dû les travailler depuis longtemps. Je les pince, les tire, les triture, pendant qu’il me suce. Si je lâche pour lui caresser la tête ou le dos il me prend la main pour la remettre sur ses seins. En plus il pompe bien. C’est excitant mais je ne veux pas jouir tout de suite.
Après je reçois une autre visite et on se met presque tout de suite en 69. Ma position préférée. Je suis d’abord dessous mais je demande qu’on se mettent sur le côté. Je peux enfoncer ma tête entre ses cuisses en le pompant et resserrer ses cuisses sur mon visage. J’adore ça. Je lèche, je suce, je pompe, je prend ses couilles en bouches…Je fait du bon travail car il m’interrompt pour se branler et jouir en quelques instants. Je l’aurai bien avalé ou pris sur le visage mais il joui sur son ventre où j’étale sa semence en le caressant avant de continuer ma pipe encore un moment. Excellente séance, mon seul regret c’est qu’il avait fermé la porte en entrant et qu’il n’y a pas eu de voyeur.
J’avoue que je ne comprends pas pourquoi certains usagers éprouvent le besoin de s’enfermer comme si ils voulaient se cacher. Ils ont honte de se faire enculer ou de se montrer en train de sucer une queue ? Moi au contraire ça m’excite de faire l’amour entouré par des voyeurs qui se branlent. Mon rêve c’est de le faire sur la plage du Cap d’Agde, comme dans les vidéos qu’on voit ici ou ailleurs.
En dernier lieu dans cette cabine j’ai reçu un amoureux passionné qui m’a serré, roulé des pelles baveuses, doigté le trou.. comme si il voulait m’épouser. Assez excitant.
Comme je ne veux pas passer toute l’après-midi sur le dos je file au sauna puis au jacuzzi et enfin à la piscine (froide)… calme plat.
Au milieu de la salle de ciné une seule personne se branle. Je m’assoie à côté, défais ma serviette. Il prend ma bite, j’en fais de même puis je m’agenouille entre ses cuisses pour le sucer. Les reins cambrés, mon trou offert aux spectateurs, ma bite raide qui se ballote au rythme de ma fellation. C’est excitant.
Et Camille dans tout ça me direz vous cher lecteur. J’y viens justement.
Après ces épisodes excitants je remonte d’un étage pour visiter à nouveau la backroom. Cette fois ci trois ou quatre personnes sont agglomérées devant un pompeur qui s’active sur deux bites. Je mets ma serviette autour du cou et je m’approche la verge bien tendue à la main. L’un des participants m’entreprend et s’agenouille pour me sucer, ce qu’il fait très bien. Quand il voit que je suis bien raide il se retourne pour passer ma bite dans sa raie du cul puis, à la vitesse de l’éclair, il m’équipe d’une capote , se retourne, se penche et me présente son cul. Je comprends son désir et ne me fait pas prier pour l’enculer. Là ça rentre sans difficulté. Je le lime bien à fond en poussant des petits cris, des soupirs, des gémissements. Il en fait de même. Autour de nous les branleurs se rassemblent. L’un d’eux se glisse devant mon compagnon pour se faire sucer, mais la position est difficile sous mes coups de boutoirs. J’essaye de bien tenir le rythme, d’enculer à fond en ahanant. Je m’agrippe à ses anches, à ses épaules, je me couche sur son dos pour lui triturer les seins… enfin une très bonne baise.
Tout à mon excitation je n’ai pas fait très attention à ça qui se passait autour de moi jusqu’à que soudain, à 50 centimètres, j’aperçois une forme noire, courbée en avant, appuyée contre le banc pour s’offrir à un enculeur assez corpulent. Je reconnais mon travesti de l’autre jour. Je remercie mon enculé que je pistonnais depuis un bon quart d’heure pour prendre la place du gros qui n’arrivait pas bien à sodomiser le travesti. Moi j’y vais direct et à fond. Sa fine culotte est écartée pour révéler un trou et des couilles parfaitement imberbes, son anus est accueillant et avec ses chaussures à talon il est juste à la bonne hauteur pour moi..Je m’en donne à cœur joie, je caresse ses cuisses et ses fesses, ses bas tenus par de fines jarretelles, ses faux seins… j’adore. Après une bonne enculade il s’assoit sur le banc et je lui demande de me sucer, ce qu’il fait bien volontiers après que j’ai ôté la capote. Je lui propose de venir en cabine mais cette fois je souhaite qu’il m’accompagne dans le couloir où il y a du monde. Nous devons former un drôle de couple : lui, avec sa perruque bouclée, ses talons, ses bas, son porte jarretelles et sa mini-jupe, moi, entière nu la queue raide à la main. C’est super excitant. Comme il doit d’abord aller pisser je l’attend dans le couloir en me branlant devant tout le monde. J’adore. Ensuite on s’installe dans une cabine et je peux pomper sa bite et ses couilles incroyablement douces. Au bout d’un moment on commence à parler sympathiquement. Je découvre qu’il/elle s’appelle Claudine, qu’il se travesti depuis longtemps, qu’il a été bien accueillis par le personnel du sauna mais que les clients ne semblent pas enthousiastes contrairement à moi. Je l’invite à venir lire mes billets sur xhamster, notamment celui où je raconte notre première rencontre. Pour cela nous montons à l’étage pour demander un papier et un crayon au barman pour que je puisse lui écrire mon pseudo. Après avoir bu un verre d’eau on se quitte en s’embrassant. J’espère qu’on pourra dialoguer ici et se revoir. Claudine je t’attends, parles moi, écris moi…
De passage à Paris je me suis bien sûr précipité à l’EMC. J’y étais à 14 h 30 et 5 minutes plus tard je me masturbais au hammam.
N’ayant pas reçu l’accueil que j’attendais je commence le tour de l’établissement : la backroom est vide, dans la salle de repos du bas un homme à genoux en suce un autre, pas mal de branleurs dans la salle de ciné, les occupants du jacuzzi ont l’air sages, le sauna est vide…J’entreprends la visite des cabines. Il y en a pas mal d’occupées. J’entre dans l’une d’elle dont l’occupant est étendu sur le ventre la tête recouverte de la serviette. Je caresse ses fesses et sa bite qui dépasse entre ses jambes. Aussitôt il se met à quatre patte pour m’offrir son trou.
C’est ça qu’on aime au sauna : pas de chichi, pas de drague, pas de bla-bla, pas d’invitation à prendre un pot ou à dîner, on va droit au but.
Vite du lub au distributeur dans la cabine et je lui doigte l’anus avec le pouce, l’index bien profond, deux doigts… Il est étroit. En même temps je lui branle la bite et lui triture les couilles. Il aime ça, il roucoule, il chaloupe du cul. Pas égoïste il réussi à passer sa main entre ses jambes pour me branler. C’est bon. Il faut que je l’encule. Je me précipite dans le couloir pour prendre une capote au distributeur et je rejoint mon compagnon qui m’attend sagement. Malheureusement, avec les mains glissantes de lub j’ai du mal à déchirer l’enveloppe de la capote. J’essaye avec la serviette, j’y mets les dents, j’envisage de demander l’aide du voyeur qui est à la porte… Finalement j’y arrive mais, bien sûr, j’ai debandé. Il faut que je me branle pour mettre la capote. Ça y est. Mais il est trop haut, je monte sur la banquette mais maintenant c’est lui qui est trop bas et puis il est étroit, ça rentre pas .. Décidément ça ne va pas, je renonce en le remerciant.
À moi de m’étendre en cabine pour attendre le passant. Je choisis celle du premier couloir après la piscine avec une banquette deux places et un grand miroir au mur. Le confort. Rapidement je reçois de la visite. Il a des tétons énormes, vraiment énormes, presque un centimètre. Il a dû les travailler depuis longtemps. Je les pince, les tire, les triture, pendant qu’il me suce. Si je lâche pour lui caresser la tête ou le dos il me prend la main pour la remettre sur ses seins. En plus il pompe bien. C’est excitant mais je ne veux pas jouir tout de suite.
Après je reçois une autre visite et on se met presque tout de suite en 69. Ma position préférée. Je suis d’abord dessous mais je demande qu’on se mettent sur le côté. Je peux enfoncer ma tête entre ses cuisses en le pompant et resserrer ses cuisses sur mon visage. J’adore ça. Je lèche, je suce, je pompe, je prend ses couilles en bouches…Je fait du bon travail car il m’interrompt pour se branler et jouir en quelques instants. Je l’aurai bien avalé ou pris sur le visage mais il joui sur son ventre où j’étale sa semence en le caressant avant de continuer ma pipe encore un moment. Excellente séance, mon seul regret c’est qu’il avait fermé la porte en entrant et qu’il n’y a pas eu de voyeur.
J’avoue que je ne comprends pas pourquoi certains usagers éprouvent le besoin de s’enfermer comme si ils voulaient se cacher. Ils ont honte de se faire enculer ou de se montrer en train de sucer une queue ? Moi au contraire ça m’excite de faire l’amour entouré par des voyeurs qui se branlent. Mon rêve c’est de le faire sur la plage du Cap d’Agde, comme dans les vidéos qu’on voit ici ou ailleurs.
En dernier lieu dans cette cabine j’ai reçu un amoureux passionné qui m’a serré, roulé des pelles baveuses, doigté le trou.. comme si il voulait m’épouser. Assez excitant.
Comme je ne veux pas passer toute l’après-midi sur le dos je file au sauna puis au jacuzzi et enfin à la piscine (froide)… calme plat.
Au milieu de la salle de ciné une seule personne se branle. Je m’assoie à côté, défais ma serviette. Il prend ma bite, j’en fais de même puis je m’agenouille entre ses cuisses pour le sucer. Les reins cambrés, mon trou offert aux spectateurs, ma bite raide qui se ballote au rythme de ma fellation. C’est excitant.
Et Camille dans tout ça me direz vous cher lecteur. J’y viens justement.
Après ces épisodes excitants je remonte d’un étage pour visiter à nouveau la backroom. Cette fois ci trois ou quatre personnes sont agglomérées devant un pompeur qui s’active sur deux bites. Je mets ma serviette autour du cou et je m’approche la verge bien tendue à la main. L’un des participants m’entreprend et s’agenouille pour me sucer, ce qu’il fait très bien. Quand il voit que je suis bien raide il se retourne pour passer ma bite dans sa raie du cul puis, à la vitesse de l’éclair, il m’équipe d’une capote , se retourne, se penche et me présente son cul. Je comprends son désir et ne me fait pas prier pour l’enculer. Là ça rentre sans difficulté. Je le lime bien à fond en poussant des petits cris, des soupirs, des gémissements. Il en fait de même. Autour de nous les branleurs se rassemblent. L’un d’eux se glisse devant mon compagnon pour se faire sucer, mais la position est difficile sous mes coups de boutoirs. J’essaye de bien tenir le rythme, d’enculer à fond en ahanant. Je m’agrippe à ses anches, à ses épaules, je me couche sur son dos pour lui triturer les seins… enfin une très bonne baise.
Tout à mon excitation je n’ai pas fait très attention à ça qui se passait autour de moi jusqu’à que soudain, à 50 centimètres, j’aperçois une forme noire, courbée en avant, appuyée contre le banc pour s’offrir à un enculeur assez corpulent. Je reconnais mon travesti de l’autre jour. Je remercie mon enculé que je pistonnais depuis un bon quart d’heure pour prendre la place du gros qui n’arrivait pas bien à sodomiser le travesti. Moi j’y vais direct et à fond. Sa fine culotte est écartée pour révéler un trou et des couilles parfaitement imberbes, son anus est accueillant et avec ses chaussures à talon il est juste à la bonne hauteur pour moi..Je m’en donne à cœur joie, je caresse ses cuisses et ses fesses, ses bas tenus par de fines jarretelles, ses faux seins… j’adore. Après une bonne enculade il s’assoit sur le banc et je lui demande de me sucer, ce qu’il fait bien volontiers après que j’ai ôté la capote. Je lui propose de venir en cabine mais cette fois je souhaite qu’il m’accompagne dans le couloir où il y a du monde. Nous devons former un drôle de couple : lui, avec sa perruque bouclée, ses talons, ses bas, son porte jarretelles et sa mini-jupe, moi, entière nu la queue raide à la main. C’est super excitant. Comme il doit d’abord aller pisser je l’attend dans le couloir en me branlant devant tout le monde. J’adore. Ensuite on s’installe dans une cabine et je peux pomper sa bite et ses couilles incroyablement douces. Au bout d’un moment on commence à parler sympathiquement. Je découvre qu’il/elle s’appelle Claudine, qu’il se travesti depuis longtemps, qu’il a été bien accueillis par le personnel du sauna mais que les clients ne semblent pas enthousiastes contrairement à moi. Je l’invite à venir lire mes billets sur xhamster, notamment celui où je raconte notre première rencontre. Pour cela nous montons à l’étage pour demander un papier et un crayon au barman pour que je puisse lui écrire mon pseudo. Après avoir bu un verre d’eau on se quitte en s’embrassant. J’espère qu’on pourra dialoguer ici et se revoir. Claudine je t’attends, parles moi, écris moi…
3 years ago
