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Véro et Kévin

Je suis mariée depuis 5 ans avec Kévin…
5 ans de bonheur ?
Mitigé, je suis accro à pas mal de choses dans la vie et Kévin ne me satisfait plus autant qu’avant…

Une baisse de régime expliquée par plusieurs choses, en premier lieu son affaire marche moins bien. Beaucoup de soucis de trésorerie, clients mauvais payeurs, équipe réduite et prestations en déclin…
Il faudrait un coup de cravache dans les rangs, un commercial efficace, Kévin, n’a plus la pèche d’avant et perd des affaires qu’il aurait gagné haut la main au début…

Mes autres penchants, la cuisine, j’adore plonger dans mes livres de recettes, acheter des ingrédients nouveaux, découvrir des senteurs, des goûts et faire plaisir à nos amis…
Justement, recevoir est aussi une passion, ma famille réduite à une sœur, celle de mon mari, un frère, une sœur, des parents âgés, des neveux et nièces….

Moi, c’est Véro, Véronique, mais j’ai vite enlevé ce suffixe, source de railleries à l’école…
Au début…
Et à la fin, je leur ai prouvé que mon suffixe reflétait bien ma personnalité…
J’ai aussi le sport, tennis, golf, moto, et la nature, flore, faune, j’ai un chien…

Ce matin, je dors couchée en chien de fusil, à gauche, comme à nos habitudes, il est dans mon dos, ronflotte, pendant que je vous présente mon cadre de vie…

Oh, oui… Que dire de plus sur le sexe ?
J’ai papillonné avant Kévin, découvert les plaisirs saphiques, j’ai fait des soirées torrides, des élans tabous, des expériences diverses qui m’ont donné un éventail complet de ce que j’ai me et déteste…
En fait, quand je cherche le plaisir, je ne supporte pas la médiocrité, la vulgarité, la douleur.
J’aime le respect, la tendresse, les préliminaires…
Avec les femmes c’est merveilleux, mais cela ne suffit pas.
Les hommes apportent leur machisme, leur impatience, leur sexe…
J’aime les regards, j’aime être désirée, parfois provoquer, parfois jouer…
Souvent, accepter, parfois refuser, et quand le point de non-retour est atteint, je glisse dans le plaisir, sans aucune limite, quel que soit mon, ma ou mes partenaires…

C’est avec mon mari que nous avons franchi l’étape du pluralisme.
Jeunes et ardents, passionnés, amants assoiffés, au début, la passion émoussée, nous nous sommes laissés séduire par des plaisirs de groupe, entre amis, puis tournés vers l’extérieur, la nouveauté, et les soirées échangistes mondaines…

J’aime mon corps, je l’entretiens, coiffeur, esthéticienne, piscine, sauna, aquabike, plus les sports cité plus haut…
Kévin m’accompagnait souvent, mais a ralenti, jusqu’à me laisser seule…
Je l’avais trompé quelquefois, juste pour le fun et ma libido, maintenant, on sort au moins une fois par mois, pour nous divertir ensemble, parfois on reçoit…
Mais là aussi, il est moins présent, et me laisse seule avec mes amies…
Il sait que j’ai besoin de m’évader, le sexe fait partie des outils pour le faire…

Il bouge, se tourne, se love dans mon dos…
Un main glissent sur ma hanche, empoigne un sein…
Son sexe se réveille contre ma fesse…
Je suis complètement en alerte !

Ses lèvres bisent mon cou, je frissonne de désir…
Son souffle fait frétiller mes cheveux, mes boucles blondes…
La main cherche l’autre sein, caresse son téton… Je soupire…

Son désir pointe de plus en plus…

La main est sur mon ventre, tourne, descend, passe sous la culotte…
Mes cuisses s’écartent ostensiblement…
Ses doigts me mettent le feu !...

Je gémis, le doigt pénètre mon sexe…
Mon ventre réagit, se libère, se prépare à l’éventualité d’une pénétration matinale…

Ma culotte descend le long de mes cuisses, et voltige dans la chambre…
Je suis nue, une cuisses repliée, la main qui prend sa place, dans mon intimité, un doigt insidieux, ouvre mon appétit et doucement, demande s’il peut s’inviter…

J’ondule de la croupe pour toute réponse…
Ajouté à la nature qui a ouvert mes vannes et doublé mon désir…

Il tourne son doigt sur mon clito et je me lâche…
Un feulement de chatte, doux, presque inaudible et mes cuisses s’ouvrent comme une fleur…
Ma chatte devient calice, prête à recevoir sa tige…
Je le sens sur les fesses, venir à l’intérieur, glisser dans ma nature…
Complètement rasé, mon pubis accueille la main qui guide le gland décalotté…
Ma chatte est grande ouverte, je respire comme une locomotive à vapeur !

Je vais y passer !
Grave ! Il va me baiser…
Je me cambre… M’écartèle pour lui…
Le gland découvre un univers torride, humide, un cratère en fusion, il plonge doucement…
Et passe la porte, suivi d’une hampe de fer, qui prend possession de mon vagin, jusqu’au fond, jusque à toucher mon utérus…
Il a vraiment envie ce matin !

Je tourne mon bassin, il s’emboîte, force… Pousse…
Il ressort, puis revient, plus humide, plus puissant, d’un coup sec…
Je jouis doucement, dans mon coin, le regard fermé…

Mon esprit travaille, il me baise comme jamais il ne l’a fait…
Une envie, une déception, un refus ? Ou un manque de moi ?

Cela doit faire deux mois qu’il ne m’a pas touchée…

Il est sur moi, bien placé entre mes cuisses, dans la position de papa-maman, en missionnaire, et m’a installée sur le dos, jambes repliées, ma chatte bien dégagée, bien pénétrée, un coussin sous la tête, un autre sous les reins…
Même mon trou du cul pourrait s’inscrire à la fête !

Il va chercher mes chevilles et me tient… Mes jambes écartées, genoux repliés lui servent de gouvernail…

Il me lime doucement, sans à-coups, sa bite salive aussi cette pénétration anatomique…
Je suis trempée…

J’ai ouvert les yeux…
Il me regarde…
Il me sourit…

Il accélère… Le bateau tape le mur, il grince, il subit cette tempête de sexe…

Je le laisse se détendre, en profite pour me retourner en levrette, et lui donner mon cul, la chatte encore ouverte, où perlent quelques gouttes de nectar…
Son sexe me reprend, là où il était…

Il agrippe mes hanches et me fourre, de grands coups de rein, rageurs, je protège ma tête avec mes mains, pour ne pas taper le mur…

Il se déchaîne…
Un ouragan balaye notre lit
Mes fesses relevées, ouvertes, mon intimité offerte, saillante, remplie avec véhémence par un dard surexcité…
Un orgasme soudain me fait perdre le fil de mes pensées…
Il devient bulldozer…

Il va tout me donner ! Il rugit ! Il devient bestial, il me fait mal aux fesses à force de taper !
J’ouvre tout dans ma tête, il remplit mon calice, baisée jusqu’au fond !
Il se calme… Epuisé…

Que faire désormais ?
Je gis sur le ventre, les jambes ouvertes, deux fesses dégagées, mes trésors étalés, mon vagin pas encore refermé…
Un tableau érotique… Une position très pornographique…
De la semence s’écoule de ma vulve…
Il s’est affalé sur le côté… M’abandonnant à mon sort de réceptacle…

Je passe un doigt sur mon sexe, je le porte à mes lèvres et un goût acre emplit ma bouche…
Il ne m’a pas sodomisée… Du moins pas encore… Mais il m’a travaillée, provocant un orgasme, il s’est vidé, sans doute une éjaculation non maîtrisée, du fait de son jeûne un peu long…
A moins d’un désir revenu ? Une envie incontrôlée et soudaine de me faire l’amour ?

On dirait qu’il est encore en moi…
Je m’endors, ma tension sexuelle retombée…

Quand mon esprit refonctionne… Je le sens contre moi…
J’ai bougé en dormant, je suis sur le côté, nue, en chien de fusil, comme au début…

Il caresse mon corps, mes seins, réveille mon désir…
Ses mains font tout le tour, ses doigts reviennent me tester, déclenchant des réactions puissantes, pourtant je viens d’y passer…

Il m’a satisfaite, sans aucun doute…
Pourtant ses doigts insistent, mon instinct réagit, lubrifiant mes parties intimes…
Je perçois l’odeur de la femme en chaleur, nectar olfactif destiné à allécher le mâle.

Ses doigts font le tour de ma vulve, s’attardent… Mon clito est déjà actif…
Je respire plus fort, je vais craquer… Me laisser entraîner, chercher sa bite, prendre les devants ?
Une phalange plonge dans mon vagin, recueillant mes effluves…
Oui, je mouille encore…
Mes cuisses s’ouvrent pour lui…

Le doigt glisse vers mon anus…
Pousse…
Il se tend et tente de rentrer…
Aïe… Il ressort, ayant perçu ma réticence…
Il vient de trouver une solution, le mouiller dans ma chatte…
Quand il revient, aucun soucis…
La phalange glisse dons son jardin secret…

Oui, j’en ai envie moi aussi…
J’ai envie qu’il me fourre par derrière…
Qu’il me sodomise, qu’il me réduise en serpillère, d’être arrosée par son sperme…

Pour tout avouer, je recherche à atteindre l’extase pendant mes infidélités…
J’aime avoir le rectum outragé par un dard insidieux, qui me délivre des sensations variables, très puissantes, qui me font délirer…
Alors je deviens une autre… Je deviens cougar…

Je jouis sous leurs coups de reins, offerte, excitée et rugissante, sur la banquette arrière d’une voiture, accrochée fermement à un arbre dans le jardin, robe retroussée, offerte à mon amant ou arcboutée sur la cuvette des WC d’un restaurant gastronomique, la culotte à mes chevilles, étouffant mes râles et mes gémissements…

Cette fois, Kévin m’encule !

- Oui, chéri, je suis ta soumise… Pourfend-moi comme une souillon t’offrant son sexe, une femme du monde en quête de débauche, comme on en a rencontré, ou une tendre épouse, consentante et dévouée, venue se dessaler avec son amie, dans le salon privé, d’un bouge mal famé…

Il me veut en levrette et sa bite revient se ficher dans mon cul…
Ma posture indécente, mes paroles encourageantes, il devient métronome, sa bite fait merveille et j’atteins plusieurs niveaux, des orgasmes très délirants, qui me font devenir lubrique…

- Oh, oui ! J’aime ta bite dans mon cul, tu me baises magique, j’en peux plus de jouir sous tes coups de boutoir… Cela fait longtemps que tu ne m’avais prise avec autant de passion et de désir…
- Oui, j’ai eu des moments de doute, des coups du sort, des soucis d’argent, et je me suis éloigné de toi, je t’ai laissée seule, entretenir ta libido… Nos accords, nous mettent à l’abri de pensées malsaines et j’ai confiance en toi… Tu es ma femme avant tout… Moi aussi je t’ai délaissée, pour me divertir quand il fallait que je me délivre, mais tu le sais ça ne compte pas, c’est de la baise thé****utique…
- Je sais Kévin… Et nos soirées coquines me manquaient, avec toi, je me sens en sécurité… Alors je suis sortie avec des amies… On a cherché des amants d’un soir, des femmes ou des hommes pour honorer nos organes, comme si tu étais dans la pièce à côté…
- Je t’ai vue sur le parking d’un club de rencontres, à l’arrière d’une voiture, empalée sur le sexe d’un jeune homme souriant, bandant comme un taureau…
Je me suis rapproché et t’ai entendue bramer… Tu as joui plusieurs fois, te trémoussant en tous sens et tu as changé de voiture…
- Ah oui, le Flamant Rose… Marine et moi, on était entrées dans le club avec un copain à son frère, pour tester l’échangisme de groupe… Je n’ai pas osé aller avec eux seule… Je suis restée à danser… Et là, j’ai eu envie de faire l’amour avec un danseur qui me caressait dans la pénombre, à en devenir fontaine, alors j’ai craqué et suis sortie avec lui, dans le parking… J’ai fait l’amour, mais après, il a voulu m’emmener chez lui. J’ai eu peur… La seconde voiture, où je me suis réfugiée, c’était le 4x4 de son copain… J’avais demandé les clés au cas où… Marine et son copain sont sortis ; on est allés sur la plage et on a baisé tous les trois… On l’a vidé et Marine est devenue mon amante… C’est ma seule incartade notoire depuis…
- Ah, d’autres alors ?
- Rien, des baises en vitesse, au bureau, en ville, chez Marine, avec un voisin qui nous a vu nous caresser sur le balcon…

J’ai le trou du cul survolté, douloureux, saignant…
Il me surprend, me passant de la crème…

- Tu as eu mal ?
- Non, juste écorchée, mes ongles ou les tiens…
- Tu veux que je regarde ?

Sa langue fait le reste, plus besoin de crème, de lotion, de pansement, de chirurgie, rien que de la tendresse…
Je suis affalée sur l’accoudoir du canapé du salon, mes fesses écartées par ses mains, et il suce tout ce qu’il peut sucer, me faisant trembler de plaisir…

- Tu crois qu’il faut réessayer, pour savoir si je t’ai bien soignée ?
- Non !… C’est bon !...

Mais il est déjà en train de saliver sur mon troufignon, il sort sa bite, et vlan !
Pan-pan cul-cul…

Il est doux et pénètre lentement mes chairs, qui l’acceptent sans accro…
Il m’enfile son dard revenu aux affaires, je gémis, je me sens belle, à lui, je lui parle et mes pensées s’envolent…

- Oh que c’est bon !... Tu es si doux aujourd’hui… Je me sens aimée…
- Mais je t’aime, tu le sais…
- Doigte ma chatte en même temps, je veux exploser de jouissance, me donner entièrement à toi, jouir de mes 2 orifices, mourir de plaisir sous tes caresses, comme avant…

Toujours arcboutée sur l’accoudoir, position idéale pour être sodomisée, mon corps à sa disposition, il revient entre mes fesses et c’est la fête à la maison…

Son pénis pénètre, attise, remplit mon organe, je le sens de partout dans mon ventre, et c’est le paradis, quand il accélère, quand ses coups de reins deviennent macho, qu’il fait de moi sa serpillère, m’enculant avec passion, celle d’un homme viril, impatient de jouir, cherchant la victoire, pour me dominer, pour s’affirmer, en maître, non plus en mari…
Oui, je suis sienne… Oui, il me bouscule, il me traîne sur le tapis, sur des coussins, il cale mon bassin, et me fait faire l’arbre droit, mes jambes écartelées à 180 degrés…
C’est nouveau, il ne me l’avait jamais fait !
Offerte à ses lubies, il continue à fourrer mon derrière, puis des doigts frottent ma vulve, mon orifice détrempé de mouille, se laisse convaincre et je jouis déjà…

Ses doigts font merveille dans le fond de mon vagin, et la main entre entièrement, après un ouragan de plaisir, témoin de mon délire…
Que c’est bon !…

Violent, puis tendre un instant, puis tout se déchaîne de nouveau…
Ses testicules tapent mon derrière, sa queue devient de l’acier trempé, il va jouir…
Sa main explose mes compteurs…
Elle occupe tout mon espace sexuel, trouve mon point G, le déclenche, avec un orgasme venu de son autre main, qui vient d’empaumer un sein, et pincer le téton, érigé par mon excitation sexuelle…

Il me cloue sur la carpette, je suis sa chose, il me baise sans compter, cruel destin d’une femme infidèle, transpercée d’une flèche de chair et de sang…
Oui, je l’ai mérité, d’être avilie, par ta queue sodomique…
Je ferai ce que tu veux, quand tu veux, oui, délivre-toi dans mes entrailles, je sens couler…

Quel pied, de faire comme si ce n’était pas lui !
Il me finit, écartelée, comme une putain enculée par son mac…
Je me verrais bien livrée aux chiens, dégoulinants de salive, les mains tendues…
Je m’endors épuisée, éreintée, ivre, et pleine de bleus divers et variés…

Il n’est plus là à mon réveil… Je prends une longue douche…
Je remets un peu d’ordre dans tout l’appartement, comme si un ouragan l’avait traversé…

J’ai faim et soif et tout y passe, biscuits, fruits, jus d’orange, avec un peu de vodka, puis sans jus d’orange, la journée passe, entre chien et loup, il ne rentre pas, ne rentre plus…

Le matin est vide, triste, pluvieux…
Quel plan il m’a fait ?

Je trouve son téléphone dans le salon, avec les télécommandes garage et box…
Ses papiers, son portefeuille, dans l’entrée…

Je réfléchis… Je me rendors… Mes pensées en vrac, un cauchemar, où je suis la proie…

Il fait nuit noire, 02h00 au réveil…

Je suis seule dans le lit…
Marine ?…
Il est trop tard, ou trop tôt pour l’appeler…

Kévin… Tu es où ?
Je voulais te parler… Je voulais te dire…
J’aimerais recommencer…
Ce que tu m’as fait est une preuve d’amour…
Tu sais, si je ne te suffis pas, on peut recommencer comme avant, nos soirées, nos parenthèses, nos amis sont d’accord aussi, j’ai croisé Isabelle, au supermarché, toujours aussi élégante, fringuée comme tu aimes, classe, avec sensualité… Elle et Jo continuent et on leur manque… Karyn, Hélène, Ophélie, Coralie et leurs mâles… Ils nous embrassent tous…
Si tu ne m’avais pas envoyé au septième ciel, l’autre soir, j’aurais craqué pour elles… Marine me l’a suggéré :
« Il ne veut pas ? Viens seule ! Les autres seront ravis, femmes et hommes d’ailleurs, tes charmes sont pluri sexe… »

Quatre queues pour moi seule…
En guise de bienvenue…
Je te l’aurais rappelé, que j’aime les bites, que je me sens nymphomane parfois…

Je me rendors sur ces pensées érotiques, mais ma libido est toujours saturée d’images, de sons, de sensations, mes fesses en témoignent encore au bout de 2 jours…
Je m’inquiète et appelle Marine…

« Non ? Parti ? Enfui ? Sans rien ? Il n’a pas fait de bêtise ? Ah, vous avec couché la veille ! Ah, vous avez baisé comme avant, un renouveau, une tornade ? Tu me mets l’eau à la bouche… Car moi c’est plutôt calme ces jours-ci, tu n’es plus ma complice, mon excuse, mon étoile… »
« Oh, il va rentrer, ils reviennent toujours, parfois dix ans plus tard… »
« Mais non, je rigole… Où peut-il être ? Perdu ses clés, les clés de sa voiture ? Ah, tu ne les as pas vues… Alors il est allé se faire pardonner ailleurs, alors… Tu as appelé au bureau ? Ah, les vacances ! Et sa secrétaire Marie-Cécile ? »

Je ne lui parle plus depuis que je les ai surpris ensemble…
Elle était devant l’armoire ouverte, accrochée à une étagère et se faisait tringler grave, la culotte aux chevilles, les seins ballants, tee-shirt relevé…
Il m’a dit que c’était une urgence, une pulsion, que c’était la première fois… Tu parles !
Cette salope savait qu’il me délaissait, j’appelais souvent pour l’avoir au début de notre froid, il ne me répondait pas au portable… Il y avait une chance… Elle l’a saisie par la queue, la chance… Et elle lui a ouvert ses chakras et sa chemise…
J’entends encore ses cris et ses vagissements, la nuit, dans mes rêves…
« Ah, oui, baise-moi… Fais-moi la totale… Tu peux tout me faire, j’adore ta bite… »
« Tiens, Marie-Cécile, ma belle dragueuse !... Tu as eu raison, j’avais envie de toi depuis longtemps… »
« Encore ! Oui !... Oh !... Encore ! Là !.... Explose ma rondelle !... Je ne la donnais qu’à mon mari… Viens !... Ah !... Encule-moi plus fort ! Oh !, Ouiiiiiii !.... A fond !... Encore plus fort ! Là !... Oh !... Tu es dur ! Tu es gros !... Que c’est bon de se faire tringler au bureau !!!..... Comme une salope ! Il est cocu, mon con de mari et profond. »
« Tiens, je vais venir dans ton cul de princesse ! »
« Oui, la cerise sur le gâteau !... Mets-moi enceinte !... »
« Non, je !.... »
« Je plaisante, c’est une image »
« Tu m’as faite reine ce matin, sodomisée comme une chienne en chaleur, mon cul est tien aussi, je suis ta soumise… Reviens dans ma chatte, je veux sentir ton sperme inonder mon vagin, tes petits spermatozoïdes, rejoindre mes ovocytes dans l’utérus et les trompes…
Mais rassure-toi, je suis stérile, j’ai un stérilet… »

Et l’autre qui redoublait ses coups de rein, pour obéir à sa pouffiasse, faisant grincer l’armoire métallique…
J’ai refermé la porte, ils ne m’ont pas vue…

Le lendemain, j’ai fait pareil, pour lui rendre la monnaie de sa pièce…

Je me suis rendue chez mon voisin, celui qui me reluquait parfois de son balcon, et qui, quand je le croisais, n’avait d’yeux que pour mes seins…
Habillée en cuisinière, affolée et très bandante sans doute, je lui demandais s’il pouvait me dépanner en urgence… De 2 œufs… Et pendant sa réponse évasive, j’imaginais tenir les siens dans ma main, mais sans les casser…

Ma tenue provocante, une robe d’intérieur ultracourte, 2 boutons du décolleté oubliés, mes charmes mammaires offerts sur un plateau, c’était un piège banal…
Il les fixait, hypnotisé, et comme j’ai souri quand il s’est approché, c’était un oui évident pour notre premier baiser, auquel je participais ardemment…
Cela le mit en transes de ressentir ma chaleur, mes courbes, excité par ma nudité probable, ses mains se refermèrent sur mes globes libérés de ma robe…
Et comme j’étais nue dessous, confirmant son impression, il se jeta sur moi comme un mort de faim…
Il m’arcbouta sur le rebord de la fenêtre de la cuisine - celle sans vis-à-vis – les seins pendants, jambes écartées, il est allé très vite… Sa bouche descendis tandis qu’il massait mes globes, s’insinua dans mon intimité, déclencha mes râles et mes feulements de hyène…
Encouragé par mes réactions, il me besogna vertement, intensément, sournoisement, j’en frétillais de la chatte…

Sa queue, affutée tel un archet, jouait une partition millénaire, m’inondant de cyprine, tant il m’avait excitée avec ses mains baladeuses et ses regards lubriques…

Ses doigts glissaient dans ma mouille, se régalaient, pénétraient ma chatte, trituraient mon clitoris, puis s’attardèrent autour de mon anus…
Malin le bougre…
S’il me faisait tout pour 2 œufs, autant en profiter…
Je descendis mon frêle vêtement puisqu’il avait déjà tout vu, et je lui ouvris la voie…
La tête à la fenêtre me donnait l’air d’une poule, certains comprendront, car je suivais le rythme de sa queue dans mon fion et ses doigts pénétrant mon vagin, me portaient à l’extase…
Mais je ne caquetais pas, ni gémissais à outrance… Sinon, c’était attentat à la pudeur…

Ce fut rapide, divin, très coquin, car ensuite, il me lécha, écartelée sur le plan de travail, sa tête entre mes cuisses ouvertes pour mieux me rebaiser ensuite, jusqu’à la débandade, imprégnant mon vagin en m’inondant de sperme…

Mon odeur de salope, cocufiant mon mari, me poursuivit toute la journée…
J’avais joui d’un autre sous un coup de colère…
J’allais poser mes œufs, gagnés en cougar, et j’allais me laver discrètement…
Mais un coup d’œil dans la chambre, il n’était pas revenu…
Mon inquiétude grandissait…

Après mes deux œufs au bacon, il restait introuvable, et je me mis à déambuler dans la ville…
Je fis même un arrêt à l’hôpital, et au commissariat. Mais non, pas de signalement correspondant, ni de garde à vue…

Je cherchais sa voiture en remontant, elle était garée en dehors du parking, sur la route…
Il était donc sans véhicule, à moins…
Je ne trouvais pas son VTT électrique dans notre garage, là où je garais ma voiture…
Quand l’avais-je vu pour la dernière fois ?
J’étais rentrée la veille, on avait flirté sur le canapé, on avait baisé dans la chambre, on avait dormi 3 ou 4 heures… Rebaisé, redormi et hop, envolé…

Une envie de se dépenser après sa performance ? Il aurait gardé la clé du box, à moins qu’il en ai une aussi… Pas impossible…
Alors il a filé, c’est certain, à vélo…

Mais où serait-il allé ?
Il devait être fatigué par notre nuit, comme je l’étais moi-même…
Mais il est sportif et endurant. Un repas, un verre, déjeuner, et c’est reparti…
Un vélo, ce n’est pas facile à repérer…
Je ne le trouverai jamais comme ça, dans la rue…

Marine est de mon avis… Je suis passée par chez elle en faisant quelques courses…
Je lui raconte tout de A à Z…

Notre renouveau avec Kévin, mes souvenirs avec Marie-Cécile, et mon voisin…

- On dirait qu’il se venge de m’être vengée…
- Pas possible, il t’aime, c’est évident… Et puis vous aviez passé ce stade, vous vous commettiez avec des couples, pour maintenir un désir, vous unir dans ces souvenirs sexuels intenses… Du sexe thé****utique… Que j’apprécie… Notre premier trio, je l’ai toujours en tête… Nous sommes devenues amantes cette nuit-là…
- Oui… Complices de notre passion pour le sexe faible…
- Pour le sexe… Pas que faible, l’autre aussi… Tu me présenteras ton voisin ?
- Dès le retour de Kévin…

Chez moi, c’est l’enfer… Je brode dans ma tête…
Rien ne m’intéresse… Ni télé, ni radio et mon portable reste muet…
Je repense à Marine… Belle et douce, des yeux de biche, des mains magiques, quand elle caresse mes seins, douce et liane, et qu’elle écarte mes cuisses pour venir effleurer ma vulve avec sa langue…
Je ne peux rien faire d’autre que me sentir tomber dans un puits sans fin, saoulée de ses caresses et emmenée vers une merveilleuse extase…
Je l’appelle, je la veux près de moi, j’aurai dû rester chez elle, mais je voulais attendre mon mari ici…

On vient de jouir toutes les deux…
Que de complicité, de passion, d’amour lesbien…
Cet amour entre femmes, qui nous pousse l’une vers l’autre, nous libérant des conventions, de la morale, des préceptes religieux ou autres…
Ce que je ressens n’est pas expliqué dans les livres d’éducation sexuelle…
Ce n’est pas détaillé, le pourquoi de cette attirance physique, sexuelle, psychique…

Sa grâce me séduit, son corps, ses formes et ses envolées lyriques quand on fait l’amour…
Ce genre de position, comme enfichées sexe contre sexe, vulve contre vulve, ressentant le sexe de l’autre vivre ce plaisir…
Quand nos sucs se mélangent, que nos grandes lèvres détrempées se frottent, que nos pubis se percutent, c’est exceptionnel d’intensité…
Ces bruits de femelles en chaleur sont trop excitants…
Et que dire des odeurs qui nous entourent dans ces moments ?
Relents de notre excitation sexuelle, destinés à augmenter le plaisir de notre partenaire…

Sa main plane sur ma vulve, glisse comme une plume, des doigts s’insinuent dans mon vagin, longs, souples, agiles et déclenchent mon point G…
Je me tords, je monte mon bassin vers elle, sa bouche s’empare de ma vulve et elle aspire…
Je crie, je feule, je vagis…
Je me bats avec elle, la renverse, la terrasse et lui rends sa caresse, écartelée, ma langue plongée dans son calice, mes mains sur ses seins…
Elle me supplie de la laisser…
- Non, pas ça, c’est trop… Je pars !... Oh !... Ouiiiiiiii !....
Elle délire, se tortille, monte son bassin vers moi, tremble de plaisir et vit un orgasme biblique…

Marine est mon amour… Mon Kévin femelle…

J’entends une clé dans la serrure…
La porte s’ouvre…
Il éclaire la chambre…
- Alors ça s’est bien passé ?
- Mais où tu étais ?
- Bien, chez ma mère, en train… Tu le sais, elle s’est cassé un os de la main. Ma sœur est venue aussi, nous l’avons veillée à l’hôpital…
- Je t’ai cherché partout… Marine est venue à mon secours… Je n’arrivais plus à dormir, je suis allée à l’hôpital, à la police, je t’ai cherché dans la ville !
- Oh, chérie… Marine excuse-moi… Elle a dû oublier…C’est vrai qu’on s’est fait du soucis…
- Je vois, oui… Je peux venir ?

C’est reparti, Marine assoiffée de sexe, se donne à Kévin en levrette, à mon côté… Pervers, lubrique, il la laboure d’un sexe énorme, plein de désir et de sève…
Elle gémit, ondule de la croupe, accompagne ses aller-retours, la tête entre mes cuisses ouvertes…
Elle bouffe mon bonbon, comme ce soir, sa langue venant exciter mon clito, c’est divin !
Je commente mon plaisir, elle suit sa cadence, percutée par les coups de reins rageurs de mon mari…

- Oh oui ! Baise nous… On a eu si peur que tu sois blessé ou pire… Oh que c’est bon !
Viens dans ma chatte et tronche-moi en salope… Oh, oui, Marine, suce-moi encore…
- Kévin, oui, je viens… Je vais jouir de toi… Prends Véro, baise la fort, elle s’est fait un sang d’encre…

Je la laisse jouir sous les assauts de mon homme retrouvé…
Puis me mets dans la même position, la chatte grande ouverte, cuisses un peu écartées, une vrai salope…
Sa queue rentre sans effort, tant je jouis avec eux… Il enserre ses seins, en me serrant ; en me plantant son dard en cadence infernale… mon plaisir monte, monte…
Les lèvres de Marine l’accompagnent…
Les doigts de Marine s’insinuent dans mon fondement, et préparent mon anus…

- Encule-la… Fais la jouir de partout ta femme… Et fais lui un enfant, explose dans son con de bourgeoise, je sucerai ta bite… Allez ouste !

Je prends cher cette fois, il obéit à mon amie et me fourre en salope, m’encule comme une malpropre, en tenant mes seins et me donnant des claques sur les fesses…
Marine est passée sous moi et suce mes seins qui se balancent au rythme de nos ébats…
Elle suce et mordille mes tétons, et je jouis sans répit…

Je mouille comme jamais, il me prend de plus belle, s’enfonçant dans mon ventre, comme un cheval en rut…

- Vas-y, jouis dans son vagin, fais-la délirer dans ses organes de femme, envoie ta sauce au fond de sa salle de jeu… Imbibe-la de ton foutre de cavaleur macho… Comme tu le fais avec Marie-Cécile… Tronche ta femme comme ta salope de secrétaire…
- Non… Je… Fini… Elle est partie…
- Allez, éjacule ! Baise-la à fond, défonce son vagin, éclate sa chatte comme je viens de le faire… On s’aime tu sais, on se gouine avec autant de plaisir qu’avec les hommes…
- Vous allez me tromper pour vous venger ? Faire l’amour toutes les deux avec un inconnu ? Regarder des annonces sur Internet pour prendre des rendez-vous ?

C’est une idée, mais le voisin d’abord…
A deux ce sera encore plus bandant pour lui, et pour nous, bien, il est très bien monté le bougre !
Ensuite j’ai envie de partir un peu, avec elle, vacances et liberté totale, sexuelle, mentale, corporelle…

Oh, oui, j’ai envie de baiser d’autres femmes avec elle… Des couples, des jeunes, des bourgeoises sensuelles, des bien en forme, avec des seins énormes, dans des hôtels de luxe… Ou sur un yacht de milliardaire…

A demain, les enfants, j’ai sommeil, épuisée par mes rêves et mon repentir conjugal…
Entre mes deux nuits d’inquiétude, et mes séances de sexe, je ne tiens plus comme avant…

Voilà, je suis en forme, après mon petit-déjeuner, je téléphone à Marine…
On bavarde, on papote, on parle de Kévin….
Elle est comme moi, son excuse mère à l’hosto me titille…

- Il ment ?
- Ah, oui, quand ça l’arrange… Et il affabule aussi… C’est pour ça… Oublier son portable ? Je ne le crois pas, c’est un prolongement de son cerveau…
- Ça sent la morue de plus en plus ?
- Mouais ! Moi je ne les vois plus, depuis le temps…
- Quoi ?
- Mes cornes ! Je lui accorde 50/50… Il a sans doute pris le train, mais pas pour Paris…
- Il est où aujourd’hui ? Bureau ? Marie-Cécile ?
- Une affaire en cours, banlieue… Il a dit qu’elle est hors-jeu…

Marine prend son portable et tape le numéro du bureau…

- Allo, société JPT, que puis-je pour vous ?
- Karine Lemercier, je vous appelle concernant un plan déposé, où en est mon dossier SVP ?
- Je dois joindre mon patron, je ne suis pas encore au fait des clients…

Et là, elle prend un autre téléphone et ne coupe pas la conversation…

- Allo ? Chéri ? C’est moi… Mme Lemercier cela te parle ? Où en est son dossier ?
- A la poubelle, c’est une arnaque… Elle est chez nous ?
- Non, au tel…
- Dis-lui que c’est en cours et marque de la rappeler dès mon retour au bureau demain… Ah oui, appelle chez moi, préviens ma femme que je ne rentrerai pas ce soir, ici, c’est le bordel…

Le salaud ! Pas même les couilles pour me le dire en face…
Marine est écœurée…

- Tu as mangé les œufs ? Il est là ?
- Viens on va sonner…
- Qu’est-ce qu’on raconte ?
- La vérité, tu as besoin d’un coup en urgence…

Il est en peignoir quand il ouvre et est surpris de voir sa voisine coquine avec une autre femme toute aussi magnifique… Haut le corps, yeux perçants qui la détaillent…
- On peut boire un coup, on a une proposition malhonnête à te faire… Marine est mariée, mais ça va pas trop bien… Hier tu m’as redonné le moral en quelques minutes… J’ai pensé que tu pourrais la soigner… Qu’en dis-tu ?
- Oh, asseyez-vous au salon, j’arrive, je prends des boissons, café ou thé ?
- Non, jus de fruit ou sirop, eau fraîche et des capotes…

Le ton est donné, Marine donne le LA…
Elle passe sa robe par-dessus, dévoile son superbe ensemble slip soutif et se colle contre lui…

- J’ai de gros besoins, j’aime la bite, Véro ne me suffit pas… J’ai encore la chatte trempée, on vient de se frotter, son mari lui a encore posé un problème cornélien…
- Oui, une histoire de cornes…

Je retire la mienne, mon soutif, puisqu’il connait mes nibards, elle est déjà à poil, en train de caresser tendrement sa bite…
La séance va durer 1 heure et 28 minutes…

D’abord, Marine goûte au pénis, avec la main au début, avec moi, puis elle se penche et embouche l’objet de bonne taille…
On partage, il prend mes seins, elle s’assied sur lui, se frotte, se câline, et s’empale doucement sur le sexe bandé…
Dos à lui, et lui, c’est Gérard…
La bite glisse en elle, bout de chair au gland décalotté, aidée par mes doigts qui furètent et titillent…
Une fois empalée, elle bouge son bassin, avance et recule, provoquant une masturbation douce, très éprouvante pour le monsieur…
Sa chatte est humectée, coule son nectar, et il plonge dans un puits d’amour, déclenchant des bruits de succion, il devient accro, la serre en prenant ses seins, elle continue sa danse, inexorablement…
Devant ces joutes, je ne peux que les accompagner d’un doigt profond, bien mouillé…
Marine, prend mes seins et se penche en avant, la bite s’échappe, elle me laisse la place…
Je me mets à l’envers, tournée vers Gérard, et mon sexe s’ouvre dès le premier contact pour accueillir son membre bien huilé des sucs de mon amie…

J’y vais de ma cavalcade, les fesses écartées, la vulve dégagée, je le pompe avec précision, je monte à cru !...

Marine m’enlace, m’embrasse, on lui fait le coup de baisers bien baveux, de caresses bien lesbiennes, il bande comme jamais, le bougre, il est exsangue !

Marine lui présente sa chatte, il la bouffe, ses mains glissent sur le ventre, courent dans l’intimité offerte, il boit son calice, elle est écartelée, s’appuie au mur, jouit rapidement, des délices des doigts magiques de notre amant…

La langue se délecte de ses effluves, de son nectar, elle titille son clitoris, les doigts viennent attiser cette caresse et Marine nous chante des chants paillards, en se trémoussant, ouverte sur le visage d’un Gérard aux anges…
Pendant ce temps il recueille les fruits de mon action masturbatoire…
Son sexe est excité, énorme dans mon vagin et j’en jouis en silence, prise aussi par leur jeu devant moi…

- Oh, viens, fais-moi l’amour…

Elle descend et me le vole, à 4 pattes sur le sofa, elle lui offre sa croupe…
Il y plonge son dard d’un seul coup de rein, et la voilà partie pour des chants non liturgiques, mais des envolées sonores et criantes de ce qu’elle ressent… La queue s’agite, va et vient comme un piston, j’en profite pour glisser mes doigts dans sa vulve, caresser ses trésors, sentant entre mes doigts le membre qui grossit encore…
J’ai faim aussi…
Gérard me devance, je lui offre mes orifices, et ses doigts font le reste…
Deux louves affamées, qui se frottent, qui s’offrent à tour de rôle à un amant dévoué et lui aussi, très excité…

Quand on en arrive au plus intime, que je vois Marine, écartelée en levrette, qu’elle guide le membre dans son anus, ouvert par son amant, je jubile, et l’excite, la couve, la fiste, mes doigts puis ma main dans son vagin de lesbienne…

Ils me réservent la même punition, écartelée, sodomisée par un Gérard glouton, et une Marine savante, chercheuse en plaisirs féminins divers et variés…
J’atteins des paroxysmes, de vocalises, de tremblements, de jouissance, allouant à chacun, une part de mes trésors féminins, transpercée de flèches et de lances, griffée, doublement pénétrée, comme passée à la moulinette, la gorge enrouée d’avoir gémi sans cesse.

Que c’est bon de revenir normale…
L’excitation sexuelle assouvie, la tendresse contentée, les désirs calmés, l’esprit vagabond, entre deux sommeils, entre leurs bras, entre leurs cuisses, un savant entrelacement de corps alanguis…

- Bien, ça c’est fait, je me suis vengée… S’il baise à couilles rabattues, au moins j’ai rendu la monnaie… Et je me suis régalée, avec toi, avec Gérard… On a du le vider pour la semaine… Il était sans vie quand on l’a quitté !
- Oui, tu as pris ta revanche et moi ma part du gâteau, deux louves sur le marché du sexe…
- Une amie m’a parlé de yacht de rencontres en gens du monde… Poupées délaissées, épouses épuisées, ou volages, maris absents ou trompeurs… Ils et elles se retrouvent au port sur l’un des navires à quai… Un bar en particulier, organise, programme, et pilote ces « meetings » du sexe…
- Ouah ! Et c’est qui ta copine ?
- Elise, ma coiffeuse, elle est au courant de tout, sur tout, pour tous et toutes… Maladies vénériennes, sida, chtouille, et les autres… Cocufiages, scènes de ménage, divorces et j’en passe… Même leurs jours de règles, les lieux de rencontre entre amants, les nouveaux, les nouvelles, et les meilleurs et meilleures, celles et ceux qu’il faut baiser….
- Bien, je vois… Et ?
- J’aimerais bien vivre des moments insolites…
- Oh, je t’accompagne, qu’on s’amuse toutes les deux ensemble ou pas… Nous verrons… Et puis c’est excitant…
- Tu t’es bien excitée sur Gérard…
- Je ne pensais pas qu’il allait nous violer… il a ouvert ma rondelle, son sexe s’est glissé doucement dans mon anus, j’en suis restée baba… Je pensais à Kévin, en train de nous tromper… Il a accéléré, j’ai bramé comme un cerf !
- Nous ?
- Bien quoi, on constitue un trio, non ? Sautée plusieurs fois par ce couple merveilleux, commencé lors de soirées entre couples consentants… On s’est rapprochés tous les trois, et tu es devenue mon amante, et ton mari, mon amant passager…
- D’accord, c’est bien, c’est exact et bien pensé… Oui, Gérard nous a sodomisées avec élégance… Il l’avait fait avec moi, donc, il savait que j’aimais ça et par déduction…
- Oui, donc moi aussi… Il était magique, s’enfonçant tendrement dans mon arrière-train, mon tunnel étroit et humide… Je ne dédaigne pas avoir un coït anal de temps à autres pour réveiller ma libido…
- Pareil et de plus très rarement accordé… Mais qu’est-ce que tu n’as jamais fait, qui te brancherait ?
- Oh… Il faut que je trie… Des orgies c’est fait, qu’avec des femmes c’est fait, par plusieurs en même temps, c’est fait…
- Te faire violer ?
- Je n’y arriverai jamais, à un moment donné il faut que je participe, pour jouir de son sexe…
- Par un inconnu ? Dans un couloir, une cave, un squat, ligotée, BDSM, mais sans v******e, juste une menace, entourée d’hommes et de femmes…
- Habilement torturée, avec des plumes qui te font frissonner, en spectatrice, jusqu’à en jouir de plaisir… Ou BDSM, subir des outrages corporels, des fers, des pinces, des entraves,… Ressentir de la douleur, mais en confiance…
- On se rejoint, j’en suis au même point que toi… Il ne nous reste que quelques inconnues… Être emmenée dans un bordel… Avoir une relation maître/esclave… Plusieurs nuits entravée, souillée, en gang-band dans un parking… Faire ressortir mon côté sombre…

Oui, Marine est comme moi, à un carrefour de sa vie de femme…
On aime les plaisirs du sexe, le luxe, l’argent, l’alcool qui nous désinhibe, les joints qui nous font planer quelques heures, où on accepte de passer certaines bornes…

Mme Latour, Sophie ici…
- Que le vaut le plaisir ? 2 belles femmes dans mon établissement modeste, je suis à votre écoute, voulez-vous boire quelque chose ?
- Oui, un Gin Tonic, et…
- Un Mojito…

Un signe, et le barman s’affaire…

- Dites, on nous a parlé d’un navire, où le plaisir est de mise… Tous les plaisirs, destinés à combler vos désirs, vos fantasmes, des remèdes à la solitude, de simples moments de divertissement, voire de tendresse… Nous sommes là pour combler vos chagrins, vous faire oublier vos peines, vous montrer le droit chemin des plaisirs de la vie…
- Et du sexe ?
- C’est la clé, madame… Nous donnons à nos clientes les moyens de se libérer, oublier, tester, éprouver des instants de plaisir basés sur la sexualité… Elles peuvent choisir laquelle, le niveau, l’intensité, la durée, le nombre, de partenaires ou d’orgasmes…
- Et tout cela à bord d’un yacht ?
- Oui, en pleine mer, en toute liberté, on offre une sécurité et une protection maximale. Votre identité est préservée, vous seule vous souviendrez de vos actes parmi nous… Notre personnel est trié et absolument dans le secret des dieux…
- Et quand peut-on embarquer ? Devons-nous d’abord livrer ce que l’on désire, faire un tour de notre sexualité ? Nous dévoiler entièrement ?
- Juste un dossier, manuscrit et rempli ici. On vous rappelle et on vous donne le choix d’un planning…
- C’est long ?
- 1 jour à 1 semaine pour le courant, 1 mois pour de l’exceptionnel…
- Le prix ?
- Fonction des prestations… Entre 200 et 2000 euros…
- Ah, oui… La durée des séances ?
- D’une demi-journée à un week-end… On organise des mini-croisières, 1200 euros 3 jours, 2 nuits…
- Quels sont les choix possibles, par exemple pour un après-midi avec 2 autres personnes, ensemble ?
- Oui, c’est simple, c’est la base, notre navire permet ce genre de rencontres, vous choisissez votre ou vos partenaires dans un salon, et prenez une clé pour vous isoler, mais vous pouvez aussi passer dans la vitrine, et c’est gratuit, puisque vous offrez votre image… Si vous voulez rester incognito, on a des masques…
Pour les cabines, les clés sont classées par le nombre de participants et par le niveau de prestations…
Exemple, 2 hommes, 2 femmes, cabine simple, 250 euros… 2 hommes, 1 femme, cabine avec accès spa ou piscine 400 euros.
Nous avons aussi les bains ouverts, comme un hammam, liberté totale autour d’un bassin d’eau de mer… Douches, espaces occultés, et vestiaires pour chaque clé…

Hammam, tarif découverte, 3 heures, 160 euros avec serviettes et protections… Cela plaît beaucoup, les femmes choisissent leur partenaire, au pluriel aussi, dans des groupes.
Le nombre de clients est limité, nous assurons au moins la parité. Mais si vous avez des exigences, on se plie à vos désirs…

- Bon ! Donnez-nous votre dossier, on va s’inscrire…
- Et ici ? On peut s’isoler ? On est bien… L’ambiance, les clients…
- Au premier, il y a un club libertin. Droit d’entrée, valable un an. Puis 50 euros par séance… Consommations en sus, et toute autre option, listée à l’entrée…
- On peut tester aussi ?
- Oui, de 22 heures à 02h00. On a un service taxis…

On boit, on lit, on répond, on essaie de rester classique, abandonnée, trompée, cocufiée, on cherche de quoi nous venger…
Quelques incursions dans des disciplines plurielles sont possibles… Nous nous définissons toutes les deux comme bisexuelles, cherchant des partenaires de bon niveau social.
On coche les cases :
Partenaires : Hommes : oui et Femmes : oui
Nombre : 1 à 3 partenaires simultanés – Groupe : oui
Prestation désirée : Flirt, caresses, baisers, masturbation, cunnilingus, anulingus, éjaculation interne, pénétration vaginale, pénétration anale, double pénétration, échangisme, sandwich, trio, foursome, orgie, lesbienne, orgasmes, fessées, gorge profonde, menottes et liens, pinces de seins, jouets et godemichets, et d’autres…
Enceinte : non
Douleurs : léger
Coups / v******e : tapes / niveau 2 (secouage, coups de reins, tirage de cheveux)
Prestation donnée : les mêmes + tendresse + fellation
Niveau de sécurité : moyen : visible pour la session uniquement (Yacht) / Incognito si public accepté (Hôtel) – Pas de photo du visage et pas de vidéo montrant le visage.
Sans capote : non, la première fois

- Ouf, quelle journée !...
- Tu nous fais un café ?
- Ouais…

On a rempli le dossier, on l’a remis… On a reçu un numéro, un code…
Dans nos prochains contacts, courrier, SMS, appel phonique, code demandé…

Chacune notre dossier, anonyme, avec ce code d’accès. Il sera suivi d’une carte, après paiement, nous donnant accès à des zones dans le bar ou dans le yacht…

Les prestations seront payables par carte bancaire, en liquide, par virement, sur internet, avec mention du client ABC shopping…

Le lendemain, j’attends le retour de mon cocu…
Allongée sur le sofa, on gratte à la porte… Gérard !
J’explique, mais ses mains sont plus rapides, surtout sur le palier !

- Chut, le voisin est…
- En vacances, il est parti ce matin, m’adonné la clé pour arroser ses plantes.. Un mois…
- Viens !

Il ouvre la porte…

- Rentre… Si ton mari arrive, on l’entendra et on peut le voir, regarde, il a disposé un miroir, vue directe dans ta salle de bains et sur le sofa de ton salon… Va falloir te protéger…
- Oh, le salaud ! Il doit se régaler quand je prends la douche avec Marine…
- Vous vous caressez ?
- Oui, parfois… Mais on la prend ensemble, on se compare…
- Mmm ! Et quoi ? Tiens regarde, tu le verras si il s’assied… Monte sur l’escabeau dans le coin de cette chambre d’ami… Elle est mitoyenne avec la tienne et on peut sans doute entendre… Oh regarde, dans le placard, un micro ! Attends… Là, on doit écouter…

Il soulève mon tee-shirt, je fais une bonne tête de plis que lui… Il a accès partout, peut tout manipuler, et il masse mes deux seins, avec délicatesse… Je peux m’appuyer sur une étagère… Une main vient entre mes cuisses sous ma jupe… Et je sens arriver mes premiers gémissements…
Il baisse ma culotte… Je suis en face de lui, il écarte mes cuisses et sa langue vient titiller ma chatte… De bas en haut, de droite à gauche, sa main droite toujours refermée sur mon sein, les doigts excitent mon téton… Mes cuisses s’ouvrent, la main fait des aller-retours délicieux, et un doigt s’arrête, là où c’est bon !...
S’il me pénètre je vais crier !

- Attends ! Doucement !… J’ai entendu du bruit…

Le silence retombe, effectivement des bruits divers… Puis dans le micro… Oh il est rentré dans notre chambre et se change… Il va dans la salle de bain et met son linge à laver…
Il revient, je le vois bien…
Gérard monte sur l’escabeau avec moi… Il retire mon haut, me serre en pressant mes seins…Il s’est assis sur le sofa un verre à la main, il met la radio…
Il passe un coup de fil, mon portable grésille… Merde, il est resté chez moi, enfin à côté…
Dans l’entrée je crois…
Il fouille dans mon sac, posé sur le sofa… Mon téléphone !... Il n’a pas le code, mais voit l’appelant et c’est lui !...

Gérard me pousse dans le placard, j’ai un œil sur mon mari…
Je sens son sexe contre mon ventre… Le lit de la chambre est face à moi…
Des doigts ouvrent ma vulve, s’infiltrent, passent mon orifice vaginal, glissent, me remplissent, c’est atroce !

Sa bite vient de doubler de volume et de dureté !
Kévin est toujours sur le sofa, essayant d’ouvrir mon téléphone, il sirote une bière… Il a ouvert les rideaux et regarde par la fenêtre…

J’ai saisi le sexe entre mes doigts…
Il entre son pouce dans mon anus… Je gémis… Il me lutine avec ses doigts… Son pouce s’enfonce encore, je me laisse aller… Oui, c’est bon… Kévin a posé mon portable dans mon sac et a pris le sien…
Il se lève et quitte le salon…

« Allo ? France ? Je suis chez moi, ma femme n’est pas rentrée. Ça va ? Tu n’es pas trop fatiguée, tu as si peu dormi à cause de moi, cette nuit… Aussi, tu es trop belle et tes gémissements m'ont stimulé... »

« Oh chéri, c’est bon de t’entendre !... je pensais à toi en me douchant, maintenant je vais m’allonger… Je suis exterminée, tu m’as tuée, vidée de mon énergie sexuelle que tu as si bien sucé dans ma chatte… Ta queue l’a pilonnée comme une marteau-piqueur, les engins sur les chantiers… Et aussi grosse ! »

« Je vais faire des courses, à demain matin, Sirène sera là… Je t’embrasse… »

Il coupe et reste sur le lit… Pensif…

Ah, bon, en voilà une autre, il est bien allé à Paris, mais pas seul !...

Gérard écoutait aussi, attentif, une main dans ma chatte, sa queue dans la mienne, je reprends mon travail… Je l’astique… Il me soulève et m’allonge sur le lit, alors j’ouvre mes cuisses, lui présente ma vulve grand ouverte, il n’a plus qu’à se servir…

Puisque je suis cocue, retour à l’envoyeur…Allez Gérard, viens !
Son dard plonge en cadence dans mon vagin consentant, je feule, je me laisse embrocher, il caresse mes seins, mon ventre, me tourne, me reprend en amazone, empalée…

Il me couche sur le côté, toujours en moi et il m’astique, me lime, me baise…
Il enserre mes seins en me donnant des coups de reins, me pourfendant…

Le lit neuf, craque, il ressort de mon vagin…
Puis il pousse sa bite dans mon anus…
Il laisse passer le gland, et c’est le paradis !

- Que c’est bon Gérard ! Encule moi, je suis cocue encore… Ouvre ma rondelle, casse mon cul d’épouse restée trop fidèle… Ah le salaud, le pédé, qui va niquer ses poufiasses.
- Viens dans mes bras, jouis de moi, je suis ton ami, ton amant et j’adore te prendre sur le lit des autres !

Son membre se régale, je mouille de plus en plus, il titille mon clitoris, puis pénètre un doigt, avec son dard, dans mes entrailles… Il me tourne, puis revient me tourne et me baise, tenant mes chevilles, jambes tendues, genoux pliés, je le sens au plus haut point, pénétrer mon vagin délaissé…

- Ah le salaud, allez fais-moi l’amour ! Fais-moi crier, passe bien partout…

Comme un métronome, il m’enfonce son pieu encore et encore, me tournant dans toutes les positions…
Puis revenant à mon derrière, il m’encule de nouveau, en levrette, giflant mes fesses, à chaque pénétration, les claquant, les zébrant…
Je masturbe ma vulve à toute vitesse, et éjacule un liquide transparent, léger, limpide qui vient sur mes cuisses… je suis fontaine dans ces moments de rage et d’excitation sexuelle mélangée…

Il me lèche, me suce, puis s’enfonce dans mon vagin et va au bout, me portant à l’extase, un orgasme final bruyant, des coups de reins puissants, renversants…
Je suis à Gérard, noyée dans nos sécrétions sexuelles…

Quel chantier !

Plus aucun bruit au micro…
Personne sur le miroir du salon…
Mon téléphone sonne, c’est Marine, mais ne peut pas répondre. Elle laisse un message que j’entends…
« C’est bon pour cette nuit, si tu veux… »
« J’ai envie de baiser, c’est magique, je suis excitée comme une puce ! »
« J’ai vu une black sublime au comptoir… J’ai oublié de le mettre dans la liste ! »
« On mange ensemble ? Kévin est rentré ? »

Ensuite j’entends clairement :
« Salopes ! Toutes les deux dans le même panier ! 2 gouines ! Oui ! Allez vous faire ramoner !»
« Allo ? C’est toi ? J’arrive, on a la nuit entière ! Ce que tu as subi hier, c’était l’apéro !»

- Allo, Marine, c’est moi, c’est d’accord, il est reparti ce soir et je sais avec qui… Je suis bien cocue jusqu’à l’os, je viens de passer une heure avec Gérard, il m’a explosée, mais je veux battre des records… Alors on va baiser tout ce qu’on trouvera…

Dans sa voiture, elle explique ce qu’on nous propose…
Pour ce soir, c’est Club de rencontre…
Embarquement, réception dans le hall principal, spécifiquement aménagé…

Apéritif, buffet, boissons, salons privés.
Environ 40 participants triés sur le volet, parité H/F, durant une heure on fait connaissance, on danse, habillés… Puis ¼ d’heure de détente… Enlèvement des tables, plateaux boissons et grignotage pour le reste de la soirée. Ouverture des salons intimes en option, avec votre clé.
Le bateau revient à quai, la soirée devient nuitée. Descente 09h30… Taxis

Pour plus tard, sur rendez-vous :
Rencontre type C, avec 2 couples dont 1 couple black.. Cabine privée pour 6, clé moyenne (boissons comprises, musique, SPA, Piscine, pack corporel, savon, serviettes, etc…).

Une deuxième session de ce genre est prévue en fin de mois ?

Ils nous appellent en fin de matinée, sur le portable de Marine…

- Bonjour, j’ai compris que vous étiez impatiente de connaître notre yacht. Ce soir 21h00, au quai 6B. Grand salon ouvert, tout est compris, repas, danse, oreiller… On revient à quai vers 09:00, des taxis sont programmés, à réserver à l’embarquement…

Le salon est magnifique, des tables de 8 personnes, rondes, nappes blanches, et un grand buffet pour les apéritifs et le repas. Un seul plat chaud sera servi à table vers 22h00…

Les toilettes sont haut de gamme, les femmes assez bourgeoises, très classe, quelques jeunes autour de la trentaine…
Des hommes, de tous âges, beaux, souriants, un panel intéressant…
J’ai vu rentrer des couples… Je me détends…

Prises d’assaut dès les premières notes, on se fond dans la salle, le bateau est stable, on voit les lumières s’éloigner par les grandes baies vitrées…
Marine est proche de moi, discute avec son danseur, 40 ans, costume clair, chemise ouverte, châtain, yeux marron, bel homme…
Le mien lui ressemble, plus blond, plus cool, polo et pantalon de golf… Ses yeux bleus m’ont aguichée, je me laisse guider en faisant connaissance… Il a 35 ans…

- Je ne suis pas habituée à ces rencontres programmées… C’est ma première fois, j’ai suivi mon amie qui a eu des déboires conjugaux, et voulait se changer les idées. Nous avons découvert ce bar, avec ces sorties en mer haut de gamme, gage de sécurité et d’anonymat…
- Oui, moi c’est la seconde expérience. Je suis divorcé, depuis 3 ans. J’ai eu divers contacts, mais jamais le tilt. Je cherche soit de passer une nuit cool sans lendemain…
- Un coup d’un soir…
- Exact, pas de tracas, ni de sentiments, juste du ressenti, voir des regrets, mais il suffira de revenir… Et commencera le second but, trouver l’amour…
- Vous avez testé la phase 2 ? Les rencontres entre partenaires désignés ?
- Oui, 2 hommes, 3 femmes et moi… A 6, cabine, spa, piscine commune, etc…
- Sensation ?
- Mitigée, pas de choix de partenaire… Et vous ? déception, trahison, vengeance ?
- Un peu de tout ça… Ajoutez, très prise, timide, un peu perdue…

Les yeux bleus me font chavirer, il n’est pas 22h00… Il danse bien, puis des slows, ou parfois du blues, quelques danses entraînantes, un rock doux, il me le fait faire, on s’entend bien… Je suis heureuse et Marine semble aussi apprécier son partenaire…

On dine, on s’assied tous les 4, regards, vin, danse…
Ils nous apportent à boire, des gâteaux délicieux, après le plat chaud, genre poissons grillés, légumes de saison, très réussi…

Une annonce…
La phase 2 va commencer, tables retirées, salle agrandie, cabines et vestiaires, déverrouillés, on est en pleine mer… Lumières éteintes, on s’habitue…

Ses mains s’égarent, son baiser est doux, il me serre contre lui…
Je me sens fragile, je vais faire l’amour avec un inconnu…
Il rentre sa carte, la porte s’ouvre…
J’ai invité Marine et son copain à partager notre cabine…

On s’assied sur une couchette, Marine et moi…
Ils nous encadrent, nous embrassent, nous dézippent, rangent nos vêtements, on s’allonge en sous-vêtement, il me dégrafe, mon slip s’envole, je suis à lui… Marine aussi…

On s’occupe de leur sexe, bandé, longs tous les deux, presque jumeaux… Ils caressent nos seins, à leur portée…
Marine s’allonge sur le dos et lui offre son sexe…
Je fais de même, cuisses ouvertes, mon bonbon dégagé et les premiers émois, les premiers râles, sous leurs langues tendres, leur bite droite, que j’arrive à dorloter…

Mon désir est là, j’ai envie de lui, je me mets en 69 pour partager nos sensations…
Mes lèvres glissent sur la hampe, le gland est charmé par ma langue, je le suce lentement, gardant l’objet en érection maximale… Je tente une gorge profonde, c’est vrillant, sa langue aplatit ma chatte, l’ouvre comme une huitre, savoure mon clitoris, c’est le départ vers le XXX…

Il me salive, je le déguste, il me doigte doucement, je le masturbe, saisissant ses bourses…
On s’entend bien, on se jauge, il est doux, agréable, ses doigts s’enfoncent dans mon vagin, je suis prise… Je râle… Je sens l’orgasme arriver…
Que c’est bon de jouir…
Marine en est au même point, sauf, qu’elle a écarté ses cuisses, s’est retournée, et il la prend devant moi, son sexe glisse dans l’abricot… C’est divin, elle feule, il la fourre, gros besoins, il s’enfonce en cadence, il la lime…
- Tu en veux aussi ?
- Oui… Viens, prends-moi…
Qu’il est doux quand sa queue me pénètre,
Comment vais-je réagir à cette pénétration intime ?... C’est toujours un mystère…
Les doigts ont fait leur travail et son sexe coulisse comme un métronome, des aller-retours calmes, puissants comme j’aime…
J’enroule mes jambes autour de ses hanches et je jouis en silence, me laissant porter par la vague du plaisir…

Doucement, excitée par les délires de Marine, toujours aussi prolixe…
Ses vocalises nous boostent autant que nos amants…
Le mien n’y échappe pas et enfle plus que précédemment…
Il accélère son rythme, proche du pilonnage…

Mais je ne me contracte pas, au contraire, je m’ouvre encore plus, ma vulve collée à son pénis, il n’a que peu d’espace pour coulisser, je me serre contre lui, mes seins frottent sa poitrine, il va exploser si je n'y prend pas garde...

Marine vient de le faire… Elle vient d’orgasmer devant nous, vivre son coït avec passion, son partenaire très tendre a augmenté son plaisir, j'en jouis aussi en me mettant à sa place...

- Tu as des principes ?
- Non… Si je comprends bien le sens de ta question, non, je n’ai pas atteint de limite pour l’instant au cours de ma sexualité. Certaines, je les ai repoussées et si j’en rencontre une nouvelle, je te préviendrai… peut-être ou non…

Ses doigts glissent autour de ma vulve, il se retire doucement, créant un vide immense, j’en fais mon deuil…

Il me préfère en levrette pour la suite… Il guide son sexe vers mon second orifice…
Je me positionne, indécente, cette fois, je me couche de côté, comme il me le demande…
Les fesses contre lui, mon anatomie offerte, et bien accessible…
Ses mains enserrent mes seins, il caresse mon corps, mon ventre, mes cuisses, jusqu’à remonter dans mes reins…
Doux, enivrant, je tangue dans ses bras, pelotonnée, puis sa main s’insinue dans mon intimité, dit bonjour à mon clitoris quelques minutes, puis répand mes sécrétions autour de ma porte arrière, très bien soignée, déclenchant mes premiers émois anaux…

Le gland me pénètre doucement, franchit ma rondelle… Je me laisse faire, je luis obéis, je le suis comme pour une danse…
Il progresse au rythme de notre balancement, il est en moi et ses bras reprennent mes seins, jouent avec mes bouts érigés par mon désir…

Le va et vient est doux, je ressens sa queue dans tout mon être, elle déclenche des sensations de plaisir, de désir, entretenant mon excitation sexuelle…
J’ai même envie de masturber ma chatte…

Il vient sur moi, remonte mes jambes, s’offre la vue panoramique idéale, mon troufignon, planté par sa bite et ma zézette grand ouverte, mon anatomie excitée, les lèvres gonflées, sans doute encore ouverte, voire béante, suite à sa pénétration…
L’absence de touffe, de poils, un pubis décoré d’une ancre, presque destinée à me rappeler ce yacht et cette première baise de folie à 4…
Je luis plais sous cet angle aussi, … Il me bouge, il me fouille avec son dard, me soulève de nouveau, presque en arbre droit et me baise plus macho, plus fort, plus…

- Oh, oui ! Viens ! Je jouis !

Il me repose, et passe sa tête dans mes trésors, comme pour calmer leur peur, d’être désintégrés !

- Ah, je t’en prie, prends-moi de nouveau, j’ai besoin de sexe…

Alors il revient dans mon jardin secret, et me sodomise avec frénésie, ne calcule plus les limites, je sens juste un autre sexe, qui vient s’enfoncer dans mon ventre, on me tourne, on me place et leurs 2 membres me prennent en même temps, Marine, me sourit, une main dans sa chatte, tandis qu’ils me mettent sur orbite, je ne vois plus rien, ni ciel, ni limite, je jouis d’une intensité rare, 2 orifices explosés de concert, et mes vocalises triplant de volume, nos deux amants me violant comme des bêtes…
Pilonnée, enfantée, couverte de sperme, orgasmée, une bite dans la gorge qui finit la séance, et explose le reste de semence, comme dans un film pour adultes avertis…

Marine me lèche devant eux, me lave avec sa langue, me nettoie de mes souillures…
Se cambre, vient se frotter contre moi, lèche ma poitrine, tête mes bouts, les masse…
Puis se love contre moi, dans la même position que j’étais, sur le côté, sa chatte exposée…

Le premier, c’est le mien, Roland, venant déjà me cocufier sous mon nez… Des mains massent ses seins, elle ondule contre son assaillant… Elle est prête, soulève une cuisse… Son dard pénètre son côté sombre, elle en tremble de plaisir, me sourit, ferme les yeux, et le coït anal commence… Marine est pilonnée, enculée, par des coups de reins de macho, des ruades, elle en jouit comme moi, se contorsionne de plaisir, un ou deux doigts dans sa chatte par son second amant…

- Viens aussi, Julien, prenez-moi en salope, je suis venue ici pour tromper mon mari, je n’ai aucun remord, violez mon anatomie, faites-moi jouir comme une femme du monde qui donne son cul pour gagner les honneurs…

Ils se déchainent sur elle, la tournent en levrette, la mettent en amazone, la montent en sandwich, explosant ses entrailles, son minou éclaté, des cavalcades effrénées, muette de bonheur…

Il est 08h00, il est temps de se lever, de faire toilette et de déjeuner…
On a dormi 6 heures… On n’a rien vu d’autre, que de baiser avec 2 malades, qui nous ont atomisées, de vrais acteurs de porno…

Kévin est rentré quand je rentre, il a pris une douche et part au bureau juste vers 10h00…
Je plane un peu, il n’a pas eu trop le temps d’échanger, mais il m’a toisée, comme si j’avais la peste…
Juste une réflexion sur le pas de la porte :
- Il faut qu’on en parle…
- Oui, mais tu te défiles…
- Bon un quart d’heure… Voilà… Au fait, tu as passé une bonne soirée et une bonne nuit, avec Marine ? »
- Euh !... Oui, excellentes toutes les deux… Le film était génial… Et la nuit toujours prenante… Comme la tienne sans doute…
- Tu me raconteras…
- Et toi, ton voyage éclair ?
- Rien de spécial, un contrat signé. J’avais emmené Sylvie, ma nouvelle assistante, elle a du ressort cette fille…
- Et Marie-Cécile ?
- Elle ne fait plus partie du personnel.t
- Oui, mais tu peux la voir en-dehors, et tu ne lui as pas interdit ton bureau, que je sache…
- On en parle à midi, tu seras là ?
- Oui, j’ai rendez-vous ce soir avec Marine, elle m’offre un repas VIP sur un yacht…
- Tu restes avec elle cette nuit ?
- Je ne sais pas, ça dépendra des opportunités…
- Pourquoi tu dis ça ? Tu veux me quitter ?
- J’y songe puisque tu me trompes à tour de bras ! Alors je fais pareil… Je prends des amants…
- Quand je baise Marie-Cécile, c’est ton cul que je prends… Tu es toujours là… Ton image dans ma tête, ta voix quand tu jouis, ta chatte rosée, tes seins blancs et si doux…
- Mes amants les apprécient aussi… Tu le sais, tu m’as vu baiser avec d’autres depuis 5 ans… Même que ça te donnait la pêche !
- On va trop loin… Je te propose une trêve… On part trois jours tous les deux dans un paradis, genre Deauville, Saint-Tropez, La Corse…
- Oh !... La Corse et ses plages sublimes… Me faire bronzer nue dans les calanques de Piana… Me baigner dans la Restonica… Le soir, au restaurant, m’enivrer de rosé, au point de caresser ton sexe sous la table, comme avant, puis sortir s’allonger dans le maquis… Rien que Toi et Moi… Ressentir ton amour, quand tu m’enlaces, quand tu retires mes sous-vêtements… Puis ton désir, quand tu m’idolâtres, embrassant chaque centimètre de mes zones sensibles… Ressentir ton sexe me pénétrer… Me laisser bercer, m’envoler planer, voguer, jouir… Enchainer les extases, les orgasmes, te câliner, ton sexe remercié de m’avoir donné ta semence…
Le sucer, le régénérer dans ma gorge, jusqu’à gicler au fond de ma glotte, et sur mon visage, en riant de nos ébats, cachés dans l’herbe haute aux senteurs de myrte et de thym…

Il me sourit, bouche bée… Il s’approche de moi…
Son regard triste me fixe…

- N’y va pas ce soir… Viens à 20 heures à mon bureau. On ira dans la montagne, apporte un duvet, je me charge du reste…
- Tous les deux sans compromis ?
- Tous les deux sans artifice, ni parenthèse, ni promesse, juste une nuit à nous, ailleurs, libres…

J’appelle Marine…

- C’est Kévin… Il m’a fait une proposition… On arrête tout… Tous nos délires, nos soirées, nos baises, nos sorties, nos tricheries, et pour nous tester, ce soir, 20h00 à son bureau… Il me réserve une surprise… Que nous 2, des duvets, et c’est tout…
- Oh ! Il redevient amoureux ? Ses putes ne lui donnent pas plus que toi ? Vas-y, je me débrouille… Sois toi-même, fais-le, sois heureuse…
- Mais je suis heureuse avec toi aussi.
- Alors il faudra me négocier…
- Je t’appelle dès mon retour demain…
- Moi aussi, je pense que je vais aller au bateau quand même, pour me venger de Kévin qui n’a pas pensé à moi !
- C’est vrai, il oublie vite… Il t’a bien baisée !... Tu iras dans la salle revoir nos amis ?
- Je crois que oui… Ou bien j’en teste d’autres… Je peux aussi participer sans rien changer, nous serons 2 femmes au lieu de 3…

A 20 heures, j’ouvre la porte de son bureau…
Il m’attend, se lève…

- Tout n’est pas perdu alors, pour moi… Tu as réfléchi ?
- Oui, on est allés trop loin… Nos soirées étaient tranquilles, on baisait sans tromper l’autre… Il y avait du sexe, de l’alcool, et même du shit… Mais cela t’a émoustillé et tu es allé voir ailleurs sans me le dire…
- Je crois que j’ai été attiré par Marie-Cécile… L’avoir sous les yeux toute la journée, et elle me cherchait… Parfois elle était si décolletée, qu’il me semblait la voir nue…
- Et tu as craqué…
- Oui, une robe très sexy, sans rien dessous, elle mettait ses seins sous les yeux quand elle se penchait vers moi… Et j’ai vu sa chatte, quand elle s’est penchée pour prendre un dossier, j’étais fasciné, j’ai plaqué ma main… Je lui ai demandé si elle voulait baiser, elle a répondu qu’elle n’attendait que ça aujourd’hui, son mari avait découché cette nuit…
- Tu en as profité pour la consoler…
- Oui, un remède…
- Un suppositoire même…
- Oh ! C’est imagé, mais c’est exact, elle a voulu une sodomie, pour le punir par la plus intime de ses entrées…
- Au bureau ?
- Non, à côté… Entre midi et 2… Je lui ai explosé son cul de salope, car elle a été explosive, surexcitée, une furie… 4 heures de baise…
- Tu t’es régalé… Je t’ai surpris, un jour… Tu baisais une femme contre l’armoire en métal, robe relevée, seins nus, elle braillait sous tes coups de queue, comme une chienne en chaleur… Ecœurant… Alors je suis ressortie, et je me suis vengée, avec Marine, puisqu’elle a connu les mêmes déboires…
- Bon, je conçois… On continue nos soirées ? On peut les intensifier, les diversifier, mettre en place d’autres règles, pour échanger ensemble, ou pas… Mais on se dit tout, si on a un crush en dehors. Une irrésistible envie de baiser… Je t’aime. C’est un fait et chaque fois que je suis avec une autre, je me sens en faute et n’en profite qu’à 50%...
- Je veux bien, moi aussi… Tu me manques… J’ai joui avec d’autres hommes, Marine est devenue mon amante, ma confidente, on partage tout, j’aimerais et elle aussi que cela continue, faire l’amour avec nous 2 ne doit pas te gêner…
- Marine est adorable et très sensuelle et c’est un plaisir que de la partager avec toi. Tu as besoin de ce côté féminin dans ta vie sexuelle ?
- Oui, et elle aussi, nous sommes devenues fusionnelles… J’aimerais qu’elle vienne plus souvent chez nous, partager mon lit avec toi… Elle a besoin d’amour aussi…

Nous convenons de nous remettre ensemble, qu’il rentre directement à la maison et moi aussi. Et qu’on se téléphone en cas de problème.

A partir de samedi, nous redeviendrons un couple « normal », enfin, un trio presque normal…

Samedi soir, on prépare notre soirée de retrouvailles avec notre groupe d’amis d’avant et Marine, sans son mari…

Jonas est la mari d’Isabelle.
Tous deux cadres supérieurs dans la finance, le commerce et le management… Entre 33 et 41 ans, comme tous ceux que l’on va croiser ce soir…
Isabelle est une déesse… Elle est grande, fine, sensuelle, des seins moyens, mais pleins et durs, un peu tombants sans soutien… Ils grossissent quand elle jouit ou quand on les masse en titillant les tétons…
Sa chatte est rasée, le pubis arbore une simple ligne verticale de poils blonds…
Cuisses longues et fuselées, sur des hanches galbées, une vraie sirène, un mannequin…
Je l’ai croisée dans une des soirées, elle était empalée sur un de nos amis…
Elle ondulait son bassin sur le sexe, qui la pénétrait en cadence, fermant ses yeux verts, le visage épanoui, encadré de ses cheveux blonds…
Elle me regardait en jouissant, heureuse, perdue, sans doute un peu ivre ou droguée…

L’homme profita d’elle un long moment, ceinturant ses seins, se laissant masturber par le sexe infernal de cette liane insolente de beauté…
Je sentis glisser une main entre mes cuisses, et je détournais mon regard de ce charmant et érotique tableau…
Jonas suivait les mouvements de sa femme…

- C’est beau non ? Moi, c’est Jonas… Elle c’est Isabelle, ma femme… Nous sommes assez libres de mœurs, mais cela me touche de la voir se livrer… Elle me donne envie de faire l’amour… De glisser mon sexe dans la chatte d’une amie consentante… De ressentir avec cette amie, ce que ressent le garçon qui entreprend ma femme ou se laisser bercer par ses caresses intimes…
- Mon mari, c’est Kévin et c’est lui, sur lequel est assise Isabelle…
- Il a un sacré mandrin, car elle ne le quitte plus…
- Je sais, pour le pratiquer intensément… Et vous pouvez remettre les pendules à l’heure, en vous asseyant ici, pour que je puisse vous pratiquer la même caresse…
- Cette position me charme, on le fait souvent sur un lit, plus rarement ainsi, sur un fauteuil…
- Moi c’est Véro, nique est mon suffixe…
- Fabuleux !... Vous êtes aussi belle que ma femme…
- Et aussi vicieuse sans doute…

Il s’est assis, ma bite tenue en main, droite, attendant son complément féminin…
Je me positionne sur lui, chatte ouverte et bien trempée par le tableau devant nous…
Je m’assois, je la sens rentrer… Progresser, et me remplir sans complexe, autant que celle de Kévin… 18 à 20 cm…

- Nous en sommes au même point et le ressenti est enivrant, je me sens gonflée de l’intérieur…
- Tu la prendras dans la bouche, dans la soirée, mais je t’en prie, fais ton travail…

Je remue gentiment, copiant la cadence de notre vis-à-vis…

Il durcit, gonfle un peu, m’aide à progresser, remuer mon bassin, gâter sa queue brûlante de désir…
Isabelle me sourit, sans doute renseignée par Kévin, de cet accouplement croisé et fortuit de nos couples…

Elle semble soudain plus active… Comme poussée vers un palier supérieur, dans sa quête de plaisir…

- Elle veut le faire jouir en elle…
- Il est endurant…

Son sexe gonfle encore en moi, ce scénario devient si prenant et excitant…
J’ondule pour le faire exploser… Je le pompe de tout mon sexe, serrant sa bite avec les muscles de mon vagin…

Elle s’est tournée vers lui, toujours empalée… Et se fait jouir du membre de la même façon…
Face à face, elle frotte ses seins à lui, resserre ses cuisses…
Je fais pareil… Et c’est intense et jouissif…

- Tu aimes ça, toi aussi…
- Oui, trop bon ! C’est pour ça qu’on fait des soirées échangistes…
- Nous aussi, on se fait des scénarios, elle me raconte, et moi aussi…
- Ah, oui… Complicité sexuelle… Cela augmente la libido !
- Exact… Oh tu es féline…
- Baise-moi comme tu veux, montre-lui qu’on s’entend bien, elle va en baver de jalousie…

Il me tourne en levrette, me saillit…
Sa queue rentre à fond dans ma salle de jeux…
Il masse mes seins en me prenant comme un bête, et je jouis vertement, et sonorement…

- Regarde, ils font pareil et c’est ton mari qui mène la danse…
- Oh ! Elle va prendre cher… Il peut aller loin comme ça, détruire sa chatte…
- Tu aimes la sodomie ?
- Bien sûr, et je suis aussi bisexuelle…

Il ressort de mon minou, flatte mes fesses, étale la mouille et entre dans mon fessier…
Sa bite devient énorme à l’idée de me sodomiser…
J’écarte mes fesses avec mes mains…

- Viens ! pousse…

Il plonge dans mon rectum, en fait son terrain de jeu, active le mode Guerre, et me fourre avec passion, électrisant mes organes, soulevant des ondes dans mon ventre, tapant mes fesses avec son pubis !...

Multi orgasmes annaux… Je suis explosée…

Isabelle me regarde jouir, elle se donne à Kévin, écartelée, les fesses en l’air, il monte et la pulvérise...

Je sais ce que c'est, j'y suis souvent passée!...

On va en rester là… A 1 partout…
Ils nous ont couvertes de sperme, anus dilatés, vulves rougies et gonflées, un traitement de professionnels pour 2 salopes surentrainées…

Pour la suite, je veux des doubles pénétrations…
Je veux les sentir exploser mes 2 orifices, jouir de leurs queues ensemble, perforée, griffée par ma nouvelle amie dont j’aimerais bouffer la chatte pendant que les hommes me détruisent…

Après une heure de babillages à 4, de boissons régénératives et stimulantes, de quelques endormissements brefs mais lénifiants, nous montons au premier, dans une chambre confortable et isolée, avec un immense lit…
Douchées, pomponnées, je m’allonge au centre du lit et les invite à reprendre notre séance.
Isabelle suce son mari, je suce le mien…
Deux fellations de princesses, leurs dards reverdis, on change de partenaire…
Je me soumets la première, Kévin sur le dos, je m’empale sur sa bite, mon fessier en l’air, mon petit trou resté ouvert montre le chemin à mon second amant de ce soir…
Il me refait…
Il plonge, et les deux se mettent à me pistonner, une cadence de sénateur au début, mes nerfs à vif, ma sensualité au top, Isabelle s’occupe de les booster, empoignant leurs bourses, guidant leurs vits trop pressés, je me sens occupée, attaquée, violée et je crie mon plaisir de jouir dans tout mon être…

Cela ne finit pas, ils se calment et comme la tempête, reprennent de la vigueur et martèlent mes orifices, poussant de toutes leurs forces pour me pénétrer jusqu’à la moelle !

Je retombe, épuisée, en sueur, je ne sens plus rien de mes zones sexuelles, je suis allongée sur le côté, sentant juste mes compagnons dans mon dos…

Il est 5 heures du matin quand j’ouvre un œil… Envie normale…
Nous sommes par couples, mais échangés… 2 lits, tout est calme, tout le monde dort, nu, dans des positions sensuelles ou sexuelles, des enlacements, des mains abandonnées sur des seins lacérés, les cuisses d’Isabelle encore ouvertes, la main de Kévin à sa porte…

L’eau me fait du bien, glisse de partout… Je me sens rafraichie, et me recouche contre Jonas…

Aussitôt sa bouche vient sur la mienne, je lui accorde le baiser, le lui rends…
On s’échauffe, il bande… Je le suce, il me met en 69 et sa langue me fait jouir…
On se touche, on se lèche, on se suce, on se branle, on s’embrasse, il me baise…
Il n’est pas venu… Mais s’est retourné…

Je me touche, on me lèche, on me suce, on me branle, on s’embrasse, elle me baise, me masturbe, me fait jouir du clitoris, un doigt dans mon cul…

Je la cherche, je la lèche, je la suce, je la branle, je la baise, la masturbe et la fais jouir, nos sexes emboités, nos vulves détrempées par nos jeux lesbiens…

On se rendort ensemble, étroitement serrées, entrelacées…
J’ose un doigt pour la remercier, elle me dit d’accord, on se doigte, on va plus loin, on en jouit de cette sodomie intensive, dans une position vulgaire, deux femmes empalées par une bouteille en plastique, longue et dure, un genre de gode improvisé, fiché dans nos anus épuisés…

Quel pied cette soirée !

Si Marine fut de loin ma préférée, Isabelle fut ma découverte de cette année…
Son corps parfait, son intelligence, sa sensualité, notre connivence, cette soif mutuelle, la portent au sommet de mes rencontres lesbiennes…
Kévin partage mon ressenti, il n’y a pas beaucoup de femmes de son niveau dans nos soirées…
Quant à son mari, Jonas, il a été à la hauteur et arrive aussi dans le top de mes amants préférés…

Isabelle et moi, le lendemain, déjeunions ensemble, pendant que les hommes se détendaient à leur façon, au jeu de pétanque…

Nous étions d’accord. Nos réflexions nocturnes étaient identiques…
On parlait d’une nouvelle amitié, simple, entachée d’un peu de complicité lesbienne.
Elle me parla ouvertement…

- Je n’ai pas l’habitude de dévoiler mes pensées, encore moins mes sentiments. Je suis DRH au sein de la société et même si ce n’est qu’une agence, celle de Montpellier, j’en assume la direction administrative, avec 300 personnes sous ma responsabilité. Des histoires, j’en démêle, j’en découvre, j’en solutionne, j’en suis saturée…
Chaque individu est différent, et j’essaie de faire la part des choses derrière un règlement, des décisions…
Mon mari n’est pas au courant des détails, il est responsable commercial, on a des vies séparées au sein de l’agence…
Je réfère au PDG, lui au Directeur Commercial… Nous n’avons pas les mêmes horaires et ne travaillons pas dans les mêmes bâtiments…
Donc je suis seule… Ce qui contribue à mon style, mon apparence, mon armure de travail…
Tout ce que je prends dans la gueule, c’est pour moi… Je ne peux pas déverser mon fiel, me défouler sur quelqu’un ou au moins me confier pour faire baisser la pression…
Je dois être exemplaire, femme parfaite, aucun accroche possible, aucune casserole…
Je passe mon armure en me levant et la quitte en rentrant chez moi. Même au supermarché, même chez le coiffeur, d’habitude un mieux d’échanges salace…

Donc, quand je viens ici, c’est pour me libérer…
Mes nerfs se détendent, mon corps est pris par d’autres intérêts et mon esprit s’évade… Mes pensées se résument à des images, des fantasmes, du ressenti très fort, très intime que je n’ai pas l’occasion de raconter non plus…

Mais je suis femme… Dans mes nuits solitaires, conjugales, j’ai besoin de réfléchir, de me sentir libre, femme, amante, épouse, amie, maman que je ne suis pas…

Cette nuit tu es venue me hanter…
J’ai rarement, depuis dix ans, ressenti un sentiment aussi clair, évident, une attirance aussi forte envers une personne… De plus une femme, ce qui est pour moi la pire des choses dans mon boulot…
Elles sont sensibles, revanchardes, cruelles, changeantes, têtues, impossibles à gérer, à cerner, il faut appliquer des mesures spécifiques, des règlements adaptés, des zones, des équipements, qui leurs sont réservés.
Les hommes sont plus simples, directs, évidents, c’est oui ou non, blanc ou noir…

Toi, tu es limpide, droite, sensuelle comme moi, ouverte plus que moi…
Tu aimes la vie, les plaisirs, la fête, les vacances pour retrouver ta liberté et tes soirées délurées pour ta libido…
Nous nous ressemblons beaucoup, Jonas l’a remarqué et a apprécié dans tous les sens du terme…
Je pense que tu vas intégrer le cercle de mes intimes, mes amies…
J’en ai 2 : Ma mère qui devient âgée et ma sœur, qui habite loin de chez moi…
En dix ans de responsabilités diverses, mes anciennes copines se sont mariées, sont parties, et je n’ai trouvé aucune remplaçante sérieuse et dénuée d’intérêt…
Au bureau, certaines seraient fréquentables, surtout une, ma secrétaire, mais je me l’interdis… Nous devisons d’égale à égale, plaisantons, ce qui me détend un moment, elle est gaie, intelligente, fine, agréable de surcroît… Elle supporte mes humeurs, s’efface quand il le faut, puis revient, d’une voix agréable, juste pour m’aider sans rien espérer en retour…
- Merci, et j’ai les mêmes déductions, toi aussi tu fais partie de mes coups de cœur, comme un coup de foudre, profond affectif. Je t’ai appréciée dans notre coït, dans nos envolées, nos actes, nos caresses… Et maintenant tu me manquerais si on devait se quitter…
- Exact, je ne veux pas te perdre de vue… Donc on s’échange nos coordonnées et on devient copines, amies, amantes… Pas logique, mais si évident…
- On ne se sépare pas alors, demain ?
- Non… Mais on peut agrandir notre cercle pour satisfaire notre libido, on se côtoiera pendant nos exploits sportifs… Ah, oui ! Le double team que tu as proposé, j’ai adoré ! J’avais rarement accepté… Jonas est conquis par tes charmes et tes échanges… On se ressemble lui et moi… Kévin est pareil. Respectueux, tendre, il cherche le plaisir de sa partenaire autant que le sien… Il m’a enchantée par sa connaissance de la femme et de ses zones sensibles… Faire l’amour avec ton mari est un pur plaisir… Comme avec toi…
Je prévois un week-end pour nous 4, dès la rentrée, pour revenir en arrière de quelques semaines, nous souvenirs et nous rapprocher…
- Oh, oui, avec plaisir de se revoir tous les 4… Vous nous plaisez beaucoup, Kévin est très attentif au couple. Il aime me savoir respectée, me voir jouir, me lâcher quand je me sens bien, en toute complicité avec mes partenaires…
- On n’a pas beaucoup d’amis intimes, alliant le sexe, la complicité comme tu dis si justement, ce lien qui fait que l’on se trouve bien avec les personnes… Aucune arrière-pensée, juste des échanges de fluides… Mais maintenant, un rien de ressenti en plus, avec vous 2, savoir que vous m’appréciez pour autre chose que mes fesses ou ma chatte, le fait que je me livre sans filet, pleinement, c’est jouissif au possible et rassurant, cela décuple mon plaisir. Partager avec mon époux cette soif d’évasion physique est une drogue, je me libère, aimant donner et rechercher des sensations nouvelles pour moi, et du plaisir pour l’autre…
On aime tous les plaisirs de la chair, la cuisine, la gastronomie, l’œnologie, le terroir, les produits de gens aimant leur métier, on aime rencontrer ces acteurs de notre patrimoine…
Jonas est un fin connaisseur en vins, et moi, je suis bonne cuisinière, seul le temps me manque pour progresser…
On aime la nature, nous retirer loin du monde, vivre à son contact, entourés d’animaux, au milieu de la flore…
Nous partons en randonnée pour découvrir ces paysages, aller vers les artisans, les bergers, les éleveurs, les gens de la terre…
Et, en infatigable jusqu’au-boutiste, partager leur histoire, leur sensibilité, même si je dois les y amener en jouant de mes charmes, en y ajoutant mon pouvoir de séduction…
- Tu aimes te faire caresser par un berger, aux mains sales et caleuses, sucer sa queue, devant ton mari ?
- J’essaie de le faire discrètement, dans l’écurie, dans la paille, entre deux moutons… Je sens cette rusticité, je jouis de ce que je déclenche… J’aime les exciter, leur montrer mes seins, ouvrir mes cuisses, découvrir mes fesses, jusqu’à ce qu’ils craquent, sortant leur bite pour me fourrer sans délai ! Un coït bestial, puissant et parfois anal…
Ils me confient alors leurs ennuis, leurs peines, leurs désirs, et plein de rêves…
- Tu me mets l’eau à la bouche…
- Si cela te dis, on pourrait le faire tous les 4, partir en montagne… On s’égarerait toutes les 2 sous un prétexte futile de shopping, 1 heure ou 2… On reviendrait à l’hôtel, ivres de sensations… Et on se donnerait à nos maris pour reprendre des forces… Simple baise conjugale d’équité… Puis repas déluré et soirée sexe…
- Arrête, je vais couler en me remémorant les images que tu génères… Ma vulve est déjà imprégnée de nectar poisseux…
- Viens, je ne vais pas gâcher…

NDLA : Je vous donne rendez-vous dans un prochain texte intitulé « Isabelle et Véro en montagne », qui décrira les échappées libertines d’Isabelle et Jonas, accompagnés pas leurs nouveaux amis…

C’est immoral, deux femmes qui se trémoussent, puisant dans l’autre les secrets de la fécondation… Du nectar, au jaillissement de sa fontaine, je la comble de plaisir féminin.
Ecartelée sur le lit, après plusieurs orgasmes, Isabelle revient à elle…
J’ai gardé mon sang-froid, me laissant emporter un instant, et reprenant les rênes pour la remercier de ces instants précieux…
Mais elle cherche mon point faible, ne veut rien me devoir, et surtout, cherche à me fournir en orgasmes…

C’est fait… Epuisée d’avoir gémi, mon corps douloureux de mes contorsions, il me semble revenir de loin… Entre ses bras, j’ouvre des yeux rougis de sommeil…
Elle me sourit, contente d’elle-même, nos baisers nous unissent, on s’enlace, on s’étreint… On s’abandonne…

- Tu es impossible ! Tu veux me donner plus que tu reçois, m’entendre crier plus que toi, me faire jouir plus longtemps, plus intensément…
- Mais non, juste égaliser nos ébats amoureux… Oui, amoureux… Ce que je viens de ressentir n’est plus de la simple baise… J’ai aimé, te sentir me posséder, te sentir m’embrasser comme mon mari… Des baisers d’amour, sexuels oui, mais profonds, intenses, tendres et sentimentaux…
- Oui, j’ai aussi intégré notre conversation et me suis libérée de toute contrainte… Tu es magique, intense, sublime, adorable, et je t’aime comme un amant !...
- Oui, ce qui allie le sexe et scelle une tromperie réelle de nos maris respectifs…
- Par cet amour entre nous, on les cocufie !...
- Viens contre moi, viens dans mes bras, j’aime ta chaleur, sentir tes seins contre les miens, mon ventre contre le tien, et nos pubis échangeant leurs effluves sexuelles…
- J’ai crié sous tes caresses…Quand tu as pénétré mon vagin, c’est mon cœur que tu pénétrais…
- Toi aussi, j’ai senti tes doigts, mon point G malaxé, mon amour a explosé comme mon ventre, et j’ai forcé pour éjaculer comme un homme, entre tes doigts, mes humeurs de femme…
- J’ai senti cette chaleur, ce liquide, pour moi… J’en suis remuée… Emue… Je t’aime tu sais…

Que d’aveux ! Que de chamboulements dans nos esprits…

Elle est sublime, je ne la mérite pas !...
Elle est si fraîche dans son âme de femme…
Son métier a détruit sa candeur, mais elle préservé son moi intime…
Elle s’est livrée sans fard, dans ce lit de rencontre… J’ai été aussi honnête…
Elle est si intense, nature, j’arrive à la diriger vers le plaisir, lui faire quitter son armure, dénudée et indécente…
Quand elle en est là, je jouis pour elle… Je l’aime comme un amant… Et mes doigts s’envolent sur son corps, ma langue devient plume, souris, légère et inventive…
Isabelle, tu es princesse de l’amour saphique…
En plus d’être adulée par un mari divin…

Et quand je fais l‘amour avec Jonas, dans la soirée, je ne peux m’empêcher de devenir elle, de penser comme elle, de jouir comme elle, de le satisfaire comme elle le ferait, lui donner le plaisir qu’il aime, avec un autre, nouveau pour lui, le mien, constitué par celui de deux femmes tombées amoureuses l’une de l’autre, ce plus lesbien intense et doux, qui vient enduire son sexe de nos fluides vaginaux, et son esprit de nos gémissements complices…

Kévin ne comprend pas…
Isabelle agit de la même façon que je le fais avec son mari…
Il reçoit une overdose d’amour sensuel, sexuel, féminin, et n’arrive pas à faire la part des choses…
Rien ne justifie, pour sa part, ce tsunami d’orgasmes qu’il déclenche en elle…
Aurait-il acquit un pouvoir magique ?
Cette femme qu’il a déjà eue hier pour lui seul, semble habitée d’une autre sensibilité…
Comme un besoin intense de partage, de tendresse, pourtant elle n’a pas changé, toujours aussi active, sensuelle, féminine, inventive dans ses caresses, assoiffée de plaisir à en damner un saint…

Tout ce qu’il goûte cette fois, ses effluves vaginales, la transpiration sous ses aisselles, l’odeur de sa peau entre ses seins, même l’onctuosité de son anus, la douceur vanillée de sa salive, ressemblent à Véro…
Oui… Isabelle est imprégnée de Véronique… Saturée… A tel point qu’elle feule, gémit, orgasme de la même façon, se donnant sans compter à lui, ouverte, obéissante, infatigable, merveilleuse amante belle à croquer…

Une complicité totale, qui fait de son pénis, le roi de la fête…
Il entend sa femme jouir intensément à côté d’eux, Jonas la chevauchant avec hardiesse, et la poussant vers une extase orgasmique…

Isabelle, en demande autant, fièrement installée, à quatre pattes, se laissant monter comme une pouliche en rut, et se donnant avec autant de rage que sa nouvelle amie…
Kévin se surpasse, la prenant de partout, finissant son parcours d’obstacles dans un vagin détrempé, d’une douceur de moire… Elle vient chercher ses dernière gouttes, accrochée à sa bite, la pompant avec fougue, les yeux rougis par l’effort…

Les deux femmes sont atomisées, elles dorment profondément, chacune dans ce grand lit…
C’est extraordinaire ce qui vient de se passer. Ils échangent leurs impressions, tant cet épisode les a marqués…

- Oui, c’était… Magique, il me semblait que c’était ma femme…
- Moi aussi, une liane imbibée de nature, un sexe délicieux, des embrochements princiers, une impression de déjà vu, comme si elles s’étaient transmutées, échangées…
- Oui, c’est ce mélange de leurs fluides qui m’a trompé… Je pensais à ma femme, et la voyais jouir sous tes coups de rein…
- Pareil, Isabelle pleurait de plaisir dans tes bras, suffocant sous ses orgasmes…

Bon, on les a mixées… Elles se sont imprégnées l’une de l’autre, dans leur complicité lesbienne, découverte et affirmée par une amitié puissante, un désir sexuel actif, un besoin de passion explosif…

Nous ne sommes plus quittés, jusqu’à notre retour, triste atterrissage…
Comme s’il nous manquait quelqu’un…
On se l’avouait, on était heureux d’avoir connu ce couple fusionnel…
On avait atteint sans doute, une limite dans nos échanges extra conjugaux convenus…

- Je crois que sin on continue avec eux et nos amis, je n’aurais plus besoin de me venger. Tu avais l’air si absorbé avec elle…
- Oui, et toi, plus besoin de chercher ailleurs, il me suffira de repenser à eux, à toi, à Isabelle me faisant l’amour comme toi…
- Ah, tu l’as vu toi aussi ?
- Oui, j’en ai parlé à Jonas, il était d’accord, vous vous êtes fusionnées, en couchant ensemble…

C’est juste qu’Isabelle s’est livrée corps, certainement, et âme.
Qu’elle s’est dévoilée avec pudeur, me confiant sa solitude, due à son métier.
Je suis devenue son amie intime et son amante, découvrant ses secrets au fur et à mesure qu’elle jouissait et me contait ces années de remords, de fiel, de coups-bas, d’illusions déçues, de désirs inassouvis, d’occasions manquées, de raideur intellectuelle forcée, de mutisme, et de manque de sexe, jusqu’à leur accord pour s’en libérer ensemble, Jonas étant aussi très secret par obligation et par son éducation…
Isabelle est devenue mon reflet, autant que je suis devenue le sien…
Jonas est devenu mon pote. Nous nous voyons très souvent, et avons apporté Marine dans ce quatuor…

Marine est fière de se montrer aux bras de nos maris, qui la remercient souvent à leur manière, en la prenant ensemble, tandis que je rejoints Isabelle, dans sa chambre…

FIN
Marika842010 – Août 2022
Published by marika842010
2 years ago
Comments
2
christ340
christ340 2 years ago
C’est pas un billet mais un livre :smile: un regal a lire merci .
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jacbisex59
jacbisex59 2 years ago
Très bien écrit avec beaucoup d'érotisme
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