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Isabelle et Véro en montagne

C’était prévu…
Depuis que nous avons repris notre routine, (Voir Véro et Kévin), Isabelle et Jonas nous téléphonent régulièrement. On se croise aussi parfois, Isabelle et moi, pour des apéros improvisés, entre midi et 2…
Mais leur temps est compté, plus que le nôtre, Jonas est souvent en déplacement, Isabelle doit travailler les samedis, voire le dimanche et n’est plus encline aux relâchements sexuels que nous connaissons.
Elle aime prévoir, se motiver, prendre le temps pour pouvoir oublier, enlever son armure, et devenir l’insatiable nymphomane que nous connaissons.

Nous leur avons présenté Marine, le seul soir où ils étaient libres tous les deux…
Les retrouvailles furent très riches en orgasmes, les échanges connurent un renouveau, avec Marine, qui se jeta à corps perdu, dans le cercle du libertinage de groupe.

Elle s’aperçut que j’avais raison, Isabelle était sensuelle, fusionnelle, et comprit mon engouement pour cette femme.
Elle découvrit aussi Jonas, fut également conquise par la classe de cet homme charmant et vigoureux, tout ce qu’elle aime…

Notre soirée fut une réussite sur le plan des jeux de rôles, Marine nous regarda Isabelle et moi, tandis que les 2 hommes s’occupaient d’elle…
De ce fait, elle ne vit pas tout, n’entendit qu’une partie de notre échange, bien trop prise par la virilité de ses nouveaux partenaires…
Elle termina la nuit avec Isabelle et son mari, histoire de finir en beauté…

Le lendemain matin, Marine était conquise, vidée de toute énergie, et s’intégra à notre quatuor, adoubée par nos amis…

Jonas, conquit dès le début, la coinça plusieurs fois dans la cuisine, pendant ce week-end, histoire de bien faire connaissance, ce qu’elle apprécia en nous gratifiant de sourires complices…
Isabelle aima sa décontraction, sa simplicité, son humour, sa gaité, et partagea aussi des moments intimes, seule avec elle.
Elle me raconta plus tard leurs échanges… Elle fut immédiatement à l’aise, conquise, un vrai double de moi…
Elle fut presque jalouse de la voir jouir sous le joug de Jonas, se donnant comme une putain sur la table de la cuisine, ne se connaissant que depuis quelques heures…
Elle comprit cette soif de sexe, l’assimila et la rangea avec moi, dans la même case des amies…

C’est à l’issue de cette journée, qu’elle nous parla de ce qu’elle nous avait promis, une randonnée en montagne, ayant des vacances de Toussaint fixées…
Elle était d’accord, mais Marine déclina l’offre, pour raison professionnelle, étant retenue par un congrès, ce fameux week-end…

Le 30 octobre, nous prenions la direction de Gap, puis on monta dans une petite vallée étroite, vers 2000 m d’altitude, rejoindre un chalet d’alpage, trouvé sur Internet, réservé, notre découverte des délices de la vallée, programmée…

Le propriétaire nous attendait, regardant le 4x4 de Jonas s’immobiliser à côté de son tracteur…
Il nous fit visiter, nous montra le principal, chauffage, climatisation, les chambres, la salle de bain… Rustique, confortable et bien achalandé, des provisions pour les 2 jours…

On promit de prendre l’apéritif chez lui, vers 19h00…
Sa ferme, on l’avait dépassée quelques centaines de mètres plus bas, avec les animaux en liberté, et des chiens de garde placides…

- Oh, oui… Quand vous descendrez, ne regardez pas les chiens, laissez-vous renifler, et passez devant eux… Ils ne vous feront rien. Ne dites rien, et pas de gestes brusques…

Il faisait frais, voire froid dès 18h00, nous étions rentrés tous les 4, d’une promenade pour nous divertir, et découvrir les alpages et la vue sur la vallée et les montagnes enneigées…

J’avais hâte de découvrir cette ferme…
Lui aussi… Il m’avait toisée, et comme d’habitude, il nous avait comparées… Jaugées… Estimées… Soupesées comme un a****l sur la foire aux bestiaux…
Je me changeais en réduisant mes couches, pantalon sexy, pull fin moulant, sans soutif…
J’avais dit à Véro que j’allais prendre la température la première…
Elle devait faire diversion auprès de nos hommes, pour nous laisser une paire d’heures…

Les yeux bleus transparents d’Henri Vidal, m’avaient mise mal à l’aise…
Jonas se doutait de ma manœuvre, quand je priais finalement Véro de m’accompagner…

- Tu as un souci ?
- J’ai oublié de le prévenir pour demain…
- Ca peut attendre une heure, non ?
- Il m’avait dit qu’il y aurait du réseau…
- Ah !... Bon…

La ferme est immense, un grand corps unique, habitation et ferme regroupées, les chiens nous ont regardées de loin, les yeux fixant les brebis, et les vaches…

Je tape à la porte d’entrée, une jolie blonde d’une cinquantaine d’années nous ouvre…

- Bonjour, vous êtes madame Vidal ?
- Oui, et vous nos locataires pour les deux jours… Bienvenue… Un souci ?
- Non, non juste pour faire connaissance, et voir vos installations, si on ne vous dérange pas… On prendra du fromage pour ce soir et demain pour emporter…
- Oh oui, Henri est à l’écurie, il trait… Certaines sont réticentes au progrès, il doit le faire à la main… Mais allez-y, vous ne le dérangerez pas… Au contraire, il aime la compagnie, surtout celle de 2 jeunes et jolies femmes… Entre nous, il est nature mon Henri, et aime la plaisanterie… Je ne m’offusque jamais de ses blagues osées, nous partageons cette vie monacale parfois un peu trop pesante sur notre couple…
Il faut bien se décontracter…

Un brin coquine cette réponse ?
L’épouse classique d’une ferme moderne, équipée de tout le nécessaire et du confort…
Elle est souriante, amène, et son âge pourrait me surprendre, car elle a l’œil vif…
Grande, des formes très féminines, des hanches robustes, des fesses rondes qui tendent le tissus de sa robe d’intérieur, sa poitrine mise en valeur par un généreux décolleté, un ventre modéré, et des yeux vert…
Elle nous détaillait aussi, avec autant de précisions que son mari…
Elle nous indique le chemin, continuant à laver de la salade…
On prend un couloir, longeons une salle de restaurant, une cuisine, une porte au fond, on pousse…
Le laboratoire réglementé, où sont confectionnés les fromages, à côté de la chambre froide…
Un accès à l’écurie, on entre…

- Attention ! Il y a de la boue, du purin et des bouses… Passez par derrière…

Les culs des vaches sont propres, elles mangent leur foin frais, après être restées au pré…
Les machines tournent, elles peuvent retourner dehors, aller se traire seules, sauf les quelques bêtes dont il s’occupe, un seau entre les cuisses

- Ça vous dis ? Vous voulez essayer ?
- Pourquoi pas…
- Venez sur le tabouret, assise.. Là, écartez vos cuisses, prenez le seau, prenez le pis, un dans chaque main, les plus proches, vous changerez de côté… Vous le sentez, il est chaud, et le lait aussi… Comprimez votre main, et tirez doucement… Comme pour un homme… Enfin, vous savez, je pense…
- Ah !... Je crois comprendre… je vais masturber une vache ?
- Si vous le faites bien, vous verrez le blanc sortir… C’est pareil ma belle et aussi bon !…

Je suis restée debout… Véro ne s’en tire pas trop mal… Et le liquide fuse dans le seau, en jets courts et francs… Elle refait le mouvement, en synchronisant 2 ses mains… Les deux jets fusent dans un bruit métallique, en s’écrasant sur les parois du seau en aluminium…

Ce son, je le connais aussi, bribes de souvenirs de mes vacances d’adolescente…
Mes cousins en ont gardé de forts bons souvenirs, sans doute…
Oncle et tante agriculteurs, nous les aidions tous les trois, ils n’avaient pas d’enfant, et nous initiaient aux travaux de la ferme, c’était le deal avec mes parents… Les coquins, en étaient à plusieurs saisons et commençaient à bien connaître, ils avaient vite trouvé des jeux moins agricoles, et on passait du temps allongés dans la grange, à comparer nos anatomies…
C’est là que j’en appris beaucoup sur les hommes en général, et sur les puceaux en particulier.
A la fin de l’été, ils n’étaient plus vierges et moi non plus…
Ma tante m’avait prévenue… Ici, les choses sont naturelles, les animaux font des bébés, à vos âges, on a fait pareil pour comprendre, sans internet, et sans pilule… Au fait tu te protèges ?
Non ? Alors on va chez le Dr Armand, demain matin. En attendant refuse la grange, dis que tu as tes ragnagnas…
Tiens, elle savait pour la grange… Cela devait les booster de m’imaginer avec les deux boutonneux, en train de les caresser, la poitrine découverte…
Alors on a été plus retors, on les a surveillés et quand ils sont montés, on a entendu ma tante gémir, dans l’escalier, on a compris pour quoi le taureau beuglais si fort quand il demandait à la vache… La main de mon oncle glissée sous la robe de chambre, une autre sur sa poitrine, les seins découverts…
Tout tomba d’un coup en entrant dans la chambre… Elle courut vers le lit…

C’est devant leur nudité, que je me suis déflorée toute seule, tandis que mes cousins étaient bouche bée, pas de vidéo, du direct Live…

Ma tante était encore belle, la cinquantaine, et nue, elle était magnifique, les seins balançaient au rythme des caresses de mon oncle…
Elle baragouinait en patois sans doute, gémissait, elle le masturbait allégrement, les cuisses écartées, son fessier proéminent, cambré, offert à nos regards…
Cela me poussa à me caresser discrètement, découvrant la tiédeur de mon anatomie.
On m’avait dit à ce stade, encore pure, de titiller ce qu’on appelle le bouton d’amour…
Les garçons étaient trop occupés, les yeux rivés sur le couple…
Je sentis une douce chaleur m’envahir, c’était nouveau, c’était délicieux, envoutant…

Ils s’inversèrent, et j’entendis mon cousin parler de 69… Il était plus âgé, 16 ans… Comme moi…
Ensuite, après maints suçotements, feulements, onomatopées, ma tante pris le sexe de mon oncle dans sa bouche… Elle le mangea comme une glace, sa tête animée de va-et-viens comme un pigeon…
Ce fut épique de les observer changer de position, puis ma tante s’agenouiller, glisser le membre entre ses cuisses écartées, et ressentir le sexe glisser dans sa féminité, mon oncle savourant cet hommage, se laissant emporter par les ondulations du bassin de sa femme…
Leur coït dura un moment, presque jusqu’au bout…

Alors il la retourna à quatre pattes et la fourra comme ses bêtes, en levrette, tandis qu’elle jouissait et remplissait la ferme de ses cris de chatte…

Ma tante en train de jouir… Un spectacle digne d’un film X…

Ce que je ne vis pas c’est qu’il changea d’orifice et recommença, la portant à une nouvelle extase… Il était plus macho, plus brutal, comme un taureau… Il grognait et rugissait !

Je ressentis l’orgasme de ma tante, au plus profond de moi, et déchirais mon hymen…
Trempée, inondée, quelques gouttes de sang perlant dans ma culotte, je rebroussais chemin, le souffle court… Maman m’avait expliqué, dessiné… J’avais accompli la moitié du chemin… Il manquait l’autre, m’initier au sexe masculin, et connaître les joies de la première fois !

Je revins à notre artiste laitier…

- 1 à 2 litres par pis, c’est bien plus que nous hein ? Vous avez l’habitude, vous l’avez déjà fait ! Certaines adorent notre semence…
- De quoi ? La traite ? C’est loin, mais c’est comme vous dites, ça ne s’oublie pas, si chaque homme que j’ai masturbé dans ma vie m’avaient donné autant de lait, je n’aurais jamais plus soif…

Et elle détourne le pis, visant l’homme…

- Oh putain ! T’es douée… Si j’osais !...
- Ose mon Loulou… Sors-le si ça te démange… Mon amie est douée aussi… Je termine de vider la bête…

Je ne m’attendais pas à cette situation si vite…
Il se retourne, ouvre sa braguette, et sort son sexe… Il attend, debout…
Je le cajole, le caresse, il se met à bander grave…
Cela me donne le top départ…
Je sens ma vulve s’ouvrir, devenir humide de désir, un phénomène naturel, et je suis très réceptive…

Le pantalon tombe, je le masturbe, il est droit, il a envie, c’est certain !
Véro se penche et happe le sexe, plus rapide que moi…

Il jubile, la bite va et vient dans sa bouche, sa tête dodeline en vrai professionnelle…

Je lui soulève son polo, ses seins sortent, deux beaux spécimens…

- Ils te plaisent ? Ceux de ta femme semblent tout aussi beaux… Tu veux sucer les miens ?
- Oh, oui, mais là… Oh !...

Je laisse Véro traire, et m’empare du sexe en érection…
Ma main le satisfait doucement…
Je soulève mon haut…

- Regarde les miens… Caresse-les… Ils sont plus ronds, plus tombants…
- Oh, qu’ils sont doux…
- Tête-les…

Je sens alors une main entre mes cuisses… Le coquin en profite…

- Ah ! Ça te démange ! Tu veux caresser ma chatte ? Ou me tringler ?
- J’aimerais te renverser dans la paille là-bas et bouffer ta chatte, t’entendre jouir, et te baiser comme une bourge…
- Oh, mais je suis bourgeoise et parfois salope… Regarde, je me déshabille pour toi… Allez, je te suis dans ta grange…

A poil, à califourchon sur lui, je me plante le vit de ce paysan en rut…
Ecartelée, je le sens pénétrer ma vulve, dilater doucement, et se lover dans mon vagin…
Véro me regarde, je sais qu’elle aimerait participer…

Mais je suis emportée par le plaisir de sentir glisser sa bite, jusque dans les profondeurs de mon organe…
Je me mets à feuler, je me caresse, elle vient à mon côté et m’aide à me satisfaire…

Elle quitte son pantalon, retire son haut, les seins pointés…
Le désir la tenaille, elle touche son pubis, et m’offre sa chatte, écartelée…

- Ben, en voilà un charivari… Mon Henri écartelé et besogné par l’une, tandis que l’autre se gousse, avec l’autre… Si vous le permettez, je suis très sensible aux vidéos pornos… J’aimerais participer…
- Mais bien sûr Maria… Viens ma chérie ! C’est la fête, nos clientes sont très bandantes, et tu vas te régaler à les sucer aussi… On partage tout ici…

Deux gros seins tombant sur un début de ventre, un port de tête altier, un corps adorable de plénitude, elle respire le fantasme, l’adultère, les baises entre deux portes, très attirante… Et c’est vrai que son cul est attirant… Surtout en jupe, ça doit valoir le coup d’œil…

Mes mains se promènent sur ses globes, s’y attachent, faisant pointer ses tétons, que Véro prend en bouche…
Le mari regarde, toujours fiché dans mon amie, rouge de plaisir…

- Tu me veux ou tu préfères essayer avec Isabelle ?

- Allez, vas-y baise-la, elle adore ça, la levrette… Et surtout dans la paille…

Je me lève et embrasse Maria…
A pleine bouche, un baiser de cougar, avec la langue au fond, de quoi réveiller ses mécanismes de femme, déclencher son plaisir, et son rut…

Ma main glisse entre ses cuisses, elle les écarte…
Elle jouit doucement de mes caresses… Sa culotte tombe à ses pieds…

- Oui, viens… Caresse ma chatte…
- Tu peux aussi tu sais… Tu aimes le faire aux femmes ?
- Oui, je fais tout… J’aime frotter ma vulve, et m’électriser avec un téton, la frotter sur une autre, grand ouverte, béante et juteuse comme la mienne, large et profonde…

On se masturbe debout, appuyées contre un mur, je m’accroupis pour la sucer, mais elle m’allonge sur la paille et me fait un 69…
Une merveille ! Ses cuisses musclées par les travaux agricoles, ses fesses dodues, son clitoris énorme, je suce, je lèche, j’aspire sa vulve énormissime, comme une huitre pleine…
Elle rugit de plaisir…

- Oh, oui, prends-moi ! Ecarte tes cuisses, on va se doigter…

Je rentre mes doigts sans son vagin détrempé de désir, plonge en cadence, la fait partir, loin, beuglant comme une furie…

- Prends mon cul, il me le fait souvent avec la main, comme pour les vaches… On est rustiques, on aime baiser comme nos bêtes…
- Les taureaux n’enculent pas les vaches…
- Non… Juste des réflexes sexuels… Une vache qui se laisse monter, est le signe de sa fécondité… C’est la nature… Nous c’est du plaisir…
- Et tu aimes les bites noires aussi, tu as essayé ?
- Celle d’Henri est assez grosse et belle et je m’en sers souvent… Mais non, pas d’africain dans ma couche…
- Tu ne l’as jamais trompé ?
- Hum… Si… Mais pour la baise… j’aime être désirée et je pars vite… Avant c’était facile dans les champs, les autres venaient faner en montagne, on se donnait du bon temps après les travaux… Maintenant, c’est désert. Oui, y a internet, mais on est loin de tout… Alors je regarde les clients et je rêve en me branlant, mais ils gardent souvent les enfants… Les femmes seraient plus volages et Henri se régale, surtout qu’il s’est constitué une clientèle… Ça vient de Paris pour se faire sauter par mon étalon…
- A propos d’étalon, on en a deux dans la chambre, nos deux maris… Tu les veux ce soir ?
- Oh, oui ! Je vais préparer une fondue du diable, avec des épices secrets ! Venez vers 19h30…

Mes doigts plongent entre ses fesses, ça glisse, c’est chaud bouillant, elle se cambre, elle devient lyrique…
Son mari nous regarde, les yeux concupiscents, je me laisse enculer, penchée sur la fenêtre… C’est vrai qu’il est bon !...
Isabelle a les mains prises, elle se décuple…
Elle essaie tout avec lui, puis avec elle, se fait culbuter par le couple, se laisse sodomiser, en jouissant comme une truie, embrassant l’abricot juteux de cette belle femme aux formes délicieuses… qui me regarde baiser son mari, les cuisses écartées, enroulées autour de son bassin, jouissant mon orgasme…

- Il est bon mon Henri, il a déglingué vos chattes et vos culs de bourgeoises…
- On aime aussi ce genre d’échanges, rustiques, sains, sans fioritures…
- Nous aussi, j’ai hâte de prendre les deux queues de vos maris dans mon con et mon cul ! J’en frétille de la minette !
- Tu es bonne Marie… Tu es élégante et racée… Tu dénotes presque dans cet univers…
- Oh, c’est pas vieux ! Je suis venue ici, au hasard, après un voyage… Larguée par mon mari, amoureux d’une italienne… Henri m’a accueillie, réconforté, il m’a fait rire, reprendre mes esprits au contact de la nature… il m’a baisée dans la grange le soir même… Il était seul et cherchait une femme, on s’est mariés plus pour la forme, que les sentiments… Ils sont venus quelques années plus tard, à force de me faire tringler par ce malade, et ne penser qu’à ça !…
Mon ex était loin des performances d’Henri !
- Ouais, et vous avez été des chiennes… Je vous adore, j’ai envie de vous garder ce soir…
- Mais je les ai invités pour une fondue, tu sortiras du blanc, leurs maris adorent…
- Vous voyez, ici, le blanc est partout… Il va couler ce soir ! Et pas que dans les verres !
Elle aime les bites, et ma douce va encore ouvrir les cuisses… Ils ne seront pas déçus, c’est une vraie videuse de couilles… Sa chatte est si large, qu’ils pourront la fourrer à deux…
- On sait, on l’a essayée… Un gouffre, une grotte, c’est Padirac faite chatte !
- Et elle raffole des grosses chandelles, stalagmites et stalactites… Une perle à explorer dans tous les sens et toutes les positions…

- C’est dingue, cette liberté sexuelle… On dirait des hippies…
- Vrai… Ils sont très excitants… Autant lui que elle…

Marie a tranché le gros jambon qui maturait dans sa cave, sorti le fromage et l’a préparé, pour qu’il soit à température. Elle a fait la sauce salade, et ajouté des crudités. Pour la fondue, elle a ouvert une bonne bouteille, de l’Apremont de Savoie, et une Roussette, plus fruitée avec des bulles. Elle a retrouvé un truc qu’elle gardait pour une occasion spéciale, comme le moment où elle sentira une queue entrer dans son rectum, explosant sa rondelle…

Elle fêtera alors sa première double pénétration vaginale, parfois espérée, jamais conclue…
Elle a dit ‘nos maris sont des étalons’… Elle va y passer après la fondue… Elle ne sait où, ni avec qui, ni comment…
Elle ne pense qu’à ça en tranchant le saucisson, leur saucisson, porc magnifique, tué l’an passé en octobre…

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Marie se revoit pleurant toutes les larmes de son corps, dans sa chambre, ici…
Elle avait loué loin de tout, pour oublier ce monstre qui l’avait cocufiée ouvertement, à la fin de leurs vacances, avec une salope… Pris sur le fait dans la chambre d’hôtel, elle vociférait en amazone, chevauchant son mari…

Henri , l’avait prise sous son aile…
Une femme seule, dans cette ferme où le travail ne manquait pas. Elle n’avait que peu d’argent, il avait proposé un deal. Elle lui fait la cuisine, tient le magasin en journée, c’est facile, entretient la ferme, et en femme moderne, propose des chambres sur Internet, dans cet espace naturel, magique. Henri refera les chambres au fur et à mesure, quelques coups de peinture, il améliorera les salles de bain, douche, à l’italienne et un SPA commun, peut-être un sauna pour l’hiver… et WC dans chacune des chambres.

Henri était bosseur, gentil, franc et honnête… Elle oublia peu à peu son mari, et regarda son patron d’une autre façon…
Elle se rendit à la ville, acheta des nouveaux habits, à la mode, qui moulaient son corps, la découvrant là où c’est chaud, la rajeunissant… Elle changea de coiffure, devint la Marie qu’on connait, une femme aimable, avenante très commerçante…

Quand il la vit le lendemain matin, en entrant dans la cuisine, penchée à la fenêtre, regardant le troupeau, il fut traversé d’un incontrôlable désir…
Elle portait une jupe rouge, courte, moulant ses fesses, un chandail qui rehaussait ses seins, sans doute aidé par un soutien-gorge spécial, une vraie dame de la ville venue s’encanailler à la campagne…

Il entra doucement, elle ne l’entendit pas, non…
Mais tout était calculé, après être son employée, elle voulait dormir dans le lit du maître et passer au second niveau, elle brûlait ses hormones, rêvant de lui, de son sexe, chaque nuit…

Elle sursauta mais se contrôla… Elle venait de voir son reflet dans la vitre…
Il ceintura ses seins, plaqua son bassin contre le plan de travail…
Il souleva le chandail, et plaqua ses mains sur les 2 seins aux tétons durcis de désir…
Elle frissonnait… Tout arriva en même temps…
Sa surprise, le sentiment qu’elle allait faire l’amour avec lui, qu’il enlevait son chandail, dévoilant sa poitrine généreuse, un soutien-gorge rehaussant, sa jupe rouge, mettant en valeur des fesses rebondies…

Elle sentit son souffle dans son cou, la main dégrafait le soutien-gorge, en experte…
Libérant ses seins d’un coup…
Il ne les voyait pas mais les empauma… Deux globes magnifiques, aux tétons pointés…

Le sexe d’Henri se fit plus dur, elle devait le ressentir contre ses fesses…
Il passa sa main entre les cuisses de la jeune femme…
Un océan resta collé à ses doigts !...
Il retroussa la jupe courte, baissa la culotte…

Il bandait comme un taureau, en approchant son sexe… Elle suintait de désir… Il allait la perforer, ce tableau était trop érotique, elle était si bandante !

La vulve détrempée, en émoi, un doigt s’enfonça dans son entrée…
Les mains d’Henri continuaient à masser ses seins, elle ressentit clairement le membre rempli de désir, en rut, gorgé de semence accumulée…
La main descendit la culote, elle soupirait fort, toujours arcboutée sur le plan de travail, les fesses proéminentes, les cuisses écartées, elle s’offrit en gémissant :

- Oh, oui ! Prends-moi ! Je me suis préparée pour toi, pour te séduire, déclencher tes humeurs de mâle…

Le membre surexcité, plongea direct dans sa chatte béante, elle dût s’accrocher à la fenêtre, il commençait à la lutiner sans attendre…

- Oh, oui, c’est bon, baise-moi, je suis tienne, j’ai envie de jouir de ta queue… Continue à me limer… Prend mon cul si tu veux, j’ai trop envie de gémir sous tes coups de rein…

Elle se cambrait, excitant son assaillant…
Cul bien relevé, seins qui se balancent, plantée en cadence par une bite distendue…
Elle jouissait, éclatait en orgasmes, revenait sur terre, suivait la cadence, s’offrant, elle le voulait en bouche…
Il la souleva et la posa sur le dos, au bord de la lourde table en chêne…
Elle s’écartela, lui dévoilant d’un seul coup, ses seins dodus et pleins, son intimité, un large sillon impressionnant, l’orifice vaginal ouvert par le désir… Plus haut, l’orifice brunâtre de son anus… Le tout parsemé de poils hirsutes, un peu roux, un peu blonds…

- Je t’aiderai pour la traite, mais continue, je suis en fusion, je te veux en moi, partout, pendant des heures… Jouir de toi… Remplit-moi de ton sperme, comme une vache…
- Viens Marie, je te porte dans ma chambre, qui t’était interdite, viens dans mon antre, je vais te couvrir, t’enfanter, te baiser comme j’en ai rêvé aussi, te faire perdre la tête, à force de jouir sous mon vit…

Ecartelée, le membre s’enfonce dans son vagin, jusqu’au bout, jusqu’à l’utérus…
Elle en délire de plaisir, de le sentir si plein, elle se donne avec passion, 6 mois d’abstinence, juste quelques doigtages, en pensant à lui dès la troisième semaine… ça en fait 20 à ratt****r…

Il va la casser en deux, exploser sa minette, pourtant si accueillante…
Elle adore sentir le sexe entrer et sortir, comme une vague, ses mains sur ses seins, des doigts tournant son clitoris, c’est un paysan baiseur… Il a dû en sauter pour maîtriser son désir…

- Oh oui !…

Il vient de la coucher sur le côté, les fesses dégagées, la chatte et le cul à sa merci…
Elle sent le gland glisser dans sa vulve, remonter, des doigts puiser sa mouille et l’étendre jusqu’à son anus…

Il va m’enculer !
L’autre l’avait fait dès la nuit de noce… Puis s’était calmé…
Elle ne le pratiqua pendant sa vie conjugale, qu’avec un ou deux amants, des distractions sexuelles, au bal du village, avec un pompier, un ado, en vacances, et avec le maire, l’année suivante, un ancien du collège… Ils avaient flirté, là ils avaient conclu, dans la mairie, une nuit de pleine lune, sur la photocopieuse, puis dans la salle de repos…

Quand le gland ouvre petit trou intime, c’est la révolution !
Elle se soulève, il la tient, pousse, enfonce sa bite, dans de la soie, comme sa chatte, son rectum est un fourreau…

C’est si bon, qu’il ne s’arrête plus…
Elle crie, elle vagit, feule, lance des onomatopées, ‘Heug !’, ‘Grouch !’, ‘Fuck-me !’, elle griffe ses bras, amenant la main divine dans son vagin…

- Oh que c’est bon Henri… Tu me fais femme, je n’étais qu’une ombre, asséchée, délaissée… Je revis ! Je suis une autre… C’est dément cette connivence, cette complicité entre nous…
- Tu m’as fait bander en entrant… je n’ai vu que ton cul, le tissus tendu de cette jupe à ras la moule, remontant sur tes fesses, un appel au viol !…
- Alors je sais être salope et attirer les mâles en rut, mais pas violée, je te désirais trop…

Leur étreinte dura le matin, à midi, et une partie de l’après-midi…
Ils étaient tous les deux en furie, s’arrêtant un instant pour boire et reprendre là où ils en étaient, testant tous les positions du kamasoutra…

Elle était épuisée, par cet homme de caractère…
Ils recommencèrent souvent, le soir, la nuit, au matin… Elle rayonnait de bonheur, il parlait d’elle comme sa femme, elle transporta ses affaires dans la grande chambre, c’était il y a trois ans…

Leur complicité, allait au-delà… Elle ne pouvait pas restreindre cette force de la nature, habituée à des plaisirs simples, non préparés…

Elle le surprit avec Janine, une marchande de tissus qui passait de temps en temps…
Il la sautait dans la grange, elle avait les cuisses ouvertes et le minou en folie, sur un ballot de paille… Son dard pénétrait cette femme d’une soixantaine d’année, qui en voulait encore, veuve et sans enfant, elle quémandait du plaisir chez ses clients célibataires...
Les cuisses étaient sur les épaules d’Henri…
Quand elle apparut, la femme voulut se couvrir…
- Arrête Janine, ne crains rien, c’est Marie, elle habite avec moi maintenant…
- Oh, pardon, alors… Je ne le fais qu’avec les veufs et les célibataires, comme moi… Une façon d’échanger un peu de sexe, on devient aride à force de solitude et les occasions sont rares…
- Henri n’est pas mon mari, c’est mon patron avant d’être mon compagnon… Il fait ce qu’il veut… Et moi aussi…
- Ça te dis de venir nous rejoindre ? Certaines de mes copines aiment regarder, d’autres partagent leurs découvertes… Et les mecs adorent avoir un harem…

Marie, se dévêtit et s’installa entre les cuisses bien ouvertes, la chatte encore pleine du sperme d’Henri…
Elle la lécha coquinement, la fit jouir plusieurs fois…
La femme s’écartelait pour profiter de la langue et des doigts de Marie…
Henri regarda un moment, un peu blasé des partitions lesbiennes…
Les deux femmes se découvraient des attirances mutuelles et des points communs…
Janine frottait son sexe contre celui de Marie…
Elles faisaient l’amour maintenant, en toute décontraction, assouvissant leurs penchants lesbiens, tendresse, caresses, positions de recherche de plaisir pour femme…
Sa chatte était plus petite que celle de Marie, sa vulve était recouverte par des grandes lèvres pudiques. Un véritable abricot juteux…
Le pubis avait quelques poils épars, et une légère touffe encadrait son abricot…
Cet échange lesbien attisa le désir de leur partenaire de jeux…
Alors qu’elles s’embrassaient, chacune 3 doigts dans l’univers de l’autre, déclenchant un torrent de paroles et des cris de chiennes, Henri les sodomisa à tour de rôle, sous l’œil impassible d’un petit veau étonné…
Marie, fut la dernière et reçut l’hommage du mâle dans son anus…
Janine regardait le liquide s’échapper, sur la paille, et sa main le récolter…

- C’est bon le jus d’homme… Surtout celui de nos chattes, mais celui-ci et plus rare, mes copines n’aiment pas toutes se faire enculer… Des croyances, car si un jour, elles se font prendre, elles ne disent plus non…
- Janine, toi, tu es une salope, tu as besoin de sexe pour supporter ta solitude. Tu vis seule dans la lande, plus haut… Tu es saine et propre, tu te laves avec du savon à la lavande que tu fabriques, tu fais ton miel aussi et j’aime ce parfum quand j’ouvre tes cuisses… Ton petit trou respire la campagne… J’aime ces instants de libertinage avec toi…Si tu veux, tu pourrais revenir quand tu en auras l’envie… On va faire gite, on prendra notre savon chez toi… Hein Marie ? Donc tu auras une chambre…
- Si Marie est d’accord, car je crois qu’elle a compris, je suis plus âgée et ne désire que la bite de ton maitre… Et ta chatte maintenant. Pas de sentiment, des échanges de fluides…

Après, Marie lui dit cette chose…

- Henri, je ne peux pas t’interdire d’aller voir ailleurs… Tu es le maître, tu es libre, et moi je suis ta soumise… Je suis heureuse avec toi…. Je veux juste que tu me respectes, que si tu ne m’aimes plus, tu me le dises dans les yeux… J’ai adoré partager cette femme douce et excitante, et ses fantasmes sexuels entre adultes consentants…
- Marie, notre couple est en train de prendre forme, de se souder, à travers nos désirs sexuels… On peut envisager de devenir libertins, tout en étant ensemble… Même si on officialise notre union…
- Cela me plairait d’être comme elle… Libre de son corps, et t’appartenant corps et âme..

Les premiers clients ne tardèrent pas…
La situation de l’auberge, la qualité des lits, les animaux et les nombreux chemins de balades en vélo ou à pied attiraient la clientèle…

Henri draguait ouvertement les clientes… Surtout celles envoyées par Janine.
Et le bougre avait du succès… Sa verdeur se répandit et quelques épouses mal mariées venaient les après-midis, sous des prétextes futiles…
On l’appelait parfois d’une ferme voisine…

Marie venait de connaitre son premier trio…

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Le blanc coulait à flot, le jambon était délicieux, quant au fromage, accommodé à sa façon, les régala…

Henri regardait les deux jeunes femmes, Marie se demandait où elle pourrait aller avec leurs maris…

- Pendant que ces dames vont découvrir nos autres fabrications très suaves avec Henri, je vous invite messieurs, à découvrir notre patrimoine…

Les yeux d’Henri changèrent de couleur, sortit la gnole et servit ces dames…

Marie avait remis sa jupe rouge, le même chandail, un peu passé depuis…
Son idée, le pigeonnier…

Kévin et Jonas la suivaient, ils passèrent derrière un mur en pierres sèches, contournant la bâtisse… Il y avait une tour, et une porte au bas de la tour…

- Venez, c’est pas Chambord, mais c’est ludique…
- Vous voulez qu’on passe en premier ? Ça a l’air raide !
- Pas encore ! On a le temps… Et non, car je peux rater une marche ça le rassure de vous sentir derrière…

L’ascension est douce au départ, escalier en colimaçon, on fait une halte aux deux fenêtres, on y voit la campagne autour de la ferme, le troupeau, les poules, les lapins…

- Ça va, vous avez du souffle, vous aimez marcher…
- Oui, on aime venir dans les montagnes, nous aérer, nous divertir aussi… Et d’ici la vue est parfaite…

Ils ne parlent pas de la vue sur ses fesses… La jupe remonte au fil des marches plus hautes, le bonbon avec la culotte rose apparaît, ils ne regardent plus en bas…
Le final, c’est une échelle, qu’elle prend d’un seul élan…
Et finit à 4 pattes dans la paille du colombier…

- Oh, qu’elle cruche…
- Mais non, c’était charmant et ce colombier est admirable…
- Oui, très ouvert, très attirant…

- On va avoir chaud ! Je vais ouvrir la grande fenêtre…

Elle se hisse, et ils découvrent les fesses dodues, plus que les sapins…
Une main vient l’aider, elle tourne la poignée…
L’ouverture cède et elle part en arrière, et tombe dans les bras de Kévin !
Son chandail est retroussé, la jupe sur les cuisses…

Ses yeux de biche montrent son désir…
Une main entre ses cuisses, une autre retire le chandail…

La pauvre chèvre de Mr Henri, est aux mains de 2 loups féroces…
Plus de contorsions, elle se donne à celui qui la prend en premier, le sexe grand ouvert, donnant ses seins à Lucas !

Elle avait monté un matelas la veille…
Elle grimpe sur le premier, le sexe de Kévin, devenu un arbre…
Les doigts magiques des deux compères s’en donnent à cœur-joie…
Elle décuple ses vocalises, ouverte, écartelée à quatre pattes, elle sent la mandrin pénétrer sa chatte, tandis que Jonas lui présente son dard…

Délicieux, une bite de professionnel !
Elle joue de la flûte, du pipeau, ses lèvres glissent sur la hampe, mais trop grande, elle butte dans sa gorge, alors elle y met les mains et masturbe la bite avec passion, tout en s’extasiant sur les coups de reins de Kévin…

- Allez-y mes chéris, vos femmes sont toutes aussi baisées par mon Jules… Elles l’ont déjà goûté cet aprem… Mais là, il doit se surpasser, vos épouses sont des femelles de concours…
- T’es pas mal non plus dans ton genre… Tu nous veux ensemble ?
- Le deal avec vos femmes c’est que vous preniez ma chatte ensemble, elles ont adoré mon minou…
- C’est vrai que ton anatomie intime est très attrayante… Je vais te sucer un moment, avant…
- Oh, oui, mange mon huitre, bouffe ma chatte, et toi, doigte mon cul de salope…

Le plus sensass dans la double pénétration vaginale, c’est le ressenti…
Marie, allongée sur Kévin, de dos, pénétrée par un dard en érection maximale, jouit déjà…
Elle voit Lucas s’installer et le sexe vient rejoindre le premier…
Il se glisse à son côté comme si de rien n’était…
Métamorphosée en Reine du Bal, Marie sent son vagin se distendre, tandis que le second sexe, rentre jusqu’au fond !...
Un rêve, une sensation explosive qui lui fait perdre le nord, trembler de tous ses membres, tandis qu’ils se mettent à la pourfendre ensemble…
Son rêve réalisé… 2 queues dans sa large chatte, il y avait bien la place, comme cette fois où son ex-mari, lui avait rentré une bouteille de Champagne… Ils avaient bu la bouteille à 2…
Un double pénis la lutine, un diamètre total entre 12 cm à 15 cm… Plus dans un instant, quand elle se met à lâcher sa fontaine… Elle se sent déchirée…
Un jet de liquide chaud jaillit de son sexe, en jets saccadés…
Elle orgasme, elle délire, elle tombe comme une poupée de chiffon, puis revient à elle, les yeux dans le vague et se met à agiter son bassin, elle veut qu’ils éjaculent…

- Oh, oui, mes chéris, c’est dément… Tous les deux dans ma chatte énorme, venez dans mon cul maintenant, explosez ma rondelle, j’y ai déjà mis un magnum de champagne, bourrée et excitée, alors baisez-moi jusqu’au bout, mettez-y votre semence chaude, que je jouisse de votre performance…

La prendre par le cul c’était facile après ça, en poirier, chacun d’un côté, leurs bites à la verticale, conjointes…
Elle gémit quand la seconde se fraie un chemin, passe sa rondelle, et glisse dans son rectum… rejoindre la première… Un trou béant, un anneau sombre, qu’ils contemplent avec admiration, jamais ils n’avaient fait cela avant…

- Tu crois qu’on pourrait avec nos belles ?
- Henri doit s’occuper d’elles, les remplir à loisir…
- Oh, oui, il me remplit souvent, parfois il est si gros que je crois qu’ils sont deux…
- Bien dis-donc Marie, tu regardes pas la télé, mais tu as des distractions…
- Oui, et surtout que de temps en temps, il y a Janine, notre copine, qui descend nous livrer… Elle aussi, vous pourriez la planter ensemble, elle adorerait, depuis qu’elle est veuve, elle baise dans les fermes… Elle aime ça, on passe des moments torrides… La bouteille, c’est avec elle…
- Elle est belle ?
- Oh, dans la moyenne, elle porte bien sa soixantaine…
- Vous vous voyez souvent que tous les 3 ?
- Et oui, c’est dommage… Si vous voulez, je lui téléphone pour demain, c’est Dimanche… Je vais l’inviter… Je ne crois pas qu’elle le fasse souvent à plusieurs…
- OK, pour demain midi…

La descente fut très érotique, à chaque palier, Marie donnait ses seins à un des deux hommes, l’autre évitant la zone sensible, ne pouvait au lui donner son sexe à sucer…
Elle s’en régalait, sa culotte à la main…

Ils trouvèrent Isabelle et Véro, dorlotées par un Henri jovial, en short de sport, il sentait la lavande…

FIN

Marika842010 – Septembre 2022
Published by marika842010
2 years ago
Comments
3
marika842010
marika842010 Publisher 2 years ago
to Paco1964 : Charmée que cela te plaise
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Paco1964 2 years ago
EXcellent merci ! 
Reply
groslopenlingerie
groslopenlingerie 2 years ago
super recit , j'adore, 
Reply

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