Sexe à Paris
Je suis à Paris, libre jusqu’à demain matin.
Bien sûr je file à l’Atlas. J’y suis à 15 h.
Dans l’escalier qui mène à la salle du haut j’aperçois, au bout du couloir, un trav, perruque noire, mini-jupe ajourée, talon aiguille, occupé à se maquiller. Ça commence bien. Dans la salle, un peu de monde. Tout en haut quelqu’un est en train de pistonner un cul blanc à genoux sur un fauteuil. Je m’approche. L’enculeur a fini, il se réajuste. L’enculé reste en position. Je lui caresse le cul, le dos. Je doigte un peu. Est ce que j’encule aussi ? J’hésite. Finalement comme je ne bande pas vraiment je renonce.
Je redescends le couloir et tombe sur un autre trav : perruque blonde hyper vulgaire, maquillage, manteau de fausse fourrure ouvert sur un genre de haut ajouré laissant les seins à l’air, mini-jupe, bas résilles, talons hauts.. tout ce que j’aime. Je prends contact poliment en caressant la poitrine et pinçant les tétons. Il me repousse de la main. Déception.
Je fais le tour de la salle. Dans une rangée deux vieux types entrain de s’embrasser et se branler. Au premier rang un gros type, la chemise complètement ouverte sur son ventre énorme, le pantalon aux chevilles, se fait sucer par un autre à genoux entre ses grosses cuisses. Trop crad et excitant. D’autres attendent, assis, debout, seuls, en groupe.. dans un couloir un vieux debout se fait sucer par un autre assis en bout de rang. Un autre se branle à côté en attendant son tour. Je retrouve la blonde de tout à l’heure occupée à pomper un black pas très reluisant, puis elle l’emmène au fond de la rangée, contre le mur, pour qu’il la sodomise. Ah zut alors. Pourquoi elle va avec lui et pas avec moi ?
Mes approches des 2 ou 3 autres travs qui rôdent dans l’une et l’autre salles sont également des échecs. Qu’est ce qu’il y a ? Je pue ou quoi ?
Finalement je me fais sucer par un vieux black ou arabe en bout de rang mais vraiment j’espèrerais mieux. Dommage qu’Helena que j’avais contacté n’ait pas pu venir. J’aurai dû appeler Isabelle avec qui ça c’était si bien passé.
Je quitte les lieux un peu déçu au bout d’une heure pour gagner l’EMC.
J’y suis en 20mn d’une marche très agréable le long de la rue des Martyrs puis de la rue Montmartre.
Sitôt sorti du vestiaire et de la douche je m’assois dans le hammam très embué. Juste devant moi un participant debout, exhibe un sexe assez gros. Je me branle un peu pour lui montrer que je ne suis pas farouche. Il en fait de même pour me faire comprendre qu’il est intéressé. J’att**** l’engin, je le branle puis le suce en l’enfonçant bien loin dans la gorge. J’aime pomper sans les mains, à genoux sur le sol. Il apprécie et murmure quelques mots que je ne comprends pas bien mais je crois qu’il veut qu’on aille en cabine. Je lui dit d’accord et je le suis quand il sort du hammam sans même prendre le temps de nouer ma serviette autour de la taille. C’est un truc qui m’excite : traverser les couloirs à poil, la bite raide pour que tout le monde voit bien qu’on va baiser. Nous entrons dans une cabine vide, on s’étreint, on s’embrasse , on se lèche les tétons, on se caresse le dos, le cul, les couilles. Il est lisse comme moi j’adore ça. J’aime pas sucer une bite quand t’as le nez dans les poils. Il me fait coucher sur le dos les jambes à l’extérieur de la banquette. Il remonte mes jambes sur ses épaules et commence à me doigter le trou après l’avoir enduit de lub. J’adore cette position. On a l’impression d’être complètement pris et on voit le visage de son baiseur. Me sentant bien ouvert il s’encapote et appuie son gland contre la rondelle qui cède avec quelques efforts. Je lui demande de pas entrer trop profondément car il est gros et long. Il lime doucement pendant un bon quart d’heure mais je ne pense pas qu’il jouisse. Moi je ronronne de plaisir et je fais ma salope pour l’exciter. Je me triture les tétons et je me branle. C’est bon. Finalement il me roule une longue pelle bien profonde avec la langue et on se sépare. Je l’avais reconnu : c’était un gars qui m’avait déjà baisé avant le confinement. Apparement il ne se souvenait pas de moi. Il a du en enculer des dizaines d’autres depuis. Le veinard. Pourtant j’aurai bien aimé engager la conversation.
Après cela je fais le tour de l’établissement, je reste quelque temps dans la jacuzzi puis la sauna où il ne se passe rien.
Dans le ciné je vais m’asseoir à côté de deux types qui se branlent. Je me mets à genoux entre les cuisses de celui qui est à ma droite et je le pompe avec vigueur. J’aimerai qu’il jouisse dans ma bouche ou sur mon visage. Ma bite raide ballotte entre mes jambes au rythme de ma tête sur la bite de mon compagnon. J’aimerais que quelqu’un vienne m’enculer ou au moins me doigter le cul. Malheureusement ça n’arrive pas. Les gens sont timides. Pendant que je suce les deux gars se sont rapprochés et se mettent à se rouler des pelles. Je me sens de trop alors je m’en vais.
Après un nouveau tour des couloirs je vais m’étendre dans une cabine, en laissant bien sûr la porte ouverte et m’enduisant de lub pour me branler plus agréablement. Je reçois rapidement plusieurs visites qui n’aboutissent qu’à quelques attouchements jusqu’à ce qu’un gros arabe souriant ferme la porte et commence à me branler et me sucer. Il embrasse aussi très bien. Il a des grosses lèvres très sensuelles. Bien sûr je le suce aussi. Son sexe est court mais très large et dur. Il me propose de m’enculer, ce que j’accepte avec hésitation compte tenu de l’épaisseur de sa bite mais finalement on ne se met pas d’accord car je voudrai qu’il le fasse avec la porte ouverte pour que tout le monde puisse en profiter alors que lui, sans doute par timidité, veut que la porte soit fermée. Pour finir je le suce et il se branle jusqu’à m’éjaculer sur le visage et dans la bouche. J’adore ça.
Après cela je quitte les lieux et je vais manger en attendant 22 heures, l’heure de l’ouverture de l’Impact Bar, le bar naturiste que je veux revoir puisqu’exceptionnellement je suis libre cette nuit.
J’ai eu le temps de voir la fin du match qui a provoqué la détresse des brésiliens, puis en mangeant la victoire des marocains. Un quart d’heure de marche dans Paris illuminé et je suis à la porte de l’Impact. L’entrée est à 20€ avec une boisson. C’est raisonnable. Je rempli mon sac poubelle avec mes affaires en faisant bien attention à mes lunettes. La dernière fois je les avais fait tomber par terre mais heureusement quelqu’un les avait rapporté au barman. L’angoisse. Vêtu seulement de mes chaussures je bois rapidement un petit whisky et je descends au sous-sol, c’est là qu’est l’action. Et quelle action !
En bas de l’escalier on tombe directement sur le « lit à partouze » ! Quand j’y arrive il y a 3 ou 4 occupants à 4 pattes ou sur le dos en train de se faire enculer. Tout autour une bonne dizaine de gars regardent ou attendent leur tour en se branlant. Tout le monde est agglutiné, serrés l’un contre l’autre, on se frotte, on se tripote.. quelque fois l’un des spectateurs-branleurs s’accroupît où se met à genoux pour sucer une bite. Personne ne parle, on entend que les gémissements des enculés et le halètement des enculeurs. C’est un public assez jeune, trentenaire et propre sur lui. Je remarque plus particulièrement un des enculés qui se fait sodomiser à la chaîne,dans différentes positions, par au moins 5 ou 6 partenaires successifs pendant que je regarde. C’est un superbe gars, de 25 ans environ, bon chic bon genre, qu’on verrait plutôt à la messe à l’église Saint Germain que sur un « lit à partouze ». Régulièrement il sniffe du popper et il est toujours disponible pour prendre une nouvelle bite quand son précédent partenaire a deculé. Il a vraiment l’air d’apprécier. J’aimerai pouvoir lui parler pour connaître ses motivations, ses sensations. Est ce si bon que ça de se faire enculer ? Moi ça me fait quand même un peu mal. Ce que j’apprécie c’est l’excitation de l’autre et des éventuels voyeurs.
Après le lit si bien occupé, il y a un dédale de couloir, pas très long, avec des petites alcôves équipées de glory-holes. Elle ne semblent pas très utilisées. On se croise ou se double dans le couloir en se frottant, se caressant et parfois en s’arrêtant pour se sucer ou s’embrasser. Tout cela dans la bonne humeur, sans discussion et sans contestation. Très bon enfant. Si tu ne veux pas participer tu t’éloigne simplement et nul n’y trouve à redire.
Après avoir fait le tour du couloir on revient au lit en passant devant le sling qui est toujours occupé.
Lors d’un de mes passage devant le lit il y avait un type un peu plus âgé que la moyenne qui s’était mis en position de levrette et qui présentait son cul juste devant un spectateur, qui se branlait en profitant du spectacle. J’ai eu envie de lui empoigner la bite pour l’enfoncer dans le trou qui était à 2 cm de lui mais je ne l’ai pas fait.
Pour la ma part je suis juste fait tripoter, sucer et embrasser. Avant de partir j’ai quand même enculé la personne qui était sur le sling pour éjaculer dans la capote dont je m’étais équipé.
En définitive j’ai vraiment passé une excellente journée dans trois ambiance différentes mais tout aussi excitantes les unes que les autres.
Vive le sexe.
(a suivre)
Bien sûr je file à l’Atlas. J’y suis à 15 h.
Dans l’escalier qui mène à la salle du haut j’aperçois, au bout du couloir, un trav, perruque noire, mini-jupe ajourée, talon aiguille, occupé à se maquiller. Ça commence bien. Dans la salle, un peu de monde. Tout en haut quelqu’un est en train de pistonner un cul blanc à genoux sur un fauteuil. Je m’approche. L’enculeur a fini, il se réajuste. L’enculé reste en position. Je lui caresse le cul, le dos. Je doigte un peu. Est ce que j’encule aussi ? J’hésite. Finalement comme je ne bande pas vraiment je renonce.
Je redescends le couloir et tombe sur un autre trav : perruque blonde hyper vulgaire, maquillage, manteau de fausse fourrure ouvert sur un genre de haut ajouré laissant les seins à l’air, mini-jupe, bas résilles, talons hauts.. tout ce que j’aime. Je prends contact poliment en caressant la poitrine et pinçant les tétons. Il me repousse de la main. Déception.
Je fais le tour de la salle. Dans une rangée deux vieux types entrain de s’embrasser et se branler. Au premier rang un gros type, la chemise complètement ouverte sur son ventre énorme, le pantalon aux chevilles, se fait sucer par un autre à genoux entre ses grosses cuisses. Trop crad et excitant. D’autres attendent, assis, debout, seuls, en groupe.. dans un couloir un vieux debout se fait sucer par un autre assis en bout de rang. Un autre se branle à côté en attendant son tour. Je retrouve la blonde de tout à l’heure occupée à pomper un black pas très reluisant, puis elle l’emmène au fond de la rangée, contre le mur, pour qu’il la sodomise. Ah zut alors. Pourquoi elle va avec lui et pas avec moi ?
Mes approches des 2 ou 3 autres travs qui rôdent dans l’une et l’autre salles sont également des échecs. Qu’est ce qu’il y a ? Je pue ou quoi ?
Finalement je me fais sucer par un vieux black ou arabe en bout de rang mais vraiment j’espèrerais mieux. Dommage qu’Helena que j’avais contacté n’ait pas pu venir. J’aurai dû appeler Isabelle avec qui ça c’était si bien passé.
Je quitte les lieux un peu déçu au bout d’une heure pour gagner l’EMC.
J’y suis en 20mn d’une marche très agréable le long de la rue des Martyrs puis de la rue Montmartre.
Sitôt sorti du vestiaire et de la douche je m’assois dans le hammam très embué. Juste devant moi un participant debout, exhibe un sexe assez gros. Je me branle un peu pour lui montrer que je ne suis pas farouche. Il en fait de même pour me faire comprendre qu’il est intéressé. J’att**** l’engin, je le branle puis le suce en l’enfonçant bien loin dans la gorge. J’aime pomper sans les mains, à genoux sur le sol. Il apprécie et murmure quelques mots que je ne comprends pas bien mais je crois qu’il veut qu’on aille en cabine. Je lui dit d’accord et je le suis quand il sort du hammam sans même prendre le temps de nouer ma serviette autour de la taille. C’est un truc qui m’excite : traverser les couloirs à poil, la bite raide pour que tout le monde voit bien qu’on va baiser. Nous entrons dans une cabine vide, on s’étreint, on s’embrasse , on se lèche les tétons, on se caresse le dos, le cul, les couilles. Il est lisse comme moi j’adore ça. J’aime pas sucer une bite quand t’as le nez dans les poils. Il me fait coucher sur le dos les jambes à l’extérieur de la banquette. Il remonte mes jambes sur ses épaules et commence à me doigter le trou après l’avoir enduit de lub. J’adore cette position. On a l’impression d’être complètement pris et on voit le visage de son baiseur. Me sentant bien ouvert il s’encapote et appuie son gland contre la rondelle qui cède avec quelques efforts. Je lui demande de pas entrer trop profondément car il est gros et long. Il lime doucement pendant un bon quart d’heure mais je ne pense pas qu’il jouisse. Moi je ronronne de plaisir et je fais ma salope pour l’exciter. Je me triture les tétons et je me branle. C’est bon. Finalement il me roule une longue pelle bien profonde avec la langue et on se sépare. Je l’avais reconnu : c’était un gars qui m’avait déjà baisé avant le confinement. Apparement il ne se souvenait pas de moi. Il a du en enculer des dizaines d’autres depuis. Le veinard. Pourtant j’aurai bien aimé engager la conversation.
Après cela je fais le tour de l’établissement, je reste quelque temps dans la jacuzzi puis la sauna où il ne se passe rien.
Dans le ciné je vais m’asseoir à côté de deux types qui se branlent. Je me mets à genoux entre les cuisses de celui qui est à ma droite et je le pompe avec vigueur. J’aimerai qu’il jouisse dans ma bouche ou sur mon visage. Ma bite raide ballotte entre mes jambes au rythme de ma tête sur la bite de mon compagnon. J’aimerais que quelqu’un vienne m’enculer ou au moins me doigter le cul. Malheureusement ça n’arrive pas. Les gens sont timides. Pendant que je suce les deux gars se sont rapprochés et se mettent à se rouler des pelles. Je me sens de trop alors je m’en vais.
Après un nouveau tour des couloirs je vais m’étendre dans une cabine, en laissant bien sûr la porte ouverte et m’enduisant de lub pour me branler plus agréablement. Je reçois rapidement plusieurs visites qui n’aboutissent qu’à quelques attouchements jusqu’à ce qu’un gros arabe souriant ferme la porte et commence à me branler et me sucer. Il embrasse aussi très bien. Il a des grosses lèvres très sensuelles. Bien sûr je le suce aussi. Son sexe est court mais très large et dur. Il me propose de m’enculer, ce que j’accepte avec hésitation compte tenu de l’épaisseur de sa bite mais finalement on ne se met pas d’accord car je voudrai qu’il le fasse avec la porte ouverte pour que tout le monde puisse en profiter alors que lui, sans doute par timidité, veut que la porte soit fermée. Pour finir je le suce et il se branle jusqu’à m’éjaculer sur le visage et dans la bouche. J’adore ça.
Après cela je quitte les lieux et je vais manger en attendant 22 heures, l’heure de l’ouverture de l’Impact Bar, le bar naturiste que je veux revoir puisqu’exceptionnellement je suis libre cette nuit.
J’ai eu le temps de voir la fin du match qui a provoqué la détresse des brésiliens, puis en mangeant la victoire des marocains. Un quart d’heure de marche dans Paris illuminé et je suis à la porte de l’Impact. L’entrée est à 20€ avec une boisson. C’est raisonnable. Je rempli mon sac poubelle avec mes affaires en faisant bien attention à mes lunettes. La dernière fois je les avais fait tomber par terre mais heureusement quelqu’un les avait rapporté au barman. L’angoisse. Vêtu seulement de mes chaussures je bois rapidement un petit whisky et je descends au sous-sol, c’est là qu’est l’action. Et quelle action !
En bas de l’escalier on tombe directement sur le « lit à partouze » ! Quand j’y arrive il y a 3 ou 4 occupants à 4 pattes ou sur le dos en train de se faire enculer. Tout autour une bonne dizaine de gars regardent ou attendent leur tour en se branlant. Tout le monde est agglutiné, serrés l’un contre l’autre, on se frotte, on se tripote.. quelque fois l’un des spectateurs-branleurs s’accroupît où se met à genoux pour sucer une bite. Personne ne parle, on entend que les gémissements des enculés et le halètement des enculeurs. C’est un public assez jeune, trentenaire et propre sur lui. Je remarque plus particulièrement un des enculés qui se fait sodomiser à la chaîne,dans différentes positions, par au moins 5 ou 6 partenaires successifs pendant que je regarde. C’est un superbe gars, de 25 ans environ, bon chic bon genre, qu’on verrait plutôt à la messe à l’église Saint Germain que sur un « lit à partouze ». Régulièrement il sniffe du popper et il est toujours disponible pour prendre une nouvelle bite quand son précédent partenaire a deculé. Il a vraiment l’air d’apprécier. J’aimerai pouvoir lui parler pour connaître ses motivations, ses sensations. Est ce si bon que ça de se faire enculer ? Moi ça me fait quand même un peu mal. Ce que j’apprécie c’est l’excitation de l’autre et des éventuels voyeurs.
Après le lit si bien occupé, il y a un dédale de couloir, pas très long, avec des petites alcôves équipées de glory-holes. Elle ne semblent pas très utilisées. On se croise ou se double dans le couloir en se frottant, se caressant et parfois en s’arrêtant pour se sucer ou s’embrasser. Tout cela dans la bonne humeur, sans discussion et sans contestation. Très bon enfant. Si tu ne veux pas participer tu t’éloigne simplement et nul n’y trouve à redire.
Après avoir fait le tour du couloir on revient au lit en passant devant le sling qui est toujours occupé.
Lors d’un de mes passage devant le lit il y avait un type un peu plus âgé que la moyenne qui s’était mis en position de levrette et qui présentait son cul juste devant un spectateur, qui se branlait en profitant du spectacle. J’ai eu envie de lui empoigner la bite pour l’enfoncer dans le trou qui était à 2 cm de lui mais je ne l’ai pas fait.
Pour la ma part je suis juste fait tripoter, sucer et embrasser. Avant de partir j’ai quand même enculé la personne qui était sur le sling pour éjaculer dans la capote dont je m’étais équipé.
En définitive j’ai vraiment passé une excellente journée dans trois ambiance différentes mais tout aussi excitantes les unes que les autres.
Vive le sexe.
(a suivre)
2 years ago