Un couple normal ou presque (8)
[Entre hommes] [travesti] [sodomie]
[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]
Quelques semaines plus tard, nous devions être fin novembre, nous parlions encore de notre expérience au club échangiste et de Sébastien. Cela avait été un très bon moment et je pensais depuis quelques jours que j’aimerais retenter l’expérience. J’en parlais à mon épouse qui fut immédiatement partante. Ma femme lui a donc envoyé un mail en lui demandant s’il serait d’accord pour nous revoir et que nous pourrions le recevoir chez nous. La réponse arriva le lendemain, elle ne fut pas tout à fait celle que nous attendions mais il nous proposait de nous revoir au club, le 15 décembre. Il demandait également à ce que je sois habillé en femme, comme la dernière fois. Je ne m’en sortirai donc jamais ? Cela étant, je suis consentant puisque c’est le fantasme de Sandrine, donc ok, rendez-vous est pris, 22H00 le jeudi 15 décembre.
Nous avons pris deux jours de congés du coup, les jeudi et vendredi pour nous préparer à la soirée et sans nul doute nous en remettre. Pour cette fois, c’est moi qui est choisi nos tenues : ensemble mini-jupe portefeuille et veste en tweed texturé gris, rose et noir, en ensemble porte-jarretelles serre-taille en satin bleu canard et dentelle noire avec le tanga et le soutien-gorge assortis, des bas noirs opaques avec jarretières. Nous avions déjà les escarpins, les chemisiers blancs et les manteaux. Cette histoire commençait à nous couter un bras en fringues.
Le jour J nous avons commencé à nous préparer en milieu d’après-midi : contrôle de l’épilation (toujours entre le haut des cuisses et de bas du ventre ainsi que les aisselles et une décoloration du reste pour moi), douche approfondie sur les parties intimes, habillage, perruque pour moi et maquillage (je laissais ma femme s’en occuper). Je ne me lassais pas d’être surpris par cette transformation, j’étais un autre et il faut l’avouer nous étions superbes, classes et sexy.
Nous sommes arrivés au club vers 22H00 et comme Sébastien n’étant pas encore arrivé nous avons trouvé une alcôve et avons commandé une bouteille de champagne avec 3 flutes. En l’attendant nous avons commencé la bouteille tout en commentant ce qui se passait dans la salle. Nous avons fini la bouteille et à 23H00, après avoir repoussé de nombreuses invitations d’hommes comme de femmes, nous avons convenu que nous nous étions fait poser un lapin et nous apprêtions à partir lorsqu’il est arrivé. Il nous a fait la bise en s’excusant platement pour son retard et il commanda une nouvelle bouteille pour se faire pardonné. Nous avons donc trinqué et papoté, anxieux et impatients de passer aux choses sérieuses. Nos verres à moitiés entamés, un homme est venu se présenter, il devait avoir tout juste la quarantaine, un peu plus grand que Sébastien, les yeux bleus et les cheveux blonds, le parfais jetsetteur. « Mes amis je vous présente François, une vieille connaissance » nous annonça Sébastien en l’invitant à s’installer dans notre alcôve.
Il s’installa aux côtés de mon épouse, Sébastien étant aux miens. Un peu surpris par cette intrusion nous n’avons pas osé protester et la conversation a repris. C’est au début du troisième verre, qui devait être le 7ème pour nous que je sentis la main de Sébastien se poser sur ma cuisse et la caresser doucement tout en continuant à discuter comme si de rien n’était. Lorsque sa main a voulu remonter plus haut je l’ai bloquée et j’ai tourné la tête vers lui. Il me regardait avec un grand sourire et il s’est penché vers moi et m’a embrassé, je me suis laissé faire. Son baiser était tendre et j’avais oublié comme il était agréable de se faire embrasser.
Je commençais à être excité et je sentais une douce chaleur envahir mon bas ventre tandis que mon sexe prenait vie. J’en lâchais sa main qui remonta instantanément sur mes cuisses. Lorsqu’elle quitta mes bas et atteignit ma peau, j’écartais instinctivement les cuisses et elle poursuivi sa croisade jusqu’à mon sexe maintenant tendu. La main repartit doucement jusqu’à mes cuisses et revient plusieurs fois et lorsqu’elle caressa enfin mon sexe, le parcourant sur toute sa longueur je poussais un gémissement étouffé par son baisé. Il quitta alors mes lèvres et regardant mon épouse et François qui en étaient au même point que nous à la différence qui s’ils s’embrassait comme nous et que la main de François, comme celle de Sébastien, était haute sous la jupe de ma femme, celle-ci caressait également son partenaire. Sébastien annonça alors « Mes amis, je pense qu’il est l’heure de monter. ». Ma femme paru inquiète « 3 hommes pour une femme, j’ai peur de ne pas être à la hauteur ». Mais Sébastien nous expliqua, « Vous êtes dans un club échangiste ici et le principe est d’échanger, de ne pas rester avec le même partenaire. Tu vas donc aller avec François et j’irai de mon côté avec ton mari ».
Il y eu un long silence, Sandrine me regardait incrédule. Finalement elle me demanda ce que j’en pensais. « Je ne suis pas chaud ma chérie, si nous étions ok pour l’échangisme, l’amour entre hommes c’est pas trop mon truc. ». Sébastien intervient tout de suite « Tu peux laisser Sandrine profiter du moment c’est ce que vous vouliez, non ? Quant à nous, il ne se passera rien que tu ne voudrais pas et si tu veux nous pourrons tout simplement continuer à boire du champagne. ». Sandrine me lança un nouveau regard et me demanda « Je suis partante mais il faut que tu le sois aussi ». Bon, j’étais un peu rassurer quant aux attentes de Sébastien et bien que je sois un jaloux de François, c’est vrai qu’à la base nous sommes venus pour ça. J’ai donc accepté. Ni une ni deux nous nous dirigeâmes vers l’étage et les chambres individuelles. Sébastien et moi avions la même chambre que la dernière fois et je vis partir ma femme avec François à quelques portes de là.
Une fois seuls dans la chambre j’ai eu une grosse crise de panique, j’étais seul dans une chambre avec un homme tandis que j’étais déguisé en femme. Sébastien a dû sentir mon trouble car il m’a pris par les épaules et m’a dit doucement « Tout va bien, pas de stress. Ta femme va passer un très bon moment qui ne remettra rien en cause entre vous, c’est comme d’aller faire une séance de relaxation mais par le sexe. Pour nous, c’est comme tu veux. Nous pouvons nous assoir et discuter en sirotant un peu de cognac pour faire passer de champagne. Nous pouvons aussi nous embrasser et nous caresser, sans plus. J’ai d’ailleurs très envie de t’embrasser là, c’est comme tu veux ». Je relevais la tête, il me regardait intensément et je m’avançais vers lui. Après tout qu’est-ce qu’un baiser ? Nous venions d’ne échanger un qui était très agréable. Je ne sais pas si c’est le fait d’être seul avec lui dans une chambre mais dès que ces lèvres touchèrent les miennes je reçu comme une décharge électrique et lorsque sa langue trouva la mienne le feu dans mon bas ventre se ralluma.
Il me prit dans ses bras et lorsque son baiser se fit plus ardent je sentis ses mains quitter mes épaules et faire tomber ma veste puis elles me caressèrent le dos. Quand elles atteignirent mes fesses son baiser devient passionné. Je commençais également à le serrer contre moi et à lui caresser le dos et les fesses. J’étais très excité et je sentais sa propre excitation contre la mienne. Je tirais sur ses fesses pour me coller plus fort à lui et mieux le sentir. Doucement il remonta ma jupe et je sentis ses mains sur la peau de mes fesses. S’était très agréable, j’avais commencé à onduler contre lui, s’en m’en rendre compte. Il quitta alors mes lèvres et me dit « Vient, allongeons-nous, nous serons plus confortables. Il me prit la main et me guida jusqu’au lit où nous nous sommes allongés l’un en fasse de l’autre.
Tout en me regardant, il a commencé à me caresser le visage puis sa main est descendue le long de mon cou, elle a poursuivi sa route sur mon flanc jusqu’à arriver sur le haut de ma cuisse. Elle est alors remontée par l’arrière, s’attardant un peu sur mes fesses avant de remonter dans mon dos. J’avais fermé les yeux m’abandonnant à ces caresses. Il redescendit face avant et s’attarda sur mon torse, me titillant les tétons au travers du chemiser et du soutien-gorge. Malgré ces protections la caresses était divine et mes tétons durs à faire mal. Puis il poursuivit sa route, il contourna mon sexe et descendit jusque sur ma cuisse, plus bas que ma jupe. Il remonta par l’autre cuisse, évitant à nouveau mon sexe qui criait de désir. Il me caressa l’autre téton et redescendit par le centre cette fois, et il passa sur mon sexe dans une douce caresse qui me fit tressaillir, le plaisir était tellement intense que j’ai cru que j’allais exploser. Arriver sur mes cuisses il remonta et commença à remonter ma jupe. Il se ravisa et me demanda s’il pouvait l’enlever. J’acquiesçais. Il dégrafa donc ma jupe et délicatement la tira à lui. « Il sont très beaux tes dessous, c’est ta femme qui les a choisis ? » me demanda-t-il. « Non, c’est moi » lui répondis d’une petite voix que je ne reconnaissais pas. « Tu as très bon gout Stéphane ». Là-dessus il posa sa main entre mes cuisses, que j’écartais pour lui donner un peu de champ, et il reprit ses aller et retours.
Sortant de ma torpeur je commençais également à le caresser, je parcourais son torse, je descendais sur son ventre, poursuivait sur son sexe que j’attrapais à travers le tissu de son pantalon.
Je le caressais un peu et remontais au même rythme que lui. Lorsqu’il entreprit de déboutonner mon chemisier il me lança un regard interrogateur auquel j’acquiesçait d’un sourire timide. Tandis que mes boutons sautaient l’un après l’autre, je faisais de même avec sa chemise. Nous nous retrouvâmes torses nus même si j’avais toujours mon soutien-gorge et nos caresses se firent plus sensuelles. À un moment, alors qu’il me caressait le sexe j’ai tenté d’accéder au sien, sous son pantalon, n’y arrivant pas j’ai entrepris d’enlever sa ceinture, de le déboutonner et de baisser sa braguette. Il a alors pris l’initiative de le quitter. Il était maintenant en boxer et je pouvais voir plus précisément son excitation. Ma main se précipita sur son sexe et d’impatience, je passais dessous pour le toucher du bout des doigts. Il émit un gémissement, j’étais content de lui faire plaisir. Je lui fis descendre son boxer et je réalisais ce que j’étais en train de faire, j’étais presque nu, au lit avec un homme nu, sur l’instant je n’en ai rien eu à battre. Et j’ai poursuivi les caresses de son sexe que je trouvais très beau. Lui-même passa la main dans mon tanga et me caressa la queue. La chaleur et la douceur étaient divins et nous gémissions maintenant en rythme.
Soudain ses lèvres se posèrent sur les miennes et il m’embrassa fougueusement en me faisant basculer sur le dos. Il était sur moi, ses jambes entre les miennes, m’embrassant comme un fou et il a commencé à onduler du bassin, nos sexes se frottant l’un l’autre dans une caresse divine. Il a continué comme ça et j’ai cru que j’allais exploser. Il a dû le sentir car il a arrêté ses mouvements et a quitté ma bouche en commençant à descendre sur ma poitrine, sur mon ventre, sur mon sexe qu’il a libéré du tanga et il a entreprit une lente fellation agrémentée de bisous et de coups de langues. J’allais jouir et lui pris la tête pour le faire remonter mais il a continué et dans un râle je me suis libéré dans sa bouche. Il a poursuivi un peu sa fellation m’arrachant quelques sursauts de plaisir puis il est remonté vers ma bouche pour m’embrasser et partager la sève de mon plaisir.
Il s’est finalement levé, nu, le sexe toujours au garde à vous et nous a servi une flute de champagne. Je rajustais mon sexe mou dans mon tanga, je m’assis et le remerciais, tant pour le verre que pour ce qui venais de se passer et m’inquiétais qu’il n’ait pas joui. Il me répondit de ne pas m’inquiéter, que la nuit n’était pas finie. Bon, ça promettait. Je pensais alors à ma femme, où en était-elle, trouvait-elle son plaisir ? Nous échangeâmes quelques propos anodins et lorsque nos verres furent vidés il me demanda si un massage me plairait, qu’il adorait faire ça. J’acceptais et il me fit m’allonger sur le dos et il vint s’installer à califourchon sur mes cuisses.
Après avoir dégrafé mon soutien-gorge il commença son massage du dos qui était très agréable et après quelques instants, épuisé par la séance de sexe et la flute de champagne, je tombais dans une douce béatitude. J’en sortais après avoir pris conscience que quelque chose s’agitait entre mes fesses de temps en temps. Je sentais toujours ses mains me masser le dos mais elles descendaient maintenant jusque sur mes fesses et en descendant un doigt passait entre elle pour venir titiller mon œillet. J’allais protester que je n’étais pas d’accord pour cette caresse lorsque ces mains poursuivre sous mes fesses pour me masser le périnée ce qui déclencha une décharge électrique dans tout mon corps. Les mains remontèrent alors sur mes fesses, les doigts inquisiteurs traversant le canyon, s’arrêtant un moment au puit avant de repartir. Bon, c’est plutôt agréable, s’il ne va pas plus loin, je lui laisse le bénéfice du doute. Je remarquais alors qu’’il n’était plus sur mes cuisses, mais à genoux entre elles, j’étais tellement parti que je n’avais rien senti.
Au passage suivant le massage du périnée me provoqua une nouvelle décharge qui me fit me cambrer. Il en profitant pour glisser sa main sous moi et me saisir le sexe tandis que sa main reprenait ses massages. Je sentis immédiatement mon sexe revivre et se durcir sous les légers aller-retour qu’il imprimait à sa main. Je sentis qu’en plus de ses massages, il m’embrassait le dos, dessinait des arabesques avec sa langue. Je ne réussis pas à contenir un soupir d’aise. « A on se réveille à ce que je vois, et dans de bonnes conditions me dit ma main ». Là-dessus il sera un peu mon sexe avant de poursuivre ses petits mouvements. Il me dit aussi que j’avais un cul magnifique, ce à quoi je répondais un timide merci.
Ses bisous et sa main descendirent le long de ma colonne vertébrale jusqu’à mes fesses qu’elles malaxèrent et bidouillèrent à souhait. Je commençais à être très excité et je j’ondulais du bassin pour me frotter sur sa main et accentuer l’amplitude de ses caresses. Mais cela accentuait aussi pression du doigt inquisiteur maintenant posé sur mon œillet. Qu’à cela ne tienne, serre les fesses et fait toi plaisir me dit-je et je poursuivais ma masturbation sur sa main. Mais concentré sur mon plaisir j’oubliais mes fesses et lors d’un mouvement plus ample le doigt força l’entrée du puit m’arrachant un « Ohhh » autant de surprise que de plaisir. « On peux continuer comme ça si tu veux ou tu préfères que je le retire ? ». Complètement sous l’emprise de mon plaisir je lui dis qu’il pouvait rester. « Attends deux secondes alors ». Son doigt sortit pour revenir et me pénétrer facilement, il avait dû mettre du gel. « Vas-y mon beau, fait toi plaisir ». Sans plus attendre je repris ma masturbation sur sa main, sentant son doigt aller et venir en moi au gré de mes au gré de mes mouvements.
Sa main sur mon sexe exerça une pression plus forte sur mon sexe et je dus lever les hanches pour ne pas avoir mal mais la pression se poursuivit et je finis par me retrouver à quatre pattes, la tête toujours sur l’oreiller. La pénétration du doigt était plus forte ainsi et je poursuivais mes mouvements de hanches pour me frotter à sa main tandis que je sentais que lui aussi faisait bouger son doigt. Je l’entendis me demander si s’était bon, si j’aimais ça et je grognais un oui. Il me demanda aussi si j’en voulais plus, je grognais un non qu’il n’a pas dû comprendre car aussitôt la pénétration fut plu épaisse, un deuxième doigt venait d’envahir mon cul et s’était tant mieux car c’était meilleur.
Entre ses doigts en moi et sa main sur mon sexe tout mon bassin était embrasé. Tout mon être vibrait de plaisir et je sentir que je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme. Aussi, lorsqu’il me demanda si je voulais qu’il me prenne, je ne compris pas très bien mais j’acquiesçais. Sa main et ses doigts me quittèrent et je soufflais un peu, heureux de cette pause. Je l’entendis bouger derrière moi. « Stéphane, tu as vraiment un cul superbe comme ça » me dit-il avant que je ne sente la ficelle de mon tanga s’écarter et quelque chose de plus gros qu’un doigt se présenter contre mon œillet. Comprenant vaguement ce qui se passait je tentais, sans grande conviction il faut le reconnaitre, de m’en éloigner mais ses deux m’agrippèrent les hanches, il força et rapidement il franchit la barrière et me pénétra. Son sexe était plus large que le god et cela me fit mal, m’arrachant un petit cri.
Il bougea alors un petit peu puis sortit, je sentis du gel versé sur mon anneau en feu, sa queue se représenter, passer plus facilement les barrières sans douleur. Toujours agrippé à mes hanches, il commença de lents aller-retours, chaque aller l’enfonçant un peu plus en moi. Lorsque je le sentis contre mes fesses je poussais un râle de plaisir. Alors il recula, sortit de moi, je ne compris pas, j’en voulais plus mais il me pénétra d’un coup sec, jusqu’à la garde, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je gémis tandis qu’il poussait un râle.
Tout devient fou, il se mit à me prendre à une cadence folle, chacun de ses assauts me semblait plus violent, plus profond. Son ventre claquait contre mes fesses, je gémissais, il grognait. Tout mon corps était un brasier enflammé, mon bas ventre un volcan éruption. Je m’abandonnais, sans résistance, à ses mains sur mes hanches qui me tiraient vers lui tandis qu’il me pénétrait. Finalement, dans une dernière poussée violente qui me fit tomber à plat ventre, je le sentis se raidir et jouir en moi. Il poussa un râle de jouissance tandis que je poussais un gémissement de plaisir. Essoufflés, groggy, il s’allongea sur moi et me fit des bisous dans le cou. « Tu es trop bon mon chéri » me susurra-t-il à l’oreille avant de se dégager et de quitter mon antre. Je restais immobile tandis qu’il quittait mon dos pour s’allonger à mes côtés. « Est-ce que tu as aimé ? Pour moi c’était un moment magique. » me demanda-t-il. Je luis répondis que oui mais non. J’étais très mal à l’aise et quelque peu honteux de ce qui venait de se passer, je venais de me faire sodomiser par un mec et j’en avais tiré du plaisir.
Sans un mot je partis dans la salle de bain, hottais ma perruque, mes dessous et, nu, pris une longue douche chaude.
[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]
Quelques semaines plus tard, nous devions être fin novembre, nous parlions encore de notre expérience au club échangiste et de Sébastien. Cela avait été un très bon moment et je pensais depuis quelques jours que j’aimerais retenter l’expérience. J’en parlais à mon épouse qui fut immédiatement partante. Ma femme lui a donc envoyé un mail en lui demandant s’il serait d’accord pour nous revoir et que nous pourrions le recevoir chez nous. La réponse arriva le lendemain, elle ne fut pas tout à fait celle que nous attendions mais il nous proposait de nous revoir au club, le 15 décembre. Il demandait également à ce que je sois habillé en femme, comme la dernière fois. Je ne m’en sortirai donc jamais ? Cela étant, je suis consentant puisque c’est le fantasme de Sandrine, donc ok, rendez-vous est pris, 22H00 le jeudi 15 décembre.
Nous avons pris deux jours de congés du coup, les jeudi et vendredi pour nous préparer à la soirée et sans nul doute nous en remettre. Pour cette fois, c’est moi qui est choisi nos tenues : ensemble mini-jupe portefeuille et veste en tweed texturé gris, rose et noir, en ensemble porte-jarretelles serre-taille en satin bleu canard et dentelle noire avec le tanga et le soutien-gorge assortis, des bas noirs opaques avec jarretières. Nous avions déjà les escarpins, les chemisiers blancs et les manteaux. Cette histoire commençait à nous couter un bras en fringues.
Le jour J nous avons commencé à nous préparer en milieu d’après-midi : contrôle de l’épilation (toujours entre le haut des cuisses et de bas du ventre ainsi que les aisselles et une décoloration du reste pour moi), douche approfondie sur les parties intimes, habillage, perruque pour moi et maquillage (je laissais ma femme s’en occuper). Je ne me lassais pas d’être surpris par cette transformation, j’étais un autre et il faut l’avouer nous étions superbes, classes et sexy.
Nous sommes arrivés au club vers 22H00 et comme Sébastien n’étant pas encore arrivé nous avons trouvé une alcôve et avons commandé une bouteille de champagne avec 3 flutes. En l’attendant nous avons commencé la bouteille tout en commentant ce qui se passait dans la salle. Nous avons fini la bouteille et à 23H00, après avoir repoussé de nombreuses invitations d’hommes comme de femmes, nous avons convenu que nous nous étions fait poser un lapin et nous apprêtions à partir lorsqu’il est arrivé. Il nous a fait la bise en s’excusant platement pour son retard et il commanda une nouvelle bouteille pour se faire pardonné. Nous avons donc trinqué et papoté, anxieux et impatients de passer aux choses sérieuses. Nos verres à moitiés entamés, un homme est venu se présenter, il devait avoir tout juste la quarantaine, un peu plus grand que Sébastien, les yeux bleus et les cheveux blonds, le parfais jetsetteur. « Mes amis je vous présente François, une vieille connaissance » nous annonça Sébastien en l’invitant à s’installer dans notre alcôve.
Il s’installa aux côtés de mon épouse, Sébastien étant aux miens. Un peu surpris par cette intrusion nous n’avons pas osé protester et la conversation a repris. C’est au début du troisième verre, qui devait être le 7ème pour nous que je sentis la main de Sébastien se poser sur ma cuisse et la caresser doucement tout en continuant à discuter comme si de rien n’était. Lorsque sa main a voulu remonter plus haut je l’ai bloquée et j’ai tourné la tête vers lui. Il me regardait avec un grand sourire et il s’est penché vers moi et m’a embrassé, je me suis laissé faire. Son baiser était tendre et j’avais oublié comme il était agréable de se faire embrasser.
Je commençais à être excité et je sentais une douce chaleur envahir mon bas ventre tandis que mon sexe prenait vie. J’en lâchais sa main qui remonta instantanément sur mes cuisses. Lorsqu’elle quitta mes bas et atteignit ma peau, j’écartais instinctivement les cuisses et elle poursuivi sa croisade jusqu’à mon sexe maintenant tendu. La main repartit doucement jusqu’à mes cuisses et revient plusieurs fois et lorsqu’elle caressa enfin mon sexe, le parcourant sur toute sa longueur je poussais un gémissement étouffé par son baisé. Il quitta alors mes lèvres et regardant mon épouse et François qui en étaient au même point que nous à la différence qui s’ils s’embrassait comme nous et que la main de François, comme celle de Sébastien, était haute sous la jupe de ma femme, celle-ci caressait également son partenaire. Sébastien annonça alors « Mes amis, je pense qu’il est l’heure de monter. ». Ma femme paru inquiète « 3 hommes pour une femme, j’ai peur de ne pas être à la hauteur ». Mais Sébastien nous expliqua, « Vous êtes dans un club échangiste ici et le principe est d’échanger, de ne pas rester avec le même partenaire. Tu vas donc aller avec François et j’irai de mon côté avec ton mari ».
Il y eu un long silence, Sandrine me regardait incrédule. Finalement elle me demanda ce que j’en pensais. « Je ne suis pas chaud ma chérie, si nous étions ok pour l’échangisme, l’amour entre hommes c’est pas trop mon truc. ». Sébastien intervient tout de suite « Tu peux laisser Sandrine profiter du moment c’est ce que vous vouliez, non ? Quant à nous, il ne se passera rien que tu ne voudrais pas et si tu veux nous pourrons tout simplement continuer à boire du champagne. ». Sandrine me lança un nouveau regard et me demanda « Je suis partante mais il faut que tu le sois aussi ». Bon, j’étais un peu rassurer quant aux attentes de Sébastien et bien que je sois un jaloux de François, c’est vrai qu’à la base nous sommes venus pour ça. J’ai donc accepté. Ni une ni deux nous nous dirigeâmes vers l’étage et les chambres individuelles. Sébastien et moi avions la même chambre que la dernière fois et je vis partir ma femme avec François à quelques portes de là.
Une fois seuls dans la chambre j’ai eu une grosse crise de panique, j’étais seul dans une chambre avec un homme tandis que j’étais déguisé en femme. Sébastien a dû sentir mon trouble car il m’a pris par les épaules et m’a dit doucement « Tout va bien, pas de stress. Ta femme va passer un très bon moment qui ne remettra rien en cause entre vous, c’est comme d’aller faire une séance de relaxation mais par le sexe. Pour nous, c’est comme tu veux. Nous pouvons nous assoir et discuter en sirotant un peu de cognac pour faire passer de champagne. Nous pouvons aussi nous embrasser et nous caresser, sans plus. J’ai d’ailleurs très envie de t’embrasser là, c’est comme tu veux ». Je relevais la tête, il me regardait intensément et je m’avançais vers lui. Après tout qu’est-ce qu’un baiser ? Nous venions d’ne échanger un qui était très agréable. Je ne sais pas si c’est le fait d’être seul avec lui dans une chambre mais dès que ces lèvres touchèrent les miennes je reçu comme une décharge électrique et lorsque sa langue trouva la mienne le feu dans mon bas ventre se ralluma.
Il me prit dans ses bras et lorsque son baiser se fit plus ardent je sentis ses mains quitter mes épaules et faire tomber ma veste puis elles me caressèrent le dos. Quand elles atteignirent mes fesses son baiser devient passionné. Je commençais également à le serrer contre moi et à lui caresser le dos et les fesses. J’étais très excité et je sentais sa propre excitation contre la mienne. Je tirais sur ses fesses pour me coller plus fort à lui et mieux le sentir. Doucement il remonta ma jupe et je sentis ses mains sur la peau de mes fesses. S’était très agréable, j’avais commencé à onduler contre lui, s’en m’en rendre compte. Il quitta alors mes lèvres et me dit « Vient, allongeons-nous, nous serons plus confortables. Il me prit la main et me guida jusqu’au lit où nous nous sommes allongés l’un en fasse de l’autre.
Tout en me regardant, il a commencé à me caresser le visage puis sa main est descendue le long de mon cou, elle a poursuivi sa route sur mon flanc jusqu’à arriver sur le haut de ma cuisse. Elle est alors remontée par l’arrière, s’attardant un peu sur mes fesses avant de remonter dans mon dos. J’avais fermé les yeux m’abandonnant à ces caresses. Il redescendit face avant et s’attarda sur mon torse, me titillant les tétons au travers du chemiser et du soutien-gorge. Malgré ces protections la caresses était divine et mes tétons durs à faire mal. Puis il poursuivit sa route, il contourna mon sexe et descendit jusque sur ma cuisse, plus bas que ma jupe. Il remonta par l’autre cuisse, évitant à nouveau mon sexe qui criait de désir. Il me caressa l’autre téton et redescendit par le centre cette fois, et il passa sur mon sexe dans une douce caresse qui me fit tressaillir, le plaisir était tellement intense que j’ai cru que j’allais exploser. Arriver sur mes cuisses il remonta et commença à remonter ma jupe. Il se ravisa et me demanda s’il pouvait l’enlever. J’acquiesçais. Il dégrafa donc ma jupe et délicatement la tira à lui. « Il sont très beaux tes dessous, c’est ta femme qui les a choisis ? » me demanda-t-il. « Non, c’est moi » lui répondis d’une petite voix que je ne reconnaissais pas. « Tu as très bon gout Stéphane ». Là-dessus il posa sa main entre mes cuisses, que j’écartais pour lui donner un peu de champ, et il reprit ses aller et retours.
Sortant de ma torpeur je commençais également à le caresser, je parcourais son torse, je descendais sur son ventre, poursuivait sur son sexe que j’attrapais à travers le tissu de son pantalon.
Je le caressais un peu et remontais au même rythme que lui. Lorsqu’il entreprit de déboutonner mon chemisier il me lança un regard interrogateur auquel j’acquiesçait d’un sourire timide. Tandis que mes boutons sautaient l’un après l’autre, je faisais de même avec sa chemise. Nous nous retrouvâmes torses nus même si j’avais toujours mon soutien-gorge et nos caresses se firent plus sensuelles. À un moment, alors qu’il me caressait le sexe j’ai tenté d’accéder au sien, sous son pantalon, n’y arrivant pas j’ai entrepris d’enlever sa ceinture, de le déboutonner et de baisser sa braguette. Il a alors pris l’initiative de le quitter. Il était maintenant en boxer et je pouvais voir plus précisément son excitation. Ma main se précipita sur son sexe et d’impatience, je passais dessous pour le toucher du bout des doigts. Il émit un gémissement, j’étais content de lui faire plaisir. Je lui fis descendre son boxer et je réalisais ce que j’étais en train de faire, j’étais presque nu, au lit avec un homme nu, sur l’instant je n’en ai rien eu à battre. Et j’ai poursuivi les caresses de son sexe que je trouvais très beau. Lui-même passa la main dans mon tanga et me caressa la queue. La chaleur et la douceur étaient divins et nous gémissions maintenant en rythme.
Soudain ses lèvres se posèrent sur les miennes et il m’embrassa fougueusement en me faisant basculer sur le dos. Il était sur moi, ses jambes entre les miennes, m’embrassant comme un fou et il a commencé à onduler du bassin, nos sexes se frottant l’un l’autre dans une caresse divine. Il a continué comme ça et j’ai cru que j’allais exploser. Il a dû le sentir car il a arrêté ses mouvements et a quitté ma bouche en commençant à descendre sur ma poitrine, sur mon ventre, sur mon sexe qu’il a libéré du tanga et il a entreprit une lente fellation agrémentée de bisous et de coups de langues. J’allais jouir et lui pris la tête pour le faire remonter mais il a continué et dans un râle je me suis libéré dans sa bouche. Il a poursuivi un peu sa fellation m’arrachant quelques sursauts de plaisir puis il est remonté vers ma bouche pour m’embrasser et partager la sève de mon plaisir.
Il s’est finalement levé, nu, le sexe toujours au garde à vous et nous a servi une flute de champagne. Je rajustais mon sexe mou dans mon tanga, je m’assis et le remerciais, tant pour le verre que pour ce qui venais de se passer et m’inquiétais qu’il n’ait pas joui. Il me répondit de ne pas m’inquiéter, que la nuit n’était pas finie. Bon, ça promettait. Je pensais alors à ma femme, où en était-elle, trouvait-elle son plaisir ? Nous échangeâmes quelques propos anodins et lorsque nos verres furent vidés il me demanda si un massage me plairait, qu’il adorait faire ça. J’acceptais et il me fit m’allonger sur le dos et il vint s’installer à califourchon sur mes cuisses.
Après avoir dégrafé mon soutien-gorge il commença son massage du dos qui était très agréable et après quelques instants, épuisé par la séance de sexe et la flute de champagne, je tombais dans une douce béatitude. J’en sortais après avoir pris conscience que quelque chose s’agitait entre mes fesses de temps en temps. Je sentais toujours ses mains me masser le dos mais elles descendaient maintenant jusque sur mes fesses et en descendant un doigt passait entre elle pour venir titiller mon œillet. J’allais protester que je n’étais pas d’accord pour cette caresse lorsque ces mains poursuivre sous mes fesses pour me masser le périnée ce qui déclencha une décharge électrique dans tout mon corps. Les mains remontèrent alors sur mes fesses, les doigts inquisiteurs traversant le canyon, s’arrêtant un moment au puit avant de repartir. Bon, c’est plutôt agréable, s’il ne va pas plus loin, je lui laisse le bénéfice du doute. Je remarquais alors qu’’il n’était plus sur mes cuisses, mais à genoux entre elles, j’étais tellement parti que je n’avais rien senti.
Au passage suivant le massage du périnée me provoqua une nouvelle décharge qui me fit me cambrer. Il en profitant pour glisser sa main sous moi et me saisir le sexe tandis que sa main reprenait ses massages. Je sentis immédiatement mon sexe revivre et se durcir sous les légers aller-retour qu’il imprimait à sa main. Je sentis qu’en plus de ses massages, il m’embrassait le dos, dessinait des arabesques avec sa langue. Je ne réussis pas à contenir un soupir d’aise. « A on se réveille à ce que je vois, et dans de bonnes conditions me dit ma main ». Là-dessus il sera un peu mon sexe avant de poursuivre ses petits mouvements. Il me dit aussi que j’avais un cul magnifique, ce à quoi je répondais un timide merci.
Ses bisous et sa main descendirent le long de ma colonne vertébrale jusqu’à mes fesses qu’elles malaxèrent et bidouillèrent à souhait. Je commençais à être très excité et je j’ondulais du bassin pour me frotter sur sa main et accentuer l’amplitude de ses caresses. Mais cela accentuait aussi pression du doigt inquisiteur maintenant posé sur mon œillet. Qu’à cela ne tienne, serre les fesses et fait toi plaisir me dit-je et je poursuivais ma masturbation sur sa main. Mais concentré sur mon plaisir j’oubliais mes fesses et lors d’un mouvement plus ample le doigt força l’entrée du puit m’arrachant un « Ohhh » autant de surprise que de plaisir. « On peux continuer comme ça si tu veux ou tu préfères que je le retire ? ». Complètement sous l’emprise de mon plaisir je lui dis qu’il pouvait rester. « Attends deux secondes alors ». Son doigt sortit pour revenir et me pénétrer facilement, il avait dû mettre du gel. « Vas-y mon beau, fait toi plaisir ». Sans plus attendre je repris ma masturbation sur sa main, sentant son doigt aller et venir en moi au gré de mes au gré de mes mouvements.
Sa main sur mon sexe exerça une pression plus forte sur mon sexe et je dus lever les hanches pour ne pas avoir mal mais la pression se poursuivit et je finis par me retrouver à quatre pattes, la tête toujours sur l’oreiller. La pénétration du doigt était plus forte ainsi et je poursuivais mes mouvements de hanches pour me frotter à sa main tandis que je sentais que lui aussi faisait bouger son doigt. Je l’entendis me demander si s’était bon, si j’aimais ça et je grognais un oui. Il me demanda aussi si j’en voulais plus, je grognais un non qu’il n’a pas dû comprendre car aussitôt la pénétration fut plu épaisse, un deuxième doigt venait d’envahir mon cul et s’était tant mieux car c’était meilleur.
Entre ses doigts en moi et sa main sur mon sexe tout mon bassin était embrasé. Tout mon être vibrait de plaisir et je sentir que je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme. Aussi, lorsqu’il me demanda si je voulais qu’il me prenne, je ne compris pas très bien mais j’acquiesçais. Sa main et ses doigts me quittèrent et je soufflais un peu, heureux de cette pause. Je l’entendis bouger derrière moi. « Stéphane, tu as vraiment un cul superbe comme ça » me dit-il avant que je ne sente la ficelle de mon tanga s’écarter et quelque chose de plus gros qu’un doigt se présenter contre mon œillet. Comprenant vaguement ce qui se passait je tentais, sans grande conviction il faut le reconnaitre, de m’en éloigner mais ses deux m’agrippèrent les hanches, il força et rapidement il franchit la barrière et me pénétra. Son sexe était plus large que le god et cela me fit mal, m’arrachant un petit cri.
Il bougea alors un petit peu puis sortit, je sentis du gel versé sur mon anneau en feu, sa queue se représenter, passer plus facilement les barrières sans douleur. Toujours agrippé à mes hanches, il commença de lents aller-retours, chaque aller l’enfonçant un peu plus en moi. Lorsque je le sentis contre mes fesses je poussais un râle de plaisir. Alors il recula, sortit de moi, je ne compris pas, j’en voulais plus mais il me pénétra d’un coup sec, jusqu’à la garde, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je gémis tandis qu’il poussait un râle.
Tout devient fou, il se mit à me prendre à une cadence folle, chacun de ses assauts me semblait plus violent, plus profond. Son ventre claquait contre mes fesses, je gémissais, il grognait. Tout mon corps était un brasier enflammé, mon bas ventre un volcan éruption. Je m’abandonnais, sans résistance, à ses mains sur mes hanches qui me tiraient vers lui tandis qu’il me pénétrait. Finalement, dans une dernière poussée violente qui me fit tomber à plat ventre, je le sentis se raidir et jouir en moi. Il poussa un râle de jouissance tandis que je poussais un gémissement de plaisir. Essoufflés, groggy, il s’allongea sur moi et me fit des bisous dans le cou. « Tu es trop bon mon chéri » me susurra-t-il à l’oreille avant de se dégager et de quitter mon antre. Je restais immobile tandis qu’il quittait mon dos pour s’allonger à mes côtés. « Est-ce que tu as aimé ? Pour moi c’était un moment magique. » me demanda-t-il. Je luis répondis que oui mais non. J’étais très mal à l’aise et quelque peu honteux de ce qui venait de se passer, je venais de me faire sodomiser par un mec et j’en avais tiré du plaisir.
Sans un mot je partis dans la salle de bain, hottais ma perruque, mes dessous et, nu, pris une longue douche chaude.
2 years ago