En pute
Pas de doute j'ai mis le paquet cette fois, me dis-je en regardant dans la glace de cette salle de bains où j'ai désormais mes habitudes hebdomadaires. Il m'a fallu deux grands sacs pour tout porter, mais le résultat est là: la petite veste en fourrure fauve, les créoles dorées, le chemisier noir ouvert sur mes faux seins qui gonflent le soutif noir et blanc, la mini-robe moulante léopard, au-dessus de mes jambes en bas résille et talons hauts crème... Sous ma tignasse blonde, mascara et rouge à lèvres sombre, je souris à mon reflet: une vraie tenue de professionnelle!
Lorsque j'entre dans le bureau/baisodrome de l'étage, la porte est ouverte. Il me regarde, estomaqué: ah oui, mais tu es magnifique, une vraie pute, ça te va bien en plus! Je fonds, je passe à 3000 tours/minute, ça te va mon chou? C'est pas too much?
Oh non, c'est même exactement ce que je voulais; ses grandes mains possessives, avides, s'emparent de mon corps mince de garçon féminisé, le caressent , l'agrippent, remontent ma robe alors que je m'assieds sur lui dans ce fauteuil club qui en a vu déjà tant d'autres!
Sa main plonge sur ma petite culotte noire et blanche, empoigne mon oiseau qui gonfle doucement, alors que sous mes fesses, le sien est déjà énorme... pas la peine de se demander qui de nous deux domine l'autre!
Voilà, je suis à genoux, j'ai déballé l'engin, elle est énorme, il la promène sur mon visage, l'humidité qu'elle y laisse, loin de me dégoûter, me transporte, et je suis moi aussi en pleine érection lorsque je commence à le sucer, les yeux fermés.
J'y mets toute ma passion, elle s'enfonce jusqu'aux tréfonds de ma gorge, je l'y garde jusqu'à l'asphyxie, lui soupire, encourage, tu suces vraiment comme une pro, tu es incroyable, et moi, complètement affolée, ébouriffée, mon rouge à lèvres déjà en pleine débâcle, je me redresse sur mes talons et plante ma verge gonflée devant sa bouche.
Ah oui, vas-y mon grand, taille une pipe à ta petite pute, suce bien ma bite de pute comme je suce la tienne, oui, c'est bon, comme ça, cet Hercule des champs qui doit faire bien 20 kg de plus que moi, tout en muscles et en masse, avale mon sexe, le lèche, enfonce un de ses gros doigts de manuel d
au creux de moi, et m'amène aux portes du plaisir... non, non pas encore.
Assis sur lui maintenant, mes fesses travaillent cette érection énorme, ses mains écartent mon anus et en décuplent les sensations, y introduisent un pouce connaisseur, la métaphore est éculée (!) mais en l'espèce elle est vraie: ses mains, sa queue sur et en moi, il joue de mon corps comme d'un instrument, m'arrachent des cris, de grands "putain mais que c'est bon", me font sortir de moi-même, ah... non, je ne suis pas une pro, si je suis là c'est uniquement pour le plaisir que tu me donnes mon grand, et pour voir à quel point je t'en donne moi aussi, en me laissant juste aller entre tes mains, à subir la loi impitoyable de ta grosse queue.
Maintenant, à ma demande, sur la banquette en cuir, tu me coinces contre le mur et j'oublie qui je suis. Mes mains sont plaquées au mur, les tiennes emprisonnent mes reins nerveux, ma robe léopard est remontée, la fourrure jetée négligemment au sol: oui, prends moi comme une pute, je suis ta pute, je t'appartiens. Je sens ton souffle derrière mon oreille alors que sans relâche, ton énorme verge plonge et ressort de mon anus que je t'offre.
Je me mets à côté de toi sur la banquette. Tu es assis, moi à genoux, et je te redonne ma verge à lécher, à sucer pendant que je te branle. Tu me rends dingue, je me remets à genoux au sol devant toi, je dévore ta bite, je la couvre de baisers, puis je l'empoigne avec la mienne.
Spectacle fascinant de ces deux énormes chibres qui s'accouplent sous mes yeux émerveillés, je les frotte, les flatte, je me délecte, ravie, de la beauté de nos érections qui se rencontrent avec tant de bonheur.
Puis il enlève la capote, et, fasciné, regarde ma main masturber son sexe. J'y donne toute la science acquise avec la quasi centaine de verges qui sont déjà passées par mes lèvres, ma langue, mes mains et mon cul. Lente, précise, ma main suit la courbure, mon pouce vient solliciter son frein, l'autre main entre en jeu, touche aussi la grosse veine. Lui commande mon rythme, plus vite, ralentis, j'y suis presque...
Oui! Voilà! une, deux grands jets s'échappent de son gland, partent en l'air, puis le sperme coule, descend sur mes doigts alors qu'avec une infinie douceur j'accompagne mon amant dans son éjaculation.
Son ventre est plein de semence. Mes doigts aussi. C'était trop, trop beau mon chou, j'ai adoré... merci!
Mais rien n'est fini: nouvelle capote, nouvelle pipe, et cette fois ci c'est moi qui éjacule, brûlante, hurlante alors que sa verge ranimée pilonne mon petit cul.
Mes jambes flageolent je m'assieds, dans un état indescriptible...
Lorsque ma voiture franchit encore le vieux portail XIXe, je suis heureuse, apaisée, prête à revenir.
j'ai aimé jouer la pute, mais... Mes pensées vont aujourd'hui vers miss Ch.., qui a repris contact avec moi. Transgenre fabuleuse, elle vit dans son camion, et y complète son salaire par des orgasmes tarifés.. Si j'ai aimé jouer ce rôle de la professionnelle, je n'envie pas sa vie sauvage de louve, moi la chienne à collier, et mon cœur se serre en pensant à ce qui pourrait arriver à cette si charmante créature que j'ai eu le bonheur de côtoyer. Et son courage m'inspire d'autant plus de respect.
Lorsque j'entre dans le bureau/baisodrome de l'étage, la porte est ouverte. Il me regarde, estomaqué: ah oui, mais tu es magnifique, une vraie pute, ça te va bien en plus! Je fonds, je passe à 3000 tours/minute, ça te va mon chou? C'est pas too much?
Oh non, c'est même exactement ce que je voulais; ses grandes mains possessives, avides, s'emparent de mon corps mince de garçon féminisé, le caressent , l'agrippent, remontent ma robe alors que je m'assieds sur lui dans ce fauteuil club qui en a vu déjà tant d'autres!
Sa main plonge sur ma petite culotte noire et blanche, empoigne mon oiseau qui gonfle doucement, alors que sous mes fesses, le sien est déjà énorme... pas la peine de se demander qui de nous deux domine l'autre!
Voilà, je suis à genoux, j'ai déballé l'engin, elle est énorme, il la promène sur mon visage, l'humidité qu'elle y laisse, loin de me dégoûter, me transporte, et je suis moi aussi en pleine érection lorsque je commence à le sucer, les yeux fermés.
J'y mets toute ma passion, elle s'enfonce jusqu'aux tréfonds de ma gorge, je l'y garde jusqu'à l'asphyxie, lui soupire, encourage, tu suces vraiment comme une pro, tu es incroyable, et moi, complètement affolée, ébouriffée, mon rouge à lèvres déjà en pleine débâcle, je me redresse sur mes talons et plante ma verge gonflée devant sa bouche.
Ah oui, vas-y mon grand, taille une pipe à ta petite pute, suce bien ma bite de pute comme je suce la tienne, oui, c'est bon, comme ça, cet Hercule des champs qui doit faire bien 20 kg de plus que moi, tout en muscles et en masse, avale mon sexe, le lèche, enfonce un de ses gros doigts de manuel d
au creux de moi, et m'amène aux portes du plaisir... non, non pas encore.
Assis sur lui maintenant, mes fesses travaillent cette érection énorme, ses mains écartent mon anus et en décuplent les sensations, y introduisent un pouce connaisseur, la métaphore est éculée (!) mais en l'espèce elle est vraie: ses mains, sa queue sur et en moi, il joue de mon corps comme d'un instrument, m'arrachent des cris, de grands "putain mais que c'est bon", me font sortir de moi-même, ah... non, je ne suis pas une pro, si je suis là c'est uniquement pour le plaisir que tu me donnes mon grand, et pour voir à quel point je t'en donne moi aussi, en me laissant juste aller entre tes mains, à subir la loi impitoyable de ta grosse queue.
Maintenant, à ma demande, sur la banquette en cuir, tu me coinces contre le mur et j'oublie qui je suis. Mes mains sont plaquées au mur, les tiennes emprisonnent mes reins nerveux, ma robe léopard est remontée, la fourrure jetée négligemment au sol: oui, prends moi comme une pute, je suis ta pute, je t'appartiens. Je sens ton souffle derrière mon oreille alors que sans relâche, ton énorme verge plonge et ressort de mon anus que je t'offre.
Je me mets à côté de toi sur la banquette. Tu es assis, moi à genoux, et je te redonne ma verge à lécher, à sucer pendant que je te branle. Tu me rends dingue, je me remets à genoux au sol devant toi, je dévore ta bite, je la couvre de baisers, puis je l'empoigne avec la mienne.
Spectacle fascinant de ces deux énormes chibres qui s'accouplent sous mes yeux émerveillés, je les frotte, les flatte, je me délecte, ravie, de la beauté de nos érections qui se rencontrent avec tant de bonheur.
Puis il enlève la capote, et, fasciné, regarde ma main masturber son sexe. J'y donne toute la science acquise avec la quasi centaine de verges qui sont déjà passées par mes lèvres, ma langue, mes mains et mon cul. Lente, précise, ma main suit la courbure, mon pouce vient solliciter son frein, l'autre main entre en jeu, touche aussi la grosse veine. Lui commande mon rythme, plus vite, ralentis, j'y suis presque...
Oui! Voilà! une, deux grands jets s'échappent de son gland, partent en l'air, puis le sperme coule, descend sur mes doigts alors qu'avec une infinie douceur j'accompagne mon amant dans son éjaculation.
Son ventre est plein de semence. Mes doigts aussi. C'était trop, trop beau mon chou, j'ai adoré... merci!
Mais rien n'est fini: nouvelle capote, nouvelle pipe, et cette fois ci c'est moi qui éjacule, brûlante, hurlante alors que sa verge ranimée pilonne mon petit cul.
Mes jambes flageolent je m'assieds, dans un état indescriptible...
Lorsque ma voiture franchit encore le vieux portail XIXe, je suis heureuse, apaisée, prête à revenir.
j'ai aimé jouer la pute, mais... Mes pensées vont aujourd'hui vers miss Ch.., qui a repris contact avec moi. Transgenre fabuleuse, elle vit dans son camion, et y complète son salaire par des orgasmes tarifés.. Si j'ai aimé jouer ce rôle de la professionnelle, je n'envie pas sa vie sauvage de louve, moi la chienne à collier, et mon cœur se serre en pensant à ce qui pourrait arriver à cette si charmante créature que j'ai eu le bonheur de côtoyer. Et son courage m'inspire d'autant plus de respect.
2 years ago