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Vive la montagne

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Au retour de vacances, mon sexe fut sans cesse la proie de ses désirs. J’ai dû jouir trois fois au moins sur la route. Entre sa bouche vorace et ses mains expertes, mon sexe bandait sans arrêt ! Il fallut que je me gare par deux fois. La coquine me voulait en elle !

Mais peut-être faudrait-il que je commence par le début ! L’histoire que je vous raconte a commencé cet été. Je m’appelle Michel. J’ai 53 ans et je suis célibataire.

J’adore la montagne et, il y a cinq ans, j’ai découvert, au cours d’une randonnée solitaire, dans un vallon en dehors de tout chemin balisé, un ancien refuge quasiment en ruine. Je me suis mis en tête de le restaurer avec les matériaux trouvés aux alentours. En deux ans j’ai construit un abri qui peut facilement me loger pendant mes vacances. Pas de loyer ! Camp de base au milieu des alpages à près de 1700 m. Bref, le paradis pour un solitaire amoureux de la montagne.

L’an dernier, j’en ai parlé un peu à mes amis, mais personne n’est très montagnard. Sauf que mon meilleur ami, cette année, m’a demandé si je voulais bien emmener sa fille. Laura venait de réussir ses examens de première année de philo à la fac. Elle avait beaucoup travaillé et elle avait besoin de prendre l’air. Cela peut paraître bizarre, mais il m’était déjà arrivé de prendre sa fille en vacances. Plus jeune, je l’avais emmenée en Asie et également au Brésil.

• — Tu vas voir, tu vas pouvoir te détendre, lui dis-je en garant la voiture après huit heures de route où nous avions beaucoup ri.

Elle me sourit en attachant ses longs cheveux châtains en chignon. Elle descendit de la voiture pour se dégourdir les jambes.

• — Nous resterons ce soir au camping du village puis demain nous monterons dans ma cabane secrète.

Nous installâmes la petite tente puis je partis faire quelques courses. En rentrant au camping, je vis au loin, Laura avec un groupe de jeunes qui s’était installé près de notre tente. Plus j’avançais, plus je remarquais le grand brun qui, visiblement, tournait autour de Laura. Je souris intérieurement.

Nous mangeâmes rapidement ce soir-là.

• — Je peux sortir après, Michel ? me demanda-t-elle.
• — Écoute Laura. Je ne suis pas ton père. Tu es majeure. Donc tu fais ce que tu veux.

Je rigolais avec elle ensuite. Elle dégotta une petite jupe en tissu léger avec un haut assez décolleté. Elle se changea dans la tente puis partit en me faisant un clin d’œil avant de rejoindre la bande de jeunes. Ils partirent à pied vers le village. Je la regardais en me faisant la réflexion qu’elle devait avoir du succès avec les garçons. Je vous assure qu’à ce moment, ces réflexions n’étaient pas empruntes de concupiscence. Juste, dans sa petite jupe, on voyait ses belles jambes et sa taille assez mince.

Le lendemain, nous partîmes assez tôt. J’avais mon gros sac à dos et deux sacoches assez lourdes. Bien bâti, j’avais toujours aimé les efforts de longue durée. Laura, portait son sac à dos également. Au bout de deux heures de marche nous bûmes un peu.

• — Tu aurais peut-être préféré rester au camping ? lui demandai-je
• — Non. Ça va. Ils partent dans quatre jours, tu sais. Je suis venue ici pour me détendre. Pas pour me prendre la tête avec un mec.
• — Peut-être qu’il aurait aimé te revoir ?
• — Nicolas ? Laura rit avant de reprendre. Il est mignon, je te l’accorde mais il part bientôt.
• — Tu as passé un bon moment quand même hier soir ?

Elle rougit un peu en riant :

• — Oui c’était bien. Nous nous sommes bien amusés…

Je la fixais…

• — Nous nous sommes juste embrassés, avoua-t-elle enfin.
• — Ah ! Très bien.

J’étais un peu étonné. Moi, à son âge, nous n’aurions pas seulement mélangé notre salive ! Je fais un vieux célibataire habitué aux histoires d’un soir. Elle est encore romantique, pensai-je en me demandant si elle était encore vierge.

Nous repartîmes et je la taquinais encore avec cette histoire. Une heure après nous bifurquâmes du chemin de randonnée et je menais mon accompagnatrice à travers un petit bois puis nous longeâmes un ruisseau. Laura était en nage. Peu habituée à l’effort physique, la pauvre soufflait comme une bête.

• — Tu veux te reposer ?
• — Non ça va, mentit-elle.

Je l’observai un moment et lui conseillai de se rafraîchir au ruisseau. Nous posâmes nos sacs et, en guise d’exemple, j’ôtai mon maillot et m’aspergeai avec l’eau glacée.

• — Ouah, tu es musclé !
• — Ben. Oui. Je suis monsieur univers, plaisantai-je.

Je frottais mes pectoraux saillants avec cette eau rafraîchissante. Laura s’approcha doucement, un peu à l’écart. À genoux, elle ôta son maillot blanc. Je me détournai quand je la vis en soutien-gorge. Les gourdes étaient à remplir et je les saisis. C’est à ce moment-là que je remarquai qu’elle était torse nu. Elle s’aspergeait le corps en poussant des petits cris.

Nous repartîmes peu après.

• — Il ne reste que trente minutes.
• — Que trente minutes ! dit-elle, découragée.

Je remarquai ses tétons pointant à travers son maillot. La coquine n’avait pas remis son soutien-gorge ! Ce fut la première fois que je la regardai comme une femme.

Nous passâmes un petit col et nous dévalâmes dans un petit vallon herbeux. Plusieurs filets d’eau s’écoulaient. Laura cria de joie lorsqu’elle aperçut mon refuge mystérieux.

• — C’est magnifique, Michel !
• — Oui. J’aime bien venir ici tous les ans. Il semble que personne ne passe par ici depuis des années. Nous sommes seuls au monde !

Nous nous installâmes et nous nous reposâmes le reste de la journée. Le soir, la fille de mon meilleur ami fit la cuisine sur le feu que j’avais allumé. Pas d’eau courante, pas d’électricité : juste la nature comme ressource et un toit et des murs en pierre pour se protéger.

Écrasé par la fatigue, le jeune corps de Laura lui suppliait de s’endormir mais elle voulait rester avec moi pour contempler la voûte étoilée. Le froid tomba et nous rentrâmes dans le refuge où j’allumai un feu. Des bougies à côté de nos lits servaient d’unique éclairage. J’avais, dans la journée, installé un rideau au milieu de la minuscule cabane pour aménager un semblant d’intimité.

Je me déshabillai rapidement et m’allongeai. À travers le tissu tendu, je me surpris à découvrir la silhouette d’une jeune femme qui ôtait son maillot. De profil, sa poitrine se dessinait comme des collines à l’aube. Lentement, Laura baissa son pantalon. Je ne peux cacher qu’une légère érection survint. J’appréciai ses fesses bien rondes et son ventre plat. Je réprimai rapidement ce sentiment et me retournai.

Tout autour du refuge, tout n’est que beauté. Le matin, on peut s’amuser à guetter les marmottes. Le roucoulement de l’eau qui dévale le vallon est un délice pour les oreilles. Les odeurs de pins et d’herbes assaillent sans arrêts nos sens. L’air vif caresse la peau.

Je guidais Laura aux alentours dans de longues et bucoliques promenades. Nous parlions philosophie et elle s’emportait sur la liberté de pensée. Nous débattions de la difficulté de faire des choix de vie en dehors des normes sociales… Nous passâmes deux jours merveilleux. Le troisième, Laura se leva d’humeur maussade. Elle esquiva tout tentative de l’égayer.

• — Nous allons descendre au village chercher de la nourriture pour le reste de notre séjour, prétextai-je pour la sortir de sa torpeur chagrine.

Quelques heures plus tard, dans le village, nous remplissions nos sacs de victuailles : fromage et de la charcuterie du pays pour le reste du séjour.
Je remarquais le manège de Laura qui, sans en avoir l’air, cherchait son Nicolas. Nous étions passés à côté du camping et nous avions vu sa tente. Mais personne.

• — Je suis un peu fatigué Laura, mentis-je
• — …
• — J’ai apporté la tente. Nous pourrions rester ce soir au camping ?
• — Oh c’est vraiment une bonne idée d’avoir apporté ta tente. Certainement, tu savais que tu serais si épuisé que nous ne pourrions pas repartir ce soir, déclara-t-elle en souriant avec ses yeux brillants.

La jeune femme n’était pas dupe de mon petit stratagème. Complices, nous nous chahutâmes gentiment.

Laura rentra vers trois heures du matin en tentant de ne pas me réveiller. En partant le lendemain, elle fit signe de loin à son Nicolas qui partait également de son côté. Moins chargés, nous montâmes plus rapidement. Nous fîmes une pause au bord du même ruisseau d’il y a quelques jours.

• — Merci pour la soirée d’hier.
• — Oh… j’espère que je n’y suis pour rien.

Laura rit de mon sous-entendu.

• — Non, je voulais dire d’être resté au camping, Michel.
• — Pas de quoi, lui souris-je, tu as passé une bonne soirée alors ?

Mon sourire en coin la déconcerta un moment, mais la naïve déclara avec un peu de fierté dans la voix :

• — On ne s’est pas seulement embrassé, si tu veux savoir.

Un petit air de défi dans la fin de sa phrase m’invita à continuer.

• — Oh ! oh ! Donc je conclus que c’était une très bonne soirée.
• — Oui… enfin une bonne soirée, rougit-elle
• — Une bonne ou une très bonne, insistai-je en plaisantant.
• — …
• — Laisse. Je te taquine.
• — Une bonne soirée seulement, finit-elle par avouer.

Elle se désaltéra à grande gorgée. Je regardai ses cuisses trempées par l’effort.

• — Je peux te parler ?
• — C’est toi qui vois, lui répondis-je doucement avec un sourire plein de tendresse.
• — En fait… hier… avec Nicolas… c’était ma première fois.

J’avais enfin ma réponse. Mon accompagnatrice de 19 ans est vierge, enfin, était vierge.

• — Ça a été rapide.
• — Qu’est-ce que tu veux dire par rapide ?
• — Eh bien… c’était rapide.

Laura finit par m’expliquer qu’ils ne s’étaient pas beaucoup caressés. Que le moment de la pénétration avait été expéditif. Je lui expliquai que la première fois c’est toujours un peu loupé. Qu’avec peu d’expérience, on veut tout de suite se prendre.

• — Tu as eu mal ? lui demandai-je enfin
• — Non pas trop.

Nous rentrâmes tranquillement au refuge. Le lendemain, nous nous baladâmes gentiment dans mon petit vallon. Laura s’était habituée à l’altitude et elle sautait dans tous les sens comme un cabri. En milieu d’après-midi elle rentra au refuge. Moi je voulais récupérer du bois un peu plus bas dans le vallon.

Plus tard, chargé de branches, j’arrivai au refuge par un repli du terrain qui dissimulait mon arrivée. Là, à dix mètres devant moi, un ange ! Nue, la peau blanche tranchant avec le vert de l’herbe environnante, Laura se lavait à grande eau. Elle se frottait la poitrine avec énergie. Je fixais la toison châtain de son sexe, ses cuisses aux galbes aguichants, son ventre plat et musclé. Je réfrénai mon désir devant le corps séduisant. Le faisait-elle exprès ?

Je continuais tout de même à marcher. Laura me vit. Elle eut un léger mouvement de surprise mais elle ne se cacha pas. Juste, elle se retourna me laissant le spectacle de ses petites fesses rondes. Je n’avais pas prévu que la promiscuité du séjour puisse poser un problème. Je ne savais pas si je devais m’excuser ou…

• — Désolé. Je ne pensais pas que tu rentrerais aussi tôt.
• — Il faut bien se laver, dis-je pour donner le change. D’ailleurs j’y vais de ce pas.
• — Ok, je reste ici. Je veux commencer mon livre sur Heidegger.

L’air était vif mais supportable. Nu, je me frottais le corps avec un gant. Je dois dire, que lorsque je suis seul ici, souvent il m’arrive de demeurer nu. Alors que je me rasais, je vis la tête de Laura dans le reflet du bout de miroir que je tenais. La coquine m’épiait certainement depuis un moment et elle avait mes fesses en pleine ligne de mire.

• — Bien ! Tu veux jouer à ça, me dis-je

Je me retournai légèrement faisant mine de trouver une meilleure position pour mon rasage. À présent, l’espionne devait avoir mon profil comme tableau. Je vérifiai avec mon morceau de glace qu’elle m’observait toujours.

• — Tu n’en perds pas une miette, pensai-je en me prenant au jeu.

Le problème lorsqu’on joue à ce type de distraction… une érection pointa et ma belle dut avoir un beau spectacle d’autant plus que je suis très avantageusement membré. Je me retournai.

Nous passâmes plusieurs jours à nous balader et à discuter. Il n’y avait pas beaucoup de distractions. Alors le grand sujet de Laura c’était l’avilissement des règles sociales. Elle avait de beaux discours sur la liberté, sur le choix d’indépendance qu’a chacun de s’affranchir des lois sociales. Mais, en même temps, tout dans son comportement montrait le contraire. Jeunesse idéaliste et utopique. Ça me rappelait la mienne !

Il y eu une journée où le temps était couvert. Nous restâmes près du refuge. Laura s’ennuya ferme. Le soir le tonnerre commença à gronder et nous rentrâmes à l’intérieur. La nuit tomba et l’orage éclata. Je ne sais pas si vous connaissez les orages de montagnes ; c’est impressionnant et Laura le fut !
Une heure après que nous nous soyons couchés, Laura m’appela :

• — Michel ! Michel, tu dors ?
• — Non, c’est difficile avec l’orage.

Il faisait très lourd et les éclairs claquaient vraiment fort.

• — Je peux venir près de toi. J’ai peur.

Le signal derrière ma nuque aurait dû m’alerter. Mon sixième sens. Mais je répondis par l’affirmative et elle vint se blottir avec moi, dans le lit. Elle portait un pyjama en soie (très pratique en montagne !).
J’avais déjà chaud à cause du temps mais là, en plus… Et puis son corps vibrant de jeunesse était là ! Tout près. Contre mon dos. Les images de son corps nu passaient et repassaient inlassablement dans mon esprit. Rien à faire.

Les heures passèrent dans le vacarme de l’orage.

• — Tu dors ? me demanda-t-elle
• — Non, je n’arrive pas.

Et nous reprîmes notre sujet de prédilection. Enfin ! Elle reprit ses arguments philosophiques sur la chute de l’être quand il se confond à la règle commune. Elle m’amusait toujours mais je lui opposais d’autres arguments qu’elle démontait avec l’assurance de sa naïveté.

• — Et pourquoi ne pas les mettre en pratique, tes idées ? lui dis-je à cours d’arguments.
• — Ben… quoi ?
• — Pourquoi tu ne romps pas ton enchaînement aux carcans des règles sociales, des lois judéo-chrétiennes… ?
• — Ben…
• — Alors ? triomphai-je.
• — J’y travaille ! lança-t-elle comme acculée dans ses retranchements.

Nous étions bien à l’abri dans mon refuge. Le tonnerre rugissait dans la nuit. Nous ne disions plus rien depuis plusieurs dizaines de minutes mais je savais que Laura ne dormait pas. Soudain, je sentis sa main sur mon épaule nue. Je ne bougeai pas. Puis son corps se plaqua contre mon dos. Que faire ? Elle se redressa près de mon oreille :

• — Je veux faire l’amour avec toi, déclara-t-elle avec un ton assuré.
• — Quoi ?
• — Tu as très bien entendu.

Alors que j’allai lui répondre qu’elle était folle, Laura me coupa avec une inflexion très doctorale :

• — Je veux le faire pour trois raisons. Un, je te prends au mot. J’ai effectivement des idées sur la liberté et je dois les mettre en pratique. Deux, je suis inexpérimentée côté sexe, et toi tu pourras certainement m’enseigner.

Elle s’arrêta un instant et je pris la parole :

• — Attends Laura. Tu es folle ? J’ai 34 ans de plus que toi !
• — Oui, c’est ça. Tu as compris, s’amusa-t-elle, sûre d’elle. Tu as 53 ans et moi 19 donc tu es beaucoup plus expérimenté que moi.

Je n’arrivais pas à la contrer et son corps tout chaud contre moi…

• — Et c’est quoi, ta troisième raison ? lançai-je en espérant trouver une faille ou au moins gagner du temps.
• — Et bien… la troisième raison c’est que j’en ai envie, lâcha-t-elle un peu moins assurée. Et toi aussi d’ailleurs !
• — Quoi ?
• — Tu crois que je ne vois pas tes regards lorsque je suis nue ?

Et elle continua à m’expliquer qu’elle m’épiait lorsque je me lavais (je le savais déjà !) et que mon gros (je cite) sexe l’attirait.
Que pouvais-je dire ? J’avais une érection depuis un long moment. Elle était dans mon lit, son corps contre moi. Elle était jeune et elle voulait de moi. Tout cela tournait dans ma tête un peu endormie.

• — Alors ? me dit-elle dans le creux de l’oreille, sa main toujours sur mon épaule.
• — Je pense que nous allons le regretter, lui dis-je en me retournant.
• — Tu vois. C’est toi qui es prisonnier des règles, sourit-elle.
• — Peut-être, riais-je en la serrant contre mon torse robuste.
• — Dis-moi ce que je dois faire, murmura-t-elle avec une légère peur dans la voix.

Mon cœur bondit dans ma poitrine. J’allumai une bougie pour la regarder.

• — Déshabille-toi, lui dis-je doucement.

Elle ôta son pyjama lentement avec une certaine pudeur. Elle était magnifique. J’avais eu le loisir de la scruter, mais là, devant moi. Je commençais à la caresser en lui expliquant que chaque partenaire doit apprendre à connaître le corps de l’autre.

Elle se laissait faire en regardant les parcours de mes mains puissantes sur son petit corps. Son cou gracile, ses frêles épaules, puis ses seins. Laura respirait plus fortement. Je détachai ses longs cheveux châtains. Elle me caressa le torse et découvrit mon corps musculeux. (Rien à voir avec son Nicolas !).
Ma bouche approcha et, lorsque ma langue entreprit de lécher ses tétons, elle expira bruyamment. Ils étaient extrêmement érectiles et je jouais avec pendant un long moment. Nos corps s’enlacèrent pendant de longues minutes langoureuses.

Puis ma main émigra à la découverte de son sexe. J’approchai par le ventre et parvins à la naissance de son pubis fourni. Je m’amusai un peu autour de sa vulve sans la toucher. Laura écarta doucement les jambes comprenant qu’elle facilitait ma caresse. Sa corolle s’ouvrait doucement et une liqueur coulait. J’ai rarement rencontré de femmes qui mouillaient autant ! Ma main emprisonna sa vulve et la pressa par vagues successives.

• — Oh… c’est bon, gémit-elle
• — Oui, c’est bien de dire ce que tu ressens, l’encourageai-je.
• — Mets un doigt dedans !
• — Oui attends, j’y viens, laisse le désir venir lentement. Ton plaisir n’en sera que plus fort.

Mon index erra un peu dans la toison et longea ensuite les lèvres parfaitement humides avant de chercher le petit bouton. Il le trouva et dès qu’il roula un peu dessus, les gémissements de la jeune femme s’intensifièrent. Elle était prête pour un orgasme. Je voulais lui offrir quelque chose d’inoubliable alors je soulevai ma carcasse et m’engouffrai au fond du lit.

Laura ne dut pas comprendre tout de suite car quand ma bouche vint se poser sur sa vulve, elle cria. Et ma langue roula sur son clitoris sans trop le presser. Son sexe dégoulinait. J’avançai deux doigts dans sa fente et, rapidement, ils s’enfoncèrent au fond. Ma langue continuait son office et j’entendais de plus en plus fort les plaintes et les gémissements de Laura qui me plaquait la tête contre son sexe.

Un long grondement monta et elle éclata en hurlant. Ses cuisses m’emprisonnèrent et ses mains me tapaient frénétiquement pendant qu’elle se cambrait toujours en s’égosillant. Pendant au moins une minute, elle brailla ainsi. Je pus enfin me libérer de l’étau des cuisses de Laura dont l’orgasme me réjouissait. (Il me fit un peu peur, je dois dire.)

• — Michel, lâcha-t-elle la voix cassée.
• — Quoi ? demandai-je en remontant à son niveau.
• — C’est toujours comme ça ?
• — Non pas toujours, pouffai-je en la serrant contre moi.
• — Je ne savais pas qu’on le faisait avec la bouche…

Mes grosses mains recouvrirent ses fesses.

• — Maintenant, tu vas t’occuper de moi. D’abord, tu me caresses.

Ses mains me découvrirent d’abord avec maladresses puis s’engaillardirent rapidement. Elle passa sous mon caleçon et prit mon sexe à pleine main.

• — Ne va pas si vite, ma puce. Avance lentement. Fais monter le désir.
• — D’accord, répondit-elle docile. Mais putain, il est énorme !
• — Quoi ?
• — Ton sexe. J’avais vu de loin qu’il était gros, mais là !

Je ris de bon cœur. Elle ôta mon caleçon et de ses doigts fins, elle soupesa le membre et le serra enfin avant de commencer un lent mouvement vertical.

• — Très bien ! l’encourageai-je.

Je sentis alors sa deuxième main venir entourer toute l’épaisseur de ma verge.

• — Regarde, Michel, dit-elle la voix éraillée. Je fais juste le tour de ton sexe avec mes mains.
• — Oui, je vois. Tous les hommes n’en ont pas des comme ça, tu sais.
• — Oui ça je sais. Celle de Ni…

Elle ne finit pas sa phrase, croyant peut-être me gêner.

• — Tu sais la taille n’a rien à voir dans l’affaire. (Mais j’en suis fier quand même.)

Elle reprit sa masturbation en me regardant de temps en temps pour vérifier son effet. Pendant ce temps, mes mains titillaient ses seins que je trouvais charmants. Mon index pressait les tétons et je les roulais entre mes doigts. Laura fixait ma verge emprisonnée entre ses mains avec un tel plaisir que j’osais lui demander :

• — Pour le préparer à le prendre en toi, tu vas le sucer. Tu veux Laura ?
• — Euh…

Elle me regarda un peu dépitée. Je ne sus jamais si à ce moment-là, c’est la peur de lécher un sexe pour la première fois qui la fit hésiter ou alors l’idée que l’énorme membre qu’elle maintenait entre ses mains puisse s’enfoncer en elle. Toujours est-il qu’elle se pencha doucement. Ses seins se gonflèrent sous leur propre poids.

Dehors, le tonnerre grondait toujours et le ciel, sans cesse lézardé par d’incessants éclairs, éclairait d’une pâle clarté notre pauvre abri. Ce faible éclairage sculptait le corps délicat de Laura.

Elle posa ses lèvres sur mon gland en me jetant un coup d’œil interrogateur. Je la rassurai en lui caressant les cheveux. Elle s’avança et commença une fellation un peu maladroite mais consciencieuse. Je la laissai faire. Puis, sa bouche devint douce et langoureuse. Laura prenait visiblement plaisir à me sucer. Elle guida ma verge entre ses lèvres entrouvertes et la lapa vigoureusement avant de l’introduire complètement dans sa bouche. Elle la recracha et ainsi de suite. Laura joua avec mon sexe. La situation ne manquait guère de piquant et je m’excitais rapidement. Un furieux besoin de décharger monta mais je voulais profiter de cette situation le plus possible.

Son petit cul qui se dandinait au bout du lit m’excitait beaucoup. Laura accueillit, non sans une certaine surprise, ma semence chaude et épaisse qu’elle recracha sur mon ventre.

• — Excuse-moi, j’aurai pu te prévenir.
• — …
• — Mais c’était vraiment bon. Tu peux le laisser dans ta bouche, lui conseillai-je en voyant ma verge encore frémissante au creux de sa main.

Elle reprit la verge dans sa bouche et fut visiblement surprise par le goût de mon sperme. Du bout des doigts, je pris un peu du liquide coulant sur mon ventre pour lui offrir. Gourmande et curieuse, Laura ouvrit la bouche afin que j’y pénètre mes doigts qu’elle lécha avec une certaine impudeur.

• — Je te veux en moi !
• — Viens.

Elle s’empala sur mon pieu en souffrant un peu. Ma liqueur eut sur la jeune femme un effet des plus aphrodisiaques ! Elle se déchaîna au rythme de l’orage dans la montagne et elle s’embrocha avec ardeur et fougue. Son sexe s’écartait sous l’épaisseur de mon membre. Elle le regardait s’engouffrer en elle avec jubilation.

Je la basculai d’un coup pour continuer un mouvement vif en elle. Allongée sur le dos, je la voyais haleter. Elle me regardait avec intensité en enfonçant ses ongles dans la peau. Progressivement, j’allais en elle de plus en plus vite. Elle était serrée. C’était bon.

Puis Laura se mit à quatre pattes. Toute pudeur disparue, elle se cambra joyeusement m’offrant le plus magnifique des spectacles. Son joli petit cul. Au fond de mon esprit malsain, je me promettais de m’en occuper plus tard. Elle se retourna et rit de bon cœur de ma concupiscence.

• — Vas-y. Fais-moi jouir encore.
• — Tu as un corps magnifique Laura.
• — Prends-moi !

Je posais mes mains sur la taille et ma verge s’inséra entre les lèvres molles. J’entrai de tout mon long faisant geindre la petite effrontée qui tenta de se dérober. Je la maintenais fermement par la taille. Mon sexe recula un peu et revint au plus profond de son vagin.

• — Argh !

Je continuai ce traitement pendant un moment. Laura céda finalement à ces frissons passagers et à ces bouffées de chaleur sèches et soudaines. Elle sentit brusquement son cœur se pincer et une contraction, légère mais rapide, prendre possession de son estomac. Elle se mit à gueuler comme une folle, balançant sa tête dans tous les sens. Ses cheveux fouettaient l’air et son cri m’assourdissait. Elle tomba inanimée sur le lit. Ma verge frémissante eut des soubresauts et un long jet vint gicler sur le dos de la jeune femme.

Le lendemain matin, le ciel nettoyé par une nuit d’orage se teinta d’un bleu profond. Nous émergeâmes doucement de notre nuit agitée. L’un contre l’autre, nous laissâmes nos rêveries nocturnes se dissoudre doucement. Lentement mon esprit s’éclaircit et ma gorge se contracta lorsque l’évidence m’apparut : j’avais fais l’amour avec la fille de mon meilleur ami.

• — Michel. J’ai faim.

Je me levais sans la regarder. Passant rapidement un pantalon, je mis le feu en route pour chauffer de l’eau.

• — Tu me donnes un morceau de pain ?

Laura s’était levée. Nue. Merveilleusement nue. Courbes ondoyantes et hypnotiques.

• — Ne sois pas gêné. J’ai beaucoup aimé cela. Et je ne le dirai à personne.

Elle était insatiable. Sa soif pour le sexe ne s’étanchait guère. L’effrontée devint très adroite de sa bouche et de ses mains. Elle m’amenait rapidement à la jouissance. Elle savait, également, me faire durer pour atteindre des orgasmes impressionnants. Les vacances se terminèrent. Nous rentrâmes à Paris et Laura reprit la fac.
Published by sensmaster
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