Initiation à l'uro

Après les durs mois de printemps et son lot de travail harassant, l'été arrivait enfin!
Depuis quelques jours, la chaleur refaisait son apparition et ce début de mois de juin s'annonçait chaud et appaisant.

Hormis le travail, les dernières semaines n'avaient pas été simples du fait de l'éloignement provisoire de mon maître.
En plus du travail, il souhaitait se recentrer sur sa vie de couple et m'avait quelque peu délaissée comme une vilaine soumise que j'étais.
Pour autant, chaque soir, je continuais mes entraînements anals, afin de perfectionner toujours un peu plus mes capacités de chienne à enculer.
Chaque jour, j'espérais un signe de sa part, un message ou bien encore une rencontre fortuite dans les vestiaire.
Mais rien depuis trois semaines et je commençais a trouver le temps long.
Que voulez-vous, ce sont les risques à prendre lorsque l'on choisi un maître qui a une double vie. Et puis j'avais accepté les termes de ses conditions. Donc je devais m'y conformer et attendre sagement que mon maître veuille à nouveau porter de l'intérêt à sa petite chienne servile.

Et puis le jour tant attendu arriva.

Ce jour-là, je le sentais guilleret et plutôt joyeux. Ce n'était pas forcément un signe de bon présage car plus il était froid et distant et plus il me traitait comme j'aime:
Une bonne truie juste bonne à servir de serpillière à jus.

Vers 10h, alors que j'allai soulager ma vessie, je croisais par hasard mon maître aux vestiaires.
Comme à chaque fois que nous retrouvions seuls dans le lieu de tout nos vices, mon cœur s'accélèrait. J'étais comme prise d'une exaltation qui me tétanisait et me transcendais à la fois.
Un ressentis incroyable qui me faisait passer en une fraction de seconde, de la petite préparatrice de commande à katyne la grosse pute depravée.
Mais encore fallait-il que mon maître eusse envie de se servir de son vide-couilles.
De toutes mes forces, j'appelais les énergies pour que ce moment se produisit. Et alors que je me lavais les mains, je sentis un contact dans mon dos.
Il venait de se coller à moi et sa tête se glissa à hauteur de mon épaule:

"Alors ma soumise, ça fait longtemps que je ne me suis pas occupé de toi? Tu dois être en manque?
L'intérêt inattendu de mon maître me provoquait une décharge électrique et un flot incontrôlable de cyprine innonda ma culotte en un éclair.
Il poursuivit:

"Je suis sûr que t'aimerais bien regoûter à ma bite salope?"

Pendant qu'il me parlait, ses mains s'était glissées sous mon tee-shirt.
Une brève inspection de mes mamelles, puis il m'attrappa mes piercings pour tirer dessus.
Une montée de chaleur me rendait irrésistiblement sa chose, son objet de désir.

"Maître, je suis votre putain d'esclave, faîtes de moi ce qu'il vous plaira."

Toujours dos à lui, j'attendais ses ordres telle la pauvre depravée en attente d'être humiliée. Il continuait son inspection mammaire puis s'arrêta net. J'entendis furtivement le son du zip de sa braguette et en un instant je fus projeté à quatre pattes, le visage collé à son entre-jambe.

"Ouvre ta gueule sale chienne!"

Alors que je m'executais, il insérabson sexe à moitié raide dans ma gueule.
A ma grande surprise il ne me baisa pas violemment comme il en avait l'habitude. Au contraire il maintenait une pression sur ma chevelure, afin que je garde sa queue bien encrée au fond de ma gorge.
Et d'un coup, un jet chaud et acide se déversa dans ma bouche.
Décontenancée par cet imprévu, je recrachai une partie de son jus doré qui venait de m'innonder.
Un tâche béante d'urine venait ainsi souiller mon tee-shirt tout propre.

"Putain de chienasse, même pas capable d'avaler de la pisse! Mais t'es vraiment bonne à rien sale pouffiasse!

Mon maître avait raison, je n'était pas digne de lui.
Comme punition, il m'interdit de me changer et de repartir ainsi à mon poste.
Les joues rouges de honte, je repris ma place
Au travail essayant d'esquiver les regards de mes autres collègues qui pourraient être tenté de me poser des questions sur cet tâche suspecte.
Fort heureusement pour moi, aucun n'eu la mauvaise idée de me faire de réflexions.

Le soleil fit sécher rapidement les stigmates de mon maître mais la chaleur qui montait en cette fin de matinée, fit fermenter les résidus d'urine. Une odeur âpre me montait aux narines jusqu'à me provoquer la nausée.
Paradoxalement, je remarquais que cet évènement n'avait pas entraver mon excitation. Bien au contraire, plus les remontées acides se faisaient sentir, plus je me sentais sale et plus cela me faisait mouiller.

En rentrant chez moi le midi, je me permis le luxe de me changer. Si l'odeur ne me dérangeait finalement pas plus que ça, je ne voulais pas être confrontée aux regards désobligeants de mon chef s'il venait à croiser mon chemin.
Je profitais également de cette pause pour envoyer un message à mon maître pour le remercier de ses bons traitements et d'avoir porter de l'intérêt à sa pauvre traînée, bien qu'elle ne le méritait pas.
J'eu rapidement un retour de sa part:

"Espèce de sale truie de merde, tu crois peut-être que tu va t'en sortir comme ça! Sache que j'en ai pas fini avec toi sac à pisse. Reste à ma disposition et attend mes instructions grosse pute."

Quelle bonheur de retrouver son maître dans ses meilleures dispositions. C'est toujours une satisfaction de lui servir de boniche à tout faire! Même si, comme il aimait à me le rappeler, je n'était bonne à rien!

Toute l'après-midi, j'attendais avec impatience que mon portable esquisse le son d'une notification.
Les heures passaient et toujours rien alors que l'on approchait 16h.
Peut-être était-il débordé de travail et qu'il n'avait pas le temps de m'écrire? Ou peut-être encore m'avait il oublié? Ou pire, qu'il n'avait plus envie de m'accorder son temps?
Je voulu écarter ces dernières possibilités et pris le risque d'aller le voir à son bureau pour lui rappeler ma présence.
Arrivée à quelques encablures de son bureau, je fus dépité de le voir rigoler et discuter avec d'autres collègues. Il n'était donc pas si affairé que ça et préférais prendre du bon temps avec les autres plutôt qu'avec moi.
La déception m'envahissait lorsque son regard se porta sur moi.

Je décidais de rebrousser chemin, lorsqu'une voix m'interpella. Je me retourna et vis mon maître approcher de moi.

"Qu'est ce que tu fais là grosse truie. Je croyais que je t'avais demandé d'attendre mes consignes.
-je sais maître, mais...je croyais que vous m'aviez oublié."
-Espece de connasse, tu crois que j'allais t'oublier sac à pisse? Bon puisque tu es là je vais te donner mes consignes, ça m'évitera de perdre du temps à t'écrire vu que tu n'en vaut pas la peine. Attends moi chez toi à quatre patte, la porte ouverte. Dès que je fini le taf, je vais venir m'occuper de toi. C'est compris sale traînée?
-Oui maître, c'est parfaitement compris."

Comment avais-je pu douter de mon maître?
C'est vrai, il est dur avec moi, mais il ne trahis jamais sa parole.
Sur cet échange, je repartis pour de bon à mon poste. Il ne me restais qu'une demie-heure avant la fin de journée et je la passais songeuse et pensive. Avec cette question qui revenait sans cesse:
Quels traitements mon maître allait-il me réserver?

Une fois rentré chez moi, je me dépêchais de me préparer pour la venue de mon maître.
Après une toilette succincte, j'enfilais une nuisette et me fourrai un plug dans le cul avant de l'attendre comme il me l'avait demander, à quatre pattes.
Mon maître finissait une demie-heure plus tard que moi. Il n'allait donc pas tarder à arriver et je ne voulais en aucun cas le décevoir.

Pendant ces minutes d'attentes, je sentais l'excitation grandissante de ma chatte se faire sentir. Les émotions de la journée cumulées aux futurs événements provoquait un ruissellement de cyprine qui coulait le long de mes cuisses. J'eu envie de me soulager en me tripotant mais fus vite repris par la réalité en entendant la porte s'ouvrir brusquement.

"Ah! Bah voilà une bonne grosse chienasse comme je les aime! Tu vois quand tu veux sale traînée, tu sais être une bonne esclave!
Allez, viens avec moi..."

A peine eut-il fini sa phrase que je sentis une forte pression sur mon crâne. Sa main avait empoignée de façon virulente ma chevelure et me forçait à le suivre dans la salle de bain.
Il m'amena ainsi jusqu'à la douche et m'invita à m'y installer à genous.
Je compris immédiatement qu'il n'étais pas là pour plaisanter et que j'allais de nouveau lui servir de serpillière à pisse.

Effectivement, à peine installé que sa bite était sortie pour m'asperger de son jus doré.
Contrairement à ce matin où je n'eu droit qu'à quelques gouttes, ce fut cette fois-ci une vraie fontaine qui jaillissait de son gland et quibaspergeait mon visage et mon corps.
En l'espace de quelques secondes j'étais souillée de la tête aux pied et ma nuisette littéralement trempée.
Jamais je ne m'étais sentis aussi sale et pourtant j'adorais ça!
Par moment j'entrepris de boire quelques rasades et fut également surprise par le goût délicieux de ce nouveau nectar que m'offrait mon maître.
J'étais heureuse de découvrir en moi la faculté de devenir un urinoir pour mon maître.

Une fois terminé, il m'ordonna de le nettoyer bien soigneusement.
Et autant vous dire que je ne me fis pas prier longtemps pour lui astiquer sa belle queue luisante de pisse. Un vrai régal pour la morte de faim que j'étais. Je rongeais mon os comme une chienne qui n'avait pas bouffé de bite depuis des années. Je le pompais avec frénésie et passion pour le rendre heureux et fier de sa chienne.
Sa queue était devenue raide comme du bois aux passages successifs de mes lèvres gourmandes et de la langue généreuse.
Et le plus jouissif pour la pauvre soumise depravée que je suis, je l'entendais prendre son pied par des gémissements encore plus stimulants pour moi.

"Putain de chienasse de merde, mais qu'est ce que tu me fais du bien! Allez continue sale truie, t'arrête pas!"

Oh que non je n'allais pas m'arrêter. J'avais été sevré depuis trop longtemps de mon met préféré pour profiter aussi longtemps que mon maître me le permettrait. Surtout je voulais qu'il me termine avec son bon jus de couilles avec lequel je pourrais me lécher les babines comme une vulgaire pouffiasse.
Pour se faire, je m'appliquais consciencieusement à ma tâche de garage à bite, telle la bonne esclave que je devais être pour satisfaire mon maître.

Quand sa jouissance arriva, il sortit son sexe de ma bouche et vînt me gicler de son bon foutre bien chaud sur ma gueule de pute.
Quelle extase totale de se sentir récompensée de la sorte! Après s'être vidangé la vessie, c'est maintenant son bon jus de couilles qui m'innondait le corps.
Je sentais les gouttes de sperme se mélanger à sa pisse sur mes joues. D'un geste instinctif, je les ramènais avec mes doigts dans ma bouche pour ne pas perdre une miette de ce délicieux mélange.
Telle une consécration, je restai plusieurs minutes à me délecter de cet état de grâce.

Mon maître quand à lui, s'etait déjà rhabillé et m'annonçait qu'il aller rentrer chez lui.
Encore toute luisante dans ma douche, je le remercià chaleureusement de sa venue et de s'occuper aussi bien de sa soumise.
Mais je savais que pour moi, ce n'était pas fini.
Alors que j'entendis la porte se refermer derrière lui, j'attrappai mon gode pour me l'enfiler direct dans le fion.
Je voulais profiter de l'ivresse que m'avait procuré cette fin de journée pour me branler comme une chienne en manque, le cul rempli et la chatte trempée de jus en tout genre.
Autant dire que je n'eu pas attendre longtemps pour me faire couiner comme une truie.
A peine deux minutes de stimulis sur mon clitoris et voilà qu'à mon tour, je jouissais comme une sale branleuse!
Il n'y a pas à dire. Rien ne vaut les fluides de mon maître pour me soulager de toute part.

Et voilà comment depuis ce jour-là, je suis devenue sa videngeuse de vessie!