Punie par mon maître
Après quinze jours de vacances bien méritées, j'allais enfin retrouvé mon maître.
J'étais toute excitée en ce lundi matin, de revenir travailler.
L'idée de revoir mon maître me rendait toute chose et une humidité croissante se faisait sentir dans mon entre-jambe.
Dès le début de matinée, je recevais un message de mon maître qui ressemblait à peu près à cela:
"Bonjour grosse pute de chienasse. J'espère que tes vacances se sont bien passées et que tu as pu te reposer. Car sois sûr qu'aujourd'hui tu vas reprendre du service. T'as intérêt à être bien docile et serviable sale putain de sac à foutre car ton maître est très en demande de sa grosse truie esclave!"
Ravi de savoir qu'il était en attente de mes services, je lui répondis du tac-au-tac que j'étais à ses pieds, prête à le servir dès qu'il me sifflerait comme une vulgaire chienne.
La matinée passa sans que je n'eu d'autres messages.
Vers 14h30, surprise de constater que mon maître ne m'avais toujours pas haranguée, je regardais par acquis de conscience mon portable.
Et là surprise, un message de sa part:
"Sale grosse truie de merde, Je t'attends dans 5 minutes dans les vestiaires! Sois là sinon ça va barder."
Je regardais l'heure du message: 13h50
Mince, pensais-je! Comment ai-je pu rater son message?
Mais oui, je suis bête, j'ai retiré la sonnerie de mon portable ce midi!
Aïe-aïe-aïe, il ne va pas être content que j'ai raté son rendez-vous.
Pour me faire pardonner, je partis immédiatement à sa rencontre pour me faire pardonner. C'était sans doute trop tard pour éviter une punition mais au moins, il pourrait voir que je ne le snobe pas.
Arrivée à hauteur, je le vis l'air très fâché. Il avait le regard noir et ses lèvres semblaient crispées.
"Excusez-moi mon maître, je n'ai pas entendu la sonnerie de mon portable. Je suis désolé de ne pas avoir pu honoré votre rendez-vous."
A peine terminé ma phrase, je reçu une gifle bien placée sur ma joue gauche. Je l'avais bien méritée celle-là. Puis un crachat sur ma gueule de pute suivi d'une violente claque sur mon sein droit, avant qu'il me rétorque:
"Tu l'as pas volé celle-ci! Allez casse toi sale traînée de merde."
Je repartis honteuse mais rassuré de voir qu'il m'avais quelque peu épargné.
Néanmoins, je savais que je n'étais pas au bout de mes surprises et connaissant mon maître, ce n'était qu'un prémice de punition.
En effet, quelques minutes plus tard, je recevais un nouveau message:
"Tu m'as bien énervé sale gros tas de sac à pisse! Je vais devoir te punir sévèrement pour ton insolence.
Je passerais te régler ton compte chez toi après le taf! Cette fois, t'as intérêt à obéir sinon tu vas dérouiller sale putain de leche-cul de merde."
Je lui répondis que je serais évidemment très obéissante et que je méritais amplement une punition compte-tenu de mon inefficacité à satisfaire les désirs de mon maître.
En rentrant chez moi après le travail, je me lavais à la hâte, enfilais mon collier et l'attendais à quatre pattes dans mon salon.
Lorsque la porte s'ouvrit, je baissais les yeux afin de ne pas attiser sa colère.
Immédiatement sa main me pris les cheveux pour me relever la tête et une série de claques vinrent me fouetter le visage ainsi que mes mamelles.
Il s'empara de la laisse que j'avais soigneusement laissé sur la table et m'accrocha comme une bonne chienne docile.
Puis, Il me traîna ainsi jusqu'aux toilettes, souleva la lunette et me força à poser ma tête sur la cuvette.
En quelques secondes, je me retrouvais innonder de sa pisse chaude sur mon visage et mes cheveux:
"Tiens grosse pute de sac à pisse! C'est tout ce que tu mérites gros tas de merde!
J'acquieçai honteusement. Il est vrai que j'avais mérité d'être ainsi souillé par son bon jus doré.
Une fois terminé, je fus traînée jusqu'au salon.
Mon maître pris soin de me taguer mes mamelles au marqueur afin de porter les stigmates de sa colère.
Puis comme il en avait l'habitude, alla se chercher une bière, se posa dans le canapé en me regardant à quatre pattes:
"Putain de grosse truie à claquer, qu'est ce que je vais faire de toi! Même pas capable de satisfaire ton maître."
-Excusez-moi mon maître. Je ne suis qu'une pauvre connasse incapable. Je ferais tout pour me faire pardonner. Lui repondis-je les yeux baissés.
-Ah oui sale putain de sac à jus? Alors tu sais ce qu'a t'as à faire grosse pute de trou à bite.
-Oui mon maître.
Mon maître commença à se déshabiller et comme à chaque fois que je suis puni, j'allais devoir lui servir de lèche-cul.
"Allez, viens me bouffer le cul saloperie de traînée. C'est tout ce que t'auras pour la peine. Et essaie d'être un peu meilleure que ce midi.
Après avoir répondu, j'entamais le nettoyage de son cul à grands coups de langues.
Pendant ce temps, mon maître se branlais tranquillement en me regardant faire, tout en m'insultant copieusement.
J'étais ravie de pouvoir au minimum lui récurer la rondelle tant je ne le méritais pas.
Après un bon quart d'heure, mon maître me fit part qu'il allait gicler:
"Allez, ça suffit sale merdeuse. Vu que t'as fais ça à peu près proprement, je vais te récompenser en te crachant à la gueule.
Ça te fais plaisir au moins sac à foutre?
-Oh putain oui mon maître. Vous êtes si bon avec votre sale clébard de merde. Merci beaucoup maître."
Sur ces mots, il tira d'un coup sec sur ma laisse. A peine le temps de réaliser ce qui m'arrivait que ma tête fut projetée sur son ventre. Instantanément une rasade abondante de sperme vint me remplir mon visage et mes cheveux.
Bien sûr, vu que je n'avais pas été sage, je n'eu pas l'autorisation de déguster ce met qui me mettais en appétit.
Pas grave pensais-je, une fois parti, je me branlerais jusqu'à me faire jouir avec son odeur de pisse et de foutre sur ma gueule de chienne.
Manque de chance, mon maître souhaita prolonger la punition:
"Bon, sale pouffiasse à jus, à partir d'aujourd'hui, tu seras interdite de te branler pendant une semaine. Pas de gode dans la chatte et pas de tripotage de clito.
De plus, tu devras garder tes inscriptions sur tes mamelles en les réecrivant chaque jour.
Et pour finir, je t'interdis de t'exciter en parlant aux mecs sur Xhamster.
Est-ce que c'est compris sac à pisse?
-Oui mon maître, je ferais selon vos désirs et vos ordres.
-Parfait alors. Si tu es une bonne truie bien obéissante, la punition sera levée lundi prochain.
-Merci mon maître, vous êtes si bon avec votre chienasse soumise.
-Allez casse toi maintenant! Vas te laver sale merde, tu pues!"
Sur ces dernières injonctions, mon maître termina sa bière cul-sec et sorti de ma maison, me laissant seule comme une sale depravée.
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J'étais toute excitée en ce lundi matin, de revenir travailler.
L'idée de revoir mon maître me rendait toute chose et une humidité croissante se faisait sentir dans mon entre-jambe.
Dès le début de matinée, je recevais un message de mon maître qui ressemblait à peu près à cela:
"Bonjour grosse pute de chienasse. J'espère que tes vacances se sont bien passées et que tu as pu te reposer. Car sois sûr qu'aujourd'hui tu vas reprendre du service. T'as intérêt à être bien docile et serviable sale putain de sac à foutre car ton maître est très en demande de sa grosse truie esclave!"
Ravi de savoir qu'il était en attente de mes services, je lui répondis du tac-au-tac que j'étais à ses pieds, prête à le servir dès qu'il me sifflerait comme une vulgaire chienne.
La matinée passa sans que je n'eu d'autres messages.
Vers 14h30, surprise de constater que mon maître ne m'avais toujours pas haranguée, je regardais par acquis de conscience mon portable.
Et là surprise, un message de sa part:
"Sale grosse truie de merde, Je t'attends dans 5 minutes dans les vestiaires! Sois là sinon ça va barder."
Je regardais l'heure du message: 13h50
Mince, pensais-je! Comment ai-je pu rater son message?
Mais oui, je suis bête, j'ai retiré la sonnerie de mon portable ce midi!
Aïe-aïe-aïe, il ne va pas être content que j'ai raté son rendez-vous.
Pour me faire pardonner, je partis immédiatement à sa rencontre pour me faire pardonner. C'était sans doute trop tard pour éviter une punition mais au moins, il pourrait voir que je ne le snobe pas.
Arrivée à hauteur, je le vis l'air très fâché. Il avait le regard noir et ses lèvres semblaient crispées.
"Excusez-moi mon maître, je n'ai pas entendu la sonnerie de mon portable. Je suis désolé de ne pas avoir pu honoré votre rendez-vous."
A peine terminé ma phrase, je reçu une gifle bien placée sur ma joue gauche. Je l'avais bien méritée celle-là. Puis un crachat sur ma gueule de pute suivi d'une violente claque sur mon sein droit, avant qu'il me rétorque:
"Tu l'as pas volé celle-ci! Allez casse toi sale traînée de merde."
Je repartis honteuse mais rassuré de voir qu'il m'avais quelque peu épargné.
Néanmoins, je savais que je n'étais pas au bout de mes surprises et connaissant mon maître, ce n'était qu'un prémice de punition.
En effet, quelques minutes plus tard, je recevais un nouveau message:
"Tu m'as bien énervé sale gros tas de sac à pisse! Je vais devoir te punir sévèrement pour ton insolence.
Je passerais te régler ton compte chez toi après le taf! Cette fois, t'as intérêt à obéir sinon tu vas dérouiller sale putain de leche-cul de merde."
Je lui répondis que je serais évidemment très obéissante et que je méritais amplement une punition compte-tenu de mon inefficacité à satisfaire les désirs de mon maître.
En rentrant chez moi après le travail, je me lavais à la hâte, enfilais mon collier et l'attendais à quatre pattes dans mon salon.
Lorsque la porte s'ouvrit, je baissais les yeux afin de ne pas attiser sa colère.
Immédiatement sa main me pris les cheveux pour me relever la tête et une série de claques vinrent me fouetter le visage ainsi que mes mamelles.
Il s'empara de la laisse que j'avais soigneusement laissé sur la table et m'accrocha comme une bonne chienne docile.
Puis, Il me traîna ainsi jusqu'aux toilettes, souleva la lunette et me força à poser ma tête sur la cuvette.
En quelques secondes, je me retrouvais innonder de sa pisse chaude sur mon visage et mes cheveux:
"Tiens grosse pute de sac à pisse! C'est tout ce que tu mérites gros tas de merde!
J'acquieçai honteusement. Il est vrai que j'avais mérité d'être ainsi souillé par son bon jus doré.
Une fois terminé, je fus traînée jusqu'au salon.
Mon maître pris soin de me taguer mes mamelles au marqueur afin de porter les stigmates de sa colère.
Puis comme il en avait l'habitude, alla se chercher une bière, se posa dans le canapé en me regardant à quatre pattes:
"Putain de grosse truie à claquer, qu'est ce que je vais faire de toi! Même pas capable de satisfaire ton maître."
-Excusez-moi mon maître. Je ne suis qu'une pauvre connasse incapable. Je ferais tout pour me faire pardonner. Lui repondis-je les yeux baissés.
-Ah oui sale putain de sac à jus? Alors tu sais ce qu'a t'as à faire grosse pute de trou à bite.
-Oui mon maître.
Mon maître commença à se déshabiller et comme à chaque fois que je suis puni, j'allais devoir lui servir de lèche-cul.
"Allez, viens me bouffer le cul saloperie de traînée. C'est tout ce que t'auras pour la peine. Et essaie d'être un peu meilleure que ce midi.
Après avoir répondu, j'entamais le nettoyage de son cul à grands coups de langues.
Pendant ce temps, mon maître se branlais tranquillement en me regardant faire, tout en m'insultant copieusement.
J'étais ravie de pouvoir au minimum lui récurer la rondelle tant je ne le méritais pas.
Après un bon quart d'heure, mon maître me fit part qu'il allait gicler:
"Allez, ça suffit sale merdeuse. Vu que t'as fais ça à peu près proprement, je vais te récompenser en te crachant à la gueule.
Ça te fais plaisir au moins sac à foutre?
-Oh putain oui mon maître. Vous êtes si bon avec votre sale clébard de merde. Merci beaucoup maître."
Sur ces mots, il tira d'un coup sec sur ma laisse. A peine le temps de réaliser ce qui m'arrivait que ma tête fut projetée sur son ventre. Instantanément une rasade abondante de sperme vint me remplir mon visage et mes cheveux.
Bien sûr, vu que je n'avais pas été sage, je n'eu pas l'autorisation de déguster ce met qui me mettais en appétit.
Pas grave pensais-je, une fois parti, je me branlerais jusqu'à me faire jouir avec son odeur de pisse et de foutre sur ma gueule de chienne.
Manque de chance, mon maître souhaita prolonger la punition:
"Bon, sale pouffiasse à jus, à partir d'aujourd'hui, tu seras interdite de te branler pendant une semaine. Pas de gode dans la chatte et pas de tripotage de clito.
De plus, tu devras garder tes inscriptions sur tes mamelles en les réecrivant chaque jour.
Et pour finir, je t'interdis de t'exciter en parlant aux mecs sur Xhamster.
Est-ce que c'est compris sac à pisse?
-Oui mon maître, je ferais selon vos désirs et vos ordres.
-Parfait alors. Si tu es une bonne truie bien obéissante, la punition sera levée lundi prochain.
-Merci mon maître, vous êtes si bon avec votre chienasse soumise.
-Allez casse toi maintenant! Vas te laver sale merde, tu pues!"
Sur ces dernières injonctions, mon maître termina sa bière cul-sec et sorti de ma maison, me laissant seule comme une sale depravée.
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1 year ago