MA PREMIÈRE BITE (1/2) : MON INITIATION...
Je n'ai jamais eu d'attirance pour les hommes.
Pourtant...
Ma première expérience homo, c'était à l'âge de 15 ans, grâce à une influence habilement orchestrée par mon dépuceleur. Puis plus rien jusqu'à un épisode à l'âge de 25 ans. Puis plus rien jusqu'à l'âge de 50 ans. Et depuis, mes aventures bisexuelles se sont développées, mais ça ce sont bien d'autres histoires...
Bref...
À l'âge de 15 ans, mes parents se séparent. Ils n'étaient pas mariés, ma mère récupère la garde exclusive de ses enfants. On vivait avec ma mère en HLM dans une ZUP, une zone à urbaniser en priorité comme tant d'autres qui sont sorties de terre directement des champs pour répondre à la demande de logement. Rapidement, ma mère commence à boire et c'est la dégringolade, problèmes au sein de la famille, mais aussi de santé.
Bref, les enfants sont livrés à eux-mêmes, engendrant conneries et vols pour manger car les allocations passent dans les bouteilles.
A cette époque, j'avais une petite copine, une des toutes premières, avec qui j'avais commencé les touche-touche sexuels. Puis, un jour où j'étais chez elle, on avait veillé toute la nuit à parler, on a cassé. Alors je suis sorti, il devait être 7h du matin. Je n'avais pas envie de rentrer chez moi, donc je suis allé zoner au centre-ville.
Je me suis retrouvé à la gare, non loin de là, dans la salle des pas perdus. Je me suis assis dans le hall à écouter mon walkman qui était sorti 2 ou 3 ans auparavant.
Un retraité est alors venu d'asseoir à côté. J'ai enlevé mes écouteurs car je n'ai pas entendu quand il m'a demandé s'il pouvait s'asseoir à côté. Il a commencé à discuter.
Finalement, il m'a amené à parler de ma vie, pas très reluisante, de ce que j'aimais. À un moment donné, il a demandé si j'avais une copine, a demandé innocemment à quel âge notre génération avait son premier vrai rapport sexuel.
Puis, il a parlé de sa femme, du fait qu'il aimait sa lingerie, ses talons. Et il m'a demandé si mes copines en portaient, de la lingerie et des talons.
De fil en aiguille, j'en suis venu à lui avouer à demi-mots mon fétichisme pour les 2. Il a alors bien rusé en avouant lui-même en être un. Qu'il adorait se masturber sur les dessous et les talons de sa femme. Tous ses propos me faisaient déculpabiliser de tout ce que je percevais à travers la société comme étant des perversions, des déviances inavouables. Et là, je discutais avec quelqu'un qui était mon miroir (c'est peut-être de là que vient ma technique du miroir avec les filles).
J'avais tout d'un coup un ciel bleu qui s'ouvrait...
Il m'a alors demandé si j'avais déjà joui des dessous et talons de vraies femmes. Je lui ai alors confessé mes jouissances sur celles de ma mère et de mes soeurs, de mes camarades de classe filles au collège, entre autres.
Après une longue discussion qui était pour moi un vrai partage, avec beaucoup d'authenticité de chaque côté, il m'a dit (et pas demandé, très habile qu'il était) :
- Viens jouir des affaires de ma femme, elle a superbe collection, c'est une vraie salope !
Comment ne pas résister à la tentation, je ne me suis même pas posé la question, il habitait juste à côté.
Nous sommes donc partis découvrir sa caverne...
Effectivement, sa femme avait du stock. Il me présentait les dessous de sa femme un par un, ses paires de talons. Il a pris une culotte, l'a sentie et a commencé à se branler avec, sous mes yeux. Il m'en a tendu une, sans rien dire, signifiant que je fasse pareil, c'était comme un ordre puisqu'il ne m'a pas posé la question. C'était la première fois que je voyais une bite en action en réel dans un contexte sexuel.
À nous 2, on faisait la paire, on était pareil, mêmes délires, mêmes perversions.
Puis il a pris ma main pour continuer à se branler avec. Voyant mon regard subjugué et ne constatant aucune réticence de ma part, il a alors pris ma tête et l'a approchée de sa queue pour me la faire bouffer tranquillement, très doucement, j'étais cuit. Pas de retour en arrière possible. La porte d'un nouveau monde, d'une nouvelle vie s'ouvrait devant moi.
Il avait des mots crus au début pour lui-même, puis il les a transformés en insultes à mon égard, crescendo :
- Allez, suce-moi bien salope !, disait-il.
Et moi je trouvais ça super excitant, et il le voyait bien, le salaud.
- T'aime vraiment ça la bite, alors régale-toi !
Après quelques explications pour me préparer psychologiquement à sa jouissance qui allait arriver dans les secondes à venir, il a joui comme un diable et m'a fait avaler son sperme comme il me l'ordonnait :
- Tiens, prends ça, salope ! Avale tout jusqu'à la dernière goûte.
On s'est quittés au petit matin en se disant à la prochaine fois.
Plus tard, le poids moral étant trop fort, je n'ai pas donné suite à cette histoire ni à aucune autre homo. Et puis, les téléphones mobiles n'existant pas encore, le contact a été rompu...
Je connaissais son adresse et savais que je pourvais aller sonner chez lui. J'ai eu plusieurs fois la tentation, mais je n'ai jamais voulu ou osé le faire.
Je n'ai pas eu d'autres expériences avec le même sexe...
Jusqu'à 10 ans plus tard... (ma prochaine histoire)
Pourtant...
Ma première expérience homo, c'était à l'âge de 15 ans, grâce à une influence habilement orchestrée par mon dépuceleur. Puis plus rien jusqu'à un épisode à l'âge de 25 ans. Puis plus rien jusqu'à l'âge de 50 ans. Et depuis, mes aventures bisexuelles se sont développées, mais ça ce sont bien d'autres histoires...
Bref...
À l'âge de 15 ans, mes parents se séparent. Ils n'étaient pas mariés, ma mère récupère la garde exclusive de ses enfants. On vivait avec ma mère en HLM dans une ZUP, une zone à urbaniser en priorité comme tant d'autres qui sont sorties de terre directement des champs pour répondre à la demande de logement. Rapidement, ma mère commence à boire et c'est la dégringolade, problèmes au sein de la famille, mais aussi de santé.
Bref, les enfants sont livrés à eux-mêmes, engendrant conneries et vols pour manger car les allocations passent dans les bouteilles.
A cette époque, j'avais une petite copine, une des toutes premières, avec qui j'avais commencé les touche-touche sexuels. Puis, un jour où j'étais chez elle, on avait veillé toute la nuit à parler, on a cassé. Alors je suis sorti, il devait être 7h du matin. Je n'avais pas envie de rentrer chez moi, donc je suis allé zoner au centre-ville.
Je me suis retrouvé à la gare, non loin de là, dans la salle des pas perdus. Je me suis assis dans le hall à écouter mon walkman qui était sorti 2 ou 3 ans auparavant.
Un retraité est alors venu d'asseoir à côté. J'ai enlevé mes écouteurs car je n'ai pas entendu quand il m'a demandé s'il pouvait s'asseoir à côté. Il a commencé à discuter.
Finalement, il m'a amené à parler de ma vie, pas très reluisante, de ce que j'aimais. À un moment donné, il a demandé si j'avais une copine, a demandé innocemment à quel âge notre génération avait son premier vrai rapport sexuel.
Puis, il a parlé de sa femme, du fait qu'il aimait sa lingerie, ses talons. Et il m'a demandé si mes copines en portaient, de la lingerie et des talons.
De fil en aiguille, j'en suis venu à lui avouer à demi-mots mon fétichisme pour les 2. Il a alors bien rusé en avouant lui-même en être un. Qu'il adorait se masturber sur les dessous et les talons de sa femme. Tous ses propos me faisaient déculpabiliser de tout ce que je percevais à travers la société comme étant des perversions, des déviances inavouables. Et là, je discutais avec quelqu'un qui était mon miroir (c'est peut-être de là que vient ma technique du miroir avec les filles).
J'avais tout d'un coup un ciel bleu qui s'ouvrait...
Il m'a alors demandé si j'avais déjà joui des dessous et talons de vraies femmes. Je lui ai alors confessé mes jouissances sur celles de ma mère et de mes soeurs, de mes camarades de classe filles au collège, entre autres.
Après une longue discussion qui était pour moi un vrai partage, avec beaucoup d'authenticité de chaque côté, il m'a dit (et pas demandé, très habile qu'il était) :
- Viens jouir des affaires de ma femme, elle a superbe collection, c'est une vraie salope !
Comment ne pas résister à la tentation, je ne me suis même pas posé la question, il habitait juste à côté.
Nous sommes donc partis découvrir sa caverne...
Effectivement, sa femme avait du stock. Il me présentait les dessous de sa femme un par un, ses paires de talons. Il a pris une culotte, l'a sentie et a commencé à se branler avec, sous mes yeux. Il m'en a tendu une, sans rien dire, signifiant que je fasse pareil, c'était comme un ordre puisqu'il ne m'a pas posé la question. C'était la première fois que je voyais une bite en action en réel dans un contexte sexuel.
À nous 2, on faisait la paire, on était pareil, mêmes délires, mêmes perversions.
Puis il a pris ma main pour continuer à se branler avec. Voyant mon regard subjugué et ne constatant aucune réticence de ma part, il a alors pris ma tête et l'a approchée de sa queue pour me la faire bouffer tranquillement, très doucement, j'étais cuit. Pas de retour en arrière possible. La porte d'un nouveau monde, d'une nouvelle vie s'ouvrait devant moi.
Il avait des mots crus au début pour lui-même, puis il les a transformés en insultes à mon égard, crescendo :
- Allez, suce-moi bien salope !, disait-il.
Et moi je trouvais ça super excitant, et il le voyait bien, le salaud.
- T'aime vraiment ça la bite, alors régale-toi !
Après quelques explications pour me préparer psychologiquement à sa jouissance qui allait arriver dans les secondes à venir, il a joui comme un diable et m'a fait avaler son sperme comme il me l'ordonnait :
- Tiens, prends ça, salope ! Avale tout jusqu'à la dernière goûte.
On s'est quittés au petit matin en se disant à la prochaine fois.
Plus tard, le poids moral étant trop fort, je n'ai pas donné suite à cette histoire ni à aucune autre homo. Et puis, les téléphones mobiles n'existant pas encore, le contact a été rompu...
Je connaissais son adresse et savais que je pourvais aller sonner chez lui. J'ai eu plusieurs fois la tentation, mais je n'ai jamais voulu ou osé le faire.
Je n'ai pas eu d'autres expériences avec le même sexe...
Jusqu'à 10 ans plus tard... (ma prochaine histoire)
1 year ago
