MA PREMIÈRE BITE (2/2) : 10 ANS PLUS TARD...
10 ans plus tard après ma première bite, j'avais alors 25 ans...
Cette histoire est la suite de ma précédente histoire "Ma première bite : Mon initiation" dans laquelle je raconte comme j'ai rencontré ma première bite à l'âge de 15 ans.
Pour faire court, perdu dans un hall de gare au petit matin, j'ai été abordé par un retraité qui, au fil de notre discussion parsemée de confessions, a réussi à me convaincre de venir chez lui jouir avec lui des affaires de sa femme, comme j'aimais à le faire déjà avec la lingerie de ma mère et ses talons.
Fasciné par la première vraie bite que je voyais en action, je me suis laissé charmer par elle lorsque son propriétaire me l'a fait sucer. On s'est quittés au petit matin en se disant à la prochaine fois. Plus tard, le poids moral étant trop fort, je n'ai pas donné suite à cette histoire ni à aucune autre homo.
Jusqu'à 10 ans plus tard...
Justement, 10 ans plus tard, c'est-à-dire à l'âge de 25 ans, j'ai eu un accident de voiture qui a failli me coûter la vie. J'ai eu la chance de ma vie car j'ai "juste" eu plusieurs vertèbres fracturées, et quelques ecchymoses sur le reste du corps.
Hélicoptère, hôpital, opération...
Résultat : 3 mois à rester alité, puis 6 mois de rééducation.
Depuis le début de mon séjour hospitalier, j'étais obligé de rester alité sur le dos avec mon plâtre allant du cou au bassin, et ce pendant 1 mois le temps que les premiers effets de la calcification apparaissent.
Pendant les premières semaines à rester coucher, je souffrais le martyr en raison des douleurs intenses. Les infirmières venaient toutes les 4 heures me shooter aux antalgiques puissants en intraveineuse, le jour mais aussi la nuit.
En raison du choc, mon transit était quasi à l'arrêt et je souffrais de maux de ventre pulsatiles. Dans mon malheur, j'avais droit avec mon traitement toutes les 4 heures à un massage du ventre pour faire repartir la machine. De jour comme de nuit...
Puis une semaine, j'ai vu un infirmier prendre le quart de nuit. Un nounours, dans son physique généreux comme dans sa personnalité très sympathique. Quand il s'est mis à me masser, ses doigts effleuraient mon pubis sans jamais franchir la frontière. Ça faisait comme une décharge électrique.
1 jour...
2 jours...
Chaque jour, il devenait de plus en plus entreprenant...
J'étais dans les vapes avec ce traitement, donc je pense que je ne réalisais pas vraiment. Je relativisais beaucoup après avoir échappé à la mort.
Là aussi, ne voyant pas de d****au rouge de ma part en me massant, il est carrément descendu sur ma bite qu'il a trouvée en semi-érection, un signe qu'il a pris comme un feu vert pour lui sur le boulevard de l'interdit.
Il m'a alors branlé, m'a fait éjaculer puis est parti, je voyais des étoiles dans mes nuées...
La nuit suivante, rebelote...
Il a pris ma main et l'a posée sur son sexe au dessus de sa blouse. Je le sentais bien gros. J'étais aussi très excité dans mes vapeurs. En l'occurrence, je ne pouvais rien faire avec mon bras car coincé sur le dos dans mon plâtre thoraço-dorsal. Alors, il a sorti sa queue dans la pénombre de la chambre juste éclairée de quelques rayons provenant du couloir derrière la porte. Je voyais son gland bien turgescent trônant à la pointe de sa queue épaisse. Il m'a tourné la tête pour amener son champignon sur ma bouche et l'a pénétrée comme si j'étais une vraie salope avide. Pour finalement jouir et se faire déguster par son patient dans l'excitation du moment.
Mon traitement spécial a duré une semaine puis je n'ai plus revu cet infirmier. Son quart avait dû changer. J'ai pensé qu'il devait certainement être un remplaçant.
Je ne l'ai jamais revu et n'ai parlé de cette histoire à personne. Aujourd'hui est donc une première...
Puis, plus rien...
Jusqu'à 25 ans plus tard... (ma prochaine histoire)
Cette histoire est la suite de ma précédente histoire "Ma première bite : Mon initiation" dans laquelle je raconte comme j'ai rencontré ma première bite à l'âge de 15 ans.
Pour faire court, perdu dans un hall de gare au petit matin, j'ai été abordé par un retraité qui, au fil de notre discussion parsemée de confessions, a réussi à me convaincre de venir chez lui jouir avec lui des affaires de sa femme, comme j'aimais à le faire déjà avec la lingerie de ma mère et ses talons.
Fasciné par la première vraie bite que je voyais en action, je me suis laissé charmer par elle lorsque son propriétaire me l'a fait sucer. On s'est quittés au petit matin en se disant à la prochaine fois. Plus tard, le poids moral étant trop fort, je n'ai pas donné suite à cette histoire ni à aucune autre homo.
Jusqu'à 10 ans plus tard...
Justement, 10 ans plus tard, c'est-à-dire à l'âge de 25 ans, j'ai eu un accident de voiture qui a failli me coûter la vie. J'ai eu la chance de ma vie car j'ai "juste" eu plusieurs vertèbres fracturées, et quelques ecchymoses sur le reste du corps.
Hélicoptère, hôpital, opération...
Résultat : 3 mois à rester alité, puis 6 mois de rééducation.
Depuis le début de mon séjour hospitalier, j'étais obligé de rester alité sur le dos avec mon plâtre allant du cou au bassin, et ce pendant 1 mois le temps que les premiers effets de la calcification apparaissent.
Pendant les premières semaines à rester coucher, je souffrais le martyr en raison des douleurs intenses. Les infirmières venaient toutes les 4 heures me shooter aux antalgiques puissants en intraveineuse, le jour mais aussi la nuit.
En raison du choc, mon transit était quasi à l'arrêt et je souffrais de maux de ventre pulsatiles. Dans mon malheur, j'avais droit avec mon traitement toutes les 4 heures à un massage du ventre pour faire repartir la machine. De jour comme de nuit...
Puis une semaine, j'ai vu un infirmier prendre le quart de nuit. Un nounours, dans son physique généreux comme dans sa personnalité très sympathique. Quand il s'est mis à me masser, ses doigts effleuraient mon pubis sans jamais franchir la frontière. Ça faisait comme une décharge électrique.
1 jour...
2 jours...
Chaque jour, il devenait de plus en plus entreprenant...
J'étais dans les vapes avec ce traitement, donc je pense que je ne réalisais pas vraiment. Je relativisais beaucoup après avoir échappé à la mort.
Là aussi, ne voyant pas de d****au rouge de ma part en me massant, il est carrément descendu sur ma bite qu'il a trouvée en semi-érection, un signe qu'il a pris comme un feu vert pour lui sur le boulevard de l'interdit.
Il m'a alors branlé, m'a fait éjaculer puis est parti, je voyais des étoiles dans mes nuées...
La nuit suivante, rebelote...
Il a pris ma main et l'a posée sur son sexe au dessus de sa blouse. Je le sentais bien gros. J'étais aussi très excité dans mes vapeurs. En l'occurrence, je ne pouvais rien faire avec mon bras car coincé sur le dos dans mon plâtre thoraço-dorsal. Alors, il a sorti sa queue dans la pénombre de la chambre juste éclairée de quelques rayons provenant du couloir derrière la porte. Je voyais son gland bien turgescent trônant à la pointe de sa queue épaisse. Il m'a tourné la tête pour amener son champignon sur ma bouche et l'a pénétrée comme si j'étais une vraie salope avide. Pour finalement jouir et se faire déguster par son patient dans l'excitation du moment.
Mon traitement spécial a duré une semaine puis je n'ai plus revu cet infirmier. Son quart avait dû changer. J'ai pensé qu'il devait certainement être un remplaçant.
Je ne l'ai jamais revu et n'ai parlé de cette histoire à personne. Aujourd'hui est donc une première...
Puis, plus rien...
Jusqu'à 25 ans plus tard... (ma prochaine histoire)
1 year ago
