Isa, la maman de la mariée
Pierre et Michelle ont décidés de se marier, Michelle veut que je sois sa témoin. Au début j’ai décliné l’invitation mais comme ils insistaient j’ai accepté. Ce sera une cérémonie très simple et avec peu d’invités, beaucoup de la famille de Pierre refuse d’y assister. Ça aura lieu à Toulouse où ils vivent. Je prends donc les billets d'avions, je passerai 4 jours là-bas. Je m’achète une robe de soirée en mousseline vert menthe mi-longue, décolleté croisé brodé, manches mi-longues, des escarpins couleur sable avec lanières croisées à la cheville talons 10cms et une pochette assortie. J’ai demandé à Josy de me trouver une perruque poivre et sel mi longue (il devient difficile de cacher mon âge, j’ai donc décidé de l’assumer) elle me la coiffe avec une tresse que je peux laisser sur l’épaule ou attacher en chignon. Pour le voyage je porte un tailleur saumon et j’emporte quelques robes et plein de lingerie.
Ils me récupèrent à l’aéroport, ça fait plaisir de nous revoir plus de huit mois après. Michelle est radieuse, la vie de femme et l’idée de se marier la rendent heureuse, elle m’embrasse sur la bouche à peine passé le sas de l’aéroport puis j’embrasse Pierre aussi sur la bouche sous le regard étonné de la multitude qui nous entoure. Ils ont réservé des chambres d’hôtel pour les invités qui viennent de loin, on passe lisser mes bagages puis ils m’emmènent souper chez eux. On parle de l’organisation de la cérémonie. Pierre est un peu triste car sa famille lui a tourné le dos pour être gay, comme famille il n’y aura que la mère de Michelle qui est veuve et un cousin de Pierre qui sera son témoin et quelques amis, une quinzaine de personnes au total.
Au dessert, Michelle pose sa main sur ma cuisse et remonte jusqu’à mon sexe en disant ;
-Que je suis contente que tu sois là, je pense si souvent à toi et ce que tu as fait pour moi.
-Je pense souvent à vous aussi et aux bons moments qu’on a passés ensemble, tellement que regardez dis-je en déboutonnant mon chemisier, dessous je porte le corset qu’ils m’avaient offert.
-Moi aussi j’ai mis les dessous que tu m’as donné le premier jour, regarde dit-elle en quittant sa jupe.
Elle est excitée, on voit qu’elle bande dans sa culotte. Je dis à Pierre en riant ;
-Tu laisses ta femme se déshabiller comme ça devant les invités ?
-Uniquement jusqu’au mariage et pas avec n’importe qui, avec toi il n’y a pas de tabous répond-t-il en me clignant de l’œil.
-On fait l’amour encore une fois tous les trois ? dit-elle en embrassant son mec et en glissant sa main dans son pantalon.
-Si tu veux gourmande.
Michelle nous prend par la main et nous entraine à la chambre. On s’embrasse, on se caresse, on se suce et on s’emmanche à tour de rôle, j’adore retrouver la sensation d’avoir la bite de Michelle en moi, de sucer celle de Pierre, d’enculer Michelle pendant que Pierre la suce... on fait l’amour avec beaucoup de plaisir jusqu’à se faire jouir tous les trois.
Ils me raccompagnent à l’hôtel, Michelle me dit “demain matin ma mère arrive de Bordeaux, je te la présenterais, elle sait que tu es travestie et que c’est toi qui m’as aidé à franchir le pas, elle va certainement t’assaillir de questions”.
Le lendemain matin en sortant de ma chambre pour aller prendre mon petit-déj je vois une femme en train d’ouvrir la porte d’à côté, je l’identifie aussitôt comme la mère de Michelle, la ressemblance est flagrante. Excepté l’âge elle a les mêmes traits fins, la même douceur du regard. Je la salue en souriant,
-Vous êtes la maman de Michelle ?
-Oui, vous êtes son amie Juani ?
-Oui, enchantée, je vous ai reconnue tout de suite, je comprends en vous voyant d’où lui vient la douceur de son visage et de son sourire.
-Merci répond-t-elle en rougissant, je m’appelle Isabelle, Isa pour les amis, je pense que nous serons amies.
-Je n’en doute pas, si tu veux bien Isa on peut se tutoyer, en plus on est voisines de chambre. J’allais prendre mon petit-dej je peux t’inviter ?
-Pourquoi pas, si tu me laisse juste le temps de déposer mes bagages.
On va à la cafeteria, elle a à peu près mon âge, blonde, une silhouette un peu ronde mais agréable, ses yeux bleus lui donnent un sourire très ensorceleur. Elle me sourit en disant ;
-Mon fils euh ma fille, j’ai du mal à m’y faire après 38 ans à l’appeler Michel c’est difficile de passer au féminin, j’ai du mal à comprendre ce qui peut vous pousser à vouloir changer de sexe. Excuse-moi, c’est très confus dans ma tête, ça m’a tourmenté, d’un côté je la comprends surtout en la voyant heureuse mais ça a été un choc. Je l’ai accepté en pensant qu’heureusement que mon mari ne l’a pas vécu car il ne l’aurait pas accepté.
-C’est quelque chose qui est en notre équilibre hormonal, certains garçons ont un peu plus d’hormones féminines et il suffit d’un déclic pour nous donner envie de se sentir femme tout en gardant une part de virilité masculine plus ou moins grande qui fait qu’on peut avoir envie de faire l’amour avec des hommes ou des femmes. Je crois que l’on a tous un côté bisexuel plus ou moins développé. Quel gamin o gamine n’a pas eu envie d’attouchements avec un petit copain o copine de classe ? Quelle femme n’a pas eu un jour une attirance pour une autre femme ?
-Tu as raison, je dois reconnaitre que moi-même durant mes longues années de mariage j’ai parfois rêvé de faire l’amour avec la femme d’un ami de mon mari, souvent quand on les invitait je me sentais très attirée au point de me caresser le soir en pensant à elle.
-Et tu n’as jamais tentée d’avoir une relation avec elle ? Tu aurais dû, il faut aller au bout de ses envies.
-Je n’ai jamais osée mais tu as raison, j’aurais dû essayer. Depuis que Michel est devenu Michelle, je suis perturbée aussi, je n’avais jamais pensée aux travesties mais voir cette jolie fille me troublais, j’ai même imaginé comment ce serait faire l’amour avec elle. Mon dieu, tu vas me prendre pour une folle pour penser à faire l’amour avec mon enfant.
-Non, la curiosité est naturelle, l’envie de découvrir est normale. Bien sûr qu’e le faire avec ton enfant serait anormal mais si tu as l’envie de savoir comment c’est, tu peux le faire avec une autre trav.
Son téléphone nous interrompt, c’est Michelle qui la cherche, “Je suis à la cafeteria avec ton amie Juani... Oui, elle m’a reconnue car elle dit qu’on se ressemble comme deux gouttes d’eau... Ok on t’attend”. Michelle arrive embrasse sa mère puis dépose un baiser sur mes lèvres, surprise Isa balbutie ;
-Vous êtes intimes
-Oui maman
-Pierre le sait ?
-Bien sûr, on est au XXI siècle, on l’a fait ensemble.
-Mon éducation est à refaire totalement répond Isa en riant.
-Il faut qu’on y aille maman, on a des tonnes de choses à faire, demain c’est le grand jour !
Je les laisse partir en disant “Isa ce soir on soupe ensemble, on continuera notre conversation, tu veux bien ? “Oui merci” dit-elle en s’éloignant. Je passe la journée à faire un peu de tourisme puis je prends un bon bain parfumé et relaxant avant de me préparer. J’entends l’eau couler dans la chambre voisine, je me mets à imaginer Isa nue dans sa baignoire et ça m’excite.
A 19h30 je frappe à sa porte, elle ouvre aussitôt radiante, je note qu’elle c’est habillée un peu plus sexy que le matin, décolleté plus profond et une jupe moulante et plus courte mettent en valeur ses rondeurs, des bas résilles á couture et dentelle noirs, des talons hauts galbant ses jambes la rendent très sensuelle.
-Tu es superbe lui dis-je.
-Toi aussi tu es très belle.
On marche jusqu’à un restaurant proche où j’ai réservé une table dans un coin au fond de la salle. En mangeant elle me raconte sa journée puis me dit ;
-Michelle t’adore, tu es son idole, elle n’a pas arrêté de me faire des compliments sur toi et je dois avouer que je la crois, je me sens très à l’aise avec toi, à moi aussi tu m’as envoutée dis-t-elle en rougissant.
-Moi aussi j’apprécie ta compagnie, tu es très sympathique et je dois reconnaitre que ta douceur et ta sensualité ne me laissent pas indifférente lui dis-je en caressant sa main.
Gênée elle regarde autour de nous.
-Détends toi, personne ne nous connait et au pire on nous prendra pour un couple de lesbiennes.
-C’est vrai, j’ai toujours du mal à me libérer de mes préjugés répond-t-elle en caressant à son tour ma main. Tu sais, cette après-midi Michelle a compris mon trouble, elle m’a dit “Telle que je connais à Juani je prierais que tu finiras dans son lit, tu en as envie ?” Je ne sais pas lui ai-je répondu, je crois que si mais ça me fait peur. “Lâche toi maman, tu n’as qu’une vie, vas au bout de tes rêves”.
-Tu es la seule personne qui peut décider si tu veux que tes rêves se fassent réalité lui dis-je avant de sortir du resto.
Sur le chemin du retour, je la prends par le bras et lui parle du mariage du lendemain. Au coin de la rue avant d’entrer à l’hôtel elle s’arrête, se tourne vers moi et pose un baiser sur mes lèvres en chuchotant “Oui j'ai envie de les faire réalité avec toi”.
On va directement à ma chambre, je la prends dans mes bras, elle est toute tremblante.
-Tu es sûre de toi ? Lui dis-je.
-Oui, mais sois douce et compréhensive, ça fait plus de 6 ans que je n’ai pas ait l’amour.
-N’ai pas peur détends toi lui dis-je en l’embrassant tendrement sur les lèvres, elle répond à mon baiser, ouvre la bouche et nos langues se mêlent en un baiser passionné, son corps se colle au mien, peu à peu elle finit de trembler, le baiser est fougueux et très long, je caresse lentement ses épaules, son dos, ses reins, sa croupe sans décoller nos lèvres, elle a passé ses bras autour de mon cou et m’étreint comme si elle craignait que je m’en aille. Je sens ses seins pressés contre ma poitrine et son cœur qui bat la chamade. Peu à peu elle relâche son étreinte et on reprend notre souffle.
Je passe ma main sur ses seins et entreprends de déboutonner son chemisier, quand il est ouvert je passe mes mains à l’intérieur, caresse sa poitrine à travers de son soutien-gorge de dentelle, monte mes mains au contact de sa peau dans le décolleté du soutif, sa peau est soyeuse, elle frémit au premier contact ma main droite passe deux doigts dans le bonnet pour caresser un de ses tétons, il est érigé et assez gros, la caresse la fait gémir. Je fais tomber son chemisier, dégrafe son soutien-gorge et la bascule sur le lit, ses seins nues sont un peu mous mais agréables à caresser avec leurs tétons dures pointant vers le ciel, je les suce et mordille délicatement “Que c’est bon” murmure-t-elle en cambrant son dos pour les offrir encore plus à mes lèvres. Elle passe une de ses cuisses entre les miennes frottant mon sexe sous ma robe, il était déjà en train de durcir dans ma culotte, la caresse de sa cuisse me fait bander à top.
Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle commence à caresser mon dos et baisser le zip de ma robe, fait glisser les bretelles pour dégager mes épaules et la baisse, je l’aide à quitter ma robe, je reste avec seulement mon ensemble culotte soutien-gorge dans lequel j’ai mis juste un peu de mousse de rembourrage, mon porte-jarretelle taille haute, mes bas blancs et mes sandales à talon une grosse bosse tends la dentelle de ma culotte. Elle me regarde en disant “que tu es belle dans cette lingerie sexy”. Je dégrafe sa jupe et la fais glisser, elle porte une culotte de dentelle à taille haute échancrée jusqu’aux hanches qui met en valeur son mont de venus, le maillot bien épilé, je devine un petit rectangle de poils sous la dentelle type “tiquet de métro”, ses bas sont auto fixant avec de la dentelle en haut, son corps épanouit est encore très désirable.
-Toi aussi tu es très belle et désirable dans ces dessous raffinés lui dis-je.
-Tu dis ça par gentillesse, moi je me sens moche et vieille.
-Non, je te promets que c’est vrai, je te trouve très sensuelle. Quel âge as-tu si je peux me permettre l’indiscrétion ?
-Je vais avoir 62 ans
-Et tu te trouves vieille à 62 ans ? On a le même âge et je ne me sens pas vieille du tout.
Je reprends un de ses tétons entre mes lèvres, caresse son autre sein puis baisse ma main sur son ventre puis sur sa culotte, elle frémit de nouveau et commence à me caresser aussi, elle défait mon soutif, caresse mes tout petits seins puis descend sa main jusqu’à mon sexe pendant que je caresse le sien, je sens la dentelle légèrement mouillée, je fais aller mes doigts lentement de son entrecuisse à son mont de venus, elle aventure sa main dans ma culotte et sort ma queue en la masturbant “Quelle est douce, ça faisait si longtemps que je n’en avait pas caressée une” souffle-t-elle.
Au bout d’un moment je me dégage de sa caresse, je ne veux pas m’exciter trop vite. Je prends l’élastique de sa culotte et la baisse lentement, elle lève les jambes pour m’aider à la lui quitter. Sa vulve charnue est pratiquement fermée, les lèvres sont petites, je descends ma bouche sur son ventre, ma langue lèche son pubis, joue avec les poils soigneusement taillés, contourne les lèvres, remonte puis recommence, les tressaillements de son bassin montre qu'elle éprouve du plaisir, le désir devient trop fort, elle ouvre ses cuisses et lance ses jambes sur mes épaules, sa chatte s’ouvre et j‘y plonge ma langue, elle est toute mouillée, je me délecte de ses sucs lentement allant du fond de son vagin jusqu’à son clitoris, il et petit, j’ai eu un peu de difficulté à le trouver tellement qu’il était rentré, peu à peu il durcit et sort de son écrin, elle glousse de plaisir et bouge son bassin pour venir au contact de ma langue, j’insiste longuement, je sais que je vais la faire jouir sous ma langue. Je ne me trompe pas au bout d’un moment elle pousse un petit cri, se convulse et jouis, un nectar chaud envahit sa vulve, je le déguste jusqu’à la dernière goutte, je suce encore un peu son clitoris qui est toujours gonflé et hors de son écrin. Elle prend ma tête entre ses mains pour me faire remonter en disant ;
-Arrête un peu, tu vas me faire ****** de plaisir, tu es une amante merveilleuse. Michelle me l’avait dit cet aprème mais je pensais qu’elle exagérait pour m’inciter à coucher avec toi”. Je suis comblée
-Avec une femme si douce et sensuelle c’est si facile d'être une bonne amante, ton sexe est si bon que je passerais des jours entiers à le lécher et à te faire l’amour.
-Moi aussi j’ai envie que ça dure toute la nuit.
Elle reprend ma queue dans sa main, la caresse délicatement, “quelle est douce et belle, elle bien plus grande que celle de mon pauvre mari” puis elle approche sa bouche, la lèche sur toute la longueur, sa main tirant sur mon prépuce pour décalotter tout mon gland, le prends entre ses lèvres et joue avec pendant que sa main masturbe toujours ma hampe raide, la caresse est délicieuse. Au bout d’un moment je n’en peux plus, “arrête, c’est trop bon tu vas me faire jouir” elle grogne sans sortir mon gland de sa bouche, je me raidis, je sens que ça vient, elle aussi car aussitôt el enfonce ma bite dans sa bouche en pompant avidement, j’explose de plaisir, trois, quatre, cinq saccades giclent dans sa bouche, elle en avale une bonne partie puis me regarde en souriant, du sperme coule à la commissure de ses lèvres.
-Tu as aimé ? Me demande-t-elle.
-Non, je n’ai pas aimé, j’ai adoré, et toi ?
-Moi aussi j’ai adoré, ton sexe est si doux et ton sperme est délicieux.
Je l’attire à moi et l’embrasse léchant ce qui coule et nos langues partageant ce qui reste dans sa bouche. On s’endort enlacés et comblés. Au petit matin Isa me réveille en me caressant.
-Fais-moi l’amour j’ai envie de te sentir en moi me dit-elle.
-Fais-moi le toi lui dis-je pendant que ma bite devient raide dans sa main.
Elle me suce un peu laissant beaucoup de salive sur ma queue puis vient sur moi à califourchon, je la laisse prendre l’initiative, elle guide mon sexe et le fait entrer doucement dans sa vulve qui est un peu sèche mais qui s’humidifie très vite une fois ma queue bien dedans. Elle commence sa chevauchée tout doucement, ses seins lourds s’animent suivant le mouvement de son bassin. Elle est belle offrant sa nudité à mon regard, je caresse ses nichons mes doigts jouant avec ses tétons, ça l’excite, elle augmente le rythme de sa chevauchée, passe au petit trot puis au trot gémissant de plaisir “Que c’est bon, j’aime te sentir en moi”. Elle accélère encore, ses gémissements se font râles, le galop devient endiablé, ses râles sont maintenant des cris étouffés “Oh oui, oh oui, que c’est bon, oh oui, viens, viens maintenant jouis avec moi” dit-elle arrivant à l’orgasme, je me laisse aller et jouis avec elle. Elle s’effondre sur moi heureuse.
D’un coup elle saute du lit, “J’ai RDV chez l’esthéticienne dans une heure et on doit être à 14h à la mairie” dit-elle en filant à la salle de bain.... (Suite dans un prochain billet)
Ils me récupèrent à l’aéroport, ça fait plaisir de nous revoir plus de huit mois après. Michelle est radieuse, la vie de femme et l’idée de se marier la rendent heureuse, elle m’embrasse sur la bouche à peine passé le sas de l’aéroport puis j’embrasse Pierre aussi sur la bouche sous le regard étonné de la multitude qui nous entoure. Ils ont réservé des chambres d’hôtel pour les invités qui viennent de loin, on passe lisser mes bagages puis ils m’emmènent souper chez eux. On parle de l’organisation de la cérémonie. Pierre est un peu triste car sa famille lui a tourné le dos pour être gay, comme famille il n’y aura que la mère de Michelle qui est veuve et un cousin de Pierre qui sera son témoin et quelques amis, une quinzaine de personnes au total.
Au dessert, Michelle pose sa main sur ma cuisse et remonte jusqu’à mon sexe en disant ;
-Que je suis contente que tu sois là, je pense si souvent à toi et ce que tu as fait pour moi.
-Je pense souvent à vous aussi et aux bons moments qu’on a passés ensemble, tellement que regardez dis-je en déboutonnant mon chemisier, dessous je porte le corset qu’ils m’avaient offert.
-Moi aussi j’ai mis les dessous que tu m’as donné le premier jour, regarde dit-elle en quittant sa jupe.
Elle est excitée, on voit qu’elle bande dans sa culotte. Je dis à Pierre en riant ;
-Tu laisses ta femme se déshabiller comme ça devant les invités ?
-Uniquement jusqu’au mariage et pas avec n’importe qui, avec toi il n’y a pas de tabous répond-t-il en me clignant de l’œil.
-On fait l’amour encore une fois tous les trois ? dit-elle en embrassant son mec et en glissant sa main dans son pantalon.
-Si tu veux gourmande.
Michelle nous prend par la main et nous entraine à la chambre. On s’embrasse, on se caresse, on se suce et on s’emmanche à tour de rôle, j’adore retrouver la sensation d’avoir la bite de Michelle en moi, de sucer celle de Pierre, d’enculer Michelle pendant que Pierre la suce... on fait l’amour avec beaucoup de plaisir jusqu’à se faire jouir tous les trois.
Ils me raccompagnent à l’hôtel, Michelle me dit “demain matin ma mère arrive de Bordeaux, je te la présenterais, elle sait que tu es travestie et que c’est toi qui m’as aidé à franchir le pas, elle va certainement t’assaillir de questions”.
Le lendemain matin en sortant de ma chambre pour aller prendre mon petit-déj je vois une femme en train d’ouvrir la porte d’à côté, je l’identifie aussitôt comme la mère de Michelle, la ressemblance est flagrante. Excepté l’âge elle a les mêmes traits fins, la même douceur du regard. Je la salue en souriant,
-Vous êtes la maman de Michelle ?
-Oui, vous êtes son amie Juani ?
-Oui, enchantée, je vous ai reconnue tout de suite, je comprends en vous voyant d’où lui vient la douceur de son visage et de son sourire.
-Merci répond-t-elle en rougissant, je m’appelle Isabelle, Isa pour les amis, je pense que nous serons amies.
-Je n’en doute pas, si tu veux bien Isa on peut se tutoyer, en plus on est voisines de chambre. J’allais prendre mon petit-dej je peux t’inviter ?
-Pourquoi pas, si tu me laisse juste le temps de déposer mes bagages.
On va à la cafeteria, elle a à peu près mon âge, blonde, une silhouette un peu ronde mais agréable, ses yeux bleus lui donnent un sourire très ensorceleur. Elle me sourit en disant ;
-Mon fils euh ma fille, j’ai du mal à m’y faire après 38 ans à l’appeler Michel c’est difficile de passer au féminin, j’ai du mal à comprendre ce qui peut vous pousser à vouloir changer de sexe. Excuse-moi, c’est très confus dans ma tête, ça m’a tourmenté, d’un côté je la comprends surtout en la voyant heureuse mais ça a été un choc. Je l’ai accepté en pensant qu’heureusement que mon mari ne l’a pas vécu car il ne l’aurait pas accepté.
-C’est quelque chose qui est en notre équilibre hormonal, certains garçons ont un peu plus d’hormones féminines et il suffit d’un déclic pour nous donner envie de se sentir femme tout en gardant une part de virilité masculine plus ou moins grande qui fait qu’on peut avoir envie de faire l’amour avec des hommes ou des femmes. Je crois que l’on a tous un côté bisexuel plus ou moins développé. Quel gamin o gamine n’a pas eu envie d’attouchements avec un petit copain o copine de classe ? Quelle femme n’a pas eu un jour une attirance pour une autre femme ?
-Tu as raison, je dois reconnaitre que moi-même durant mes longues années de mariage j’ai parfois rêvé de faire l’amour avec la femme d’un ami de mon mari, souvent quand on les invitait je me sentais très attirée au point de me caresser le soir en pensant à elle.
-Et tu n’as jamais tentée d’avoir une relation avec elle ? Tu aurais dû, il faut aller au bout de ses envies.
-Je n’ai jamais osée mais tu as raison, j’aurais dû essayer. Depuis que Michel est devenu Michelle, je suis perturbée aussi, je n’avais jamais pensée aux travesties mais voir cette jolie fille me troublais, j’ai même imaginé comment ce serait faire l’amour avec elle. Mon dieu, tu vas me prendre pour une folle pour penser à faire l’amour avec mon enfant.
-Non, la curiosité est naturelle, l’envie de découvrir est normale. Bien sûr qu’e le faire avec ton enfant serait anormal mais si tu as l’envie de savoir comment c’est, tu peux le faire avec une autre trav.
Son téléphone nous interrompt, c’est Michelle qui la cherche, “Je suis à la cafeteria avec ton amie Juani... Oui, elle m’a reconnue car elle dit qu’on se ressemble comme deux gouttes d’eau... Ok on t’attend”. Michelle arrive embrasse sa mère puis dépose un baiser sur mes lèvres, surprise Isa balbutie ;
-Vous êtes intimes
-Oui maman
-Pierre le sait ?
-Bien sûr, on est au XXI siècle, on l’a fait ensemble.
-Mon éducation est à refaire totalement répond Isa en riant.
-Il faut qu’on y aille maman, on a des tonnes de choses à faire, demain c’est le grand jour !
Je les laisse partir en disant “Isa ce soir on soupe ensemble, on continuera notre conversation, tu veux bien ? “Oui merci” dit-elle en s’éloignant. Je passe la journée à faire un peu de tourisme puis je prends un bon bain parfumé et relaxant avant de me préparer. J’entends l’eau couler dans la chambre voisine, je me mets à imaginer Isa nue dans sa baignoire et ça m’excite.
A 19h30 je frappe à sa porte, elle ouvre aussitôt radiante, je note qu’elle c’est habillée un peu plus sexy que le matin, décolleté plus profond et une jupe moulante et plus courte mettent en valeur ses rondeurs, des bas résilles á couture et dentelle noirs, des talons hauts galbant ses jambes la rendent très sensuelle.
-Tu es superbe lui dis-je.
-Toi aussi tu es très belle.
On marche jusqu’à un restaurant proche où j’ai réservé une table dans un coin au fond de la salle. En mangeant elle me raconte sa journée puis me dit ;
-Michelle t’adore, tu es son idole, elle n’a pas arrêté de me faire des compliments sur toi et je dois avouer que je la crois, je me sens très à l’aise avec toi, à moi aussi tu m’as envoutée dis-t-elle en rougissant.
-Moi aussi j’apprécie ta compagnie, tu es très sympathique et je dois reconnaitre que ta douceur et ta sensualité ne me laissent pas indifférente lui dis-je en caressant sa main.
Gênée elle regarde autour de nous.
-Détends toi, personne ne nous connait et au pire on nous prendra pour un couple de lesbiennes.
-C’est vrai, j’ai toujours du mal à me libérer de mes préjugés répond-t-elle en caressant à son tour ma main. Tu sais, cette après-midi Michelle a compris mon trouble, elle m’a dit “Telle que je connais à Juani je prierais que tu finiras dans son lit, tu en as envie ?” Je ne sais pas lui ai-je répondu, je crois que si mais ça me fait peur. “Lâche toi maman, tu n’as qu’une vie, vas au bout de tes rêves”.
-Tu es la seule personne qui peut décider si tu veux que tes rêves se fassent réalité lui dis-je avant de sortir du resto.
Sur le chemin du retour, je la prends par le bras et lui parle du mariage du lendemain. Au coin de la rue avant d’entrer à l’hôtel elle s’arrête, se tourne vers moi et pose un baiser sur mes lèvres en chuchotant “Oui j'ai envie de les faire réalité avec toi”.
On va directement à ma chambre, je la prends dans mes bras, elle est toute tremblante.
-Tu es sûre de toi ? Lui dis-je.
-Oui, mais sois douce et compréhensive, ça fait plus de 6 ans que je n’ai pas ait l’amour.
-N’ai pas peur détends toi lui dis-je en l’embrassant tendrement sur les lèvres, elle répond à mon baiser, ouvre la bouche et nos langues se mêlent en un baiser passionné, son corps se colle au mien, peu à peu elle finit de trembler, le baiser est fougueux et très long, je caresse lentement ses épaules, son dos, ses reins, sa croupe sans décoller nos lèvres, elle a passé ses bras autour de mon cou et m’étreint comme si elle craignait que je m’en aille. Je sens ses seins pressés contre ma poitrine et son cœur qui bat la chamade. Peu à peu elle relâche son étreinte et on reprend notre souffle.
Je passe ma main sur ses seins et entreprends de déboutonner son chemisier, quand il est ouvert je passe mes mains à l’intérieur, caresse sa poitrine à travers de son soutien-gorge de dentelle, monte mes mains au contact de sa peau dans le décolleté du soutif, sa peau est soyeuse, elle frémit au premier contact ma main droite passe deux doigts dans le bonnet pour caresser un de ses tétons, il est érigé et assez gros, la caresse la fait gémir. Je fais tomber son chemisier, dégrafe son soutien-gorge et la bascule sur le lit, ses seins nues sont un peu mous mais agréables à caresser avec leurs tétons dures pointant vers le ciel, je les suce et mordille délicatement “Que c’est bon” murmure-t-elle en cambrant son dos pour les offrir encore plus à mes lèvres. Elle passe une de ses cuisses entre les miennes frottant mon sexe sous ma robe, il était déjà en train de durcir dans ma culotte, la caresse de sa cuisse me fait bander à top.
Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle commence à caresser mon dos et baisser le zip de ma robe, fait glisser les bretelles pour dégager mes épaules et la baisse, je l’aide à quitter ma robe, je reste avec seulement mon ensemble culotte soutien-gorge dans lequel j’ai mis juste un peu de mousse de rembourrage, mon porte-jarretelle taille haute, mes bas blancs et mes sandales à talon une grosse bosse tends la dentelle de ma culotte. Elle me regarde en disant “que tu es belle dans cette lingerie sexy”. Je dégrafe sa jupe et la fais glisser, elle porte une culotte de dentelle à taille haute échancrée jusqu’aux hanches qui met en valeur son mont de venus, le maillot bien épilé, je devine un petit rectangle de poils sous la dentelle type “tiquet de métro”, ses bas sont auto fixant avec de la dentelle en haut, son corps épanouit est encore très désirable.
-Toi aussi tu es très belle et désirable dans ces dessous raffinés lui dis-je.
-Tu dis ça par gentillesse, moi je me sens moche et vieille.
-Non, je te promets que c’est vrai, je te trouve très sensuelle. Quel âge as-tu si je peux me permettre l’indiscrétion ?
-Je vais avoir 62 ans
-Et tu te trouves vieille à 62 ans ? On a le même âge et je ne me sens pas vieille du tout.
Je reprends un de ses tétons entre mes lèvres, caresse son autre sein puis baisse ma main sur son ventre puis sur sa culotte, elle frémit de nouveau et commence à me caresser aussi, elle défait mon soutif, caresse mes tout petits seins puis descend sa main jusqu’à mon sexe pendant que je caresse le sien, je sens la dentelle légèrement mouillée, je fais aller mes doigts lentement de son entrecuisse à son mont de venus, elle aventure sa main dans ma culotte et sort ma queue en la masturbant “Quelle est douce, ça faisait si longtemps que je n’en avait pas caressée une” souffle-t-elle.
Au bout d’un moment je me dégage de sa caresse, je ne veux pas m’exciter trop vite. Je prends l’élastique de sa culotte et la baisse lentement, elle lève les jambes pour m’aider à la lui quitter. Sa vulve charnue est pratiquement fermée, les lèvres sont petites, je descends ma bouche sur son ventre, ma langue lèche son pubis, joue avec les poils soigneusement taillés, contourne les lèvres, remonte puis recommence, les tressaillements de son bassin montre qu'elle éprouve du plaisir, le désir devient trop fort, elle ouvre ses cuisses et lance ses jambes sur mes épaules, sa chatte s’ouvre et j‘y plonge ma langue, elle est toute mouillée, je me délecte de ses sucs lentement allant du fond de son vagin jusqu’à son clitoris, il et petit, j’ai eu un peu de difficulté à le trouver tellement qu’il était rentré, peu à peu il durcit et sort de son écrin, elle glousse de plaisir et bouge son bassin pour venir au contact de ma langue, j’insiste longuement, je sais que je vais la faire jouir sous ma langue. Je ne me trompe pas au bout d’un moment elle pousse un petit cri, se convulse et jouis, un nectar chaud envahit sa vulve, je le déguste jusqu’à la dernière goutte, je suce encore un peu son clitoris qui est toujours gonflé et hors de son écrin. Elle prend ma tête entre ses mains pour me faire remonter en disant ;
-Arrête un peu, tu vas me faire ****** de plaisir, tu es une amante merveilleuse. Michelle me l’avait dit cet aprème mais je pensais qu’elle exagérait pour m’inciter à coucher avec toi”. Je suis comblée
-Avec une femme si douce et sensuelle c’est si facile d'être une bonne amante, ton sexe est si bon que je passerais des jours entiers à le lécher et à te faire l’amour.
-Moi aussi j’ai envie que ça dure toute la nuit.
Elle reprend ma queue dans sa main, la caresse délicatement, “quelle est douce et belle, elle bien plus grande que celle de mon pauvre mari” puis elle approche sa bouche, la lèche sur toute la longueur, sa main tirant sur mon prépuce pour décalotter tout mon gland, le prends entre ses lèvres et joue avec pendant que sa main masturbe toujours ma hampe raide, la caresse est délicieuse. Au bout d’un moment je n’en peux plus, “arrête, c’est trop bon tu vas me faire jouir” elle grogne sans sortir mon gland de sa bouche, je me raidis, je sens que ça vient, elle aussi car aussitôt el enfonce ma bite dans sa bouche en pompant avidement, j’explose de plaisir, trois, quatre, cinq saccades giclent dans sa bouche, elle en avale une bonne partie puis me regarde en souriant, du sperme coule à la commissure de ses lèvres.
-Tu as aimé ? Me demande-t-elle.
-Non, je n’ai pas aimé, j’ai adoré, et toi ?
-Moi aussi j’ai adoré, ton sexe est si doux et ton sperme est délicieux.
Je l’attire à moi et l’embrasse léchant ce qui coule et nos langues partageant ce qui reste dans sa bouche. On s’endort enlacés et comblés. Au petit matin Isa me réveille en me caressant.
-Fais-moi l’amour j’ai envie de te sentir en moi me dit-elle.
-Fais-moi le toi lui dis-je pendant que ma bite devient raide dans sa main.
Elle me suce un peu laissant beaucoup de salive sur ma queue puis vient sur moi à califourchon, je la laisse prendre l’initiative, elle guide mon sexe et le fait entrer doucement dans sa vulve qui est un peu sèche mais qui s’humidifie très vite une fois ma queue bien dedans. Elle commence sa chevauchée tout doucement, ses seins lourds s’animent suivant le mouvement de son bassin. Elle est belle offrant sa nudité à mon regard, je caresse ses nichons mes doigts jouant avec ses tétons, ça l’excite, elle augmente le rythme de sa chevauchée, passe au petit trot puis au trot gémissant de plaisir “Que c’est bon, j’aime te sentir en moi”. Elle accélère encore, ses gémissements se font râles, le galop devient endiablé, ses râles sont maintenant des cris étouffés “Oh oui, oh oui, que c’est bon, oh oui, viens, viens maintenant jouis avec moi” dit-elle arrivant à l’orgasme, je me laisse aller et jouis avec elle. Elle s’effondre sur moi heureuse.
D’un coup elle saute du lit, “J’ai RDV chez l’esthéticienne dans une heure et on doit être à 14h à la mairie” dit-elle en filant à la salle de bain.... (Suite dans un prochain billet)
1 year ago
