Le flic et son fantasme.

-Bonjour madame control d’alcoolémie, veuillez souffler dans l’éthylomètre SVP me dit le policier.

-Bonjour monsieur l’agent.

-plus fort, soufflez plus fort... comme ça.

-Excusez-moi monsieur l’agent, je ne suis pas habituée à sucer ce genre d’appareil en plastique lui dis-je avec un sourire enjôleur.

-Le control est positif 0.30mg/l, d’où venez vous, avez-vous bu ?

-C’est pas beaucoup monsieur l’agent, vous n’allez pas m’arrêter pour ça. Je viens de chez des amis nous avons bu juste un peu de champagne pour ajouter un peu de sensualité à ce bon moment, dis-je en bougeant mes jambes pour découvrir un peu plus mes cuisses que ma mini-jupette d’étudiante laisse bien visibles et toujours avec mon plus beau sourire.

-Vous avez les papiers du véhicule et permis de conduire ? Demande-t-il en lorgnant sur mes cuisses.

-Bien sûr monsieur l’agent dis-je en m’allongeant plus que nécessaire pour prendre les documents dans la boite à gant découvrant complètement ma petite culotte.

Je lui tends les documents en glissant entre eux un bout de papier, il quitte son regard de mes cuisses pour regarder mon permis de conduire.

-Ah vous êtes une travestie dit-il d’une voix plus aimable.

-Oui monsieur l’agent, reconnaissez que je suis plus belle en femme que sur la photo, non ? Dis-je en clignant de l’œil.

-heu oui, balbutie-t-il en rougissant gêné.

Il regarde la carte grise et le papier que j’ai glissé avec.

-Il y a un papier avec un numéro de téléphone dans vos documents que vous avez dû égarer.

-Non, c’est pour vous au cas où vous ayez besoin de plus de renseignement, ce sera un plaisir pouvoir rendre service à un aussi sympathique policier, lui dis-je en fixant mes yeux sur sa braguette.

-Ça va pour cette fois, vous pouvez circuler me dit-il en me rendant la documentation sans le petit papier avec un beau sourire.

-Merci monsieur l’agent, je savais que j’avais affaire à un policier aussi gentil que bel homme dis-je en redémarrant et lui lançant un clin d’œil.

Je rentre chez moi contente de moi, j’ai réussi à éviter une amende en faisant du charme au flic, l’euphorie du champagne m’a aidé à oser me montrer un peu coquine. Je pense même l’avoir fait bander avec ma jupette relevée laissant voir ma petite culotte de dentelle bien gonflée. Je prends une bonne douche et lave mes vêtements et dessous souillés par l’urine.

Le lendemain je suis en train de repasser quand le téléphone sonne.

-Bonjour, je suis Miguel le policier du control d’hier, vous vous souvenez de moi ?

-Bien sûr comment vais-je oublier un agent si charmant, il y a un problème ?

-Non, mon appel n’est pas officiel, c’est uniquement ma curiosité car vous m‘avez intrigué, votre tenue d’étudiante ne cadre pas avec heu... Je veux dire que nous ne sommes pas en époque du carnaval ni de la Gay Pride et heu...

-Vous voulez dire que ce n’est plus de mon âge porter ce genre de tenue.

-Heu... oui bien que vous étiez ravissante habillée comme ça, peut-être veniez-vous d’une fête déguisée ? bien que ça ne me regarde pas vous n’êtes pas obligée de me répondre.

-Je n’ai rien à vous cacher, je m’étais habillée comme ça pour un RDV avec un couple dont la femme est dominante, le rôle d’écolière me paraissait parfait pour cette rencontre.

-Je comprends, c’est vrai que vous étiez très sexy et excitante dans cette tenue, vous avez dû passer un bon moment.

-Vraiment, tu m’as trouvé excitante ? Dis-je en passant au tutoiement.

-Oui, j’avoue que vous ne m’avez pas laissé indifférent.

-Je suis flattée, tu vas me faire rougir, je ne pensais pas pouvoir exciter un aussi bel homme que toi mon chou.

-Tu m’as tourmenté, j’ai rêvé de cette jolie étudiante délurée toute la nuit dit-il passant aussi au tutoiement.

-Tu es gay ?

-Non, je suis marié mais j’ai eu des attouchements avec une travestie une nuit de patrouille l’an dernier pendant la Gay Pride qui m’ont laissé une sensation d’inachevé.

-Si tu veux revoir à cette étudiante d’hier il n’en tient qu’à toi, je te dois bien ça pour m’avoir laissé partir sans prune.

-Je ne l’ai pas fait pour ça, tu ne me dois rien.

-Disons que ça m‘éviterait de conduire en état d’ébriété pour pouvoir te revoir car tu ne m‘as pas laissée indifférente non plus dis-je en riant.

-Si c’est pour éviter un désordre public, c’est mon devoir d’accepter répond-t-il en riant aussi. Je termine mon service à 16h où pourrait-on se rencontrer ?

-Viens chez-moi si tu veux, c’est le plus discret dis-je en lui donnant mon adresse.

-D’accord, à tout à l’heure.

Je coiffe ma perruque à couettes avec ces petits rubans rouges, me parfume et maquille un regard coquin et des lèvres très sensuelles, enfile un string rose et le soutif assorti, les bas blancs au-dessus du genou, la mini jupette plissée rouge et grise, la chemise blanche brodée de rouge très ouverte jusqu’au soutien-gorge, noue la cravate pied de poule assortie à la jupette et termine chaussant les escarpins noirs à talon. Le résultat me plait bien que mon âge ne soit pas celui d’une écolière je me trouve plutôt sexy et appétissante.

On sonne, mon cœur palpite, sera-t-il en uniforme ? J’ouvre la porte et le fais entrer rapidement, oui il est venu en uniforme, ça m’excite. Je me pends à son cou en me collant à lui, l’embrasse et dis ;

-Bonjour mon beau policier.

-Bonjour jolie collégienne répond-t-il en me faisant la bise effleurant la commissure de mes lèvres.

Je le fais assoir sur le canapé en lui offrant une bière qu’il accepte, je pose les bières sur la table et me laisse tomber à côté de lui faisant voler ma jupette qui laisse mes cuisses découverte jusqu’au fond de on string.

-Racontes-moi cette aventure avec une travestie dont tu m’as parlé.

-Tu sais comme c’est la gay Pride certains font la fête jusqu’à être complètement ivres, cette nuit l’a une travestie était bourrée et dérangait les clients d’une terrasse en tenant son sexe à la main. Quand nous sommes intervenus elle m‘a mis la main entre les cuisses en essayant d’ouvrir ma braguette disant “fais voir si tu l’as plus grande que moi”, ma collègue était morte de rire et me disait “T’es pas cap. fais lui voir” On l’immobilise et l’amène au fourgon, je la fais assoir sur la banquette arrière et quand je me penche pour lui attacher la ceinture elle jette ses jambes à mon cou et frotte son sexe dur contre mon visage, ma collègue riait toujours et me dit “Suces là pour voir si tu la dessoûle”.

-Et tu l’as fait ?

-Non, t’es folle comment j’allais faire ça en service et devant ma collègue mais souvent depuis ça me tourmente et je fantasme en pensant que j’aurais aimé essayer de le faire pour savoir la sensation que l’on a, le contact de son sexe sur mon visage est un souvenir agréable.

-c’est le moment d’essayer si tu veux le savoir, les fantasmes il faut les réaliser dis-je en sortant ma bite de mon string et me levant pour la frotter sur son visage.

Il la caresse, hésite un moment puis pose ses lèvres sur mon gland turgescent. Pendant ce temps j’ouvre sa braguette et caresse sa queue à travers son boxer, elle est déjà bien dure et doit être grande, ma caresse l’excite et il se met à me sucer délicieusement, j’en profite pour l’allonger sur le sofa pour être plus à l’aise et pouvoir baisser son pantalon et son slip. Je ne me trompais pas sa queue est un joli morceau d’au moins 20cms fine avec un gros gland bien décalotté, je rampe pour la prendre dans ma bouche en position 69 et la sucer avec gourmandise. Ça se voit qu’il avait envie de sucer depuis longtemps et qu’il a dû y penser beaucoup car il me suce très bien poussant de petits grognement de plaisir étouffés. Le jeu de mes lèvres et de ma langue sur sa queue ne tarde pas à le faire jouir, je savoure son délicieux nectar puis je me dégage en lui disant viens sur le lit on sera mieux. Il quitte ses chaussures, son pantalon et son boxer qui entravent ses jambes et me suit à la chambre, je le pousse sur le lit et lui roule un patin en me collant à lui, ma langue fouille sa bouche en s’enroulant avec la sienne en un baiser passionné. On reprend notre souffle et je lui demande ;

-Alors ça te plait, la sensation a été agréable ? Je crois que oui vu comme tu l’as fait.

-Oui, c’est même encore meilleur que je pensais et le faire avec toi dans cette tenue si excitante pendant que tu me suces aussi c’est un rêve qui devient réalité.

-Tu aimes comme je te suce, je le fais mieux que ta femme ?

-Oui, beaucoup mieux, ma femme n’est pas très portée sur le sexe.

-Si ta femme n’est pas portée là-dessus tu dois être en manque, un mec comme toi à ton âge a des besoins à satisfaire.

-Quand j’en ai trop envie, Je le fais parfois avec ma collègue de patrouille, on s’entend bien.

-Celle qui te disait de sucer la travestie bourrée ?

-Oui, elle est très chaude, j’aurais dû l'écouter.

Nos caresses pendant qu’on parle le font rebander et sa jolie bite pointe vers le plafond, je quitte mon string, monte à califourchon en relevant ma jupette et m’empale lentement sur sa queue, c’est bon de sentir son gros gland ouvrir mes sphincters et envahir mon canal anal, petit à petit les 20cms rentrent en moi, je sens ses couilles entrer en contact avec mes fesses je peux commencer le doux va et vient de ce délicieux gland dans mes entrailles. Pendant ma chevauchée il prend ma bite en main et me masturbe tendrement. Je le regarde en pensant à tout ce qui a passé depuis hier pour nous mener à ce moment si doux, je l’imagine dans le fourgon avec le sexe de sa détenue sur son visage, sans elle et le trouble qu’elle a installé en lui on ne serait certainement pas en train de baiser ensemble. Je me mets à fantasmer imaginant que je suis bourrée, qu’ils me détiennent avec sa collègue et qu’ils abusent de moi dans le fourgon. Je lui raconte mon fantasme et on rit comme des fous.

Le plaisir monte au rythme de l’accélération de ma chevauchée qui devient endiablée, il glousse à chaque pénétration de son gros gland, “C’est bon d’enculer une trav hein tu te régales” dis-je en serrant un peu les fesses et donnant quelques coups de reins puissants aussitôt je sens son sperme chaud inonder mon cul, il jouit encore plus puissamment que dans ma bouche, je continue ma chevauchée jusqu’au dernier spasme de sa bite pour ne pas en perdre une goutte. Je me relève, lèche son ventre et suce sa bite pour nettoyer le sperme qui coule de mon cul, il me regarde faire et dit ;

-Je vois que tu aimes le sperme, c’est bon ?

-J’adore, c’est délicieux si je pouvais je me nourrirais que de ça. Tu veux goûter le mien ?

-Je crois que j’aimerais essayer mais si je n’aime pas ne te vexes pas si je le recrache.

-Je suis sûre que tu ne le recracheras pas mais fais attention, c’est addictif autant après tu ne peux plus t’en passer.

Je m’allonge et relève ma jupette, il vient se caler entre mes cuisses, prend ma queue dans sa main et se met à la sucer, d’abord ses lèvres jouant juste autour de mon gland puis il la pompe avec gourmandise, c’est si bon de le voir prendre du plaisir à sucer depuis le temps qu’il en rêvait que j’y prends moi aussi encore plus de plaisir et me laisse aller, je sens mon sperme monter et l’avertis que je vais jouir, il n’arrête pas de pomper jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche, au début il garde le sperme dans sa bouche mais après 2 ou 3 saccades il en a avaler un peu et ça lui plait car il continue à pomper jusqu’à l’ultime goutte, un peu de sperme coule à la commissure de ses lèvres mais il a avalé tout le reste, je lèche ce qui coule et mets ma langue dans sa bouche et l’enroule autour de la sienne mais c’est déjà tout propre.

-Que c’est bon, je ne pensais pas que c’était si doux et crémeux.

-Je suis heureuse de t’avoir fait découvrir ce plaisir, moi qui ai toujours eu une peur bleue de la police je n’aurais jamais cru pouvoir un jour initier à un policier au plaisir de sucer une bite. Je suis contente d’avoir conduit éméchée sinon je n’aurais jamais osé te faire du gringue.

-Moi aussi je suis content de t’avoir connue et réalisé ce fantasme qui me tourmentait mais maintenant je dois m’en aller.

-On remet ça quand tu veux, tu as mon tel et tu sais où me trouver lui dis-je avant de nous séparer.