La chienne des bois (récit fictif)
(Petit fantasme perso que j'avais envie de vous partager)
Il était une fois une sale pouffiasse de chienne qui se retrouvait sans Maître, non qu’elle ne fût plus apte à servir, bien au contraire, mais parce que la vie était ainsi faite.
Cette liberté soudaine la perturbait un peu, mais en même temps, cela lui donnait l’occasion de prendre un peu de temps pour elle.
Se branler le clito comme une salope quand elle en avait envie, se fourrer le fion et la chatte avec ses godes quand bon lui semblait, écoutant et répondant ainsi aux besoins de son corps.
Malgré tout, elle admettait que cela ne valait pas un alpha en chair et en os avec une belle queue bien raide !
Ca lui manquait à cette pute de chiennasse de pouvoir sucer une belle queue, de se bifler sa gueule de merde avec, de lécher la rondelle de son mâle, de se faire prendre à sec comme une salope juste bonne à être enculer et servir de vide couilles, de se faire recouvrir sa tronche de pute et son corps de truie des fluides chauds de son maitre.
Mais elle allait bientôt être servie.
Aujourd’hui, elle avait vraiment passé une sale journée au boulot.
Collègues plus que lourds, problèmes de logistique, bref, c’est une chienne à deux doigts de mordre qui croisa son ancien maitre en rangeant son véhicule.
- Tu sembles bien contrariée dis moi… lança t il en fronçant les sourcils en voyant la tête constipée de son ancienne soumise.
- Tu ne crois pas si bien dire ! J’en ai plus que marre, je me casse me calmer dans les bois avant de rentrer chez moi. J’ai besoin de me ressourcer, de communier avec la nature, de faire un câlin aux arbres….
- Tu comptes y aller seule ? Tu vas où ? La coupa t il.
- Oui seule ! Certainement sur le chemin de l’ancienne voie gallo romaine pourquoi ?
- Non comme ça… Pour savoir…
Je le fixai avec mon regard suspicieux, ce qui le fit rire.
Lui souhaitant une bonne soirée, je partis vers les vestiaires afin de faire pipi et de me laver les mains. Je m’installai au volant, et partis en direction de la forêt.
Arrivée sur zone, pour une fois pas de voitures sur le parking, j’allais être vraiment seule à ma plus grande joie, car je n’avais pas du tout envie de sociabiliser.
Poussant un soupir de satisfaction, je m’engageai alors sur les sentiers au milieu des chênes, des hêtres et autres beautés des bois.
J’humai avec délice cette odeur d’humus qui émanait du sol. Peu à peu, je sentais les tensions de la journée abandonner mes épaules.
Au fur et à mesure de mes déambulations, j’étais arrivée au pied du magnifique hêtre plus de 20m de haut et qui avait comme particularité d’avoir un tronc qui se divisait en 3 parties.
J’étais là, calée à faire un câlin au tronc et perdue dans mes pensées quand soudain, j’entendis des branches craquer.
Je me mis à regarder vers le chemin mais ne vis rien.
Haussant les épaules, je lâchai le hêtre à contre cœur et décidai de revenir dans l’allée, pas le moment de tomber nez à nez avec une laie et ses petits…
Je fis quelques mètres quand le bruit se refit entendre.
Je me retournai d’un coup pour tomber le nez contre le torse de mon ancien maitre.
- Mais bon dieu tu m’as foutu la trouille ! Hurlai –je
Il ricana et m’attrapant par le bras, me tira à sa suite dans les fourrés.
Nous arrivâmes près d’un énorme tronc couché au sol.
Comme j’allais protester, il me mit la main sur la bouche et me susurra :
- Tu te tais ou tu sais que je vais me fâcher.
Une flamme incontrôlable envahit mes entrailles. J’avais tellement envie de lui appartenir à nouveau depuis l’arrêt de notre relation que juste ces quelques mots avaient le don de rallumer les braises au fond de mon vagin.
Il me força à m’agenouiller, sortit sa belle queue de son pantalon et m’attrapant la tête, me la colla dans ma gueule de chiennasse de suceuse.
Je ne me fis pas prier pour entamer un nettoyage de mon os comme il se doit ! Ca m’avait tellement manqué de pouvoir lui sucer sa beauté phallique.
Satisfait de la dureté que ma langue de pute lui avait donné, il se retira, m’allongea sur le sol et vient s’assoir sur ma tronche. Je savais ce qu’il désirait et je m’appliquai alors à lui lustrer la rondelle comme une bonne vraie lèche cul de merde sait le faire.
En même temps que je lui nettoyais l’anus, il se frottait la bite contre mes mamelles de vache à traire en alternant avec des claques sur mes seins et sur ma chatte.
Chaque contact sur mon clitoris m’électrisait et faisait me tortiller de plaisir sous son corps.
N’y tenant plus, il se releva, me mis en travers du tronc, le cul en l’air prête à être saillie comme une sale pute de chienne à enculer.
- Ah mais didon toi ! Tu n’as pas fait que pisser on dirait avant de partir du taf… me lança t il en découvrant que j’avais un rosebud dans le cul.
- Non en effet, j’avais quelques tensions sexuelles à évacuer et comme je le trainais dans mon casier avec la poire de lavement….
Je me suis dit que ca pourrait être sympa de se balader le cul farci en forêt !
- Et bien…. Voyons si cela me convient…
Il m’assena quelques bonnes claques qui me tirèrent quelques cris et d’un geste rapide il m’ôta le plug du cul et sans ménagement pris sa place.
Bon sang que c’était bon de le sentir à nouveau me labourer le cul ainsi ! L’écorce rugueuse de l’arbre me meurtrissait la peau des seins, du ventre mais je m’en foutais royalement tant c’était si bon de faire ainsi ramoner le derrière.
D’un coup il se retira et me pissa dessus, sur les cheveux, la tronche, le dos, le cul. Sentir ce jus doré couler sur moi accentua mon envie d’être salope à souhait.
Il me redressa, m’attrapa par la gorge en me crachant à la gueule et me fit :
- Toujours apte à nettoyer la bite de ton ancien maitre quand elle pue la pisse grognasse ?
- Plus que jamais !
Et il m’enfourna sa queue dans la bouche. Je me délectai ainsi de sa verge odorante et juteuse.
N’y tenant plus, il me rebascula sur le tronc et m’encula à nouveau comme un démon, me pétrissant les seins de ses mains puissantes.
Je couinais de plaisir à me sentir ainsi sauvagement baisé quand soudain il se retira de mon cul pour me déboiter la chatte ! Ahh seigneur ! C’était tellement rare de sa part que je sentis monter une vague de chaleur immédiate tellement j’étais heureuse de recevoir sa queue dans mon vagin !
Il me pilonna ainsi encore un petit moment, alternant entre mon cul serré de grosse salope de chienne et ma chatte de truie. Il S’enfonça d’un coup au plus profond qu’il pu dans mes fesses ce qui me fit hurler de plaisir et se sentant venir, il se retira et m’arrosa de sa divine semence en grognant de satisfaction.
Trop heureuse d’avoir l’odeur de l’alpha sur moi, je m’en tartinais joyeusement sur toute la gueule, mes mamelles en me léchant les mains avec avidité pour pouvoir aussi en ingérer un peu.
Ce que voyant, il m’autorisa à lui nettoyer juste le bout du gland pour récupérer la fin du nectar !
Mmmm divin !
Nous nous rhabillâmes, et reprîmes le chemin vers les voitures….Moi priant pour ne croiser personne…
Arrivés aux voitures, il s’approcha et me huma…
- Mmmm…. Tu sens vraiment bon la sale chienne des bois, la sale pute qui vient de se rouler dans les feuilles tout en servant de serpillère à son maitre.
M’assenant furtivement une bonne claque au cul en rigolant, il me souhaita une bonne soirée.
- Grâce à toi au moins, je suis plus détendue qu’en arrivant il y a 1h.
Merci pour ce moment.
- Allez va te laver pouffiasse tu pues ! Et tâche de raser les murs pas croiser tes voisins. Vu la gueule de pute que tu te tires, ca pourrait les choquer !
Je montai dans ma voiture en lui tirant la langue, ce qui m’a valu un regard noir. Je baissai ma fenêtre et lui lança joyeusement « Bonne soirée « Maitre » ! » en faisant les guillemets avec mes doigts en disant maitre.
Il me fusilla du regard avant de me lancer à son tour « Bonne soirée sale grosse pute de chiennasse de merde ! A demain ».
Et chacun parti de son côté pour rentrer chez lui.
Il était une fois une sale pouffiasse de chienne qui se retrouvait sans Maître, non qu’elle ne fût plus apte à servir, bien au contraire, mais parce que la vie était ainsi faite.
Cette liberté soudaine la perturbait un peu, mais en même temps, cela lui donnait l’occasion de prendre un peu de temps pour elle.
Se branler le clito comme une salope quand elle en avait envie, se fourrer le fion et la chatte avec ses godes quand bon lui semblait, écoutant et répondant ainsi aux besoins de son corps.
Malgré tout, elle admettait que cela ne valait pas un alpha en chair et en os avec une belle queue bien raide !
Ca lui manquait à cette pute de chiennasse de pouvoir sucer une belle queue, de se bifler sa gueule de merde avec, de lécher la rondelle de son mâle, de se faire prendre à sec comme une salope juste bonne à être enculer et servir de vide couilles, de se faire recouvrir sa tronche de pute et son corps de truie des fluides chauds de son maitre.
Mais elle allait bientôt être servie.
Aujourd’hui, elle avait vraiment passé une sale journée au boulot.
Collègues plus que lourds, problèmes de logistique, bref, c’est une chienne à deux doigts de mordre qui croisa son ancien maitre en rangeant son véhicule.
- Tu sembles bien contrariée dis moi… lança t il en fronçant les sourcils en voyant la tête constipée de son ancienne soumise.
- Tu ne crois pas si bien dire ! J’en ai plus que marre, je me casse me calmer dans les bois avant de rentrer chez moi. J’ai besoin de me ressourcer, de communier avec la nature, de faire un câlin aux arbres….
- Tu comptes y aller seule ? Tu vas où ? La coupa t il.
- Oui seule ! Certainement sur le chemin de l’ancienne voie gallo romaine pourquoi ?
- Non comme ça… Pour savoir…
Je le fixai avec mon regard suspicieux, ce qui le fit rire.
Lui souhaitant une bonne soirée, je partis vers les vestiaires afin de faire pipi et de me laver les mains. Je m’installai au volant, et partis en direction de la forêt.
Arrivée sur zone, pour une fois pas de voitures sur le parking, j’allais être vraiment seule à ma plus grande joie, car je n’avais pas du tout envie de sociabiliser.
Poussant un soupir de satisfaction, je m’engageai alors sur les sentiers au milieu des chênes, des hêtres et autres beautés des bois.
J’humai avec délice cette odeur d’humus qui émanait du sol. Peu à peu, je sentais les tensions de la journée abandonner mes épaules.
Au fur et à mesure de mes déambulations, j’étais arrivée au pied du magnifique hêtre plus de 20m de haut et qui avait comme particularité d’avoir un tronc qui se divisait en 3 parties.
J’étais là, calée à faire un câlin au tronc et perdue dans mes pensées quand soudain, j’entendis des branches craquer.
Je me mis à regarder vers le chemin mais ne vis rien.
Haussant les épaules, je lâchai le hêtre à contre cœur et décidai de revenir dans l’allée, pas le moment de tomber nez à nez avec une laie et ses petits…
Je fis quelques mètres quand le bruit se refit entendre.
Je me retournai d’un coup pour tomber le nez contre le torse de mon ancien maitre.
- Mais bon dieu tu m’as foutu la trouille ! Hurlai –je
Il ricana et m’attrapant par le bras, me tira à sa suite dans les fourrés.
Nous arrivâmes près d’un énorme tronc couché au sol.
Comme j’allais protester, il me mit la main sur la bouche et me susurra :
- Tu te tais ou tu sais que je vais me fâcher.
Une flamme incontrôlable envahit mes entrailles. J’avais tellement envie de lui appartenir à nouveau depuis l’arrêt de notre relation que juste ces quelques mots avaient le don de rallumer les braises au fond de mon vagin.
Il me força à m’agenouiller, sortit sa belle queue de son pantalon et m’attrapant la tête, me la colla dans ma gueule de chiennasse de suceuse.
Je ne me fis pas prier pour entamer un nettoyage de mon os comme il se doit ! Ca m’avait tellement manqué de pouvoir lui sucer sa beauté phallique.
Satisfait de la dureté que ma langue de pute lui avait donné, il se retira, m’allongea sur le sol et vient s’assoir sur ma tronche. Je savais ce qu’il désirait et je m’appliquai alors à lui lustrer la rondelle comme une bonne vraie lèche cul de merde sait le faire.
En même temps que je lui nettoyais l’anus, il se frottait la bite contre mes mamelles de vache à traire en alternant avec des claques sur mes seins et sur ma chatte.
Chaque contact sur mon clitoris m’électrisait et faisait me tortiller de plaisir sous son corps.
N’y tenant plus, il se releva, me mis en travers du tronc, le cul en l’air prête à être saillie comme une sale pute de chienne à enculer.
- Ah mais didon toi ! Tu n’as pas fait que pisser on dirait avant de partir du taf… me lança t il en découvrant que j’avais un rosebud dans le cul.
- Non en effet, j’avais quelques tensions sexuelles à évacuer et comme je le trainais dans mon casier avec la poire de lavement….
Je me suis dit que ca pourrait être sympa de se balader le cul farci en forêt !
- Et bien…. Voyons si cela me convient…
Il m’assena quelques bonnes claques qui me tirèrent quelques cris et d’un geste rapide il m’ôta le plug du cul et sans ménagement pris sa place.
Bon sang que c’était bon de le sentir à nouveau me labourer le cul ainsi ! L’écorce rugueuse de l’arbre me meurtrissait la peau des seins, du ventre mais je m’en foutais royalement tant c’était si bon de faire ainsi ramoner le derrière.
D’un coup il se retira et me pissa dessus, sur les cheveux, la tronche, le dos, le cul. Sentir ce jus doré couler sur moi accentua mon envie d’être salope à souhait.
Il me redressa, m’attrapa par la gorge en me crachant à la gueule et me fit :
- Toujours apte à nettoyer la bite de ton ancien maitre quand elle pue la pisse grognasse ?
- Plus que jamais !
Et il m’enfourna sa queue dans la bouche. Je me délectai ainsi de sa verge odorante et juteuse.
N’y tenant plus, il me rebascula sur le tronc et m’encula à nouveau comme un démon, me pétrissant les seins de ses mains puissantes.
Je couinais de plaisir à me sentir ainsi sauvagement baisé quand soudain il se retira de mon cul pour me déboiter la chatte ! Ahh seigneur ! C’était tellement rare de sa part que je sentis monter une vague de chaleur immédiate tellement j’étais heureuse de recevoir sa queue dans mon vagin !
Il me pilonna ainsi encore un petit moment, alternant entre mon cul serré de grosse salope de chienne et ma chatte de truie. Il S’enfonça d’un coup au plus profond qu’il pu dans mes fesses ce qui me fit hurler de plaisir et se sentant venir, il se retira et m’arrosa de sa divine semence en grognant de satisfaction.
Trop heureuse d’avoir l’odeur de l’alpha sur moi, je m’en tartinais joyeusement sur toute la gueule, mes mamelles en me léchant les mains avec avidité pour pouvoir aussi en ingérer un peu.
Ce que voyant, il m’autorisa à lui nettoyer juste le bout du gland pour récupérer la fin du nectar !
Mmmm divin !
Nous nous rhabillâmes, et reprîmes le chemin vers les voitures….Moi priant pour ne croiser personne…
Arrivés aux voitures, il s’approcha et me huma…
- Mmmm…. Tu sens vraiment bon la sale chienne des bois, la sale pute qui vient de se rouler dans les feuilles tout en servant de serpillère à son maitre.
M’assenant furtivement une bonne claque au cul en rigolant, il me souhaita une bonne soirée.
- Grâce à toi au moins, je suis plus détendue qu’en arrivant il y a 1h.
Merci pour ce moment.
- Allez va te laver pouffiasse tu pues ! Et tâche de raser les murs pas croiser tes voisins. Vu la gueule de pute que tu te tires, ca pourrait les choquer !
Je montai dans ma voiture en lui tirant la langue, ce qui m’a valu un regard noir. Je baissai ma fenêtre et lui lança joyeusement « Bonne soirée « Maitre » ! » en faisant les guillemets avec mes doigts en disant maitre.
Il me fusilla du regard avant de me lancer à son tour « Bonne soirée sale grosse pute de chiennasse de merde ! A demain ».
Et chacun parti de son côté pour rentrer chez lui.
1 year ago