Qu'est ce qu'une pute anale ?
Qu’est ce qu’une pute anale ?
Il y a quelques temps, je vous ai posé cette question, voir un peu ce qu’il en ressortait à vos yeux messieurs. Ce fut intéressant à lire. Merci de votre contribution.
Suite à cela, je vais à mon tour vous proposez mon avis sur le sujet, en essayant de développer un peu. J’aborderai le thème de différentes façons, signification, utilisation. Comment peut on décrire une pute anale en soit, car je pense que plusieurs facettes de femmes se cachent sous cette appellation.
Prenons le terme pute anale dans son sens le plus strict, à savoir, une pute est, depuis la nuit des temps, une femme se faisant rémunérer contre des services sexuels, si l’on ajoute anale, on considère donc que celle-ci se fait payer en offrant sa rondelle à tous.
De nos jours, « pute » est employé comme une insulte généralement pour désigner une femme qui passe son temps à se faire baiser comme la pire des trainées ou tout simplement dans le but de rabaisser.
Le terme de salope anale serait donc alors plus approprié dans notre étude de cas.
Il peut s’agir, d’une femme qui ne jure uniquement par les rapports anaux, seul moyen pour elle d’obtenir un orgasme. Elle ne se fera prendre que de cette façon, et aspirera à transformer son anus en cratère de volcan, avec un ou plusieurs partenaires, ou à l’aide d’objets contendants de plus en plus gros et longs. On pourra la requalifier de nympho sodomite étant donné qu’elle aura tendance à oublier qu’elle a aussi une chatte à nourrir.
Dans la même idée, on peut considérer aussi que « salope anale » désigne une femme qui s’offre d’elle-même (sans notion de Maître qui la propose à des troupeaux d’hommes en rut) telle une pute mais sans histoire d’argent, dans des clubs, des caves, des aires de repos de routiers, juste pour le plaisir de se faire déboiter le cul à la chaîne par des dizaines d’hommes en une seule journée ou nuit, elle aussi pourra être classer dans la catégorie des nymphos.
Il y a la femme qui aime varier les plaisirs et qui n’a aucuns soucis sur le fait que de temps en temps, ou même à chaque partie fine, Monsieur passe du côté obscur de la force. Elle acceptera donc de se faire prendre l’anus sans objections. Ceci se fera dans le respect et sans que Monsieur passe en forçant comme un bourrin, un peu de lubrifiant pouvant aider. Elle découvrira alors que ce sentiment de se faire prendre ainsi donne des frissons et décuple l’orgasme, en stimulation bien sur du clitoris, et/ou du vagin (avec un partenaire supplémentaire, si le couple est ouvert à cela, ou avec un jouet), il ne faut pas oublier de donner du plaisir à chaque centimètre carré de ces zones. Le but de ce partage fusionnel avec son partenaire, sera de, au possible, se donner mutuellement des orgasmes de dingue.
Nous pouvons aussi considérer également que le terme « salope anale » soit employé pour désigner une femme qui, dans le cadre de jeux de rôles sexuels, est soumise à un Maître.
Dans ce cas de domination, la femme devra entrainer alors son petit trou à prendre une queue à tout moment et sans préparation. Elle devra accepter que son Maître dispose de son anus quand bon lui semble. Elle découvrira au fur et à mesure du temps que son anus sera « conditionné » à prendre la bite de son Maître, à sec, sans préparation. A sentir ce moment où le gland passe en force et que la hampe s’empale au plus profond d’elle d’un coup. Bien sûr, ce traitement brutal lui fera quelque peu couiner des « aïe », surtout si elle a un vrai anus serré et non une fosse abyssale capable d’avaler un sous marin russe… Mais reconnaissons le, ce moment douloureux déclenche une telle vague de sentiment d’abandon et de jouissance, que la suite de la partie n’est que pur plaisir surtout quand le Maître est bien brutal et sauvage. Ce mode de relation sexuelle relativement dur, ne pourra se faire que s’il y a une extrême confiance et un profond respect entre les partenaires. Car il s’agit d’un abandon pur. Dans ce cas là, je dirai que la soumise devient une salope anale en découvrant tout ce que ce type de relation lui apporte au niveau de son propre plaisir, et au-delà du simple plaisir basique de toute soumise qui est de satisfaire son Maître au dépend du sien.
Voila donc mon propre avis sur le sujet, cela n’engage que moi bien sûr.
Ce qui rejoint certaines de vos réponses sur l’idée que l’on peut se faire sur une « pute/salope/soumise anale » appelez la comme vous le désirez, messieurs.
Pour ceux qui veulent savoir où je me situe, je suis un combo entre la femme qui varie ses plaisirs et la soumise qui offre son cul à son Maître, je suis les deux en soit mais toujours dans un climat de respect et de confiance.
Il y a quelques temps, je vous ai posé cette question, voir un peu ce qu’il en ressortait à vos yeux messieurs. Ce fut intéressant à lire. Merci de votre contribution.
Suite à cela, je vais à mon tour vous proposez mon avis sur le sujet, en essayant de développer un peu. J’aborderai le thème de différentes façons, signification, utilisation. Comment peut on décrire une pute anale en soit, car je pense que plusieurs facettes de femmes se cachent sous cette appellation.
Prenons le terme pute anale dans son sens le plus strict, à savoir, une pute est, depuis la nuit des temps, une femme se faisant rémunérer contre des services sexuels, si l’on ajoute anale, on considère donc que celle-ci se fait payer en offrant sa rondelle à tous.
De nos jours, « pute » est employé comme une insulte généralement pour désigner une femme qui passe son temps à se faire baiser comme la pire des trainées ou tout simplement dans le but de rabaisser.
Le terme de salope anale serait donc alors plus approprié dans notre étude de cas.
Il peut s’agir, d’une femme qui ne jure uniquement par les rapports anaux, seul moyen pour elle d’obtenir un orgasme. Elle ne se fera prendre que de cette façon, et aspirera à transformer son anus en cratère de volcan, avec un ou plusieurs partenaires, ou à l’aide d’objets contendants de plus en plus gros et longs. On pourra la requalifier de nympho sodomite étant donné qu’elle aura tendance à oublier qu’elle a aussi une chatte à nourrir.
Dans la même idée, on peut considérer aussi que « salope anale » désigne une femme qui s’offre d’elle-même (sans notion de Maître qui la propose à des troupeaux d’hommes en rut) telle une pute mais sans histoire d’argent, dans des clubs, des caves, des aires de repos de routiers, juste pour le plaisir de se faire déboiter le cul à la chaîne par des dizaines d’hommes en une seule journée ou nuit, elle aussi pourra être classer dans la catégorie des nymphos.
Il y a la femme qui aime varier les plaisirs et qui n’a aucuns soucis sur le fait que de temps en temps, ou même à chaque partie fine, Monsieur passe du côté obscur de la force. Elle acceptera donc de se faire prendre l’anus sans objections. Ceci se fera dans le respect et sans que Monsieur passe en forçant comme un bourrin, un peu de lubrifiant pouvant aider. Elle découvrira alors que ce sentiment de se faire prendre ainsi donne des frissons et décuple l’orgasme, en stimulation bien sur du clitoris, et/ou du vagin (avec un partenaire supplémentaire, si le couple est ouvert à cela, ou avec un jouet), il ne faut pas oublier de donner du plaisir à chaque centimètre carré de ces zones. Le but de ce partage fusionnel avec son partenaire, sera de, au possible, se donner mutuellement des orgasmes de dingue.
Nous pouvons aussi considérer également que le terme « salope anale » soit employé pour désigner une femme qui, dans le cadre de jeux de rôles sexuels, est soumise à un Maître.
Dans ce cas de domination, la femme devra entrainer alors son petit trou à prendre une queue à tout moment et sans préparation. Elle devra accepter que son Maître dispose de son anus quand bon lui semble. Elle découvrira au fur et à mesure du temps que son anus sera « conditionné » à prendre la bite de son Maître, à sec, sans préparation. A sentir ce moment où le gland passe en force et que la hampe s’empale au plus profond d’elle d’un coup. Bien sûr, ce traitement brutal lui fera quelque peu couiner des « aïe », surtout si elle a un vrai anus serré et non une fosse abyssale capable d’avaler un sous marin russe… Mais reconnaissons le, ce moment douloureux déclenche une telle vague de sentiment d’abandon et de jouissance, que la suite de la partie n’est que pur plaisir surtout quand le Maître est bien brutal et sauvage. Ce mode de relation sexuelle relativement dur, ne pourra se faire que s’il y a une extrême confiance et un profond respect entre les partenaires. Car il s’agit d’un abandon pur. Dans ce cas là, je dirai que la soumise devient une salope anale en découvrant tout ce que ce type de relation lui apporte au niveau de son propre plaisir, et au-delà du simple plaisir basique de toute soumise qui est de satisfaire son Maître au dépend du sien.
Voila donc mon propre avis sur le sujet, cela n’engage que moi bien sûr.
Ce qui rejoint certaines de vos réponses sur l’idée que l’on peut se faire sur une « pute/salope/soumise anale » appelez la comme vous le désirez, messieurs.
Pour ceux qui veulent savoir où je me situe, je suis un combo entre la femme qui varie ses plaisirs et la soumise qui offre son cul à son Maître, je suis les deux en soit mais toujours dans un climat de respect et de confiance.
9 months ago