Ma Boss
MA BOSS
Depuis 2 mois , je travaillai dans une petite PME . Le bureau dans lequel je me trouvai était déporté par rapport au site de production.
J'étais avec une collègue secrétaire, dans le même bureau, et dans le bureau d’à côté celui de notre boss.
Après quelques emplois, qui, s’ils avaient été formateurs, n’avaient pas vraiment été intéressants, j’avais finalement trouvé cet emploi. Mon salaire était plus que correct, je m'entendais bien avec Carole ma collègue de bureau et la boss était plutôt sympa. Et ce qui ne gâtait rien, ces deux femmes étaient absolument à tomber.
J’étais plongé dans mon travail, quand la chef entrouvrit la porte et me fit sursauter.
-Mon petit Gérald, pourriez-vous m’apporter le dossier Météor s’il vous plaît ?
-Tout de suite Madame. Ca tombait à pic, car je venais juste de mettre le dossier à jour.
Muni du dossier j’entrai dans le bureau.
-Voilà Madame, le dossier est au complet.
-Parfait, vous contacterez cette société et leur proposerez un RDV en fin de semaine si cela leur convient.
Malgré moi, tout en écoutant ma chef je n’avais pas pu m’empêcher d’admirer sa poitrine . Il faut dire que ses formes généreuses débordaient largement de son chemisier.
-Eh bien mon petit Gérald, on s’égare, on mate sa cheffe.
-Désolé Madame, en même temps le rouge de la honte empourpra mon visage..
-N’ayez pas peur, il fait si chaud aujourd’hui que je n’ai pas pu m’empêcher de me dégrafer un peu. Et si vous approchiez un peu du bureau ?
Obéissant je me rapprochai.
-Alors vous voyez mieux d’ici ?
J’étais comme statufié.
-Ne soyez pas timide.
Tout en me parlant elle avait dégrafé deux autres boutons, m’offrant une vue imprenable sur ses seins superbes.
-Alors ils vous plaisent ?
J’étais incapable de de m’exprimer.
-Vous allez me vexer si vous ne me répondez pas, mes seins ne vous plaisent pas ?
Oh si..Ma…ame balbutai-je…ils …sont …magnifiques
Je n'arrivai pas à détacher mon regard, cette femme magnifique, ma patronne qui plus est , me montrait une bonne partie de sa poitrine, en totale impudeur.
-Tu veux les toucher ?
J’étais en plein rêve, à moi le jeune puceau, on me demandait de les toucher. Trop timide pour aller vers les filles, je m’étais jusqu’alors masturbé devant des revues pornos, mais n'avait jamais osé aborder la moindre femme.
-Alors tu les touches ?
Timidement,je posai ma main sur l’un de ses seins, puis je me mis à le caresser. La peau était incroyablement douce et tiède. Presqu’aussitôt je sentis mon sexe durcir.
-Ça te plaît ?
-Oh oui Madame, c'est ...c'est très doux.
-Continue à les caresser, prends les bien en mains, regarde, mes tétons commencent à durcir.
C'était vrai, ils pointaient fièrement, ils devaient bien faire au moins 1.5 cm avec la grosseur d'un doigt.
-Hum c'est bon continue....
Je continuai à peloter ces deux délicieuses masses de chair tiède, ravi de cette aubaine. Je me sentais comme un enfant devant un étal de friandises.
- J'aime aussi que l'on me suce les seins mon chou. Tu as déja fait ça ?
-Oh non Madame.
-Qu'attends tu ?
Obéissant j'attrapai un des jolis tétons roses entre les lèvres. Puis je me lis à le sucer, en même temps je massai doucement l'autre sein, puis glissait doucement vers l'autre téton. Instinctivement j'attrapai le petit bout de chair rose, le pinçant doucement je le le fis rouler entre mes doigts. Ma boss , les yeux fermés gémissait de plaisir, tout en gémissant, je sentis sa main s'aventurer sur mon entrejambes, puis elle empoigna mon sexe à travers le tissu. Elle se se mit lentement à le branler, toujourspar dessus mon jean. Mon excitation était à son comble. Moi qui n'avait jamais eu de contact avec une fille, je me retrouvais en train de lécher et caresser les seins d'une femme superbe, pendant qu'elle me masturbait. J'étais au nirvana.
Soudain, elle s'arrêta et me repoussa. Interloqué, je la regardai, pensant avoir fait quelque chose de mal.
Elle me regardait, le regard un peu brouillé.
-Sors ta queue me dit-elle.
-Vous...voulez que je la sorte ?
-Ne discute pas, et je veux te voir te branler.
-je fis ce qu'elle me demandait, bien que gèné, et je me mis à me masturber.
-Oui c'est bien, j'adore voir les garçons branler leurs bites, et je veux te voir jouir.
-Mais je vais en mettre partout Madame.T'inquiète, je veux que tu jouisses sur mes seins.
Ça devenait de plus en plus torride, et je sentais la jouissance monter en moi.-Tu vas bientôt jouir petit cochon ?
-Oh oui Madame.Elle écarta bien à fond son chemisier, dégageant complètement sa superbe et plantureuse poitrine.
Je ne pus me retenir, et me mis à gicler sur ses nichons. Jamais je n'avais autant joui. Ses seins étaient maculés de longues trainées de foutre.
Ma Boss récupéra une trainée de foutre avec son doigt puis le lécha avec une mine gourmande. Puis elle recommença et cette fois me tendit son doigt.
- Lèche petite salope
Comme j'hésitai, elle me tira par les cheveux, puis enfourna son doigt dans ma bouche. Après que je l'eu sucé, elle le retira.
-Maintenenant tu vas lécher mes seins.
Et à nouveau elle attrapa mes cheveux et plongea mon visage entre ses seins.
Le goût du sperme n'était pas une nouveauté pour moi, car lors de mes branlettes solitaires je finissai toujours par lécher mes doigts maculés de sperme, mais c'était plutôt la brutalité de ma boss qui me perturbait. Sans rechigner, je me mis à lécher toutes les traces de foutre. Lécher sa poitrine souillée de sperme était encore plus excitant. D'ailleurs ma petite bite se tendait à nouveau. Une fois sa poitrine nettoyée, elle referma son chemisier, puis elle me renvoya.
-Tu me termines ce dossier, et n'oublie pas de refermer ta braguette.
Un peu honteux, je quittai son bureau.
Retournant à mon bureau, je vis que Carole me regardait d'un air un peu narquois.Est-ce qu'elle se doutait de quelque chose ? Impossible, le bureau de la boss comportait un sas qui devait isoler les bruits.
La journée était presque terminée, je pris le temps de me conformer aux instructions que je venais de recevoir. Carole était déja sur le départ. A ma grande surprise, elle me fit une bise sur la joue.
-A demain Gérald.
-Au..au revoir Carole.
Puis je rentrai chez moi. Par chance j'avais trouvé un petit studio tout proche de mon travail, à guère plus de cinq minutes. Toute la soirée je ressassai ce qui s'était passé dans le bureau, me demandant ce qui allait se passer maintenant.
Le Lendemain
Lorsque j'arrivai au bureau, j'étais le premier. Comme d'habitude, j'allumai les ordinateurs et préparai le café.Carole et la boss arrivèrent ensemble.
-Bonjour Gérald dirent-elles d'une même voix.
- Euh... Bonjour Patronne, bonjour Carole.
Puis je m'installai à mon bureau et m'attaquai à un nouveau dossier.
-Gérald, vous m'apporterez mon café d'ici une petite heure s'il vous plaît.
-Bien Madame
A l'heure dite, café en main j'entrai dans le bureau.
-Merci Gérald posez le à côté du téléphone.
-Dites moi mon petit Gérald, notre petit jeu d'hier vous a plû .
-Oh oui Madame.
-Je suis sûre que vous avez dû vous branler en y repensant. Ai-je raison ?
Honteux, je hochai la tête affirmativement.
-N'ayez pas honte, le sexe est une bonne chose, et on n'a qu'une vie. Approchez maintenant, je veux voir votre jolie petite bite.
Je m'approchai, arrivé près d'elle, elle s'empara du zip de mon jean jean, et l'abaissa. Puis baissa mon boxer et s'empara de mon sexe.
-Il va falloir que vous fassiez quelque chose pour moi mon petit chou.
-Quoi Madame ?
- Je ne veux plus voir ces vilains poils, je veux que votre bas ventre soit entièrement lisse. C'est compris ?
-Oui Madame.
- je vous indiquerai une crème dépilatoire efficace. Je veux que demain matin tous ces vilains poils aient disparus.
Puis sans plus de cérémonie, elle prit tout mon sexe dans sa bouche. Je sentis tout mon corps traversé par une onde de plaisir. Je n'en croyais pas mes yeux. Ma queue était entierement dans la bouche de ma boss, et en plus elle me regardait dans les yeux.
Lentement sa bouche se retira. Mon sexe était couvert de salive.
-Ça te plaît ?
-Oh oui Madame c'est trop bon.
-Tu veux que je continue ?
-Oh oui.
Aussitôt elle me reprit en bouche, et se mit à me sucer avec de doux va et vient.
Une fois de plus je n'en revenais pas. Comment cela se pouvait-il qu'une femme aussi belle qui ne devait sûrement pas manquer d'admirateurs, prenne plaisir avec un garçon comme moi. Je n'avais rien d'attirant. J'étais de taille modeste, mon corps était plutôt mince, ne dépassant pas les 60 kilos. Mon visage était quasi imberbe, et l'ensemble n'était pas très viril. Ce que j'avais de plus beau c'étaient mes cheveux blonds et longs que je gardais en catogan.
La fellation dura un bon moment, libérant ma queue je vis qu'elle mouillait son doigt, puis elle se remit à sucer.Soudain je sentis qu'elle me touchait l'anus. Son doigt humide frottait doucement sur ma rosette. La caresse me surprit. Ma boss me suçait de plus belle, quand je sentis son doigt s'enfoncer doucement. A ma grande surprise, je trouvai cela plutôt agréable. Ma patronne me regardait toujours, me suçant toujours ausi délicieusement, tout en faisant aller et venir son doigt dans mon anus. Travaillé des deux côtés m'excitait au plus haut point, bien sûr, soumis à ce régime, il me fut impossible de résister. Sur le point de jouir, je voulus la repousser, mais elle résista. Impossible de me retenir. Je me mis à jouir bruyemment, libérant de généreuses giclées de foutre. Impassible, ma boss recueillait giclée après giclée. Une fois ma jouissance terminée, elle se releva et m'embrassa à pleine bouche, transvasant une bonne partie de mon jus. J'avalai le tout, son doigt toujours enfoncé dans mon petit trou. Enfin elle le retira, puis me le plongea dans la bouche.
-C'est bien ma petite pute, dis-moi, quelqu'un avait-il déja joué avec ton petit trou ?
-Oh non Madame.
-Tant mieux, j'adore les petits trous vierges, Tu verras je vais bien m'en occuper, dans peu de temps tu seras une vraie petite folle du cul. R'habille toi et au travail.
Je retournai à mon bureau, et comme la dernière fois, Carole me regarda à nouveau avec un petit sourire narquois.
Se doutait-elle de quelque chose, avait-elle entendu ce que nous faisions, impossible, entre les deux bureaux, un sas isolait complètement le bureau de la Boss.M'asseyant à mon bureau, je repris mon travail.
De retour chez moi, je repensai à ma patronne. J'avais adoré la fellation qu'elle m'avait procuré, et le doigt dans mon petit trou . Tout cela avait été incroyablement excitant. En y repensant, je ne pus m'empêcher de me masturber. Bien qu'ayant bien joui au bureau, j'éjaculai à nouveau un flot de foutre, qui selon mon habitude avait atterri dans ma main. Je regardai la petite mare de jus au creux de ma main, je la portai à mes lèvres et léchai le tout .
En rentrant du travail j'avais suivi les instructions de ma patronne, j'avais acheté la crème dépilatoire. Après ma petite branlette,suivant les instructions indiquées sur le tube, je me badigeonnai le bas ventre, et entre les fesses. Quelques minutes plus tard, debout dans la baignoire je me rinçai. Le jet faisait apparaitre la peau nue, mes poils tombaient en paques. Une minute plus tard, mon bas ventre se retrouva complètement lisse.
Ma boss avait raison? Non seulement c'était plus joli, mais l'absence de pilosité me donnait l'impression d'avoir un sexe plus long.
Après une bone nuit de sommeil, j'avalai mon petit déjeuner, puis comme d'habitude je me rendis à mon travail. Plutôt en avance, je préparai le café pour ma patronne et ma collègue, auquel j'ajoutai quelques chouquettes achetées en cours de route.
Les deux femmes arrivèrent en même temps.
-Délicate attention dit Carole en voyant ce que l'avais préparé.
-Merci mon petit Gérald. Après le café, vous m'apporterez le dossier Balzer.
-Bien Madame.
Quelques minutes plus tard j'entrai dans son bureau.
-Pose ce dossier sur la table basse. Bien maintenant approche-toi. Docilement je m'approchai.
-Alors nos petites séances te plaisent ?
-Oh oui Madame.
-Tu dois te demander pourquoi je m'intéresse à toi Non ?
-Euh ! oui.
-J'adore les mignons petits minets comme toi, et j'aime en faire des petites salopes. Tu veux bien être ma petite salope ?-
-C'est à dire...
-Bon, t'inquiète nous allons faire ça en douceur. Maintenant enlève ton pantalon.
Inquiet je regardai la porte
.-Pas de souci, Carole ne viendra pas nous déranger. Elle ne vient que si je l'appelle. Allez exécution.
Timidement je fis glisser mon pantalon.-Bien maintenant ta petite culotte.
Nu devant elle, je n'étais pas vraiment à l'aise.
-Bien je vois que tu t'es débarrassé de ces vilains poils. C'est bien plus joli. Tu ne trouves pas ?
-Si Madame.
-Et en plus tu es tout doux maintenant dit-elle en me caressant.
Puis à l'instar d'hier elle emboucha mon sexe, et se mit à le pomper. Je n 'en revenais toujours pas d'avoir la chance de bénéficier de telles faveurs d'une femme aussi magnifique.
Après quelques minutes, elle recracha mon sexe.
-Assieds-toi sur le bureau en face de moi.
Une fois assis elle bascula mes jambes en arrière, mes feses étaient maintenant juste en face de son viage. Je sentis mon visage s'empourprer, j'avais honte d'être exhibée ainsi, mes parties intimes totalement à la vue de cette femme.
-Hum ! vraiment très joli tout ça.
Puis elle me présenta son index devant la bouche.
-Mouille le bien mon ptt'it chat.
Une fois mouillé, elle se mit à me caresser ll'anus. Son doigt faisait de petits cercles sur ma rosette. Je ne pus m'empêcher de pousser de petits soupirs de plaisirs.
Retirant son doigt elle approcha sa bouche puis je sentis une pointe humide me titiller mon petit trou. C'était incroyablement délicieux et excitant à la fois. Mon sexe bandait à m'en faire mal. Ma boss me lécha encore un moment, puis appuyant sur mon oeillet je sentis sa langue me pénétrer. Dans mes rêves les plus fous je n'aurai jamais imaginé un tel plaisir. Variant les positions, elle remplaça sa langue par son index. Mouillé comme je l'étais, le doigt se mit à coulisser facilement dans mon anus. C'était trop bon, j'avais déja eu ce plaisir la veille. Une fois habitué à son doigt je sentis qu'un deuxième me pénétrait. Encore une fois il glissa sans heurt.
-Tu aimes ça petit coquin ?
-Oh oui Madame.
-Je vais faire de toi une bonne petite salope,.
Sans prévenir elle m'enfonça un troisième doigt. cette fois je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri de douleur.
-Ne t'inquiète pas mon chou ça va se faire tout seul. Confiant, j'acceptai ses doigts. En moi même j'étais un peu honteux. Nu sur ce bureau, les doigts de ma chef enfoncés dans mes reins, je m'exhibais comme une putain.
Le petit jeu dura encore un peu. De temps en temps elle crachait sur ses doigts. Lubrifiés comme ils étaient, ils coulissaient parfaitement dans mon fondement.
Finalement elle retira ses doigts, puis presque aussitôt je sentis quelque chose de dur me pénétrer à nouveau. C'était surement plus gros que les doigts.
-Relaxe toi mon chou et pousse doucement. Fais moi confiance. Je me mis à pousser, puis je sentis mon petit oeillet s'ouvrir, et la chose dure péntra en moi. C'était un peu douloureux mais supportable.
-Tu vas voir ton petit trou va s'habituer c'est un plug , il est plus étroit à la base, cela le maintient en place. Tu vas le garder jusqu'à ce soir puis tu le remettras demain matin pour venir au bureau. C'est compris ?
-Oui Madame.
-Bien, cela va t'ouvrir un peu plus, ton ravissant petit cul bien ferme va devenir très accueillant.Sur cette dernière parole elle me claqua les fesses.
-Allez file maintenant petite salope.
Marcher avec cette chose dans mon anus me faisait vraiement bizarre. Je regagnai mon bureau et comme d'habitude je remplissais les dossiers que l'on m'avait confiés.
Cela faisait deux bonnes heures que je travaillai, quand brutalement je sentis le plug vibrer en moi. Inquiet je jetai un oeil vers Carole, mais celle-ci était plongée dans ses dossiers. C'était à la fois étrange et...bien qu'incongru, n'était pas déplaisant. Je supportai cela encore un bon quart d'heure, ma petite bite était toute congestionnée. Heureusement cette délicieuse torture s'arrêta. N'en pouvant plus, ayant été au bord de la jouissance, je filais aux toilettes.Deux minutes plus tard j'éjaculai un vrai torrent de foutre. Jamais je n'avais autant joui.. . Il me fallu plusieurs minutes pour récupérer de ce violent orgasme. Dans ma hâte de jouir je m'étais branlé comme un fou. Non seulement mon sexe avait été recouvert de sperrme mais j'avais aussi maculé la porte des toilettes . De petits ruisseaux de jus blanchatre dégoulinaient sur la porte. Sans y pensr je mis mes doigts engluéd de sperme dans ma bouche. Ca n'avait pas vraiment de goût, mais ce n'était pas désagréable, si bien que je je récupérai le reste de ma semence sur mon sexe et à nouveau léchai mes doigts. Honteux, muni de papier toilette je nettoyai consciencieusement les dégats.. Calmé, je retournai au bureau. Après la pause de midi je repris mon travail. J'appréhendai de sentir encore le plug vibrer dans mon cul. Ce n'est qu'une dizaine de minutes avant la fin du travail, qu'a nouveau je sentis le plug s'animer.
A peine quitté le bureau, le plug s'arrêta. Soulagé, je rentrai chez moi.
La nuit s'écoula, puis le matin je me réveillai. Comme souvent mon sexe était tout dur, mais je m'aperçus que mon drap était tout humide. J'avais éjaculé en dormant. Je pliai le drap, et le jetai dans la panière à linge.Après le petit déjeuner je fis ma toilette. Obéissant aux ordres de ma boss, je lubrifiai mon petit trou, puis enfonçai le plug dans mon anus. Contrairement à la veille , il entra sans heurt et je l'enfonçai à fond jusqu'à ce que mes chairs intimes se referment sur la base.
Puis je m'habillai et pris le chemin du bureau.
Arrivé au bureau je saluai ma boss et ma collègue puis m'asseyai à mon poste de travail.
-Gérald vous voudrez bien m'apporter un petit café vers 10h00 ?
-Bien Madame.
-Tu t'entends bien avec la chef dis-donc.
Je me mis à rougir un peu à sa remarque, puis balbutiai un oui.
Un peu avant dix heures, mon plug se mit à vibrer, inquiet je regardai Carole. Le bruit était quasi imperceptible, mais je redoutai que Carole s'en apercoive. C'était encore meilleur que la veille, il vibrait beaucoup plus fort, malgré moi mes jambes se croisaient et se décroisaient sous mon bureau. Taraudé par ce diabolique petit engin, mon anus m'envoyait de délicieuses ondes de plaisir. J'étouffai même un petit râle.
-Ca ne va pas me dit Carole ?
-Non tout va bien j'ai eu juste une sorte de crampe.
A dix heures comme prévu j'apportai le café, ma boss avait juste fait fonctionner le plug une dizaine de minutes. Heureusement que cela n'avait pas trop duré, car lorsque il s'était arrêté, j'étais au bord de la jouissance.Je posai le café sur le bureau. Ma boss poussa son ordi et son clavier, dégageant une grande partie.
-Allez enlève ton pantalon.
Puis une fois celui-ci enlevé, elle m'ordonna de m'asseeoir face à elle sur le bureau. Une fois assis, elle glissa ses mains dans l'élastique de mon slip, puis le fif glisser jusqu'n bas, découvrant mon sexe déja bien dur.-Hum ! tu es déja excitée ma petite salope.
Ta petite bite est vraiment jolie comme ça, toute lisse. Tu es aussi doux qu'une fille. Bien mainteant relève tes jambes que je puisse voir ton petit trou.
Malgré l'humiliation de la pose, je m'exécutai.
-Bien voyons voir si le plug a fait son travail.Ce disant elle le saisit, puis le fit tourner doucement. Malgré moi je poussai un petit soupir car le plug était légèrement collé à mes chairs intimes.
-Ca manque un peu de lubrification mon chou.
Elle cracha dans ma raie, puis fit à nouveau tourner le plug, la salive humiidifia l'engin qui maintenant tournait facilement dans mon anus. J'avvais un peu honte de laisser cette femme me traiter de la sorte, mais je ne pouvais m'empêcher d'aimer ce qu'elle me faisait.
Une fois bien lubrifié elle le fit aller et venir. Je trouvai ça délicieux. Des ondes de plaisir irradiaient de mon petit trou. Je n'aurai jamais crû que l'on puisse avoir du plaisir comme ça.-Alors petit cochon ! Ca te plaît ?
-Oh oui madame.
Elle me branla encore un peu l'anus, entre les va et vient elle le faisait sortir compêtement, puis me l'enfilait d'un coup sec. C'était vraiment trop bon.
-Bien je pense que ce petit trou mérite mieux.
Elle retira d'un coup le plug et mon nus émit un petit plop.-
Super, mon chou tu es bien ouvert.
Elle prit son téléphone et fit un gros plan de mon anus, puis elle me le montra.
-Regarde bébé, tu vois comme c'est bien ouvert.
Incrédule, je regardaimon anus qui béait. Le trou faisait au moins 2 centimètres. -Il va rester comme ça Madame ?
-Non mon chou, ne t'inquiète pas il va se refermerplus tard. Maintenant on va changer de jeu. Je vais te bander les yeux,tu apprécieras encore mieux.
Elle me banda les yeux, puis me lia les mains. J'étais immobilisé sur ce bureau me demandant ce qu'il allait se passer ensuite. Une fois attaché, elle me glissa une sorte de balle dans la bouche , si bien qu'il m'était impossible de parler. Puis je sentis une sensation de froid sur mon anus, un de ses doigt me pénétra, apparemment elle me lubrifiai. Elle fit aller et venir son doigt plusieurs fois en ajoutant à chaque fois un peu de lubrifiant. Puis elle ajouta un autre doigt, puis un troisième en forçant un peu. Après quelques va et vient les trois doigts oeuvrèrent sans heurt en moi, de temps en temps elle les écartaient, et je sentai ma rondelle se dilater. Malgré mon baillon je poussai de petits soupirs étouffés.
Enfin elle retira ses doigts.
-Bien c'est parfait, ton trou ressemble à une jolie petite chatte, prête à se faire baiser.
Tout de suite j'imaginai qu'un nouveau plug plus gros que le premier allait s'enfoncer en moi. Puis je sentis quelque chose de dur se poser sur ma rondelle, le bout frottait sur mes chairs intimes puis coulissait dans ma raie. A nouveau la chose se posa sur mon oeillet, je la sentis pénétrer l'entrée de mes reins. Madame m'avait tellement lubrifié, que mon sphincter s'ouvrit d'un seul coup acceptant l'intrus. Je ressentis une petite douleur, puis en même temps le corps chaud de ma boss sur mes cuisses. Je me sentai complètement rempli et la sensation était incroyable. Pendant quelques instants le corps de ma boss resta collé à moi. Elle m'avait aussi remonté mon tee-shirt, et je sentai les pointes de ses seins caresser ma poitrine.
-Ca y'est bébé tu n'es plus vierge. Tu aimes ?
-Oh oui Madame.
Ma boss faisait aller et venir le gode dans mon anus, de temps en temps elle touchait un point sensible la sensation était incroyable, à chaque fois je poussai un soupir de plaisir, le plus souvent étouffé par la bouche de ma cheffe. Jamais je n'aurai cru que mon petit trou pouvait être aussi sensible et me procurer des sensations incroyables. En moi même je me disais que ce genre de pratique sexuelle était réservé aux PD. Mais là ce n'était pas un sexe d'homme qui me pénétrait aussi délicieusement, mais un gode manié de main de maître par une femme magnifique. Au bout d'une bonne dizaine de minutes, je sentis mon plaisir monter. Madame s'en aperçut, aussitôt elle accentua la pénétration du gode, en même sa bouche enveloppa mon sexe. Les va et vient furieux que je subissais, ainsi que la bouche gourmande qui s'activait sur ma queue, eurent raison de moi. Je poussai un long cri de jouissance, pendant que ma petite bite déversait de longues giclées de foutre dans la bouche de Madame. Sans sourciller elle avalait mon sperme giclée après giclée. Quand j'eus enfin terminé de jouir, Madame se mit a nouveau à me goder, et à ma grande surprise je la sentis se raidir, puis une vague de liquide chaud se mit à envahir ma cavité anale, mon anus recevait une véritable douche. La sensation était fantastique. C'était impossible, à moins que le gode ne possèdat un réservoir. Me relevant sur les coudes, je regardai Madame, interloqué, puis je portai mon regard sur mon sexe, encore luisant de foutre et de salive. A ma grande stupeur juste un peu plus bas, c'était une bite de bonne taille qui m'enculait
-Vous...vous..avez une bite, vous êtes un homme ?
-Tu vas me vexer bébé, tu trouves vraiment que je ressemble à un mec ?
-Euh... non mais vous avez une queue.
-Eh bien tu n'as jamais vu de transexuel ? Mais j'ai bien vu que tu aimais ce que je te faisais. Ne t'inquiéte pas ce sera notre petit secret, et je suis sûre que tu vas devenir accro à ce genre de jeu. De plus je ne suis pas égoïste, tu pourras aussi baiser mon petit trou autant que tu le voudras.
J'étais encore sous le choc de ma découverte, partagé entre la honte d'avoir été enculé, et l'incroyable plaisir que j'avais ressenti. Après tout ce que cette femme ou...trans ...finalement je ne sais pas trop comment l'appeler, n'avait été qu'une longue suite de plaisirs. Entre la branlette entre ses seins, ces deux globes superbes, doux et chauds, sa bouche de velours engloutissant mon sexe, et finalement mon ...enculage, tout m'avait plû. Madame membrassa à nouveau, son baiser dura longuement, puis nos bouches se séparèrent. Son membre était toujours fiché en moi. Elle se retira doucement, jusqu'à ce qu'un petit plop se fit entendre. Je sentis l'air envahir mon intérieur.
-Mon petit chat ton mignon trou de cul est bien ouvert. Ne t'inquiète pas il va se refermer.
- J'ai un petit peu mal Madame.
-Désolé mon chat, mais je peux faire quelque chose pour toi.
Elle s'agenouilla entre mes cuisses, puis se mit à me lécher l'anus. Sa langue avait vraiment un effet bienfaisant sur mes chairs intimes. Après quelques minutes elle s'arrêta, puis fouilla dans son bureau. Elle en ressortit un tube, le pressa pour obtenir une noisette de crème, puis en enduisit généreusement ma rosette. Presque aussitôt les petites douleurs qui irradiaient de mes chairs intimes disparurent.
-Voilà Bébé, ton petit trou est comme neuf.
Depuis 2 mois , je travaillai dans une petite PME . Le bureau dans lequel je me trouvai était déporté par rapport au site de production.
J'étais avec une collègue secrétaire, dans le même bureau, et dans le bureau d’à côté celui de notre boss.
Après quelques emplois, qui, s’ils avaient été formateurs, n’avaient pas vraiment été intéressants, j’avais finalement trouvé cet emploi. Mon salaire était plus que correct, je m'entendais bien avec Carole ma collègue de bureau et la boss était plutôt sympa. Et ce qui ne gâtait rien, ces deux femmes étaient absolument à tomber.
J’étais plongé dans mon travail, quand la chef entrouvrit la porte et me fit sursauter.
-Mon petit Gérald, pourriez-vous m’apporter le dossier Météor s’il vous plaît ?
-Tout de suite Madame. Ca tombait à pic, car je venais juste de mettre le dossier à jour.
Muni du dossier j’entrai dans le bureau.
-Voilà Madame, le dossier est au complet.
-Parfait, vous contacterez cette société et leur proposerez un RDV en fin de semaine si cela leur convient.
Malgré moi, tout en écoutant ma chef je n’avais pas pu m’empêcher d’admirer sa poitrine . Il faut dire que ses formes généreuses débordaient largement de son chemisier.
-Eh bien mon petit Gérald, on s’égare, on mate sa cheffe.
-Désolé Madame, en même temps le rouge de la honte empourpra mon visage..
-N’ayez pas peur, il fait si chaud aujourd’hui que je n’ai pas pu m’empêcher de me dégrafer un peu. Et si vous approchiez un peu du bureau ?
Obéissant je me rapprochai.
-Alors vous voyez mieux d’ici ?
J’étais comme statufié.
-Ne soyez pas timide.
Tout en me parlant elle avait dégrafé deux autres boutons, m’offrant une vue imprenable sur ses seins superbes.
-Alors ils vous plaisent ?
J’étais incapable de de m’exprimer.
-Vous allez me vexer si vous ne me répondez pas, mes seins ne vous plaisent pas ?
Oh si..Ma…ame balbutai-je…ils …sont …magnifiques
Je n'arrivai pas à détacher mon regard, cette femme magnifique, ma patronne qui plus est , me montrait une bonne partie de sa poitrine, en totale impudeur.
-Tu veux les toucher ?
J’étais en plein rêve, à moi le jeune puceau, on me demandait de les toucher. Trop timide pour aller vers les filles, je m’étais jusqu’alors masturbé devant des revues pornos, mais n'avait jamais osé aborder la moindre femme.
-Alors tu les touches ?
Timidement,je posai ma main sur l’un de ses seins, puis je me mis à le caresser. La peau était incroyablement douce et tiède. Presqu’aussitôt je sentis mon sexe durcir.
-Ça te plaît ?
-Oh oui Madame, c'est ...c'est très doux.
-Continue à les caresser, prends les bien en mains, regarde, mes tétons commencent à durcir.
C'était vrai, ils pointaient fièrement, ils devaient bien faire au moins 1.5 cm avec la grosseur d'un doigt.
-Hum c'est bon continue....
Je continuai à peloter ces deux délicieuses masses de chair tiède, ravi de cette aubaine. Je me sentais comme un enfant devant un étal de friandises.
- J'aime aussi que l'on me suce les seins mon chou. Tu as déja fait ça ?
-Oh non Madame.
-Qu'attends tu ?
Obéissant j'attrapai un des jolis tétons roses entre les lèvres. Puis je me lis à le sucer, en même temps je massai doucement l'autre sein, puis glissait doucement vers l'autre téton. Instinctivement j'attrapai le petit bout de chair rose, le pinçant doucement je le le fis rouler entre mes doigts. Ma boss , les yeux fermés gémissait de plaisir, tout en gémissant, je sentis sa main s'aventurer sur mon entrejambes, puis elle empoigna mon sexe à travers le tissu. Elle se se mit lentement à le branler, toujours
Soudain, elle s'arrêta et me repoussa. Interloqué, je la regardai, pensant avoir fait quelque chose de mal.
Elle me regardait, le regard un peu brouillé.
-Sors ta queue me dit-elle.
-Vous...voulez que je la sorte ?
-Ne discute pas, et je veux te voir te branler.
-je fis ce qu'elle me demandait, bien que gèné, et je me mis à me masturber.
-Oui c'est bien, j'adore voir les garçons branler leurs bites, et je veux te voir jouir.
-Mais je vais en mettre partout Madame.T'inquiète, je veux que tu jouisses sur mes seins.
Ça devenait de plus en plus torride, et je sentais la jouissance monter en moi.-Tu vas bientôt jouir petit cochon ?
-Oh oui Madame.Elle écarta bien à fond son chemisier, dégageant complètement sa superbe et plantureuse poitrine.
Je ne pus me retenir, et me mis à gicler sur ses nichons. Jamais je n'avais autant joui. Ses seins étaient maculés de longues trainées de foutre.
Ma Boss récupéra une trainée de foutre avec son doigt puis le lécha avec une mine gourmande. Puis elle recommença et cette fois me tendit son doigt.
- Lèche petite salope
Comme j'hésitai, elle me tira par les cheveux, puis enfourna son doigt dans ma bouche. Après que je l'eu sucé, elle le retira.
-Maintenenant tu vas lécher mes seins.
Et à nouveau elle attrapa mes cheveux et plongea mon visage entre ses seins.
Le goût du sperme n'était pas une nouveauté pour moi, car lors de mes branlettes solitaires je finissai toujours par lécher mes doigts maculés de sperme, mais c'était plutôt la brutalité de ma boss qui me perturbait. Sans rechigner, je me mis à lécher toutes les traces de foutre. Lécher sa poitrine souillée de sperme était encore plus excitant. D'ailleurs ma petite bite se tendait à nouveau. Une fois sa poitrine nettoyée, elle referma son chemisier, puis elle me renvoya.
-Tu me termines ce dossier, et n'oublie pas de refermer ta braguette.
Un peu honteux, je quittai son bureau.
Retournant à mon bureau, je vis que Carole me regardait d'un air un peu narquois.Est-ce qu'elle se doutait de quelque chose ? Impossible, le bureau de la boss comportait un sas qui devait isoler les bruits.
La journée était presque terminée, je pris le temps de me conformer aux instructions que je venais de recevoir. Carole était déja sur le départ. A ma grande surprise, elle me fit une bise sur la joue.
-A demain Gérald.
-Au..au revoir Carole.
Puis je rentrai chez moi. Par chance j'avais trouvé un petit studio tout proche de mon travail, à guère plus de cinq minutes. Toute la soirée je ressassai ce qui s'était passé dans le bureau, me demandant ce qui allait se passer maintenant.
Le Lendemain
Lorsque j'arrivai au bureau, j'étais le premier. Comme d'habitude, j'allumai les ordinateurs et préparai le café.Carole et la boss arrivèrent ensemble.
-Bonjour Gérald dirent-elles d'une même voix.
- Euh... Bonjour Patronne, bonjour Carole.
Puis je m'installai à mon bureau et m'attaquai à un nouveau dossier.
-Gérald, vous m'apporterez mon café d'ici une petite heure s'il vous plaît.
-Bien Madame
A l'heure dite, café en main j'entrai dans le bureau.
-Merci Gérald posez le à côté du téléphone.
-Dites moi mon petit Gérald, notre petit jeu d'hier vous a plû .
-Oh oui Madame.
-Je suis sûre que vous avez dû vous branler en y repensant. Ai-je raison ?
Honteux, je hochai la tête affirmativement.
-N'ayez pas honte, le sexe est une bonne chose, et on n'a qu'une vie. Approchez maintenant, je veux voir votre jolie petite bite.
Je m'approchai, arrivé près d'elle, elle s'empara du zip de mon jean jean, et l'abaissa. Puis baissa mon boxer et s'empara de mon sexe.
-Il va falloir que vous fassiez quelque chose pour moi mon petit chou.
-Quoi Madame ?
- Je ne veux plus voir ces vilains poils, je veux que votre bas ventre soit entièrement lisse. C'est compris ?
-Oui Madame.
- je vous indiquerai une crème dépilatoire efficace. Je veux que demain matin tous ces vilains poils aient disparus.
Puis sans plus de cérémonie, elle prit tout mon sexe dans sa bouche. Je sentis tout mon corps traversé par une onde de plaisir. Je n'en croyais pas mes yeux. Ma queue était entierement dans la bouche de ma boss, et en plus elle me regardait dans les yeux.
Lentement sa bouche se retira. Mon sexe était couvert de salive.
-Ça te plaît ?
-Oh oui Madame c'est trop bon.
-Tu veux que je continue ?
-Oh oui.
Aussitôt elle me reprit en bouche, et se mit à me sucer avec de doux va et vient.
Une fois de plus je n'en revenais pas. Comment cela se pouvait-il qu'une femme aussi belle qui ne devait sûrement pas manquer d'admirateurs, prenne plaisir avec un garçon comme moi. Je n'avais rien d'attirant. J'étais de taille modeste, mon corps était plutôt mince, ne dépassant pas les 60 kilos. Mon visage était quasi imberbe, et l'ensemble n'était pas très viril. Ce que j'avais de plus beau c'étaient mes cheveux blonds et longs que je gardais en catogan.
La fellation dura un bon moment, libérant ma queue je vis qu'elle mouillait son doigt, puis elle se remit à sucer.Soudain je sentis qu'elle me touchait l'anus. Son doigt humide frottait doucement sur ma rosette. La caresse me surprit. Ma boss me suçait de plus belle, quand je sentis son doigt s'enfoncer doucement. A ma grande surprise, je trouvai cela plutôt agréable. Ma patronne me regardait toujours, me suçant toujours ausi délicieusement, tout en faisant aller et venir son doigt dans mon anus. Travaillé des deux côtés m'excitait au plus haut point, bien sûr, soumis à ce régime, il me fut impossible de résister. Sur le point de jouir, je voulus la repousser, mais elle résista. Impossible de me retenir. Je me mis à jouir bruyemment, libérant de généreuses giclées de foutre. Impassible, ma boss recueillait giclée après giclée. Une fois ma jouissance terminée, elle se releva et m'embrassa à pleine bouche, transvasant une bonne partie de mon jus. J'avalai le tout, son doigt toujours enfoncé dans mon petit trou. Enfin elle le retira, puis me le plongea dans la bouche.
-C'est bien ma petite pute, dis-moi, quelqu'un avait-il déja joué avec ton petit trou ?
-Oh non Madame.
-Tant mieux, j'adore les petits trous vierges, Tu verras je vais bien m'en occuper, dans peu de temps tu seras une vraie petite folle du cul. R'habille toi et au travail.
Je retournai à mon bureau, et comme la dernière fois, Carole me regarda à nouveau avec un petit sourire narquois.
Se doutait-elle de quelque chose, avait-elle entendu ce que nous faisions, impossible, entre les deux bureaux, un sas isolait complètement le bureau de la Boss.M'asseyant à mon bureau, je repris mon travail.
De retour chez moi, je repensai à ma patronne. J'avais adoré la fellation qu'elle m'avait procuré, et le doigt dans mon petit trou . Tout cela avait été incroyablement excitant. En y repensant, je ne pus m'empêcher de me masturber. Bien qu'ayant bien joui au bureau, j'éjaculai à nouveau un flot de foutre, qui selon mon habitude avait atterri dans ma main. Je regardai la petite mare de jus au creux de ma main, je la portai à mes lèvres et léchai le tout .
En rentrant du travail j'avais suivi les instructions de ma patronne, j'avais acheté la crème dépilatoire. Après ma petite branlette,suivant les instructions indiquées sur le tube, je me badigeonnai le bas ventre, et entre les fesses. Quelques minutes plus tard, debout dans la baignoire je me rinçai. Le jet faisait apparaitre la peau nue, mes poils tombaient en paques. Une minute plus tard, mon bas ventre se retrouva complètement lisse.
Ma boss avait raison? Non seulement c'était plus joli, mais l'absence de pilosité me donnait l'impression d'avoir un sexe plus long.
Après une bone nuit de sommeil, j'avalai mon petit déjeuner, puis comme d'habitude je me rendis à mon travail. Plutôt en avance, je préparai le café pour ma patronne et ma collègue, auquel j'ajoutai quelques chouquettes achetées en cours de route.
Les deux femmes arrivèrent en même temps.
-Délicate attention dit Carole en voyant ce que l'avais préparé.
-Merci mon petit Gérald. Après le café, vous m'apporterez le dossier Balzer.
-Bien Madame.
Quelques minutes plus tard j'entrai dans son bureau.
-Pose ce dossier sur la table basse. Bien maintenant approche-toi. Docilement je m'approchai.
-Alors nos petites séances te plaisent ?
-Oh oui Madame.
-Tu dois te demander pourquoi je m'intéresse à toi Non ?
-Euh ! oui.
-J'adore les mignons petits minets comme toi, et j'aime en faire des petites salopes. Tu veux bien être ma petite salope ?-
-C'est à dire...
-Bon, t'inquiète nous allons faire ça en douceur. Maintenant enlève ton pantalon.
Inquiet je regardai la porte
.-Pas de souci, Carole ne viendra pas nous déranger. Elle ne vient que si je l'appelle. Allez exécution.
Timidement je fis glisser mon pantalon.-Bien maintenant ta petite culotte.
Nu devant elle, je n'étais pas vraiment à l'aise.
-Bien je vois que tu t'es débarrassé de ces vilains poils. C'est bien plus joli. Tu ne trouves pas ?
-Si Madame.
-Et en plus tu es tout doux maintenant dit-elle en me caressant.
Puis à l'instar d'hier elle emboucha mon sexe, et se mit à le pomper. Je n 'en revenais toujours pas d'avoir la chance de bénéficier de telles faveurs d'une femme aussi magnifique.
Après quelques minutes, elle recracha mon sexe.
-Assieds-toi sur le bureau en face de moi.
Une fois assis elle bascula mes jambes en arrière, mes feses étaient maintenant juste en face de son viage. Je sentis mon visage s'empourprer, j'avais honte d'être exhibée ainsi, mes parties intimes totalement à la vue de cette femme.
-Hum ! vraiment très joli tout ça.
Puis elle me présenta son index devant la bouche.
-Mouille le bien mon ptt'it chat.
Une fois mouillé, elle se mit à me caresser ll'anus. Son doigt faisait de petits cercles sur ma rosette. Je ne pus m'empêcher de pousser de petits soupirs de plaisirs.
Retirant son doigt elle approcha sa bouche puis je sentis une pointe humide me titiller mon petit trou. C'était incroyablement délicieux et excitant à la fois. Mon sexe bandait à m'en faire mal. Ma boss me lécha encore un moment, puis appuyant sur mon oeillet je sentis sa langue me pénétrer. Dans mes rêves les plus fous je n'aurai jamais imaginé un tel plaisir. Variant les positions, elle remplaça sa langue par son index. Mouillé comme je l'étais, le doigt se mit à coulisser facilement dans mon anus. C'était trop bon, j'avais déja eu ce plaisir la veille. Une fois habitué à son doigt je sentis qu'un deuxième me pénétrait. Encore une fois il glissa sans heurt.
-Tu aimes ça petit coquin ?
-Oh oui Madame.
-Je vais faire de toi une bonne petite salope,.
Sans prévenir elle m'enfonça un troisième doigt. cette fois je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri de douleur.
-Ne t'inquiète pas mon chou ça va se faire tout seul. Confiant, j'acceptai ses doigts. En moi même j'étais un peu honteux. Nu sur ce bureau, les doigts de ma chef enfoncés dans mes reins, je m'exhibais comme une putain.
Le petit jeu dura encore un peu. De temps en temps elle crachait sur ses doigts. Lubrifiés comme ils étaient, ils coulissaient parfaitement dans mon fondement.
Finalement elle retira ses doigts, puis presque aussitôt je sentis quelque chose de dur me pénétrer à nouveau. C'était surement plus gros que les doigts.
-Relaxe toi mon chou et pousse doucement. Fais moi confiance. Je me mis à pousser, puis je sentis mon petit oeillet s'ouvrir, et la chose dure péntra en moi. C'était un peu douloureux mais supportable.
-Tu vas voir ton petit trou va s'habituer c'est un plug , il est plus étroit à la base, cela le maintient en place. Tu vas le garder jusqu'à ce soir puis tu le remettras demain matin pour venir au bureau. C'est compris ?
-Oui Madame.
-Bien, cela va t'ouvrir un peu plus, ton ravissant petit cul bien ferme va devenir très accueillant.Sur cette dernière parole elle me claqua les fesses.
-Allez file maintenant petite salope.
Marcher avec cette chose dans mon anus me faisait vraiement bizarre. Je regagnai mon bureau et comme d'habitude je remplissais les dossiers que l'on m'avait confiés.
Cela faisait deux bonnes heures que je travaillai, quand brutalement je sentis le plug vibrer en moi. Inquiet je jetai un oeil vers Carole, mais celle-ci était plongée dans ses dossiers. C'était à la fois étrange et...bien qu'incongru, n'était pas déplaisant. Je supportai cela encore un bon quart d'heure, ma petite bite était toute congestionnée. Heureusement cette délicieuse torture s'arrêta. N'en pouvant plus, ayant été au bord de la jouissance, je filais aux toilettes.Deux minutes plus tard j'éjaculai un vrai torrent de foutre. Jamais je n'avais autant joui.. . Il me fallu plusieurs minutes pour récupérer de ce violent orgasme. Dans ma hâte de jouir je m'étais branlé comme un fou. Non seulement mon sexe avait été recouvert de sperrme mais j'avais aussi maculé la porte des toilettes . De petits ruisseaux de jus blanchatre dégoulinaient sur la porte. Sans y pensr je mis mes doigts engluéd de sperme dans ma bouche. Ca n'avait pas vraiment de goût, mais ce n'était pas désagréable, si bien que je je récupérai le reste de ma semence sur mon sexe et à nouveau léchai mes doigts. Honteux, muni de papier toilette je nettoyai consciencieusement les dégats.. Calmé, je retournai au bureau. Après la pause de midi je repris mon travail. J'appréhendai de sentir encore le plug vibrer dans mon cul. Ce n'est qu'une dizaine de minutes avant la fin du travail, qu'a nouveau je sentis le plug s'animer.
A peine quitté le bureau, le plug s'arrêta. Soulagé, je rentrai chez moi.
La nuit s'écoula, puis le matin je me réveillai. Comme souvent mon sexe était tout dur, mais je m'aperçus que mon drap était tout humide. J'avais éjaculé en dormant. Je pliai le drap, et le jetai dans la panière à linge.Après le petit déjeuner je fis ma toilette. Obéissant aux ordres de ma boss, je lubrifiai mon petit trou, puis enfonçai le plug dans mon anus. Contrairement à la veille , il entra sans heurt et je l'enfonçai à fond jusqu'à ce que mes chairs intimes se referment sur la base.
Puis je m'habillai et pris le chemin du bureau.
Arrivé au bureau je saluai ma boss et ma collègue puis m'asseyai à mon poste de travail.
-Gérald vous voudrez bien m'apporter un petit café vers 10h00 ?
-Bien Madame.
-Tu t'entends bien avec la chef dis-donc.
Je me mis à rougir un peu à sa remarque, puis balbutiai un oui.
Un peu avant dix heures, mon plug se mit à vibrer, inquiet je regardai Carole. Le bruit était quasi imperceptible, mais je redoutai que Carole s'en apercoive. C'était encore meilleur que la veille, il vibrait beaucoup plus fort, malgré moi mes jambes se croisaient et se décroisaient sous mon bureau. Taraudé par ce diabolique petit engin, mon anus m'envoyait de délicieuses ondes de plaisir. J'étouffai même un petit râle.
-Ca ne va pas me dit Carole ?
-Non tout va bien j'ai eu juste une sorte de crampe.
A dix heures comme prévu j'apportai le café, ma boss avait juste fait fonctionner le plug une dizaine de minutes. Heureusement que cela n'avait pas trop duré, car lorsque il s'était arrêté, j'étais au bord de la jouissance.Je posai le café sur le bureau. Ma boss poussa son ordi et son clavier, dégageant une grande partie.
-Allez enlève ton pantalon.
Puis une fois celui-ci enlevé, elle m'ordonna de m'asseeoir face à elle sur le bureau. Une fois assis, elle glissa ses mains dans l'élastique de mon slip, puis le fif glisser jusqu'n bas, découvrant mon sexe déja bien dur.-Hum ! tu es déja excitée ma petite salope.
Ta petite bite est vraiment jolie comme ça, toute lisse. Tu es aussi doux qu'une fille. Bien mainteant relève tes jambes que je puisse voir ton petit trou.
Malgré l'humiliation de la pose, je m'exécutai.
-Bien voyons voir si le plug a fait son travail.Ce disant elle le saisit, puis le fit tourner doucement. Malgré moi je poussai un petit soupir car le plug était légèrement collé à mes chairs intimes.
-Ca manque un peu de lubrification mon chou.
Elle cracha dans ma raie, puis fit à nouveau tourner le plug, la salive humiidifia l'engin qui maintenant tournait facilement dans mon anus. J'avvais un peu honte de laisser cette femme me traiter de la sorte, mais je ne pouvais m'empêcher d'aimer ce qu'elle me faisait.
Une fois bien lubrifié elle le fit aller et venir. Je trouvai ça délicieux. Des ondes de plaisir irradiaient de mon petit trou. Je n'aurai jamais crû que l'on puisse avoir du plaisir comme ça.-Alors petit cochon ! Ca te plaît ?
-Oh oui madame.
Elle me branla encore un peu l'anus, entre les va et vient elle le faisait sortir compêtement, puis me l'enfilait d'un coup sec. C'était vraiment trop bon.
-Bien je pense que ce petit trou mérite mieux.
Elle retira d'un coup le plug et mon nus émit un petit plop.-
Super, mon chou tu es bien ouvert.
Elle prit son téléphone et fit un gros plan de mon anus, puis elle me le montra.
-Regarde bébé, tu vois comme c'est bien ouvert.
Incrédule, je regardaimon anus qui béait. Le trou faisait au moins 2 centimètres. -Il va rester comme ça Madame ?
-Non mon chou, ne t'inquiète pas il va se refermerplus tard. Maintenant on va changer de jeu. Je vais te bander les yeux,tu apprécieras encore mieux.
Elle me banda les yeux, puis me lia les mains. J'étais immobilisé sur ce bureau me demandant ce qu'il allait se passer ensuite. Une fois attaché, elle me glissa une sorte de balle dans la bouche , si bien qu'il m'était impossible de parler. Puis je sentis une sensation de froid sur mon anus, un de ses doigt me pénétra, apparemment elle me lubrifiai. Elle fit aller et venir son doigt plusieurs fois en ajoutant à chaque fois un peu de lubrifiant. Puis elle ajouta un autre doigt, puis un troisième en forçant un peu. Après quelques va et vient les trois doigts oeuvrèrent sans heurt en moi, de temps en temps elle les écartaient, et je sentai ma rondelle se dilater. Malgré mon baillon je poussai de petits soupirs étouffés.
Enfin elle retira ses doigts.
-Bien c'est parfait, ton trou ressemble à une jolie petite chatte, prête à se faire baiser.
Tout de suite j'imaginai qu'un nouveau plug plus gros que le premier allait s'enfoncer en moi. Puis je sentis quelque chose de dur se poser sur ma rondelle, le bout frottait sur mes chairs intimes puis coulissait dans ma raie. A nouveau la chose se posa sur mon oeillet, je la sentis pénétrer l'entrée de mes reins. Madame m'avait tellement lubrifié, que mon sphincter s'ouvrit d'un seul coup acceptant l'intrus. Je ressentis une petite douleur, puis en même temps le corps chaud de ma boss sur mes cuisses. Je me sentai complètement rempli et la sensation était incroyable. Pendant quelques instants le corps de ma boss resta collé à moi. Elle m'avait aussi remonté mon tee-shirt, et je sentai les pointes de ses seins caresser ma poitrine.
-Ca y'est bébé tu n'es plus vierge. Tu aimes ?
-Oh oui Madame.
Ma boss faisait aller et venir le gode dans mon anus, de temps en temps elle touchait un point sensible la sensation était incroyable, à chaque fois je poussai un soupir de plaisir, le plus souvent étouffé par la bouche de ma cheffe. Jamais je n'aurai cru que mon petit trou pouvait être aussi sensible et me procurer des sensations incroyables. En moi même je me disais que ce genre de pratique sexuelle était réservé aux PD. Mais là ce n'était pas un sexe d'homme qui me pénétrait aussi délicieusement, mais un gode manié de main de maître par une femme magnifique. Au bout d'une bonne dizaine de minutes, je sentis mon plaisir monter. Madame s'en aperçut, aussitôt elle accentua la pénétration du gode, en même sa bouche enveloppa mon sexe. Les va et vient furieux que je subissais, ainsi que la bouche gourmande qui s'activait sur ma queue, eurent raison de moi. Je poussai un long cri de jouissance, pendant que ma petite bite déversait de longues giclées de foutre dans la bouche de Madame. Sans sourciller elle avalait mon sperme giclée après giclée. Quand j'eus enfin terminé de jouir, Madame se mit a nouveau à me goder, et à ma grande surprise je la sentis se raidir, puis une vague de liquide chaud se mit à envahir ma cavité anale, mon anus recevait une véritable douche. La sensation était fantastique. C'était impossible, à moins que le gode ne possèdat un réservoir. Me relevant sur les coudes, je regardai Madame, interloqué, puis je portai mon regard sur mon sexe, encore luisant de foutre et de salive. A ma grande stupeur juste un peu plus bas, c'était une bite de bonne taille qui m'enculait
-Vous...vous..avez une bite, vous êtes un homme ?
-Tu vas me vexer bébé, tu trouves vraiment que je ressemble à un mec ?
-Euh... non mais vous avez une queue.
-Eh bien tu n'as jamais vu de transexuel ? Mais j'ai bien vu que tu aimais ce que je te faisais. Ne t'inquiéte pas ce sera notre petit secret, et je suis sûre que tu vas devenir accro à ce genre de jeu. De plus je ne suis pas égoïste, tu pourras aussi baiser mon petit trou autant que tu le voudras.
J'étais encore sous le choc de ma découverte, partagé entre la honte d'avoir été enculé, et l'incroyable plaisir que j'avais ressenti. Après tout ce que cette femme ou...trans ...finalement je ne sais pas trop comment l'appeler, n'avait été qu'une longue suite de plaisirs. Entre la branlette entre ses seins, ces deux globes superbes, doux et chauds, sa bouche de velours engloutissant mon sexe, et finalement mon ...enculage, tout m'avait plû. Madame membrassa à nouveau, son baiser dura longuement, puis nos bouches se séparèrent. Son membre était toujours fiché en moi. Elle se retira doucement, jusqu'à ce qu'un petit plop se fit entendre. Je sentis l'air envahir mon intérieur.
-Mon petit chat ton mignon trou de cul est bien ouvert. Ne t'inquiète pas il va se refermer.
- J'ai un petit peu mal Madame.
-Désolé mon chat, mais je peux faire quelque chose pour toi.
Elle s'agenouilla entre mes cuisses, puis se mit à me lécher l'anus. Sa langue avait vraiment un effet bienfaisant sur mes chairs intimes. Après quelques minutes elle s'arrêta, puis fouilla dans son bureau. Elle en ressortit un tube, le pressa pour obtenir une noisette de crème, puis en enduisit généreusement ma rosette. Presque aussitôt les petites douleurs qui irradiaient de mes chairs intimes disparurent.
-Voilà Bébé, ton petit trou est comme neuf.
8 months ago
