Le chalet
Ma sœur, par son comité d'entreprise, avait loué un appartement aux pieds des pistes, à 45 minutes d'un supermarché. La veille au soir,elles nous avaient prévenus qu'elles iraient le lendemain matin faire les courses avec les trois enfants. À nous de faire les lits et préparer le repas.
C'était une journée où il y avait du vent. Donc se couvrir pour résister au froid sur les télésièges. Ces jours-là, ma femme me passait un de ses collants que je mettais avant d'enfiler mon pantalon de ski. Sauf que là, passant le dernier dans la salle de bain, j'en profitais pour fouiller la panière de linge sale, et j'y trouvais une culotte en dentelle de ma sœur. Je l'enfilais, hum trop bon, puis le collant et enfin le pantalon de ski.
Mon beau-frère était allé chercher le pain, il nous fallait faire les chambres. Après avoir refermé les fenêtres et remis les radiateurs en chauffe, nous avons bu un café, mais arrivés dans la chambre de ma sœur surchauffe et j'ai posé mon pantalon de ski, oubliant que mon beau-frère pouvait reconnaître la culotte à travers le collant. Comme j'étais à genoux sur leur lit pour border la couette contre le mur, j'ai senti une de ses mains se poser sur mes fesses.
Il me dit :"c'est moi qui ai offert cette culotte et j'ai le droit de baiser celle qui la porte. "
Il m'a fait culbuter sur le dos, une main sur mon sexe qui réagissait et m'a traité de petite pédale en m'embrassant dans le cou, me croquant l'oreille avant de mettre sa langue dans ma bouche.
Jj'ai répondu présent à son baiser vorace, surtout qu'il avait réussi à glisser sa main jusqu'à ma bite et mes couilles d'abord, puis poursuivait la course de son majeur jusqu'à pa chatte, humide, et qui n'attendait que ça, pour couler d'avantage.
Je n'avais jamais pensé que Gérard pouvait être attiré par une petite pédale travestie comme moi.
Collant arraché, il s'est posé sur la bosse dans la culotte de sa femme, en a fait sortir la tête de mon gland et a commencé à la bisouiller, à la lécher, à l'emboucher pour mon plus grand plaisir. Il a leché index et majeur puis est allé tester la souplesse de ma chatte qui s'est jetée dessus comme une affamée qu'elle est.
Je lui ai dit que j'allais tout cracher s'il continuait, mais à la façon de rajouter l'annulaire dans mon cul, et d'aspirer de plus en plus fort ma bite, j'ai compris qu'il voulait ma liqueur d'amour. Je me suis laissé aller au plaisir de la décharge et il a tout avalé.
J'étais brisée, mais lui avait toujours la trique, un bout de bois dur. J'avais la chatte béante, il n'a eu qu'à me faire mettre à genoux au bord du lit, pour s'enfoncer jusqu'à ses couilles dans ma chatte gluante.
Oh que c'est bon, comment fait-il pour que mon sexe se redresse avec un peu de douleur quand même, mais avec une telle jouissance à chaque aller-retour.
A SUIVRE
C'était une journée où il y avait du vent. Donc se couvrir pour résister au froid sur les télésièges. Ces jours-là, ma femme me passait un de ses collants que je mettais avant d'enfiler mon pantalon de ski. Sauf que là, passant le dernier dans la salle de bain, j'en profitais pour fouiller la panière de linge sale, et j'y trouvais une culotte en dentelle de ma sœur. Je l'enfilais, hum trop bon, puis le collant et enfin le pantalon de ski.
Mon beau-frère était allé chercher le pain, il nous fallait faire les chambres. Après avoir refermé les fenêtres et remis les radiateurs en chauffe, nous avons bu un café, mais arrivés dans la chambre de ma sœur surchauffe et j'ai posé mon pantalon de ski, oubliant que mon beau-frère pouvait reconnaître la culotte à travers le collant. Comme j'étais à genoux sur leur lit pour border la couette contre le mur, j'ai senti une de ses mains se poser sur mes fesses.
Il me dit :"c'est moi qui ai offert cette culotte et j'ai le droit de baiser celle qui la porte. "
Il m'a fait culbuter sur le dos, une main sur mon sexe qui réagissait et m'a traité de petite pédale en m'embrassant dans le cou, me croquant l'oreille avant de mettre sa langue dans ma bouche.
Jj'ai répondu présent à son baiser vorace, surtout qu'il avait réussi à glisser sa main jusqu'à ma bite et mes couilles d'abord, puis poursuivait la course de son majeur jusqu'à pa chatte, humide, et qui n'attendait que ça, pour couler d'avantage.
Je n'avais jamais pensé que Gérard pouvait être attiré par une petite pédale travestie comme moi.
Collant arraché, il s'est posé sur la bosse dans la culotte de sa femme, en a fait sortir la tête de mon gland et a commencé à la bisouiller, à la lécher, à l'emboucher pour mon plus grand plaisir. Il a leché index et majeur puis est allé tester la souplesse de ma chatte qui s'est jetée dessus comme une affamée qu'elle est.
Je lui ai dit que j'allais tout cracher s'il continuait, mais à la façon de rajouter l'annulaire dans mon cul, et d'aspirer de plus en plus fort ma bite, j'ai compris qu'il voulait ma liqueur d'amour. Je me suis laissé aller au plaisir de la décharge et il a tout avalé.
J'étais brisée, mais lui avait toujours la trique, un bout de bois dur. J'avais la chatte béante, il n'a eu qu'à me faire mettre à genoux au bord du lit, pour s'enfoncer jusqu'à ses couilles dans ma chatte gluante.
Oh que c'est bon, comment fait-il pour que mon sexe se redresse avec un peu de douleur quand même, mais avec une telle jouissance à chaque aller-retour.
A SUIVRE
5 months ago