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2025 - Le printemps - Hortense de Valreuse

Et oui…
Je suis la belle-maman d’Agnès…
Une De Valreuse, dans notre lignée, depuis les années 1795…

Un pedigree familial avec des hauts et des bas, sans vrais héros, mais beaucoup de prestige, surtout vers 1900, avec la naissance de la Société qui porta ce nom un certain temps…
Puis, depuis mon père, une baisse sensible de réputation et proche de tomber dans l’oubli…
Nous sommes désormais dans la finance, c’est plus discret que l’industrie…

Hortense
J’ai 69 ans, mère de son époux, mon mari a pris la suite de son père, à la direction de la banque à notre nom…
Théo est beau, instruit par les meilleures écoles européennes dans lesquelles il s’est formé, avant de rencontrer sa future épouse…

Catholiques avant tout, la famille a porté haut les valeurs de cette religion…
Donc, Théo est un pratiquant assidu, et a donné à sa famille, ce respect et ses principes…

C’est là que j’interviens…
Car mon mari n’est pas resté sans tâche…
Et de ce fait, moi non plus !
Mais ces salissures, ces atteintes au bon respect des principes de notre religion, n’ont pas rejailli en dehors de notre lignée, et son restées dans le confessionnal qui les ont entendues…

Mariée en 1962, issue d’une famille bourgeoise, j’ai rejoint les De Valreuse…
Adorée par ses parents, j’ai pris ma place peu à peu, aux côtés de mon époux…
2 enfants, messe tous les dimanches, habits d’apparat…
Train de vie de bourgeoise, avec personnel, nounou, cuisinière, et femme de chambre…
Elle fut mon île, ma bouée, mon phare, ma conseillère…
Elle partagea mon intimité pendant toutes ces années…

C’est vers 1982 que j’ai compris…
Mes parents venaient de décéder…
Les siens étaient au plus bas, en maison de soins…

Théo allait devenir le PDG de la banque, et le Maître du domaine de Valreuse, héritant du patrimoine de la famille…
Cela lui monta à la tête, et nos relations se dégradèrent…
Avant que cela ne soit de notoriété publique, 10 années se sont écoulées…

Ma vie était un rêve, nous avions déménagé dans le Château, un ensemble de bâtiments assez cossus, entourés de nature et d’un lac, écuries, garages, et autres dépendances…
J’avais tout ce que je désirais, voyages, croisières, voitures, vacances au Ski, dans des Iles de rêve, 5 résidences secondaires…

En ville, on me saluait, quelques-unes de mes ex amies me souriaient, mais le charme était rompu, brisé par les us et coutumes, les préceptes ancestraux de la Société…

Je n’étais plus une villageoise, mais un symbole de réussite, envié, souvent critiqué, car l’argent fait de nous des coupables…

Je vivais entre mes enfants, mon domaine, et mes employés.
Ma femme de chambre, Sophie, était devenue mon ange gardien, et mon amie…
Nous étions sollicités, Théo et moi, par les gens de toutes catégories, essayant de profiter de nous, et surtout de moi…
Elle s’occupait de mes rendez-vous, organisait mes journées, classant mes visiteurs en plusieurs thèmes et adressant les autres vers mon mari…
D’affairistes à politicards, en passant par courtisans…

Je recevais dans mon boudoir, écoutais, et parfois la conversation déviait…
J’étais courtisée, mais attentive, draguée, mais flattée… Attirée, mais souriante…

Puis je m’aperçus que je n’étais plus seule dans la vie de mon époux…
Dans sa fuite en avant pour diriger la banque, et pour profiter de sa puissance, la montrer, il m’oubliait…
Des femmes au jeu, des excès en tous genres…
On me racontait… Les gens adorent ça…
Être cocue fait les gorges chaudes de la société, celles de nos amis, nos voisins, et maintenant des réseaux sociaux…

Bref, nos réceptions devenaient légendaires, dans la région, se transformant en bals masqués, où les femmes se libéraient et les hommes savouraient…

Le canapé de mon boudoir attesta de ce changement, j’arrêtais de recevoir les inutiles, de porter une gaine, et recevais mes prétendants en robe d’intérieur vaporeuse…

Je fis ainsi quelques heureux, qui eurent le plaisir de me courtiser…
Certains passèrent dans ma chambre, avec l’agrément de Sophie, qui assurait discrètement ma sécurité.
On me pointait du doigt à l’église, les cocues me fustigeaient…
Je passais, hautaine, en robe stricte, sentant l’adultère, mais pardonnée…

Quand j’étais invitée, je me déguisais, loup, et habits de circonstance, parfois osés, très éthérée…
Les hommes se donnaient le mot, et se battaient pour une danse…
Je leur accordais de me prendre dans leurs bras, de me faire virevolter, de me coincer sous un escalier ou dans les jardins, pour me caresser en essayant de m’embrasser…
Et lorsque le désir devenait souverain, je les priais de me rejoindre à l’écurie, pour une chevauchée fantastique…

Il n’y avait pas la pilule contraceptive, c’était encore en test avec pas mal d’échecs…
Je portais un stérilet… Et souvent, je leur mettais un préservatif…

Je me laissais flirter, triturer, je jouissais de leurs préliminaires…

Dépoitraillée dans un box vide, à moitié nue, mais avec mon loup sur le visage, ils me faisaient jouir, puis me baisaient sur la paille ou dans le foin, en levrette et dans toutes les positions.
Ils me remplissaient de leur semence, massant mes seins généreux, et pour les plus audacieux et les plus intenses, je leur accordais ma porte arrière…

J’adorais me faire lutiner en cachette, sentir leur membre dans tous mes trous, vibrer de tout mon corps, jouir en femme libérée, en femme adultère…

Je revoyais certains, dans des palaces, loin de notre région, des week-ends de délices, je devenais vestale, idolâtrée, chienne insatiable, putain du roi…
J’exprimais mes râles avec force, quand ils s’enfonçaient en moi…

J’aimais me faire prendre derrière la porte d’entrée de la suite, un verre de champagne à la main, la culotte aux chevilles, arcboutée, les seins pendants, tressautant à chaque coup de reins…
Je me donnais comme une bourgeoise délurée, attisant leur désir, me laissant pénétrer, puis m’allongeais sur le dos, leur offrant mon bonbon d’amour…

Et là, alanguie et offerte, leur langue mettait le feu à ma chatte, préparait leur intromission, excitait mes tétons, mon clitoris, mon ventre enflammé, mon désir au maximum…

Je n’étais plus la même, motivée par la vengeance, par le dégoût…
Et à mon retour, Sophie me consolait, soignait mes bleus parfois, je lui confiais ma faute, pleurais à chaudes larmes, honteuse de ces écarts de conduite…

Une fois, elle m’embrassa…
J’étais perdue, sous le choc d’une séance abusive…
J’ai cédé, mais Sophie veillait et vint à mon secours…
Elle vira le malpropre qu’elle avait fait entrer…
Elle me calma, me prit dans ses bras…
J’ai ressenti le désir de la serrer contre moi, de la laisser me câliner, de savourer mes seins, de les imbriquer dans les siens, de ressentir tendresse et complicité, de lui offrir ma vulve, écartelée…
Le désir nous emportait, nues, enlacées, on fit l’amour pour la première fois…
Stricte et anodine dans ses habits de servante, elle se révélait sensuelle, un tempérament de feu, j’ai craqué…

J’ai goûté son nectar, elle visitait mon intimité, plongea dans mon méat, me fit crier de plaisir, oublier cet incident, le premier depuis mon ouverture au monde…

Elle jouissait sous mes doigts, s’écartelait pour moi, nous devenions amantes, et on aima cette fusion, ce partage…

Après cette révélation pour moi, j’alternais les genres…
Cela affola certaines mégères, et quelques grenouilles de bénitier, si bien que M. Le Curé m’entretint d’une rumeur parmi ses ouailles, à mon sujet…
Non, je ne trompe pas mon mari, je lui rends la monnaie de sa pièce, de façon lesbienne, pas de pénétration, pas de tromperie…

Il me regarda dans les yeux, loucha sur ma poitrine…
- Vous savez, mon père, nous ne sommes que quelques années sur terre, en tant qu’hommes et femmes…
Chacun et chacune prend son plaisir où il le trouve, et si d’aventure ma confession vous offusque, je prendrais soin d’y remédier avec dextérité…
- Chère Hortense, vous faites des heureux parmi mes paroissiens, un peu comme un médecin… Et maintenant, vous réconfortez aussi mes paroissiennes. Moi, il m’est interdit de le faire… Je ne peux vous blâmer d’agir en ce sens, et serais heureux, en toute discrétion, de compter parmi vos patients…
- Venez ce soir, après les vêpres, je vous attendrai, Sophie vous fera entrer…
- Ah ! Cette chère Sophie… Je peux bien vous le dire, elle était prête à venir au presbytère, pour m’aider dans mes tâches ménagères, mais le salaire que Théo lui proposa emporta la partie… Je ne pouvais la payer qu’avec le denier du clergé… Nous étions très proches, elle s’en serait satisfaite, si je la logeais au presbytère… Mais cette promiscuité venait à l’encontre de mon serment de prêtre…
Si cela se savait je pouvais être révoqué…
On a mis un terme à notre collaboration, à regret, elle est rentrée au château…
Et je vois qu’elle y est bien et que vous en profitez…

Je ne dirai jamais ce que j’ai fait au prêtre, pour le récompenser de son absolution…
Et de ses compliments…

Sophie
J’avais raconté notre conversation à Sophie, qui valida…
Oui, elle était tombée amoureuse de ce jeune curé qui la couvrait de son regard paternel…
Elle était dévouée, préparait sa chasuble, soignait son apparence, lui faisait la cuisine, entretenait la modeste cure…
Cela me faisait penser à ce beau film « Les oiseaux se cachent pour m o u r i r »…

Elle s’octroyait de temps en temps quelques privautés, s’étendait contre lui, lors de ces longues soirées d’hiver, avant la dernière messe, dans le froid du presbytère, rêvant d’adultère, car elle était toujours mariée selon la loi…
Après minuit, soucieuse des convenances, elle rentrait chez elle, l’âme en paix, sentant la bougie, l’encens, le vin de messe…

Dans son mariage arrangé, elle était libre. Elle n’aimait pas son mari, qui l’avait épousée uniquement pour ce contrat, et au prix de largesses pécuniaires pour ses parents…
Elle n’avait pas ainsi le sentiment de tromper sa famille, ni son mari, occupé à d’autres affaires, puisque sa relation avec M. le curé était platonique, et elle passait la majorité de son temps avec lui, jusque dans sa couche, comme deux amis…

Parfois, lors de son retour chez elle, sur sa bicyclette rouge, elle se demandait ce qui s’était passé après les vêpres…

Elle avait encore le goût de la soupe de légumes qu’ils avaient partagé à la lueur d’une bougie, ce fromage délicieux qu’une paroissienne lui avait apporté, accompagné d’un verre de vin rouge, et ces fruits frais et juteux, cueillis au matin dans le jardin de la cure, qu’elle pelait avec précision et s’en délectait en passant sa langue sur ses lèvres…
Il la regardait manger les fruits, ne disait mot, s’identifiant aux oranges tendrement épluchées, ou, encore plus intense, quand elle suçait une fraise qu’elle prenait du bout des lèvres, délicatement, et en savourait le jus…

Il lui semblait avoir rêvé cette soirée particulière, inventé un conte de fées, leurs baisers, sentir ses mains sur sa peau, allongés dans la couchette, se réchauffant comme des Esquimaux…

Elle se sentait bien, rassurée, heureuse de cette journée, enveloppée d’un halo de tendresse, avec au fond d’elle-même un sentiment diffus, des pensées secrètes, au goût de sexe…
Ce qui la réjouissait, c’était que le lendemain, elle revivrait la même journée, avec les mêmes douceurs, et, son travail accompli, elle profiterait de sa récompense…

Hortense
Ah, Sophie…
Elle fut complice de ma prise de conscience, de cette vérité…
Elle m’avouait ses dérives, en toute innocence… Belle et ravie de son nouveau statut de Dame de Compagnie…

Quand Sophie introduisit le prêtre, quelques jours plus tard, j’avais déjà oublié ma promesse…
Oui, je devais le récompenser, pour être complètement absoute de mes frasques parmi les fidèles de la paroisse…

Sophie ne savait pas pourquoi il m’avait demandé une audience…
Je la voyais inquiète, perturbée, le matin même, en attendant son arrivée…

- Madame, voici M. le Curé… Il a demandé à vous voir en privé…
- Faites-le entrer dans mon boudoir, fermez bien toutes les portes, porte principale et les autres, à clé, et ne laissez entrer personne sous n’importe quel prétexte…
- Bien madame…
- Sophie ?
- Oui, madame ?
- Restez au premier étage, j’aurais sans doute besoin de vous…
- Pour le prêtre ?
- Oui… Un cadeau…

Dans son habit simple, ses yeux brillants, ses mains qui ressortaient des manches longues de sa veste, une simple croix à son cou…
Je le fis assoir, sur mon canapé, face à mon fauteuil…
J’avais fait l’effort de mettre une robe moins éthérée, mes seins un peu moins découverts, mon rouge à lèvres un peu moins rouge…
Je lui dis bonjour, souriante et amène…
Je lui rappelais le pourquoi de sa visite, pour savoir s’il était en phase…
Le curé et l’homme attendaient mon bon-vouloir…

- Venons-en au fait… Je vous remercie de m’avoir pardonnée en partie, au sujet de ces séances, engendrant certaines jalousies, parmi vos ouailles, des femmes, des maitresses, qui ne supportent pas un simple constat d’échec…
- Je vois votre subtilité… Ces dames ont le sentiment d’avoir été trompées… Vous m’avez, en confession, avoué ces largesses d’esprit avec ces messieurs leurs époux, amants, ou compagnons… L’église ne peut tolérer une pratique adultère, vous le savez… Je sais aussi que vos réconforts amicaux les rassérénaient… Un traitement bien accompli, naturel dans l’intimité d’un couple… Mais depuis que la société évolue vers une certaine liberté de mœurs, le respect de nos préceptes, de notre morale, est galvaudé…
Des dérives de genre, sont envisagées par le nouveau pape… Les tromperies dans le couple, prennent la pas, avec une sexualité dite libre, voire libertine…
Le besoin, l’envie, le manque, le réconfort, sont des raisons compréhensives.
- Oui, mon père, ces messieurs, au nombre restreint, avaient besoin d’un réconfort urgent… Je me suis dévouée devant tant de détresse, partageant avec eux le poids de leurs tourments, et leur appliquant un traitement approprié, avec toute ma féminité…
Un besoin urgent de tendresse, mais surtout un besoin ciblé, que tous les amants pratiquent, dès les premiers tourments… Ils ont pour nom fellation, masturbation, caresses mammaires, flirt poussé… Ensuite, le désir emportant nos corps, on parle de pénétration, de coït, de sodomie, un ensemble qui se nomme amour physique, celui qui déchaîne les passions les plus folles, et les unions adultères…
- Mon dieu, Madame, ces mots frappent le pauvre homme d’Eglise que je suis… J’entends ces mots dans les confidences de mes pêcheurs et pécheresses… La chair est faible et cela je le sais depuis mon sacrement… Nous nous défendons de cette attirance malsaine vers ces pratiques sexuelles interdites… Et même en pensée…
- Il vous est arrivé quand même de friser ces pratiques, avec Sophie par exemple… Elle m’a raconté sa vie avant de venir travailler pour mon mari… Son plaisir de vous servir, de vivre à vos côtés, pour vous aider dans vos tâches ménagères… Et parfois, le partage facilite les échanges, crée des moments d’intimité, débordant du cadre de la fonction principale… Sophie se dévouait corps et âme… Son âme était entre de bonnes mains, son corps vous réchauffait les soirs d’hiver…
- C’est vrai, mais je le nierai jusqu’à ma mort, ceci est entre nous, j’ai aimé ces instants d’intimité, ces relâchement de fin de journée, l’hiver propice à des échanges épidermiques salutaires… J’ai tout fait à Sophie, en rêve, je me confessais pour les assumer… J’étais prêt à renoncer à mon sacerdoce, pour profiter de cette femme rare et si dévouée au culte…
- N’exagérez pas non plus, les mots vous entrainent, car si je vous disais que cette intimité sexuelle avec ma femme de chambre, peut être considérée comme une récompense ? Qu’elle pourrait se dérouler dans un espace-temps, comme ailleurs de ce monde, une chambre d’amour dédiée aux rêves interdits…
- Mon dieu ! Ma fille, n’insistez pas pour me tenter par le diable…
- Dites non aux délices de l’Eden ? Repoussez les démons, mais réalisez votre rêve, le seul autorisé par seing spécial, pour réparer ce que Théo a cassé… Votre amour réciproque Sophie et vous…
- Je vais être damné, répudié, banni…
- Mais non, qui le verra ? Je serai avec vous, et partagerait ce moment…
- Je n’ai jamais et de rapport sexuel avec Sophie, je vous le jure, à vous et à mon Dieu !
- Justement, c’est cela qui vous mine… Ce manque depuis ces années, ces rêves qui vous hantent, ces souvenirs dans votre mémoire, ancrés…
- Vivez pendant une heure, c’est le temps que j’ai pu négocier avec les instances, pour vous remercier de faire votre devoir, jusqu’au bout…
- Sophie ! Tu peux entrer, on a quelque chose à te dire !

Le reste est carré blanc…
Seuls nous trois savons les détails de ce qui s’est passé dans ce boudoir…
Sophie, M le Curé et moi, Hortense de Valreuse…

Pour info :

J’ai reçu l’absolution en même temps… (Quelle délivrance !)
J’ai sucé l’hostie, posée sur ma langue… (Un peu étrange, mais il le fallait, Sophie aussi…)
J’ai pris le cierge dans ma main… (Partagé avec Sophie…)
J’ai prié la Sainte Vierge… (Sophie… Elle a avoué ses péchés)
J’ai fait mes pénitences comme au confessionnal… (A genoux !)
J’ai égrené mon chapelet en billes d’olivier… (Miam !…))
J’ai accepté la main du père qui m’a bénie… (Sur mon front au début…)
J’ai senti sa main partout, quand elle chassait Satan… (Et ça a levé !)
J’ai repris le cierge et j’ai soufflé dessus pour l’éteindre… (Il était en feu !...)
Nous sommes ressorties purifiées de nos péchés… (Pures et innocentes !)

C’est la première fois que je vois le curé se précipiter à la sacristie pour s’administrer une punition ! Se confesser directement au Seigneur, et téléphoner à son supérieur…

C’étaient les mémoires d’une dame pieuse et respectable, en ce temps…
J’avais retrouvé son journal intime…
Je ne pouvais pas garder cela pour moi…
Et même si j’en ai rajouté, je ne suis pas loin de la vérité toute nue…

FIN
Marika842010 - avril 2025
Published by marika842010
3 months ago
Comments
1
ccandau
ccandau 3 months ago
encore une histoire pleine de sensualité pleine de sous entendu à ces nobles comme les hommes d'églises sont pleins de non dits aloors qu'ils sont hommes avant tout et on des besoins que cette baronne ou comtesse a su découvrir ses besoins faisant fi de toute morale un grand merci Marikachérie ton Christian
Reply

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