Apprentissage
Au moment du Covid j’avais 25 ans et je commençais ma vie professionnelle. J’habitais Bordeaux dans un studio. J’avais déjà fréquenté des filles mais je m’étais vite aperçu que je préférais sucer des bites.
Avec le confinement je me suis retrouvé coincé dans mes 22 m2. Que faire d’autre que se masturber en regardant des vidéos pornographiques ? Naturellement j’étais plutôt porté vers les vidéos gay et bien sûr en voyant tout ces beaux gars se faire enculer avec tant de plaisir j’ai voulu essayer. D’abord une carotte, puis un concombre et enfin un god assez petit acheté sur le net et livré dans un paquet discret. J’ai pris plaisir à publier des photos de mes outils bien enfoncés et j’adorai lire les commentaires qui étaient publiés.
Après un mois, ou plus, il a enfin été décidé qu’on pourrait voyager dans un rayon de 100km. Aussitôt je suis parti sur les bords de l’Atlantique pour un camp naturiste dont j’avais vu la publicité. Malgré le fait que je n’avais pas pu les joindre au téléphone je comptais y passer plusieurs jours. Arrivé sur place j’ai trouvé le portail ouvert mais personne a l’accueil ou dans le bureau. Au bout d’un certain temps j’ai fini par rencontrer un homme en bleu de travail. Un grand black athlétique et souriant qui m’a expliqué que le centre était fermé et qu’il était seul sur place depuis l’ automne pour assurer le gardiennage et l’entretien. Nous avons engagé la conversation et devant mon désespoir il m’a dit que je pouvais laisser ma voiture sur le parking du centre pour aller à pieds jusqu’à la mer qui était tout près, de l’autre côté de la dune.
Aussitôt dit aussitôt fait je me suis installé, avec délice, entièrement nu sur la plage déserte.
L’après-midi c’est passée sans que je m’en aperçoive.
Comme je pensais à rentrer le gardien est apparu, toujours souriant, en m’expliquant qu’il avait fini sa journée de travail et qu’il venait se détendre aussi.
Il a déplié sa serviette et, comme moi, s’est entièrement dévêtu, exhibant une bite et des couilles impressionnantes.
Je n’ai pas pu ne pas regarder et l’effet a été immédiat, je me suis mis à bander comme un cerf.
- dit donc on dirait que je te fais de l’effet, non ?
- tu aimes ma grosse bite noire ?
- tu veux la toucher ?
Quoiqu’un peu intimidé je ne me suis pas fait prier. Tenir cet engin alors que je n’ai fait qu’en regarder pendant un mois. Quelle excitation !
Je caressais cette belle bite encore un peu molle, ces grosses couilles pendantes.
- n’hésites pas, branle moi, suce moi. En te voyant entièrement rasé j’ai tout de suite compris que tu aimais la bite.
Effectivement pour occuper ma solitude et agrémenter mes exhibitions et mes masturbations, j’avais pris l’habitude de me raser tout le corps et notamment la bite, les couilles et le trou du cul.
Maintenant il faut réaliser mes rêves.
Il est couché sur le dos, je suis à genoux à côté, je me penche pour le prendre en bouche, je tête son gland circoncis, titille son méat avec ma langue, descend le long de sa hampe, lèche ses couilles, remonte pour l’avaler tout entier et faire une gorge profonde. Bien sûr je n’y arrive pas entièrement, il est trop gros. En tout cas il est maintenant bien raide et il apprécie :
- c’est bien, tu es une bonne suceuse, continue, continue..
Moi je voudrai que ça n’arrête jamais, je tête comme si ma vie en dépendait, j’aspire, je salive. J’ai les reins cambrés et le cul largement ouvert. Ma bite et mes couilles ballotent entre mes cuisses au rythme de mes coups de tête. J’aimerai tant que quelqu’un vienne m’enculer à cet instant dans cette position.
Gentiment mon compagnon me propose de venir en 69 pour qu’il puisse lui aussi me donner du plaisir.
Nous sommes couchés sur le côté, j’ai la tête entre ses cuisses musclées et sa bite dans la bouche.
Quel rêve !
Lui aussi me suce et me doigte le trou en utilisant comme lubrifiant la mouille abondante qu’il cueille au bout de ma bite. Un, deux doigts. Il me masse la prostate. Il remarque :
- tu es bien ouvert, je suis sûr que tu pourrais prendre ma queue.
Bientôt il m’annonce :
- je vais jouir !
Je ne l’abandonne pas pour autant, je veux tout recevoir dans la gorge. Il crache son jus et j’avale avec délice. Que c’est bon. Je nettoie sa bite avec ma langue, lèche ses couilles, sa hampe..
- à ton tour de jouir.
Il prend ma queue à pleine main et me branle énergiquement. Bien sûr je ne tarde pas à cracher plusieurs jets qui m’electrisent.
Je suis heureux et lui aussi.
On s’enlacent, on s’embrassent, langue contre langue.
Nous restons ainsi de longues minutes jusqu’à ce que Bernard (nous avons eu le temps de faire les présentations) me propose de venir prendre une douche dans le bungalow qu’il occupe. Sur le chemin qui nous ramène au camp mon cœur bat la chamade dans l’attente de ce qui va se passer. Je me sens comme une jeune mariée qui va découvrir le loup. Nous entrons ensemble dans la douche - qui n’est pourtant pas très grande - et nous nous savonnons mutuellement. J’adore frotter sa poitrine et ses tétons proéminents. Lui il insiste sur mon trou du cul. Avec le savon ses doigts rentrent facilement. Il s’excite de plus en plus. Il m’explique qu’il n’a pas eu de femme depuis longtemps et me demande si je veux bien jouer ce rôle. Très vite nous sommes hors de la douche, sommairement séchés et nous nous jetons sur le lit.
- je vais t’enculer, tu vas adorer.
- pas trop fort quand même je n’ai pas l’habitude.
- ne craint rien j’irai tout doucement au début et après c’est toi qui en redemandera.
Ça y est je suis accroupi sur le lit, les fesses en l’air, le trou rempli du lub que j’avais eu la précaution d’emmener.
Son gland est contre mon trou que j’essaye d’ouvrir en poussant. Il avance d’un cran
- ça y est je suis entré. Tu as mal ?
- un peu mais ca va.
- branle toi pour associer le plaisir à la pénétration.
- attention je vais l’enfoncer, mais n’ai pas peur je n’irai pas jusqu’au bout cette fois.
Doucement, lentement il avance. Je sens mon trou qui se rempli, comme avec mon god, mais plus important. La douleur est faible, la sensation intense. J’aime et je le lui dit :
- c’est bon, j’adore, oui, baise moi, encule moi, je suis ta femme…
Il commence à limer, tranquillement, calmement. Quelques millimètres puis davantage, de plus en plus, il entre, il sort, vite, lentement, il varie le rythme et la profondeur. Il est hyper raide. Moi je chaloupe du cul et des reins pour suivre ses mouvements. Je suis tellement content et fier de lui donner du plaisir.
Je m’étends sur le ventre et il se couche sur moi. Il m’écrase de tout son poids tout en limant avec des petits mouvements de hanche. Je suis entièrement à lui. J’adore.
Après nous nous mettons sur le côté. Je lève la jambe pour lui permettre de mieux coulisser, jusqu’au fond, dans mon trou. Il peut aussi m’attraper la pine pour me branler. Nous sommes en sueur tous les deux, nos peaux glissent l’une contre l’autre, il m’embrasse dans le cou, triture ma bite, mes couilles, mes tétons.
Il lime depuis une demi-heure ? Une heure ? Plus ? Je ne sais plus. J’ai complètement perdu la notion du temps.
Enfin je le sens qui se raidi et qui accélère.
- je ne peux plus tenir davantage, je vais jouir. Tu acceptes que je jouisse au fond de ton cul ? Je suis clean.
- oui, oui, vas y je suis ta femme, je veux recevoir ta semence en moi.
Un dernier coup de rein et il crie son plaisir. Moi même je jouis peu après.
- reste en moi, ne t’en va pas, c’est bon, c’est trop bon !
Naturellement il fini par débander et sa bite sort de mon cul. La sensation de vide est déprimante mais on peut s’embrasser et se caresser.
- tu ne vas pas reprendre la route à cette heure. Reste ici pour la nuit, demain on verra.
En fait je suis resté jusqu’au dimanche suivant et j’ai passé une semaine de baise incroyable. J’étais continuellement excité, en rut. J’ai découvert avec ravissement qu’il avait de gros besoins sexuels que je me suis efforcé de satisfaire. En résumé on baisait, ou plutôt il me baisait cinq à six fois par jours ! Le matin au réveil, après le déjeuner pendant la sieste, à la fin de sa journée de travail, pendant l’apéro, au moment du couché… Parfois la nuit je sentais sa bite raide contre mes fesses et je me l’introduisais pour m’offrir un tour supplémentaire. Bien sûr, dans un camp de nudiste, nous vivions entièrement nus ce qui facilitait les choses. Une fois il m’a surpris et pris contre l’évier alors que je faisais la vaisselle ! Comme une ménagère. Nous avons baisé plusieurs fois sur la plage au coucher de soleil, dans les douches du camp, dans le bureau du directeur… Je garde un souvenir particulier d’une soirée où nous nous étions installés dans un canapé sur la terrasse du restaurant, face à la mer. J’étais pelotonné sur ses genoux, nous nous embrassions, il me caressait la poitrine, pinçait et tirait mes tétons, ce qui a le don de me mettre dans un état d’excitation incroyable. Quand je l’ai senti devenir raide j’ai juste eu à me lever et m’asseoir à nouveau pour m’empaler sur sa bite. Après c’est moi qui ait fait tout le travail avec une série de squats très bon pour les cuisses.
Évidemment, avec ce régime mon trou est devenu beaucoup plus souple et accueillant. Nous utilisions toujours le lubrifiant par facilité mais on aurait pu s’en passer. Même après plusieurs coups dans la journée il éjaculait toujours autant. Durant cette semaine de rêve j’ai absorbé, par la bouche et par le cul, plus de sperme que je n’en avait craché en 10 ans de masturbation.
Malheureusement les meilleures choses ont une fin et j’ai du partir reprendre le travail alors que lui même était occupé par la réouverture du centre. Bien sûr je suis revenu tous les week-ends, il est venu chez moi lors de ses congés et finalement je l’ai épousé pour lui permettre d’avoir une carte de résident. Il m’a promis qu’il m’emmènerait chez lui au Sénégal rencontrer ses deux femmes et ses enfants qu’il n’avait pas vu depuis deux ans.
En attendant je suis devenu une vrai tapette accro à la grosse bite noire et je ne rate jamais une occasion de me faire enculer mais ce n’est pas toujours évident à trouver surtout en province.
Avec le confinement je me suis retrouvé coincé dans mes 22 m2. Que faire d’autre que se masturber en regardant des vidéos pornographiques ? Naturellement j’étais plutôt porté vers les vidéos gay et bien sûr en voyant tout ces beaux gars se faire enculer avec tant de plaisir j’ai voulu essayer. D’abord une carotte, puis un concombre et enfin un god assez petit acheté sur le net et livré dans un paquet discret. J’ai pris plaisir à publier des photos de mes outils bien enfoncés et j’adorai lire les commentaires qui étaient publiés.
Après un mois, ou plus, il a enfin été décidé qu’on pourrait voyager dans un rayon de 100km. Aussitôt je suis parti sur les bords de l’Atlantique pour un camp naturiste dont j’avais vu la publicité. Malgré le fait que je n’avais pas pu les joindre au téléphone je comptais y passer plusieurs jours. Arrivé sur place j’ai trouvé le portail ouvert mais personne a l’accueil ou dans le bureau. Au bout d’un certain temps j’ai fini par rencontrer un homme en bleu de travail. Un grand black athlétique et souriant qui m’a expliqué que le centre était fermé et qu’il était seul sur place depuis l’ automne pour assurer le gardiennage et l’entretien. Nous avons engagé la conversation et devant mon désespoir il m’a dit que je pouvais laisser ma voiture sur le parking du centre pour aller à pieds jusqu’à la mer qui était tout près, de l’autre côté de la dune.
Aussitôt dit aussitôt fait je me suis installé, avec délice, entièrement nu sur la plage déserte.
L’après-midi c’est passée sans que je m’en aperçoive.
Comme je pensais à rentrer le gardien est apparu, toujours souriant, en m’expliquant qu’il avait fini sa journée de travail et qu’il venait se détendre aussi.
Il a déplié sa serviette et, comme moi, s’est entièrement dévêtu, exhibant une bite et des couilles impressionnantes.
Je n’ai pas pu ne pas regarder et l’effet a été immédiat, je me suis mis à bander comme un cerf.
- dit donc on dirait que je te fais de l’effet, non ?
- tu aimes ma grosse bite noire ?
- tu veux la toucher ?
Quoiqu’un peu intimidé je ne me suis pas fait prier. Tenir cet engin alors que je n’ai fait qu’en regarder pendant un mois. Quelle excitation !
Je caressais cette belle bite encore un peu molle, ces grosses couilles pendantes.
- n’hésites pas, branle moi, suce moi. En te voyant entièrement rasé j’ai tout de suite compris que tu aimais la bite.
Effectivement pour occuper ma solitude et agrémenter mes exhibitions et mes masturbations, j’avais pris l’habitude de me raser tout le corps et notamment la bite, les couilles et le trou du cul.
Maintenant il faut réaliser mes rêves.
Il est couché sur le dos, je suis à genoux à côté, je me penche pour le prendre en bouche, je tête son gland circoncis, titille son méat avec ma langue, descend le long de sa hampe, lèche ses couilles, remonte pour l’avaler tout entier et faire une gorge profonde. Bien sûr je n’y arrive pas entièrement, il est trop gros. En tout cas il est maintenant bien raide et il apprécie :
- c’est bien, tu es une bonne suceuse, continue, continue..
Moi je voudrai que ça n’arrête jamais, je tête comme si ma vie en dépendait, j’aspire, je salive. J’ai les reins cambrés et le cul largement ouvert. Ma bite et mes couilles ballotent entre mes cuisses au rythme de mes coups de tête. J’aimerai tant que quelqu’un vienne m’enculer à cet instant dans cette position.
Gentiment mon compagnon me propose de venir en 69 pour qu’il puisse lui aussi me donner du plaisir.
Nous sommes couchés sur le côté, j’ai la tête entre ses cuisses musclées et sa bite dans la bouche.
Quel rêve !
Lui aussi me suce et me doigte le trou en utilisant comme lubrifiant la mouille abondante qu’il cueille au bout de ma bite. Un, deux doigts. Il me masse la prostate. Il remarque :
- tu es bien ouvert, je suis sûr que tu pourrais prendre ma queue.
Bientôt il m’annonce :
- je vais jouir !
Je ne l’abandonne pas pour autant, je veux tout recevoir dans la gorge. Il crache son jus et j’avale avec délice. Que c’est bon. Je nettoie sa bite avec ma langue, lèche ses couilles, sa hampe..
- à ton tour de jouir.
Il prend ma queue à pleine main et me branle énergiquement. Bien sûr je ne tarde pas à cracher plusieurs jets qui m’electrisent.
Je suis heureux et lui aussi.
On s’enlacent, on s’embrassent, langue contre langue.
Nous restons ainsi de longues minutes jusqu’à ce que Bernard (nous avons eu le temps de faire les présentations) me propose de venir prendre une douche dans le bungalow qu’il occupe. Sur le chemin qui nous ramène au camp mon cœur bat la chamade dans l’attente de ce qui va se passer. Je me sens comme une jeune mariée qui va découvrir le loup. Nous entrons ensemble dans la douche - qui n’est pourtant pas très grande - et nous nous savonnons mutuellement. J’adore frotter sa poitrine et ses tétons proéminents. Lui il insiste sur mon trou du cul. Avec le savon ses doigts rentrent facilement. Il s’excite de plus en plus. Il m’explique qu’il n’a pas eu de femme depuis longtemps et me demande si je veux bien jouer ce rôle. Très vite nous sommes hors de la douche, sommairement séchés et nous nous jetons sur le lit.
- je vais t’enculer, tu vas adorer.
- pas trop fort quand même je n’ai pas l’habitude.
- ne craint rien j’irai tout doucement au début et après c’est toi qui en redemandera.
Ça y est je suis accroupi sur le lit, les fesses en l’air, le trou rempli du lub que j’avais eu la précaution d’emmener.
Son gland est contre mon trou que j’essaye d’ouvrir en poussant. Il avance d’un cran
- ça y est je suis entré. Tu as mal ?
- un peu mais ca va.
- branle toi pour associer le plaisir à la pénétration.
- attention je vais l’enfoncer, mais n’ai pas peur je n’irai pas jusqu’au bout cette fois.
Doucement, lentement il avance. Je sens mon trou qui se rempli, comme avec mon god, mais plus important. La douleur est faible, la sensation intense. J’aime et je le lui dit :
- c’est bon, j’adore, oui, baise moi, encule moi, je suis ta femme…
Il commence à limer, tranquillement, calmement. Quelques millimètres puis davantage, de plus en plus, il entre, il sort, vite, lentement, il varie le rythme et la profondeur. Il est hyper raide. Moi je chaloupe du cul et des reins pour suivre ses mouvements. Je suis tellement content et fier de lui donner du plaisir.
Je m’étends sur le ventre et il se couche sur moi. Il m’écrase de tout son poids tout en limant avec des petits mouvements de hanche. Je suis entièrement à lui. J’adore.
Après nous nous mettons sur le côté. Je lève la jambe pour lui permettre de mieux coulisser, jusqu’au fond, dans mon trou. Il peut aussi m’attraper la pine pour me branler. Nous sommes en sueur tous les deux, nos peaux glissent l’une contre l’autre, il m’embrasse dans le cou, triture ma bite, mes couilles, mes tétons.
Il lime depuis une demi-heure ? Une heure ? Plus ? Je ne sais plus. J’ai complètement perdu la notion du temps.
Enfin je le sens qui se raidi et qui accélère.
- je ne peux plus tenir davantage, je vais jouir. Tu acceptes que je jouisse au fond de ton cul ? Je suis clean.
- oui, oui, vas y je suis ta femme, je veux recevoir ta semence en moi.
Un dernier coup de rein et il crie son plaisir. Moi même je jouis peu après.
- reste en moi, ne t’en va pas, c’est bon, c’est trop bon !
Naturellement il fini par débander et sa bite sort de mon cul. La sensation de vide est déprimante mais on peut s’embrasser et se caresser.
- tu ne vas pas reprendre la route à cette heure. Reste ici pour la nuit, demain on verra.
En fait je suis resté jusqu’au dimanche suivant et j’ai passé une semaine de baise incroyable. J’étais continuellement excité, en rut. J’ai découvert avec ravissement qu’il avait de gros besoins sexuels que je me suis efforcé de satisfaire. En résumé on baisait, ou plutôt il me baisait cinq à six fois par jours ! Le matin au réveil, après le déjeuner pendant la sieste, à la fin de sa journée de travail, pendant l’apéro, au moment du couché… Parfois la nuit je sentais sa bite raide contre mes fesses et je me l’introduisais pour m’offrir un tour supplémentaire. Bien sûr, dans un camp de nudiste, nous vivions entièrement nus ce qui facilitait les choses. Une fois il m’a surpris et pris contre l’évier alors que je faisais la vaisselle ! Comme une ménagère. Nous avons baisé plusieurs fois sur la plage au coucher de soleil, dans les douches du camp, dans le bureau du directeur… Je garde un souvenir particulier d’une soirée où nous nous étions installés dans un canapé sur la terrasse du restaurant, face à la mer. J’étais pelotonné sur ses genoux, nous nous embrassions, il me caressait la poitrine, pinçait et tirait mes tétons, ce qui a le don de me mettre dans un état d’excitation incroyable. Quand je l’ai senti devenir raide j’ai juste eu à me lever et m’asseoir à nouveau pour m’empaler sur sa bite. Après c’est moi qui ait fait tout le travail avec une série de squats très bon pour les cuisses.
Évidemment, avec ce régime mon trou est devenu beaucoup plus souple et accueillant. Nous utilisions toujours le lubrifiant par facilité mais on aurait pu s’en passer. Même après plusieurs coups dans la journée il éjaculait toujours autant. Durant cette semaine de rêve j’ai absorbé, par la bouche et par le cul, plus de sperme que je n’en avait craché en 10 ans de masturbation.
Malheureusement les meilleures choses ont une fin et j’ai du partir reprendre le travail alors que lui même était occupé par la réouverture du centre. Bien sûr je suis revenu tous les week-ends, il est venu chez moi lors de ses congés et finalement je l’ai épousé pour lui permettre d’avoir une carte de résident. Il m’a promis qu’il m’emmènerait chez lui au Sénégal rencontrer ses deux femmes et ses enfants qu’il n’avait pas vu depuis deux ans.
En attendant je suis devenu une vrai tapette accro à la grosse bite noire et je ne rate jamais une occasion de me faire enculer mais ce n’est pas toujours évident à trouver surtout en province.
2 months ago