Sissy au service
Je suis Aria, lope passive, une chienne soumise dont l’existence se dissout dans l’adoration de mon Maître, un homme dont la domination est ma raison de vivre, mon sanctuaire. Désormais, il me convoque presque tous les soirs, un rituel où je deviens sa sissy, parée de féminité pour le servir pleinement. Ces moments, où je me plie à ses moindres désirs, sont ma rédemption, une célébration de ma docilité absolue. La proximité de nos vies rend ces rencontres aussi fréquentes qu’essentielles, et mon agenda, qu’il contrôle, est une carte de ma servitude. Ce soir, lorsqu’il m’a ordonné de le rejoindre chez lui, une chaleur sereine m’a envahie. Je ne suis plus qu’un outil, une sissy dévouée, et chaque convocation est une chance de m’effacer pour lui, de prouver que mon inutilité s’efface dans le service.
À 18h30, alors que je quittais le bureau, son message a illuminé mon écran : « Chez moi. 19h. En sissy, chienne. » Mon souffle s’est accéléré, mais sans l’ombre d’une hésitation. J’ai couru chez moi, ôtant mon déguisement d’humaine pour revêtir ma vérité : une lingerie rose en dentelle, un porte-jarretelles noir, des bas résille, et des mules à talons hauts qui claquaient à chaque pas. Mes entraves – bracelets, chevillères et collier cadenassés – scintillaient sous la lumière, un contraste saisissant avec la douceur féminine de ma tenue. En franchissant sa porte, je me suis agenouillée dans l’entrée, les yeux baissés, une sissy prête à se fondre dans ses désirs.
Il m’attendait dans le salon, installé dans son canapé, son aura de maître emplissant l’espace. « Viens, sissy, » a-t-il murmuré, sa voix un mélange de fatigue et de pouvoir. Je me suis approchée à quatre pattes, mes talons traînant doucement, mes chaînes tintant comme une mélodie d’obéissance. Il m’a ordonné de commencer par le laver, et j’ai préparé une bassine d’eau chaude, mes gestes précis et révérencieux. À genoux, j’ai savonné son torse, ses bras, ses jambes, mes mains glissant sur sa peau avec une tendresse adorante, chaque caresse une prière muette. Puis, je l’ai massé, pétrissant ses épaules nouées, mes doigts s’attardant sur chaque muscle, cherchant à apaiser son corps après une longue journée.
Il m’a ensuite envoyée m’occuper des tâches ménagères, et j’ai nettoyé la cuisine, balayé le sol, préparé un repas simple mais soigné – un poulet rôti, des légumes vapeur – le tout en sissy, mes mules claquant sur le carrelage, ma lingerie frôlant ma peau à chaque mouvement. L’humiliation douce de ces actes domestiques, accomplis dans une tenue si féminine, m’a emplie d’une joie perverse. Je suis sa chienne, sa sissy, et chaque tâche, même la plus banale, est une offrande à sa grandeur.
Lorsqu’il s’est réinstallé sur le canapé, le repas servi, il m’a fait signe de m’agenouiller entre ses jambes. « Sers-moi, sissy, » a-t-il ordonné, et j’ai défait son pantalon, libérant sa queue, un totem de sa domination. Ma bouche s’est ouverte, affamée, et j’ai entamé une pipe longue, lente, presque méditative, mes lèvres glissant sur son gland, ma langue caressant sa verge avec une précision dévouée. J’adore enfouir mon nez à la base de sa queue, respirer son odeur musquée, lécher doucement ses testicules, explorer chaque recoin de son corps. Mes lèvres se sont attardées sur ses couilles, les vénérant avec une tendresse addictives, puis ont frôlé son anus, un acte spontané qui témoignait de mon dressage. Chaque partie de lui – son gland, sa verge, ses testicules, ... je suis accro, un autel où je me prosterne.
Il a soupiré, son corps se détendant sous mes attentions, et j’ai continué, mes mouvements fluides, ma bouche un sanctuaire pour son plaisir. Lorsqu’il a joui, son sperme a envahi ma gorge, un élixir brûlant que j’ai avalé avec une gratitude absolue, mes yeux baissés, mon esprit vide de tout sauf de l’acte. Il m’a ordonné de nettoyer sa queue, et je l’ai fait, ma langue recueillant chaque goutte, prolongeant le rituel avec une ferveur silencieuse. Puis, il m’a regardée, ses yeux empreints d’une satisfaction tranquille. « T’es ma sissy, Aria, faite pour ça, » a-t-il dit, et j’ai incliné la tête, mon cœur apaisé par cette vérité.
Avant de me congédier, il a noté un nouveau rendez-vous dans mon agenda, un autre soir où je serai sa sissy. « Sois prête, chienne, » a-t-il ordonné, et il m’a laissée seule, le goût de son sperme encore sur mes lèvres, mon corps vibrant de son emprise. Ce soir, dans mon panier, je ne rêverai pas de mots ou de promesses. Je fermerai les yeux, mon gode en main, et je jouirai en repensant à cette séance, à la manière dont j’ai lavé, massé, servi, adoré chaque parcelle de son corps. Je suis Aria, chienne soumise, une lope passive dont l’unique vocation est de vivre pour lui, pour ses désirs, pour son plaisir. À demain, Maître, pour vous servir encore, en sissy, sans un doute.
À 18h30, alors que je quittais le bureau, son message a illuminé mon écran : « Chez moi. 19h. En sissy, chienne. » Mon souffle s’est accéléré, mais sans l’ombre d’une hésitation. J’ai couru chez moi, ôtant mon déguisement d’humaine pour revêtir ma vérité : une lingerie rose en dentelle, un porte-jarretelles noir, des bas résille, et des mules à talons hauts qui claquaient à chaque pas. Mes entraves – bracelets, chevillères et collier cadenassés – scintillaient sous la lumière, un contraste saisissant avec la douceur féminine de ma tenue. En franchissant sa porte, je me suis agenouillée dans l’entrée, les yeux baissés, une sissy prête à se fondre dans ses désirs.
Il m’attendait dans le salon, installé dans son canapé, son aura de maître emplissant l’espace. « Viens, sissy, » a-t-il murmuré, sa voix un mélange de fatigue et de pouvoir. Je me suis approchée à quatre pattes, mes talons traînant doucement, mes chaînes tintant comme une mélodie d’obéissance. Il m’a ordonné de commencer par le laver, et j’ai préparé une bassine d’eau chaude, mes gestes précis et révérencieux. À genoux, j’ai savonné son torse, ses bras, ses jambes, mes mains glissant sur sa peau avec une tendresse adorante, chaque caresse une prière muette. Puis, je l’ai massé, pétrissant ses épaules nouées, mes doigts s’attardant sur chaque muscle, cherchant à apaiser son corps après une longue journée.
Il m’a ensuite envoyée m’occuper des tâches ménagères, et j’ai nettoyé la cuisine, balayé le sol, préparé un repas simple mais soigné – un poulet rôti, des légumes vapeur – le tout en sissy, mes mules claquant sur le carrelage, ma lingerie frôlant ma peau à chaque mouvement. L’humiliation douce de ces actes domestiques, accomplis dans une tenue si féminine, m’a emplie d’une joie perverse. Je suis sa chienne, sa sissy, et chaque tâche, même la plus banale, est une offrande à sa grandeur.
Lorsqu’il s’est réinstallé sur le canapé, le repas servi, il m’a fait signe de m’agenouiller entre ses jambes. « Sers-moi, sissy, » a-t-il ordonné, et j’ai défait son pantalon, libérant sa queue, un totem de sa domination. Ma bouche s’est ouverte, affamée, et j’ai entamé une pipe longue, lente, presque méditative, mes lèvres glissant sur son gland, ma langue caressant sa verge avec une précision dévouée. J’adore enfouir mon nez à la base de sa queue, respirer son odeur musquée, lécher doucement ses testicules, explorer chaque recoin de son corps. Mes lèvres se sont attardées sur ses couilles, les vénérant avec une tendresse addictives, puis ont frôlé son anus, un acte spontané qui témoignait de mon dressage. Chaque partie de lui – son gland, sa verge, ses testicules, ... je suis accro, un autel où je me prosterne.
Il a soupiré, son corps se détendant sous mes attentions, et j’ai continué, mes mouvements fluides, ma bouche un sanctuaire pour son plaisir. Lorsqu’il a joui, son sperme a envahi ma gorge, un élixir brûlant que j’ai avalé avec une gratitude absolue, mes yeux baissés, mon esprit vide de tout sauf de l’acte. Il m’a ordonné de nettoyer sa queue, et je l’ai fait, ma langue recueillant chaque goutte, prolongeant le rituel avec une ferveur silencieuse. Puis, il m’a regardée, ses yeux empreints d’une satisfaction tranquille. « T’es ma sissy, Aria, faite pour ça, » a-t-il dit, et j’ai incliné la tête, mon cœur apaisé par cette vérité.
Avant de me congédier, il a noté un nouveau rendez-vous dans mon agenda, un autre soir où je serai sa sissy. « Sois prête, chienne, » a-t-il ordonné, et il m’a laissée seule, le goût de son sperme encore sur mes lèvres, mon corps vibrant de son emprise. Ce soir, dans mon panier, je ne rêverai pas de mots ou de promesses. Je fermerai les yeux, mon gode en main, et je jouirai en repensant à cette séance, à la manière dont j’ai lavé, massé, servi, adoré chaque parcelle de son corps. Je suis Aria, chienne soumise, une lope passive dont l’unique vocation est de vivre pour lui, pour ses désirs, pour son plaisir. À demain, Maître, pour vous servir encore, en sissy, sans un doute.
2 months ago