4% DE MES DONATRICES SONT DES SALOPES !
J'ai découvert en 2019 une application mobile de don local entre particuliers, c'était justement l'année de sa création.
L'application permet à ses membres de publier gratuitement des annonces pour donner les articles dont ils n'ont plus d'utilité plutôt de les jeter au rebut. Le don est gratuit. Il est aussi local, c'est-à-dire que la personne qui donne doit organiser avec la personne qui a manifesté son intérêt une rencontre physique pour le lui donner.
C'est bien là tout l'intérêt de ce modèle qui a attiré mon attention !
Hommes et femmes ont ainsi l'opportunité de donner toutes sortes d'articles dans différentes catégories :
- Maison, Électroménagers et Jardin
- Sports, Jeux, Loisirs et Culture
- Enfants et Animaux
- Beauté
- Mode
Dans cette dernière catégorie, les sections Vêtements, Chaussures et Accessoires pour les Femmes ont tout de suite attiré mon attention. Quelle merveille ! Je venais de découvrir une véritable caverne d'Ali Baba pour connaisseurs !
Tout d'abord, bien sûr, la majorité des articles que j'ai récupérés sont des chaussures, incluant, par ordre décroissant d'occurrence, hauts talons, sandales à talon, ballerines. Pour certaines paires, j'ai pu apprécié leur état avancé de leur port, voire un état très usé, qui m'a procuré une forte jouissance...
J'aime aussi recevoir de la lingerie, incluant culottes, strings et tangas, mais aussi bas nylon et résilles, et quelques fois collants.
Enfin, de façon plus exceptionnelle, j'ai pu trouvé des articles plus exotiques, tels des sex toys, perruques, et aussi des menottes.
En 2023, j'ai eu l'occasion de dépasser la centaine de donatrices rencontrées depuis 2019 !
Parmi cette superbe brochette de donatrices, il y en a 4 ont donné plus que l'article que j'étais venu récupéré, à savoir qui ont donné de leur personne physique.
En voici le profil...
1) Une jeune professionnelle sapiosexuelle de 24 ans -- j'ai utilisé l'appli quand j'étais en déplacement à Paris, je l'ai rencontrée une première fois car elle donnait une de ses paires, puis je la revois lors de mes déplacements, même si parfois elle a des histoires de son côté. On fait Paris en amoureux, moi bercé par le clic-clac de ses talons en la tenant par la main, alternant coins intimistes dans des petits restos et brasseries sympas avec des accolades en public. Quelques visites culturelles intéressantes avec toujours des mains baladeuses, moi bien sûr mais elle aussi. Elle comme moi sommes des sapiosexuels et on en a bien profité. Elle aime le noir, les imprimés sauvages et les alliances chromatiques improbables. Je me souviens d'un hiver avec sa jupette noire, une paire de slingbacks rouges à petit talon avec des collants opaques à motifs panthère que j'ai découvert être des bas lorsqu'elle m'a demandé à l'oreille de la doigter juste après avoir commandé notre plat, on était assis à côté dans un coin calme d'une brasserie. Je suis toujours en contact avec elle sur un célèbre réseau social professionnel, elle aime m'envoyer des photos d'elle, de sa coiffure, ses tenues, ses seins, ses hanches, mais aussi de ses jambes, mollets, chevilles et pieds car elle m'a dit avoir découvert le fétichisme avec moi. On discute beaucoup et le soir ça vire au chaud, parfois...
2) Une infirmière de 35 ans -- rencontrée au pied de son immeuble un dimanche matin ensoleillé pour une première paire, on a discuté au moins 30 min, une belle grosse curieuse, puis je suis parti, dommage, car j'avais une course à faire. Une très belle jeune femme, 1m65, avec de belles formes, une belle chevelure brune et longue tombante sur ses reins, un beau visage, une personnalité solaire car toujours souriante, bien maquillée, une manucure et pédicure vernies de couleur assortie. Je l'ai revue pour une 2e paire quelques semaines plus tard. Rebelote, on a discuté 30 min, on a repris notre conversation là où on l'avait laissée, elle est devenue de plus en plus curieuse, puis elle m'a dit :
— Ça vous dirait de monter chez moi prendre un café, enfin si vous voulez ?
C'était un dimanche encore, vers 10h du matin. Je ne lui ai pas dit que je ne buvais pas de café, mais j'ai accepté et je l'ai revue 2 autres fois... mais nous ne recherchions pas la même chose...
3) Une hôtesse de l'air de 56 ans -- Elle donnait une de ses paires de talons de vol, je l'ai rencontrée sur le parking de l'aéroport 30 min avant son shift. Svelte (un beau petit cul dans sa jupe crayon) et grande (1m78 avec ses talons), de superbes cheveux longs lisses de couleur platine. Elle était magnifique dans sa tenue de travail, elle tenait sa veste au bras car il faisait très bon. On a discuté et on est partis sur la différence entre les cuisines française et niçoise, d'une part, et, d'autre part, celle de son pays d'origine, l'Allemagne. Au bout de 30 min, on a dû couper court à notre partage car elle devait aller travailler. En rentrant chez moi, j'ai reçu un sms m'invitant le prochain samedi midi à venir goûter son plat typique dont on avait parlé. J'y suis allé avec un bouquet de tulipes blanches... Pour la petite histoire, c'est elle qui m'a initié au pegging, mais c'est une autre histoire !
4) Une retraitée dans les 65 ans -- Elle donnait une paire de sandales fuchsia à plateforme à très haut talon (14 cm), de pures merveilles. Là encore, on a discuté longuement devant l'entrée de la cage d'escalier de son immeuble situé dans un quartier populaire. Elle m'a posé des questions, la petite curieuse, on a bien rit. Elle m'a dit qu'elle me trouvait sympathique et que, si je voulais, elle pouvait me montrer sa collection de talons. Nous sommes donc montés la voir. Puis, je lui ai proposé qu'elle m'en fasse quelques démonstrations et elle m'a autorisé à lui toucher les pieds puis ses chevilles, etc... Je ne l'ai vue qu'une seule fois.
Je continue d'utiliser l'application de don pour mon plus grand plaisir, aussi bien pour récupérer un article qui a attisé ma rétine, mais aussi pour rencontrer un donatrice dont je ne sais rien au départ et à la vue de laquelle je peux me faire une première idée de son niveau d'implication.
Dans le message que j'envoie à une donatrice pour lui faire part de mon intérêt pour son article, je prends bien soin de ne jamais prétexter que l'article serait pour ma femme ou ma fille. Bien au contraire, je veux rester très énigmatique et susciter la curiosité des donatrices qui ont plus d'imagination que d'autres...
Et il y en a...
/ / /
L'application permet à ses membres de publier gratuitement des annonces pour donner les articles dont ils n'ont plus d'utilité plutôt de les jeter au rebut. Le don est gratuit. Il est aussi local, c'est-à-dire que la personne qui donne doit organiser avec la personne qui a manifesté son intérêt une rencontre physique pour le lui donner.
C'est bien là tout l'intérêt de ce modèle qui a attiré mon attention !
Hommes et femmes ont ainsi l'opportunité de donner toutes sortes d'articles dans différentes catégories :
- Maison, Électroménagers et Jardin
- Sports, Jeux, Loisirs et Culture
- Enfants et Animaux
- Beauté
- Mode
Dans cette dernière catégorie, les sections Vêtements, Chaussures et Accessoires pour les Femmes ont tout de suite attiré mon attention. Quelle merveille ! Je venais de découvrir une véritable caverne d'Ali Baba pour connaisseurs !
Tout d'abord, bien sûr, la majorité des articles que j'ai récupérés sont des chaussures, incluant, par ordre décroissant d'occurrence, hauts talons, sandales à talon, ballerines. Pour certaines paires, j'ai pu apprécié leur état avancé de leur port, voire un état très usé, qui m'a procuré une forte jouissance...
J'aime aussi recevoir de la lingerie, incluant culottes, strings et tangas, mais aussi bas nylon et résilles, et quelques fois collants.
Enfin, de façon plus exceptionnelle, j'ai pu trouvé des articles plus exotiques, tels des sex toys, perruques, et aussi des menottes.
En 2023, j'ai eu l'occasion de dépasser la centaine de donatrices rencontrées depuis 2019 !
Parmi cette superbe brochette de donatrices, il y en a 4 ont donné plus que l'article que j'étais venu récupéré, à savoir qui ont donné de leur personne physique.
En voici le profil...
1) Une jeune professionnelle sapiosexuelle de 24 ans -- j'ai utilisé l'appli quand j'étais en déplacement à Paris, je l'ai rencontrée une première fois car elle donnait une de ses paires, puis je la revois lors de mes déplacements, même si parfois elle a des histoires de son côté. On fait Paris en amoureux, moi bercé par le clic-clac de ses talons en la tenant par la main, alternant coins intimistes dans des petits restos et brasseries sympas avec des accolades en public. Quelques visites culturelles intéressantes avec toujours des mains baladeuses, moi bien sûr mais elle aussi. Elle comme moi sommes des sapiosexuels et on en a bien profité. Elle aime le noir, les imprimés sauvages et les alliances chromatiques improbables. Je me souviens d'un hiver avec sa jupette noire, une paire de slingbacks rouges à petit talon avec des collants opaques à motifs panthère que j'ai découvert être des bas lorsqu'elle m'a demandé à l'oreille de la doigter juste après avoir commandé notre plat, on était assis à côté dans un coin calme d'une brasserie. Je suis toujours en contact avec elle sur un célèbre réseau social professionnel, elle aime m'envoyer des photos d'elle, de sa coiffure, ses tenues, ses seins, ses hanches, mais aussi de ses jambes, mollets, chevilles et pieds car elle m'a dit avoir découvert le fétichisme avec moi. On discute beaucoup et le soir ça vire au chaud, parfois...
2) Une infirmière de 35 ans -- rencontrée au pied de son immeuble un dimanche matin ensoleillé pour une première paire, on a discuté au moins 30 min, une belle grosse curieuse, puis je suis parti, dommage, car j'avais une course à faire. Une très belle jeune femme, 1m65, avec de belles formes, une belle chevelure brune et longue tombante sur ses reins, un beau visage, une personnalité solaire car toujours souriante, bien maquillée, une manucure et pédicure vernies de couleur assortie. Je l'ai revue pour une 2e paire quelques semaines plus tard. Rebelote, on a discuté 30 min, on a repris notre conversation là où on l'avait laissée, elle est devenue de plus en plus curieuse, puis elle m'a dit :
— Ça vous dirait de monter chez moi prendre un café, enfin si vous voulez ?
C'était un dimanche encore, vers 10h du matin. Je ne lui ai pas dit que je ne buvais pas de café, mais j'ai accepté et je l'ai revue 2 autres fois... mais nous ne recherchions pas la même chose...
3) Une hôtesse de l'air de 56 ans -- Elle donnait une de ses paires de talons de vol, je l'ai rencontrée sur le parking de l'aéroport 30 min avant son shift. Svelte (un beau petit cul dans sa jupe crayon) et grande (1m78 avec ses talons), de superbes cheveux longs lisses de couleur platine. Elle était magnifique dans sa tenue de travail, elle tenait sa veste au bras car il faisait très bon. On a discuté et on est partis sur la différence entre les cuisines française et niçoise, d'une part, et, d'autre part, celle de son pays d'origine, l'Allemagne. Au bout de 30 min, on a dû couper court à notre partage car elle devait aller travailler. En rentrant chez moi, j'ai reçu un sms m'invitant le prochain samedi midi à venir goûter son plat typique dont on avait parlé. J'y suis allé avec un bouquet de tulipes blanches... Pour la petite histoire, c'est elle qui m'a initié au pegging, mais c'est une autre histoire !
4) Une retraitée dans les 65 ans -- Elle donnait une paire de sandales fuchsia à plateforme à très haut talon (14 cm), de pures merveilles. Là encore, on a discuté longuement devant l'entrée de la cage d'escalier de son immeuble situé dans un quartier populaire. Elle m'a posé des questions, la petite curieuse, on a bien rit. Elle m'a dit qu'elle me trouvait sympathique et que, si je voulais, elle pouvait me montrer sa collection de talons. Nous sommes donc montés la voir. Puis, je lui ai proposé qu'elle m'en fasse quelques démonstrations et elle m'a autorisé à lui toucher les pieds puis ses chevilles, etc... Je ne l'ai vue qu'une seule fois.
Je continue d'utiliser l'application de don pour mon plus grand plaisir, aussi bien pour récupérer un article qui a attisé ma rétine, mais aussi pour rencontrer un donatrice dont je ne sais rien au départ et à la vue de laquelle je peux me faire une première idée de son niveau d'implication.
Dans le message que j'envoie à une donatrice pour lui faire part de mon intérêt pour son article, je prends bien soin de ne jamais prétexter que l'article serait pour ma femme ou ma fille. Bien au contraire, je veux rester très énigmatique et susciter la curiosité des donatrices qui ont plus d'imagination que d'autres...
Et il y en a...
/ / /
2 months ago