Du sable dans les baskets
Un après midi après la sieste, il est 16h, il fait chaud, trop chaud... Ma location, derrière les dunes, donne accès par un petit chemin entre quelques arbustes sur un coin de rochers à l'abri du vent avec quelques mètres de sable. Ce lieu n'est pas privé, mais pas facile d'accès, donc jamais personne ou presque. Il fait chaud, trop chaud, je suis seul, en short et malgré mon age, ma bite est de nouveau raide. Je regarde par la fenêtre le ciel bleu et le soleil écrasant qui illumine le panorama. Que faire... S'installer devant l'ordi et fantasmer sur des vidéos ou sortir me balader. Allez, je prends une serviette et je descend vers la petite crique. Installer sur le sable entouré de rochers je pose ma serviette retire mon short et m'allonge sur le dos à l'abri de mon petit parasol. Je ferme les yeux et me laisse de nouveau gagner par la torpeur. Cela fait bien une heure que je suis là quand j'entend une voix d'homme me demander si l'endroit est privé. Je me retourne et voit un couple, la soixantaine bien engagée.
- Non, c'est libre d'accès, mais il n'y a pas beaucoup de place pour du monde.
- Alors permettez que l'on ce pose, nous avons pas mal marché et il fait chaud aujourd'hui.
- Allez y faites comme chez vous.
Ils se mettent en maillot. enfin lui parce qu'elle reste avec sa robe légère et reste assise sur un rocher. Son homme, enfin je suppose, me dit: on n'avez pas prévu de venir par ici, on cherchait un coin tranquille pour bronzer.
- Pas de problème, j'habite la maison derrière la dune et cela ne me dérange pas, chacun est libre... a condition de ne pas m'remerder et vous ne m'emmerdez pas.
- Merci, ma femme, ne met pas de dessous ! On pratique le nudisme, mais peut être que là, ca vous gène.
- Au contraire, mettez vous à l'aise, ne vous occupez pas de moi.
L'homme retire son short, cul nu, les fesses bronzées, il est de dos. Sa femme déboutonne sa robe et la retire. Deux belles mamelles pendent pas énormes, mais assez pour me donner de l'effet. Elle est rasée. Elle se retourne et se penche pour poser sa robe sur un rocher. elle offre aux regards son cul. Elle sort une serviette de son sac et se pose entre deux rochers a deux ou trois mètres de moi. Lui, à un beau petit ventre de retraité. Sa bite pend devant ses couilles molles. Il se pose sur la serviette a coté de sa femme. Il engage la conversation. Beau temps, ville sympa, manque d'animation, ils sont camping car et voyage partout... Enfin il avoue... s'exhibe partout...
- Je vous choque ?
- Non, vous faites ce que vous voulez.
- Vous avez pas chaud avec votre short, vous pouvez le retirer si vous voulez, cela ne nous gène pas. On vous montre bien notre corps, vous pouvez nous montrez le votre.
- Exhibe et voyeur ?
- Et oui, on aime le naturel. Pas vous?
- Vous savez à nos âge, commence à être décrépis, c'est quand même moins joli, un Viel homme.
- Je peux te tutoyer?
- Oui bien sur.
- Alors je vais te dire, j'aime voir les hommes nus, regardez leurs bites, leurs couilles qui pendent, ça m'excite et là je bande.
Sa femme, se pose sur ses avants bras et ce redresse.
- Tu sais que t'ai chiant, chaque fois c'est pareil, tu étale notre vie privée, Monsieur n'a pas besoin de savoir que tu es bi. Il est surement marié et veux être tranquille, déjà qu'il accepte que nous lui prenions sa plage.
- Non je suis libre et moi aussi, je suis bi, alors cela ne me gène pas.
- Alors mets toi a l'aise... dit il en ce caressant la bite, déjà excité que je lui montre la mienne. Je retire mon short, sans slip.
- Et bien voilà... On est bien comme ça. Il tend la main et la pose sur mon ventre en le caressant, ça femme le regarde faire, en ce titillant un sein. De son autre main, il commence un va et vient qui ne vient pas. Il descends vers ma bite, je ne bouge plus. Il se saisit de ma queue et la caresse. Elle réagit vite.
- Je peux te sucer dit il.
sans attendre la réponse, il s'est déjà penché et avale ma verge. Il suce très bien. Je suis la sur le dos, je tourne la tète vers sa femme qui se caresse le ventre.
- Vous voulez que je vous lèche la chatte?
-Oh oui, je veux bien, ce coquin arrive toujours a ses fins, il ne pense qu'à ça.
- ça n'a pas l'aire de vous déplaire.
Lui arrête de me sucer et répond: Elle dit ça mais elle est aussi salope que moi, peut être plus. Et il se remet a sucer. Madame c'est approchée de moi, les cuisses ouvertes au-dessus de mon visage et me dévoile sa grosse moule. Je lance ma langue entre ses grosses lèvres. C'est bon, c'est chaud, humide. Ma langue fouille le plus profond possible, mon nez frotte son clito. J'ose un doigt entre ses fesses, lui titillant la rondelle. Elle ne dit rien, alors, je rentre un peut, mais c'est sec. Je plonge mon doigt dans sa vulve et le ressort bien mouillé. Je le présente a nouveau sur son œillet, le passe doucement de haut en bas en appuyant doucement. Je renouvelle l'opération deux fois en insistant un peut plus a chaque fois. Mon doigt et rentré et je le rourne doucement en écartant, elle ne dit toujours rien, juste son bassin ondule un peut plus sur ma bouche et ses fesses ce tendent chaque fois que mon doigt la pénètre un peut plus. Lui suce très bien en avalant loin ma verge. Ses mains triturent mes bourses et me doigte aussi. C'est bon, je me laisse faire. Ma queue et bien raide, la sienne est toute molle et pend, alors il décide de se relever et passe en position cavalière, ma bite dans sa main bien pointée vers son trou. Je le sens se frotte l'anus sur ma bite et semble pas mal excité, d'une main, il ouvre le cabas de madame et sort un flacon de gel, s'enduit le fion ainsi que ma bite. Il se repositionne et descend doucement. Je suis en lui entier, sa femme à quitter ma bouche pour venir le sucer à pleine bouche. Appuyé sur ses bras, il fait le job, montant et descendant a son rythme et chaque fois bien lentement et a fond, madame suis le mouvement. Je suis tellement bien que l'envie de jouir vient rapidement. Je le dit.
- Vas-y gicle, te gène pas. je vais faire pareil, moi aussi ça vient.
Ce que je fais après quelques mouvement. Il reste empalé pendant que madame finit de le sucer, il lui gicle dans la bouche. elle recrache rapidement. Dommage, j'aurais aimé qu'elle l'avale, mais elle n'aime pas me dit elle.
On se retrouve tout les trois dans la mer pour nous laver de notre turpitude.
- Non, c'est libre d'accès, mais il n'y a pas beaucoup de place pour du monde.
- Alors permettez que l'on ce pose, nous avons pas mal marché et il fait chaud aujourd'hui.
- Allez y faites comme chez vous.
Ils se mettent en maillot. enfin lui parce qu'elle reste avec sa robe légère et reste assise sur un rocher. Son homme, enfin je suppose, me dit: on n'avez pas prévu de venir par ici, on cherchait un coin tranquille pour bronzer.
- Pas de problème, j'habite la maison derrière la dune et cela ne me dérange pas, chacun est libre... a condition de ne pas m'remerder et vous ne m'emmerdez pas.
- Merci, ma femme, ne met pas de dessous ! On pratique le nudisme, mais peut être que là, ca vous gène.
- Au contraire, mettez vous à l'aise, ne vous occupez pas de moi.
L'homme retire son short, cul nu, les fesses bronzées, il est de dos. Sa femme déboutonne sa robe et la retire. Deux belles mamelles pendent pas énormes, mais assez pour me donner de l'effet. Elle est rasée. Elle se retourne et se penche pour poser sa robe sur un rocher. elle offre aux regards son cul. Elle sort une serviette de son sac et se pose entre deux rochers a deux ou trois mètres de moi. Lui, à un beau petit ventre de retraité. Sa bite pend devant ses couilles molles. Il se pose sur la serviette a coté de sa femme. Il engage la conversation. Beau temps, ville sympa, manque d'animation, ils sont camping car et voyage partout... Enfin il avoue... s'exhibe partout...
- Je vous choque ?
- Non, vous faites ce que vous voulez.
- Vous avez pas chaud avec votre short, vous pouvez le retirer si vous voulez, cela ne nous gène pas. On vous montre bien notre corps, vous pouvez nous montrez le votre.
- Exhibe et voyeur ?
- Et oui, on aime le naturel. Pas vous?
- Vous savez à nos âge, commence à être décrépis, c'est quand même moins joli, un Viel homme.
- Je peux te tutoyer?
- Oui bien sur.
- Alors je vais te dire, j'aime voir les hommes nus, regardez leurs bites, leurs couilles qui pendent, ça m'excite et là je bande.
Sa femme, se pose sur ses avants bras et ce redresse.
- Tu sais que t'ai chiant, chaque fois c'est pareil, tu étale notre vie privée, Monsieur n'a pas besoin de savoir que tu es bi. Il est surement marié et veux être tranquille, déjà qu'il accepte que nous lui prenions sa plage.
- Non je suis libre et moi aussi, je suis bi, alors cela ne me gène pas.
- Alors mets toi a l'aise... dit il en ce caressant la bite, déjà excité que je lui montre la mienne. Je retire mon short, sans slip.
- Et bien voilà... On est bien comme ça. Il tend la main et la pose sur mon ventre en le caressant, ça femme le regarde faire, en ce titillant un sein. De son autre main, il commence un va et vient qui ne vient pas. Il descends vers ma bite, je ne bouge plus. Il se saisit de ma queue et la caresse. Elle réagit vite.
- Je peux te sucer dit il.
sans attendre la réponse, il s'est déjà penché et avale ma verge. Il suce très bien. Je suis la sur le dos, je tourne la tète vers sa femme qui se caresse le ventre.
- Vous voulez que je vous lèche la chatte?
-Oh oui, je veux bien, ce coquin arrive toujours a ses fins, il ne pense qu'à ça.
- ça n'a pas l'aire de vous déplaire.
Lui arrête de me sucer et répond: Elle dit ça mais elle est aussi salope que moi, peut être plus. Et il se remet a sucer. Madame c'est approchée de moi, les cuisses ouvertes au-dessus de mon visage et me dévoile sa grosse moule. Je lance ma langue entre ses grosses lèvres. C'est bon, c'est chaud, humide. Ma langue fouille le plus profond possible, mon nez frotte son clito. J'ose un doigt entre ses fesses, lui titillant la rondelle. Elle ne dit rien, alors, je rentre un peut, mais c'est sec. Je plonge mon doigt dans sa vulve et le ressort bien mouillé. Je le présente a nouveau sur son œillet, le passe doucement de haut en bas en appuyant doucement. Je renouvelle l'opération deux fois en insistant un peut plus a chaque fois. Mon doigt et rentré et je le rourne doucement en écartant, elle ne dit toujours rien, juste son bassin ondule un peut plus sur ma bouche et ses fesses ce tendent chaque fois que mon doigt la pénètre un peut plus. Lui suce très bien en avalant loin ma verge. Ses mains triturent mes bourses et me doigte aussi. C'est bon, je me laisse faire. Ma queue et bien raide, la sienne est toute molle et pend, alors il décide de se relever et passe en position cavalière, ma bite dans sa main bien pointée vers son trou. Je le sens se frotte l'anus sur ma bite et semble pas mal excité, d'une main, il ouvre le cabas de madame et sort un flacon de gel, s'enduit le fion ainsi que ma bite. Il se repositionne et descend doucement. Je suis en lui entier, sa femme à quitter ma bouche pour venir le sucer à pleine bouche. Appuyé sur ses bras, il fait le job, montant et descendant a son rythme et chaque fois bien lentement et a fond, madame suis le mouvement. Je suis tellement bien que l'envie de jouir vient rapidement. Je le dit.
- Vas-y gicle, te gène pas. je vais faire pareil, moi aussi ça vient.
Ce que je fais après quelques mouvement. Il reste empalé pendant que madame finit de le sucer, il lui gicle dans la bouche. elle recrache rapidement. Dommage, j'aurais aimé qu'elle l'avale, mais elle n'aime pas me dit elle.
On se retrouve tout les trois dans la mer pour nous laver de notre turpitude.
2 months ago
