Brève aventure
Il y a quelques jours, j'ai pu donner libre court à un vieux fantasme !
Alors que nous attendions la livraison de 2 fauteuils, ma femme a du partir en urgence garder un petit fils qui s'était foulé une cheville à l'école. La livraison s'étant effectuée très tôt dans la journée, je me suis donc retrouvé seul plusieurs heures, sans rien de prévu. Espérant un échange vidéo avec un lointain contact, je prends une gaine culotte de ma femme, un de ses soutifs et ainsi affublé, je me connecte. Hélas pas de contact présent.
Je continue donc à me balader sur le Net, matant des pornos qui me chauffent doucement. Etant seul, pour une fois, non seulement je regardais mais j'avais mis le son assez fort pour profiter des paroles et gémissements. Soudain, je découvre que mon voisin était à la porte fenêtre et me regardait. R., un peu plus jeune que moi a été un chaud lapin jadis et on discutait parfois, autour d'un verre, de nos aventures, à l'époque hétéro.
Gêné, je vais lui ouvrir …
- qu'est-ce que tu fais ainsi, me dit-il en rigolant.
- je passe le temps
- ben mon cochon, si j'avais su !
- si tu avais su quoi ?
- que tu étais une salope …. (son regard me détaillait des pieds à la tête)
- eh bien tu sais, maintenant. Je te demande d'être discret bien sur
Il rit et me dit :
- que me donnes-tu en échange de mon silence ?
- que veux tu ?
- tu suces ? j'ai toujours eu envie de me faire sucer par un mec
(Voyant une bosse se former sous son jogging), je le regarde droit dans les yeux :
- çà t'excite non de me voir en grosse salope ?
D'une voix un peu étouffée, il me répond : oui, putain tu me fais envie.
Je m'approche de lui, commence à caresser cette bosse qui grossit et le pousse vers le sofa. Sans qu'il s'y oppose je baisse son jogging et son slip pour dégager sa bite qui se dresse brutalement, assez raide pour que je puisse la décalotter doucement. Quelques coups de langue le font perler avant que je commence à le prendre en bouche. Tout en le suçant je joue avec ses couilles bien détachées et il se met à gémir doucement :
- oh putain c'est bon, çà fait des jours que je suis plein, O. (sa femme) ne fait plus rien).
Sans pouvoir répondre, la bouche pleine de sa queue de plus en plus dure, je glisse un doigt vers sa raie. Il me laisse faire tout en respirant de plus en plus fort et de plus en plus vite. Et soudain, il me prend la tête à 2 mains se met à me baiser la bouche en allant et venant à grands coups.
- je vais te baiser salope tu n'es qu'une grosse pute, oh çà vient
Et je prends un jet brutal que j'avale avidement en aspirant toute sa queue. Plusieurs secousses s'en suivent et je déguste à chaque fois un jet du jus qui diminue à chaque fois.
Il reste un bon moment sans bouger, reprenant son calme, puis me dit :
- excuse moi j'ai perdu la tête mais tu m'as fait tellement jouir que je n'ai pu me retenir.
Je me relève, essuie mes lèvres où gouttent encore quelques fils de sperme : c'est à moi de te dire merci, moi aussi j'ai joui.
On se regarde longuement et il se met à me caresser doucement, tendrement tout en disant :
- je n'en reviens pas, je ne sais pas ce qui m'a pris, tu es doué tu sais
- Merci, j'ai apprécié, ne soit pas gêné, j'en avais envie aussi. Et j'aimerais bien recommencer si tu le veux bien.
- vraiment ?
- oui ! je suis vraiment une salope et j'adore être baisé, çà fait des années que je le suis devenu.
- tu te fais enculer ?
- oh oui, j'adore être pris comme une femelle
- putain tu m'excites et tu me fais envie.
- alors reviens dès que tu peux et tu me prendras
- mais ta femme ?
- elle ne revient que vers 18h ce soir ….
Il se relève du sofa, me regarde, reprends slip et jogging et me dit : je reviens vers 15h.
A l'heure dite il est là, j'ai pu me faire un lavement, un gode m'a bien ouvert préventivement. Je suis nu sous un peignoir, je le prends par la main, le guide vers la chambre dans la pénombre. Je me couche sur le lit, jambes bien écartées et relevées :
- je suis toute à toi, baise moi
En qq secondes il est à poil, pose son gland sur ma rondelle, me regarde dans les yeux, me prend par les hanches et d'un coup sec s'enfonce à fond :
- tu es serré c'est trop bon
- vas y défonce ta salope, tape bien au fond
Il se met à me pilonner comme une bête. Sa bite va et vient et me brule, à chaque coup dans la prostate un spasme me fait crier ce qui l'excite davantage. Il me burine ainsi de longues minutes. Tout à coup il ressort et me dit :
- retourne toi, je vais te prendre comme une chienne ma salope
- oui fais moi jouir, féconde moi
A peine retourné, il s'enfonce à nouveau :
- tu m'as vidé ce matin mais je vais quand même t'en mettre plein les tripes
- oui jouit en moi, je suis ta pute
Dans un cri quelques gouttes brulantes giclent au fond de moi et il s'écroule et m'écrasant sur le lit.
On reste un long moment ainsi, puis il se retire. On est en sueur. je lui propose de prendre une douche. On se savonne l'un l'autre quand il me demande :
- çà fait quoi de se faire baiser ?
- c'est génial tu sais, je peux te doigter si tu veux
- pas aujourd'hui, mais peut être une autre fois
ok, tu sais ce que je peux te donner, alors quand tu veux on recommence
- oui, surement, tu es trop bonne
- meilleure que O. ?
- salaud …. oui
Et il se sèche et repart
Vivement une autre fois, je sais qu'il reviendra ma bouche et mon cul lui ont trop plu.
Que c'est bon d'être une vraie salope.
Alors que nous attendions la livraison de 2 fauteuils, ma femme a du partir en urgence garder un petit fils qui s'était foulé une cheville à l'école. La livraison s'étant effectuée très tôt dans la journée, je me suis donc retrouvé seul plusieurs heures, sans rien de prévu. Espérant un échange vidéo avec un lointain contact, je prends une gaine culotte de ma femme, un de ses soutifs et ainsi affublé, je me connecte. Hélas pas de contact présent.
Je continue donc à me balader sur le Net, matant des pornos qui me chauffent doucement. Etant seul, pour une fois, non seulement je regardais mais j'avais mis le son assez fort pour profiter des paroles et gémissements. Soudain, je découvre que mon voisin était à la porte fenêtre et me regardait. R., un peu plus jeune que moi a été un chaud lapin jadis et on discutait parfois, autour d'un verre, de nos aventures, à l'époque hétéro.
Gêné, je vais lui ouvrir …
- qu'est-ce que tu fais ainsi, me dit-il en rigolant.
- je passe le temps
- ben mon cochon, si j'avais su !
- si tu avais su quoi ?
- que tu étais une salope …. (son regard me détaillait des pieds à la tête)
- eh bien tu sais, maintenant. Je te demande d'être discret bien sur
Il rit et me dit :
- que me donnes-tu en échange de mon silence ?
- que veux tu ?
- tu suces ? j'ai toujours eu envie de me faire sucer par un mec
(Voyant une bosse se former sous son jogging), je le regarde droit dans les yeux :
- çà t'excite non de me voir en grosse salope ?
D'une voix un peu étouffée, il me répond : oui, putain tu me fais envie.
Je m'approche de lui, commence à caresser cette bosse qui grossit et le pousse vers le sofa. Sans qu'il s'y oppose je baisse son jogging et son slip pour dégager sa bite qui se dresse brutalement, assez raide pour que je puisse la décalotter doucement. Quelques coups de langue le font perler avant que je commence à le prendre en bouche. Tout en le suçant je joue avec ses couilles bien détachées et il se met à gémir doucement :
- oh putain c'est bon, çà fait des jours que je suis plein, O. (sa femme) ne fait plus rien).
Sans pouvoir répondre, la bouche pleine de sa queue de plus en plus dure, je glisse un doigt vers sa raie. Il me laisse faire tout en respirant de plus en plus fort et de plus en plus vite. Et soudain, il me prend la tête à 2 mains se met à me baiser la bouche en allant et venant à grands coups.
- je vais te baiser salope tu n'es qu'une grosse pute, oh çà vient
Et je prends un jet brutal que j'avale avidement en aspirant toute sa queue. Plusieurs secousses s'en suivent et je déguste à chaque fois un jet du jus qui diminue à chaque fois.
Il reste un bon moment sans bouger, reprenant son calme, puis me dit :
- excuse moi j'ai perdu la tête mais tu m'as fait tellement jouir que je n'ai pu me retenir.
Je me relève, essuie mes lèvres où gouttent encore quelques fils de sperme : c'est à moi de te dire merci, moi aussi j'ai joui.
On se regarde longuement et il se met à me caresser doucement, tendrement tout en disant :
- je n'en reviens pas, je ne sais pas ce qui m'a pris, tu es doué tu sais
- Merci, j'ai apprécié, ne soit pas gêné, j'en avais envie aussi. Et j'aimerais bien recommencer si tu le veux bien.
- vraiment ?
- oui ! je suis vraiment une salope et j'adore être baisé, çà fait des années que je le suis devenu.
- tu te fais enculer ?
- oh oui, j'adore être pris comme une femelle
- putain tu m'excites et tu me fais envie.
- alors reviens dès que tu peux et tu me prendras
- mais ta femme ?
- elle ne revient que vers 18h ce soir ….
Il se relève du sofa, me regarde, reprends slip et jogging et me dit : je reviens vers 15h.
A l'heure dite il est là, j'ai pu me faire un lavement, un gode m'a bien ouvert préventivement. Je suis nu sous un peignoir, je le prends par la main, le guide vers la chambre dans la pénombre. Je me couche sur le lit, jambes bien écartées et relevées :
- je suis toute à toi, baise moi
En qq secondes il est à poil, pose son gland sur ma rondelle, me regarde dans les yeux, me prend par les hanches et d'un coup sec s'enfonce à fond :
- tu es serré c'est trop bon
- vas y défonce ta salope, tape bien au fond
Il se met à me pilonner comme une bête. Sa bite va et vient et me brule, à chaque coup dans la prostate un spasme me fait crier ce qui l'excite davantage. Il me burine ainsi de longues minutes. Tout à coup il ressort et me dit :
- retourne toi, je vais te prendre comme une chienne ma salope
- oui fais moi jouir, féconde moi
A peine retourné, il s'enfonce à nouveau :
- tu m'as vidé ce matin mais je vais quand même t'en mettre plein les tripes
- oui jouit en moi, je suis ta pute
Dans un cri quelques gouttes brulantes giclent au fond de moi et il s'écroule et m'écrasant sur le lit.
On reste un long moment ainsi, puis il se retire. On est en sueur. je lui propose de prendre une douche. On se savonne l'un l'autre quand il me demande :
- çà fait quoi de se faire baiser ?
- c'est génial tu sais, je peux te doigter si tu veux
- pas aujourd'hui, mais peut être une autre fois
ok, tu sais ce que je peux te donner, alors quand tu veux on recommence
- oui, surement, tu es trop bonne
- meilleure que O. ?
- salaud …. oui
Et il se sèche et repart
Vivement une autre fois, je sais qu'il reviendra ma bouche et mon cul lui ont trop plu.
Que c'est bon d'être une vraie salope.
1 month ago
