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Partie de Campagne 1 (Fiction)

Katyne venait d’arriver dans son lieu de vacances favori. Sa chère campagne, son petit village perdu au milieu des bois et des champs !

A elle une semaine au calme, à profiter du chant des oiseaux et du bon air pur. Une semaine pour décompresser de son train train quotidien qui, il faut le dire, lui bouffer absolument toute l’énergie qu’il pouvait lui rester.

Elle se gara devant sa porte de grange et comme à son habitude machinalement regarda la vieille ferme en face de chez elle. Que de souvenir en ces lieux quand elle était petite. Mais qu’elle ne fut pas sa surprise de voir tout grand ouvert, des traces de fumier ainsi que deux tracteurs, et du foin dépassant de l’avancée du grenier !

Elle était là à fixer la bâtisse bouche bée quand deux hommes en sortir.

L’un deux la fixa d’un air perçant et menaçant tandis que l’autre se dandinait d’un pied sur l’autre en regardant le sol. Katyne fit un signe de tête par courtoisie mais l’homme haussa les épaules en marmonnant quelque chose d’inaudible et il pénétra dans l’étable, l’autre sur ses talons.

«Et bien ça promet … »pensa t elle.

Faisant fi de cette première approche, elle pénétra dans sa maison, ouvrit toutes les fenêtres, volets, portes et commença à s’installer.

Une fois cela fait, elle descendit quelques maisons plus bas afin de saluer ses amis, qui se trouvaient être de base les propriétaires de la ferme.

« - Vous n’auriez pas oublié de me dire quelque chose concernant la ferme par hasard ? » lança Katyne d’un air suspicieux.

- Ah… C’est-à-dire que nous ne savions pas trop comment te le dire…

- Mais vous avez vendu ou ils sont en location ?

- Vendu, nous vieillissons, nous ne pouvons plus nous occuper de tous ces bâtiments. Et les voir se dégrader au fil des ans nous faisait mal. Donc quand ces messieurs, deux frères, nous ont demandé si par hasard nous n’étions pas intéressés pour leur vendre, je dois t’avouer que nous n’avons pas hésité trop longtemps. Surtout sachant qu’ils voulaient redémarrer une activité agricole.

- Et vous avez bien fait ! En plus c’est cool, cela redonne vie au village d’avoir à nouveau une ferme en fonctionnement. Un peu d’action !

- Oui ca pour l’action tu vas en avoir... Juste, pour info, que tu ne fasses pas de gaffe ou je ne sais quoi, le grand brun costaud, Thomas, c’est lui le « chef » on va dire… son frère, Patrick, est euuuh, comment dire… un peu simplet, enfin, pour reprendre les termes des jeunes, ce n’est pas la chips la plus croustillante du paquet quoi tu vois. Il n’est pas méchant mais bon voilà pas très futé quoi….

Evite de trop les fixer ou que sais je…. Thomas monte assez vite en pression pour des petits riens.

- Ok… Merci de me prévenir, j’essaierai de ne pas faire de boulettes. Bonne soirée à vous

- Bonne soirée aussi. Profite bien ! »

En arrivant chez moi, je découvris avec surprise une vache qui semblait perdue. Me doutant qu’elle appartenait à mes nouveaux charmants voisins, je commençais à l’attraper par son collier pour lui faire traverser la rue et monter à l’étable quand la porte de celle-ci s’ouvrit violemment sur un Thomas furieux qui enguirlandait son frère d’avoir paumé une vache. Et quand il me vit avec elle son regard devint encore plus sombre.

« - Lâche cette vache la patrigote ! On a pas besoin de ton aide !

- Bonsoir, merci d’avoir retrouvé ma vache, oh de rien c’est un plaisir tenez la voila, Bonne soirée et encore merci, bonne soirée également. »

Il me fixa avec une telle méchanceté dans le regard que je regrettai presque ma petite pique. Mais après tout, pour qui se prenait-il ce malotru ?!

Il attrapa sa vache et la poussant dans l’étable, me fixa une dernière fois avant de claquer les portes.

Décidemment, il allait être compliqué de communiquer.

Quelques jours après mon arrivée, en cette fin aout chaude et ensoleillée, je me décidais à aller ramasser des mûres afin de faire de la confiture. Rien de meilleur que ces baies sauvages !

Comme à mon habitude, je pénétrais dans le champ qui était juste derrière la ferme, là où je savais les ronciers plutôt généreux. Tout à ma cueillette, je ne fis pas attention au fait que potentiellement mes chers nouveaux voisins avaient rajouté des fils aux clôtures et que dorénavant, il y avait cinq barbelés… 5 = taureau. Taureau avec qui, faisant volte face en entendant respirer bruyamment, je me trouvai nez à nez. Ne pas paniquer, ne pas montrer sa trouille et passer aussi vite que possible sous les barbelés avant de se faire charger. Il émit un meuuuuh de mécontentement tout en raclant le sol de sa patte.

Connaissant la ferme comme ma poche, je commençais à redescendre par le passage sur le côté, priant que mes chers voisins ne soient pas là quand soudain j’entendis :

« Qu’est ce que tu fous chez moi sale trainée de parigote de merde ? »

Et zut… Thomas…

Faisant volte face pour lui envoyer mon plus beau sourire et m’expliquer, je fus soufflée de le trouver en short, torse nu, tout bronzé et luisant de sueur, appuyé sur sa fourche.

Il vit mon trouble et me fit un sourire diabolique en s’avançant vers moi.

Je commençai à expliquer en bégayant, les mûres, le taureau, l’habitude de voir la ferme vide et de passer par ici. Il s’arrêta à 5cm de moi me fixant durement. Je sentais son odeur de mâle dominant et malgré la trouille qui m’envahissait, car je me savais en tort d’être sur ses terres, en même temps je sentais monter une excitation sauvage en moi.

« - Ce sont mes terres oui en effet, la parigote… et de ce fait, j’exige un paiement pour droit de passage.

Soit tu rebrousses chemin et tu te débrouilles avec mon taureau, soit tu me suis et on voit comment tu vas pouvoir t’acquitter de ton dû…, annonça t il le regard plus noir que jamais.

- Euh… je te suis alors… pas franchement envie de finir piétiner par un taureau enragé, murmurai-je

- Bien. Viens ici salope, ajouta t il en m’attrapant par la queue de cheval. »

J’émis un cri auquel il répondit par un CHUT ! en me plaquant sa main poussiéreuse sur la bouche.

Il me traina sous le hangar qui donnait accès au grenier, il poussa la vieille porte en planches et me jeta dans le foin. J’allais me relever en protestant quand il sorti sa queue de son short et commença à me pisser dessus comme si j’étais un vulgaire buisson. J’hoquetai de surprise, ce à quoi il répondit par un rire puis, ayant quasi finit car il ne sortait plus que des gouttes de son gland, il me saisit la tête et m’enfonça son sexe à moitié raide et plein de pisse dans la bouche. Je tentai de me dégager sentant un haut de cœur venir mais il me colla une claque en me disant :

« Oh non la parigote, même pas en rêve que cette queue ressorte tant que tu ne l’as pas nettoyée comme un vulgaire torchon. Suce et ferme-la ! »

En respirant par le nez pour tenter de me calmer, je m’exécutai et me mis à lui lécher la bite, le gland en le gardant en bouche. Soit je me débrouillais bien, soit il n’avait pas été stimulé de la sorte depuis un moment car soudain sans prévenir, il poussa un grognement et se répandit dans ma bouche.

Son sperme était épais et acre, je faillis vomir en sentant la texture dans ma bouche. Voyant que j’allais cracher, il se retira promptement et me pinçant le nez et me bloquant la bouche avec sa main de géant, il me dit :

« Avale pouffiasse, ca va te montrer ce que c’est que la semence d’un vrai mâle ! »

Luttant contre mon envie de vomir, j’avalais tant bien que mal. Il me relâcha et me releva.

« - Allez vas y casse toi avec tes mûres et surtout ne repasse plus où tu n’as rien à faire. Si je t’y reprends… ce qu’il vient de se passer ne sera rien à côté. »

Je le fixai de travers, réajusta mes vêtements trempés de pisse comme je pus, du foin collé dessus, et je pris le passage, mon panier de mûres à la main, priant pour qu’il n’y ait personne dehors que j’ai le temps de traverser et de m’enfermer chez moi.

Je courus me doucher et me laver les dents, un peu tremblante de ce qu’il venait d’arriver, partagée entre peur et excitation. Passant une main sur ma chatte pour me savonner, je ne fus qu’à moitié étonnée de constater que de la cyprine avait coulée.

« Bordel ma pauvre fille, tu viens te de faire humilier et toi tu es excitée… »

Je me mis à faire ma confiture, à manger. Deux jours passèrent sans que je revois mon cher voisin.

Après ma douche ce matin là, je sortis la voiture pour aller en courses. Boulangerie, boucherie, maraicher, jour de marché donc beaucoup de choix de produits locaux et savoureux.

Je rentrai en chantonnant la musique à fond dans la voiture et en arrivant, je constatai qu’un veau était seul devant la ferme à meugler comme un pauvre abandonné.

Je rangeai la voiture, mes courses et ne tenant plus d’entendre la pauvre bête s’époumoner, je décidai d’aller voir si mes chers voisins étaient là. Personne. La porte de l’étable n’étant pas verrouillée, j’y allai au culot et prenant le veau avec une corde, je le fis rentrer tant bien que mal dans l’étable sombre mais fraiche comparée à la chaleur du dehors. Ne sachant trop quoi faire de ma bestiole, je décidai de l’attacher dans une stalle avec les colliers que l’on mettait au cou des vaches pour la traite. Au moins il ne s’enfuirait pas et aurait de l’eau et du foin en attendant que ses maîtres se pointent.

Il y avait tellement longtemps que je n’étais pas entrée ici, et en déambulant un peu je constatais qu’ils avaient tout gardé à l’ancienne, rien de moderne comme les stabulations insipides de nos jours. Je retrouvais les odeurs de vaches, de fumier, du lait, du foin, des granulés bref tout ce que j’adorais. J’étais là un sourire béat aux lèvres à me rappeler tout cela, tant et si bien que je n’avais pas entendu les frères rentrer dans l’étable.
Published by Katyne
1 month ago
Comments
16
Fjordmoon
Fjordmoon 26 days ago
to Katyne : Ce n'est pas pour me déplaire :)
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Katyne
Katyne Publisher 1 month ago
to Toruby : merci :) 
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Katyne
Katyne Publisher 1 month ago
to Fjordmoon : Des fois cela lui arrive ! Merci vous aussi :) 
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Toruby
Toruby 1 month ago
On s y croit. Bravo 
Katyne
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Fjordmoon
Fjordmoon 1 month ago
Katyne était déchainée :) Prenez soin de vous.
Katyne
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Boubiz64
Boubiz64 1 month ago
to Katyne : De rien, merci à toi sac à foutre 
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Katyne
Katyne Publisher 1 month ago
to Boubiz64 : Merci beaucoup toi 
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Katyne
Katyne Publisher 1 month ago
to Moussaillon1969 : Avec plaisir :) A défaut de baiser, j'ecris mes impures pensées.
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Boubiz64
Boubiz64 1 month ago
Un très beaux début , récit agréable à lire . Belle œuvre 
Katyne
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Moussaillon1969
Moussaillon1969 1 month ago
Très beau récit. Merci.
Katyne
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Katyne
Katyne Publisher 1 month ago
to douce-betty : Contente que cela te plaise ! Bizzz
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douce-betty
douce-betty 1 month ago
Bisous ma petite chienne ... bon debut ... a l idee de la suite que je vais lire maintenant j en ai la queue raide 
Katyne
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Katyne
Katyne Publisher 1 month ago
to Le-Pere-Vert : Attends de lire la 2eme partie qui est maintenant en ligne.... MDRRRR
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Katyne
Katyne Publisher 1 month ago
to kahecate : Merci toi ! Suite en ligne :) 
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Le-Pere-Vert
Le-Pere-Vert 1 month ago
J'ai gicle au réveil, mais tu vas prendre double ration quand t'es en ligne grosse pute !
Katyne
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kahecate
kahecate 1 month ago
Très sympathique vivement la suite biz
Katyne
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