Partie de campagne 2 (Fiction)
Sentant une présence et me retournant, je poussais un cri de surprise et d’effroi, ce qui amusa Patrick qui se mit à rire comme un idiot et qui donna un rictus sadique à Thomas.
« - Décidément la parigote, tu ne peux pas t’en empêcher hein, susurra ce dernier.
- J’ai juste rentré ce pauvre veau qui agonisait dehors en plein soleil, j’ai appelé mais vous ne m’avez pas répondu, protestai je
- Honorable de ta part… mais tu es encore une fois entrée sur une propriété privée ma chère.
Et là ça va vraiment te couter très cher, murmura t il à mon oreille. »
En entendant cela mes poils se hérissèrent. Thomas m’attrapa par la main et me ramena du côté où j’avais attaché le veau. Il attrapa mon haut et me l’ôta. Bien évidemment, comme à mon habitude, je n’avais pas de soutien gorge. Patrick ricana et commença à dire :
« - Ohhh les seins oooh les mamelles comme la vache ouiiiii, on peut téter et traire hein Thomas hein !
- Ma foi mon Patrick… oui on peut traiter la parigote comme une vache, ça me donne des idées d’ailleurs, dit il avec une lueur maléfique dans le regard. »
Il s’approcha à nouveau de moi et m’enleva mon short et ma culotte.
« - Et bien voila, à poils comme une vache ! Allez la parigote, ajouta t il en me claquant le cul bien fort ce qui me tira un cri, rentre la dedans en me poussant dans une stalle vide.
Patrick, attache la vache s’il te plait, ça va être l’heure de la traite ! »
Ce dernier s’exécuta en riant comme un imbécile. Pour être sur que je ne puisse plus m’enfuir, Thomas m’attacha les mains avec de la corde aux barres de la stalle.
Il m’assena quelques claques bien senties sur la croupe ce qui me fit hurler et rougir le cul.
Patrick se dandinait en attendant que Thomas lui dise quoi faire, je voyais avec effroi une bosse énorme déformer son pantalon au niveau de son entrejambe.
Thomas commença à me malaxer les seins tout en me pinçant les tétons et en tirant dessus. Ce fût plus fort que moi je laissai échapper un gémissement car je dois avouer que j’aimais que l’on s’occupe de mes tétons.
«- Ah oui la parigote ? Tu gémis ? Elle aime les massages de mamelles la vache ?!
Allez Patrick fait toi plaisir mon p’tit, trais moi cette sale pute !
- Je peux aussi téter les tétines ?
- Oui fais ce que tu veux avec Patrick, vas y mon grand ! »
A ces mots, Patrick se jeta sur mes seins. Il les malaxa, me tira les tétons comme on tire sur les trayons pour traire une vache, puis d’un coup il se mit à me téter tout en me pétrissant les seins. Sa succion était forte, cela me consumait même si je ne l’aurais pas admis. Mais c’était sans compter sur Thomas qui voyait que je prenais du plaisir sous la langue de son frère.
Il ricana et commença à me pétrir le clito. Je fus prise d’un spasme et je poussai un cri de jouissance qui fit peur à Patrick.
« Ce n’est rien Patrick, la vache a eu du plaisir. Mais dis moi, on dirait que tu as l’air a l’étroit dans ton pantalon… Allez fais comme moi, viens, on se met tout nu aussi. »
Patrick ne se le fit pas dire deux fois et se retrouva nu comme un ver en un claquement de doigts. Si Thomas était déjà plus que bien membré, son frère avait littéralement un tronc à la place de la bite. Elle n’était pas forcément longue, dans la moyenne je dirai mais d’une largeur impressionnante, toute raide, toute veinée.
« -Patrick, tu sais comment il fait le taureau quand il monte sur la vache ?
- Oui, il met sa grosse quéquette dans la vache et il bouge dessus.
- Allez mon Patrick, tu vas faire le taureau aujourd’hui, vu que l’on a une vache à disposition !
- Non mais il ne va pas… c’est trop gros je ne AAAAHHHHHHHHHH AIIIIIIIIIIEEEEEE , hurlai je sans finir ma phrase. »
Patrick était déjà derrière moi et m’avait enfilé sa putain de grosse bite dans la chatte sans préambule, et il se démenait comme un beau diable dans un va et vient bestial et brutal.
Plus je criais et plus il s’enfonçait et bougeait vite. Thomas regardait tout cela en ricanant. Il s’approcha de ma bouche et m’enfonça sa queue dans la gorge. Je tentai de protester mais il m’attrapa la tête et me baisa la gueule pendant que son frère continuait de me déboiter la chatte. Je bavais, j’avais de hauts de cœur, j’ai même vomi à force mais il a continué ainsi pendant quelques minutes, très exactement jusqu’à ce que Patrick pousse un hurlement d’animal sauvage en me giclant dans le vagin. Il regarda son frère tout penaud se demandant ce qu’il s’était passé. Thomas le rassura en lui disant qu’il avait tout bien fait comme il fallait et que ca c’était aussi normal.
« - Assieds toi sur le tabouret et quand ton zizi sera encore tout gros tu pourras rejouer avec la vache d’accord ? Pour le moment c’est moi qui vais un peu m’occuper d’elle, ajouta Thomas d’une voix rauque.
- Ok, dit Patrick en prenant le tabouret. »
Thomas s’approcha de moi. Il commença par faire courir ses doigts sur mon dos ce qui me donna la chair de poule. Puis il se mit à me claquer les seins qui pendouillaient sous moi. Je criais mais il n’arrêta que quand il les estima assez rouges. J’avais les larmes aux yeux tellement cela faisait mal.
Il me claque chaque fesse le plus fort qu’il pu puis il commença à se frotter dans ma raie du cul. D’un coup sans prévenir, il s’enfonça dans mon anus hyper serré à sec. Je poussai un cri de douleur, mais il commença son va et vient sans se préoccuper de moi. A chaque coup je tremblais sous la douleur que cela me donnait. Il se retira, me pris la chatte sans ménagement le temps que quelques aller retour puis, il me reprit le cul d’un coup sec.
« - Ca va mieux la vache maintenant que j’ai raclé un peu du foutre de mon frère pour te lubrifier le derrière ?
- Aïe putain ! Lâche-moi sale connard !
- Oh mais tu as la langue bien pendue pour une vache la parigote ! Attends un peu... »
Et il commença à me baiser le fion comme une sale brute. Plus il s’enfonçait plus je criais mais en même temps, un plaisir sauvage montait dans mes entrailles. Mes cris de douleur se transformèrent en gémissements et couinements de plaisir.
Patrick avait retrouvé sa vigueur, il regardait son frère aller et venir dans mon cul.
« - Patrick, détache la vache s’il te plait. Et allonge-toi dans la paille. »
Thomas se retira de mon p’tit trou, me força à m’empaler sur son frère, je grimaçai de douleur sentant à nouveau ce tronc m’écarteler la chatte.
« -Patrick, tiens la vache sur toi et essaie de bouger dans sa chatte pour voir. »
Celui-ci ne se fit pas prier et me collant contre lui recommença à me baiser en profondeur et fort.
Thomas ricana et vient se placer derrière moi.
« -Allez la vache, meugle !, me murmura t il en me mordillant le lobe de l’oreille et en s’enfonçant à nouveau dans mon anus d’un seul coup.»
Je ne pu retenir un cri animal quand Thomas me prit.
Etre ainsi possédée devant et derrière était jouissif à l’extrême mais en même temps j’étais à la frontière entre plaisir et douleur car bordel ils étaient membrés comme des poneys ! Ils me déboitèrent ainsi les trous avec force et brutalité pendant un temps qui me parut une éternité. Je n’étais plus que gémissements et orgasmes à répétition.
Je poussai un hurlement strident dû au plaisir quand je sentis leurs queues se contracter dans mes entrailles et que je fus inondée de leur semence brulante. Je la sentais se rependre, chaude, dans mes trous sensibles comme jamais. Je me mis à trembler de façon incontrôlée sous la vague du plaisir.
Thomas s’affala sur nous l’espace de quelques secondes puis roula sur le côté dans la paille.
Patrick se releva et me pissa dessus ce qui fit rire Thomas. Puis il nous annonça qu’il allait se laver.
Thomas se releva à son tour, m’ordonnant de me mettre à genoux et d’ouvrir la bouche. Il me fit profiter également de son jus doré. Il dégoulinait de ma bouche sur ma gorge et mes seins meurtris. Je dus lui nettoyer la bite une fois qu’il eu fini, mélange de pisse et de foutre, étrange mais pas dérangeant.
Il me releva et m’entraina vers la salle du tank à lait. Il y avait encore la douche ! Il me poussa dessous et vient s’y coller avec moi. Nous nous lavâmes en silence puis je ramassai mes affaires et je traversai la rue au pas de course pour ne pas être vue ainsi à poils et trempée sortant de la ferme comme un diable de sa boîte. Je repris une douche afin de me laver les cheveux correctement, les sécha puis j’allai m’écrouler sur le lit. Je dormis tout le reste de l’apres midi, le corps enveloppé d’une vague de plaisir résiduel.
« - Décidément la parigote, tu ne peux pas t’en empêcher hein, susurra ce dernier.
- J’ai juste rentré ce pauvre veau qui agonisait dehors en plein soleil, j’ai appelé mais vous ne m’avez pas répondu, protestai je
- Honorable de ta part… mais tu es encore une fois entrée sur une propriété privée ma chère.
Et là ça va vraiment te couter très cher, murmura t il à mon oreille. »
En entendant cela mes poils se hérissèrent. Thomas m’attrapa par la main et me ramena du côté où j’avais attaché le veau. Il attrapa mon haut et me l’ôta. Bien évidemment, comme à mon habitude, je n’avais pas de soutien gorge. Patrick ricana et commença à dire :
« - Ohhh les seins oooh les mamelles comme la vache ouiiiii, on peut téter et traire hein Thomas hein !
- Ma foi mon Patrick… oui on peut traiter la parigote comme une vache, ça me donne des idées d’ailleurs, dit il avec une lueur maléfique dans le regard. »
Il s’approcha à nouveau de moi et m’enleva mon short et ma culotte.
« - Et bien voila, à poils comme une vache ! Allez la parigote, ajouta t il en me claquant le cul bien fort ce qui me tira un cri, rentre la dedans en me poussant dans une stalle vide.
Patrick, attache la vache s’il te plait, ça va être l’heure de la traite ! »
Ce dernier s’exécuta en riant comme un imbécile. Pour être sur que je ne puisse plus m’enfuir, Thomas m’attacha les mains avec de la corde aux barres de la stalle.
Il m’assena quelques claques bien senties sur la croupe ce qui me fit hurler et rougir le cul.
Patrick se dandinait en attendant que Thomas lui dise quoi faire, je voyais avec effroi une bosse énorme déformer son pantalon au niveau de son entrejambe.
Thomas commença à me malaxer les seins tout en me pinçant les tétons et en tirant dessus. Ce fût plus fort que moi je laissai échapper un gémissement car je dois avouer que j’aimais que l’on s’occupe de mes tétons.
«- Ah oui la parigote ? Tu gémis ? Elle aime les massages de mamelles la vache ?!
Allez Patrick fait toi plaisir mon p’tit, trais moi cette sale pute !
- Je peux aussi téter les tétines ?
- Oui fais ce que tu veux avec Patrick, vas y mon grand ! »
A ces mots, Patrick se jeta sur mes seins. Il les malaxa, me tira les tétons comme on tire sur les trayons pour traire une vache, puis d’un coup il se mit à me téter tout en me pétrissant les seins. Sa succion était forte, cela me consumait même si je ne l’aurais pas admis. Mais c’était sans compter sur Thomas qui voyait que je prenais du plaisir sous la langue de son frère.
Il ricana et commença à me pétrir le clito. Je fus prise d’un spasme et je poussai un cri de jouissance qui fit peur à Patrick.
« Ce n’est rien Patrick, la vache a eu du plaisir. Mais dis moi, on dirait que tu as l’air a l’étroit dans ton pantalon… Allez fais comme moi, viens, on se met tout nu aussi. »
Patrick ne se le fit pas dire deux fois et se retrouva nu comme un ver en un claquement de doigts. Si Thomas était déjà plus que bien membré, son frère avait littéralement un tronc à la place de la bite. Elle n’était pas forcément longue, dans la moyenne je dirai mais d’une largeur impressionnante, toute raide, toute veinée.
« -Patrick, tu sais comment il fait le taureau quand il monte sur la vache ?
- Oui, il met sa grosse quéquette dans la vache et il bouge dessus.
- Allez mon Patrick, tu vas faire le taureau aujourd’hui, vu que l’on a une vache à disposition !
- Non mais il ne va pas… c’est trop gros je ne AAAAHHHHHHHHHH AIIIIIIIIIIEEEEEE , hurlai je sans finir ma phrase. »
Patrick était déjà derrière moi et m’avait enfilé sa putain de grosse bite dans la chatte sans préambule, et il se démenait comme un beau diable dans un va et vient bestial et brutal.
Plus je criais et plus il s’enfonçait et bougeait vite. Thomas regardait tout cela en ricanant. Il s’approcha de ma bouche et m’enfonça sa queue dans la gorge. Je tentai de protester mais il m’attrapa la tête et me baisa la gueule pendant que son frère continuait de me déboiter la chatte. Je bavais, j’avais de hauts de cœur, j’ai même vomi à force mais il a continué ainsi pendant quelques minutes, très exactement jusqu’à ce que Patrick pousse un hurlement d’animal sauvage en me giclant dans le vagin. Il regarda son frère tout penaud se demandant ce qu’il s’était passé. Thomas le rassura en lui disant qu’il avait tout bien fait comme il fallait et que ca c’était aussi normal.
« - Assieds toi sur le tabouret et quand ton zizi sera encore tout gros tu pourras rejouer avec la vache d’accord ? Pour le moment c’est moi qui vais un peu m’occuper d’elle, ajouta Thomas d’une voix rauque.
- Ok, dit Patrick en prenant le tabouret. »
Thomas s’approcha de moi. Il commença par faire courir ses doigts sur mon dos ce qui me donna la chair de poule. Puis il se mit à me claquer les seins qui pendouillaient sous moi. Je criais mais il n’arrêta que quand il les estima assez rouges. J’avais les larmes aux yeux tellement cela faisait mal.
Il me claque chaque fesse le plus fort qu’il pu puis il commença à se frotter dans ma raie du cul. D’un coup sans prévenir, il s’enfonça dans mon anus hyper serré à sec. Je poussai un cri de douleur, mais il commença son va et vient sans se préoccuper de moi. A chaque coup je tremblais sous la douleur que cela me donnait. Il se retira, me pris la chatte sans ménagement le temps que quelques aller retour puis, il me reprit le cul d’un coup sec.
« - Ca va mieux la vache maintenant que j’ai raclé un peu du foutre de mon frère pour te lubrifier le derrière ?
- Aïe putain ! Lâche-moi sale connard !
- Oh mais tu as la langue bien pendue pour une vache la parigote ! Attends un peu... »
Et il commença à me baiser le fion comme une sale brute. Plus il s’enfonçait plus je criais mais en même temps, un plaisir sauvage montait dans mes entrailles. Mes cris de douleur se transformèrent en gémissements et couinements de plaisir.
Patrick avait retrouvé sa vigueur, il regardait son frère aller et venir dans mon cul.
« - Patrick, détache la vache s’il te plait. Et allonge-toi dans la paille. »
Thomas se retira de mon p’tit trou, me força à m’empaler sur son frère, je grimaçai de douleur sentant à nouveau ce tronc m’écarteler la chatte.
« -Patrick, tiens la vache sur toi et essaie de bouger dans sa chatte pour voir. »
Celui-ci ne se fit pas prier et me collant contre lui recommença à me baiser en profondeur et fort.
Thomas ricana et vient se placer derrière moi.
« -Allez la vache, meugle !, me murmura t il en me mordillant le lobe de l’oreille et en s’enfonçant à nouveau dans mon anus d’un seul coup.»
Je ne pu retenir un cri animal quand Thomas me prit.
Etre ainsi possédée devant et derrière était jouissif à l’extrême mais en même temps j’étais à la frontière entre plaisir et douleur car bordel ils étaient membrés comme des poneys ! Ils me déboitèrent ainsi les trous avec force et brutalité pendant un temps qui me parut une éternité. Je n’étais plus que gémissements et orgasmes à répétition.
Je poussai un hurlement strident dû au plaisir quand je sentis leurs queues se contracter dans mes entrailles et que je fus inondée de leur semence brulante. Je la sentais se rependre, chaude, dans mes trous sensibles comme jamais. Je me mis à trembler de façon incontrôlée sous la vague du plaisir.
Thomas s’affala sur nous l’espace de quelques secondes puis roula sur le côté dans la paille.
Patrick se releva et me pissa dessus ce qui fit rire Thomas. Puis il nous annonça qu’il allait se laver.
Thomas se releva à son tour, m’ordonnant de me mettre à genoux et d’ouvrir la bouche. Il me fit profiter également de son jus doré. Il dégoulinait de ma bouche sur ma gorge et mes seins meurtris. Je dus lui nettoyer la bite une fois qu’il eu fini, mélange de pisse et de foutre, étrange mais pas dérangeant.
Il me releva et m’entraina vers la salle du tank à lait. Il y avait encore la douche ! Il me poussa dessous et vient s’y coller avec moi. Nous nous lavâmes en silence puis je ramassai mes affaires et je traversai la rue au pas de course pour ne pas être vue ainsi à poils et trempée sortant de la ferme comme un diable de sa boîte. Je repris une douche afin de me laver les cheveux correctement, les sécha puis j’allai m’écrouler sur le lit. Je dormis tout le reste de l’apres midi, le corps enveloppé d’une vague de plaisir résiduel.
1 month ago
