2025 - Un été électrique pour Sofia
Superbe dans cette tenue sportive qui moule ses formes de trentenaire, elle fait le tour du lac, 3 km, depuis 1 heure…
Elle vide son esprit, par ce temps magnifique…
Elle profite de cette nature qu’elle aime traverser, fouler, sentir, vivre ce relâchement bénéfique.
32 ans, en instance de rien, quelques passades amoureuses, rien de bien sérieux, enfin, à postériori… Elle aime les rencontres impromptues, naturelles, agréables…
Elle croise, double, se fait doubler, par d’autres joggeurs, des marcheurs, d’autres allongés sur la pelouse, s’étirant, humant l’air chargé de pollen, de senteurs diverses, du printemps à l’automne…
Ce jour-là, elle se détend après son heure de sport, assise sur un banc, les yeux sur le lac, pointant sur des cygnes éclatants de blancheur…
Des promeneurs les photographie…
Un garçon s’assied, en lui demandant sa permission, en bout de son banc…
Pas mal, bien élevé, en short et maillot noirs, des yeux souriants…
Il parle de ce parc où il aime aussi prendre l’air, pour se changer du travail…
Il a besoin de parler ?
Il me drague ?
Je réponds, je suis sur mes gardes, je le sonde sans en avoir l’air…
Il a l’air correct, gentil, franc…
Mais mes expériences me disent de ne pas m’emballer pour chaque mec qui croise ma route…
Celui-ci, tout de même, reste dans le positif sur ma liste…
Quand il repart, son beau sourire me laisse un goût amer…
J’aurais bien pris bien ma douche avec lui…
15 jours que je ne suis pas sortie en boîte…
J’ai mes habitudes, un club en centre-ville, bien fréquenté, on me connait, je fais partie des habituées…
Certains viennent m’inviter, d’autres tardent à le faire, alors je gigotte sur la piste, pour libérer mes pensées et repérer la perle rare…
Le Mojito gratuit ingurgité, ses effets sont délassants, inspirants…
Mes yeux guettent la nouveauté, quelque chose de sympathique, attirant, rieur, c’est… lui !
Ma rencontre impromptue sur ce banc, face aux cygnes…
C’est un signe ?
Nos yeux se croisent, il m’a reconnue…
Permission accordée de s’assoir à ma table…
Il reprend là où on en était, le sport, la nature, ses yeux entre mes seins…
Ah ! Je deviens une cible… Mais j’avais fait en sorte d’attirer le chaland…
Une copine me salue, elle m’invite sur le dancefloor, je jette un œil à mon dragueur, il nous suit sur la piste…
Nous voici englués, dévitalisés, voire décervelés, par des musiques démentes, des sons puissants, des gens qui sautent et bougent avec fanatisme…
Oui, ils se libèrent sur la piste, gesticulant sans rythme… S’offrant au dieu Décibel !
Je passe par le bar et commande deux Mojitos…
Il revient, en sueur…
- Comme un tour de lac, mais dans une autre ambiance… Merci pour les Mojitos !
- Oui, je préfère aussi celle du Parc…
- On pourrait y aller…
- A pied ?
- Oui, ou en voiture, j’ai la mienne au parking…
- Moi, c’est Sofia… On peut se tutoyer…
- Dave, j’ai des parents d’origine nordique, Pays-Bas en particulier…
- Oui, le lac !... La nuit… Je n’ai pas l’habitude… Ce doit être plus reposant que ce brouhaha…
Après quelques minutes, nos verres vides, on sort et on se met à marcher, côte à côte…
L’air est plus frais, à 1h00…
On parle de nos boulots, de nos passions, et on s’assoit sur le même banc…
Il fait presque froid… Il propose de faire le tour du lac en marchant, pour nous réchauffer…
Je me laisse convaincre…
Un tour vite fait… Marche sportive, mais je sens le sommeil me gagner…
- Bon, je te raccompagne jusque chez toi…
- Ou au club et tu me prends dans ta voiture…
- Hein ? J’ai bien entendu ?
- ???
- Je te prends dans ma voiture ?…
- Oh ! Pardon ! Je n’ai pas réfléchi en disant ma pensée…
- Ah, bon ! Mais cela me plairait…
- Je pourrais dormir après ?...
- Chez moi ?
Il m’a réveillée…
On fait l’amour avec passion… Comme 2 adultes consentants, privés de sexe depuis 15 jours…
Il m’a embrassée dans le hall de son studio, m’a déshabillée au bord du lit, m’a écartelée pour me rendre visite poliment…
Sa langue m’a fait merveille, plus envie de dormir, mais de connaitre la suite des festivités…
J’ai pris le pouvoir, me suis tournée, pour être tête-bêche…
Fellation contre cunnilingus…
Je ne rêvais pas, subissais les assauts de sa langue, tandis que je jouais avec son sexe, me délectant de cette hampe blanche, et du gland rosé, que j’imprégnais de salive en prévision…
Je m’offris sans aucune gêne, il me prit sans aucune hésitation…
Un coït essoufflant, une montée en douceur, puis la cavalcade habituelle, pour atteindre le sommet…
Il m’a baisée avec ardeur, passion, en ajoutant tendresse et patience…
Ses coups de reins déclenchèrent orgasme sur orgasme, que je laissais venir, m’extériorisant de plus en plus, jusqu’à l’exciter comme un étalon par mes feulements de hyène…
Avant de le laisser faire, j’ai pris le pouvoir, je suis montée sur lui à califourchon et me suis prise sur son dard…
Une baise revigorante, athlétique, allongée, empalée, me donnant du plaisir à volonté, ondulant mes fesses comme pour un grand prix, à la vitesse du record de l’heure…
Je le sentis arriver à la limite, je m’offris en m’allongeant sur le dos, repliant les cuisses, pour lui offrir ma vulve, en bonne amante, aimant les positions scandaleuses…
Il m’a pénétrée comme j’aime, doucement, profondément, puis a augmenté sa cadence, jusqu’au bout…
J’ai joui jusqu’à l’extase, recevant sa semence, libérée et heureuse de ce dénouement…
J’ai dormi comme un bébé, jusqu’au matin, contente de mon choix, rassurée sur lui…
On a refait l’amour, cette fois, en levrette…
Je me suis déchainée, il s’est surpassé…
Il m’a tringlée comme dans mes meilleurs souvenirs, ensemencée comme une jument au haras, par son étalon, puis osant une dernière caresse, celle de mon jardin secret, me gavant de sensations sexuelles, me sodomisant comme une reine du porno, déchirant mon cul avec sa bite surexcitée…
Je le sentais encore le soir sous ma douche, comme un pieu dans mes entrailles, la vulve encore béante, assouvie par ce macho libertin…
Dave était mon entraineur, comptant et chronométrant mes tours de lac…
On rentrait chez lui, ou chez moi, on commandait une pizza et on mangeait devant la télé, écoutant les infos, la tête ailleurs…
Oui, chaque soir on faisait l’amour, il était prince, j’étais bergère, il me dominait, me chavirant, inventant chaque fois des positions agréables, des trucs oubliés, nous devenions un couple sauvage, avec l’idée d’aller plus loin…
Mais on a des vies, professionnelles et familiales…
Je suis partie rejoindre ma famille pour Noël, une semaine de vacances…
Je pensais à lui, n’en disait mot à personne, mais maman, fine mouche, me rappela qu’elle avait été jeune avant, amoureuse sans le savoir, éprise, certainement…
- Il s’appelle Dave, il a mon âge, on se fréquente depuis la rentrée.
- Il est bon amant ?
- Maman ! Un peu de tact !...
- Bon… Si tu ne veux pas me le décrire… Quand est-ce que tu nous le présentes ?
- Il pourrait venir le soir de Noël…
- Vrai ?
- Mais non, juste pour mettre le petit Jésus dans la crèche…
- Sofia ! Tu exagères !
- C’est toi qui a commencé !
- J’aime savoir si vous vous entendez sur ce plan… C’est essentiel !
- Oui ! On s’entend bien, on ne fait pas de bruit pour les voisins…
- Il vit chez toi ?
- Oui, et moi, chez lui… Pour l’instant on se découvre, on se rôde à l’idée de se mettre ensemble…
- Tu en as envie ?
- Je crois, oui… Il a fait en sorte de me donner confiance…
- Il fait quoi ?
- Ingénieur systèmes, des trucs compliqués, une grosse boîte, il gagne bien sa vie…
- Il t’a fait des cadeaux ?
- Des fleurs, un enfant, un bijou…
- Non ! Tu es enceinte ?
- Mais non, je plaisante, on vit notre rencontre… On garde nos chez-nous, pour reprendre de la distance et ne plus rêver… Les princes charmants, j’ai donné !
- Je sais ma chérie… Nous sommes de pauvres femmes quand l’amour nous tenaille… Que le désir mène la barque… Désir d’évasion, de liberté, de sexe…
- Je t’aime maman, tu ne changes pas, tu as toujours ta façon de parler simplement, de dire les choses que tu penses… Oui, j’aime le sexe, il m’aide à passer des périodes difficiles, à combler des absences, des manques, ma peur de l’avenir…
- J’ai pris quelques amants, pour me reprendre en main, quand ton père m’a larguée… Ose, fais ce qu’il te plait, vis ta passion, la vie est courte… Alors prends-la du bon côté… Agit et réfléchit après… S’il te plait, fonce… S’il te fait jouir, si tu en as envie souvent, fonce… J’ai trop raté d’occasions par peur des conséquences… Je les ai regrettées…
Maman est aux anges… Elle me voit amoureuse, mariée, avec des enfants…
C’est justement de ça que j’ai peur, c’est justement pour ça que je ne m’attache pas…
Je préfère papillonner, satisfaire ma libido au gré de mes rencontres, les provoquer parfois, les subir certaines fois…
Je l’appelle, lui dit que ma mère aimerait le connaitre… Qu’elle a ressenti quelques chose entre-nous… Que c’est une femme spéciale, ouverte, pleine de franchise, avec un bagou peu commun et la verve des personnes âgées venant de la terre, des gens simples et sensés…
Dès le premier regard, elle m’a souri, en douce…
Elle le trouve beau, très viril, un homme intelligent, aisé, car il l’a mise en confiance, la complimentant sur ses vêtements, et surtout d’avoir fait une fille aussi belle qu’elle…
Je n’ai pas pu résister, une fois dans mon ancienne chambre, de me donner à lui, entièrement nue, prenant sa verge en otage, ne la délaissant qu’au matin, bien fatiguée…
Nos ébats en mode silence ne l’ont pas dérangée… J’espère…
- Tenez, j’ai fait des viennoiseries, pour accompagner ma confiture de fraises…
- Oh, c’est gentil, vous me prenez par les sentiments !
- Et toi, tu dois avoir faim ?
- Pourquoi ?
- L’amour, ça creuse ma chérie…
- Maman ! Je t’en prie !
- Mais c’est normal ! A votre époque tout est à portée de main, on ne prend aucune précaution, on le fait, on gémit, on jouit dans l’intimité d’une chambre, se laissant porter par le plaisir, avec des extases sonorisées… Cela m’a rappelée quelques garçons que j’ai amenés à la maison… On était en avance pour notre époque, ils couchaient avec moi dans ma chambre, mes parents préféraient me savoir chez eux, que livrée dans la nature…
Cette nuit a été magique… Il m’avait manqué…
Quatre jours sans lui, une première et longue séparation…
Nos retrouvailles ont été riches et explosives !
Son sexe était gavé de jus, j’ai pris tout mon temps avant de lui offrir mon fourreau, me délectant de lui, avant de me déshabiller, et ensuite, en 69, avides de plaisirs buccaux, j’ai d’abord mené la barque, puis lui ai cédé le navire…
J’aime cette sensualité, dans les rapports intimes feutrés, en toute discrétion, surtout sonore, sans empressement, allant jusqu’au bout de nos caresses, nous contentant de jouir de chaque seconde, et atteignant un plaisir si intense, que l’on s’embrasse pour ne pas crier…
Ses ondulations deviennent des douces vagues qui m’emportent jusqu’à l’extase, me font délirer, dans un acte charnel, très profond, très progressif, et une libération merveilleuse, partagée, avec étoiles et feu d’artifice…
Je ne me souviens pas avoir aimé autant être pénétrée, si tendrement, pourfendue si somptueusement, ressentant le plaisir monter peu à peu, jusqu’à mon nuage, embrumée de larmes de bonheur…
Oui, je dois me rendre à l’évidence, je suis en train de tomber amoureuse..…
Il a sublimé mon corps toute la nuit, salivé la moindre parcelle de ma peau, honoré chaque zone sensible avec sa langue, des stimuli si enivrants, que j’en ai eu des tremblements orgasmiques…
- Il est parti ?
- Oui, il avait un rendez-vous important… Tu avais raison… Je crois que j’en tombe amoureuse…
- Ah !... Sofia… La nuit apporte son conseil… Et cette nuit, vous avez… Ça a duré très longtemps…
- Oui, j’ai essayé d’être discrète…
- Oh ! C’est difficile, nous ne sommes plus maitresse de notre corps, quand il nous fait l’amour… Tu vois j’ai 60 ans et j’aime encore me caresser… Et cette nuit, j’en ai profité, en vous imaginant… J’étais trempée, écartelée au milieu du lit, comme quand j’étais jeune et en chaleur…
- Tu ne vois plus personne ?
- Non, j’ai été déçue par les rencontres par internet, et au village, j’ai fait le tour des possibilités… Du potentiel, mais souvent marié… Un que j’avais rencontré lors d’une fête en juillet, un autre auquel j’avais répondu à une offre de jardinier… Il est venu deux fois…
- Ça n’a pas collé ?
- Il voulait tondre mon gazon, j’ai apprécié… Puis la seconde fois, il voulait remplir ma piscine, mais à plusieurs…
- Un coquin de première… Il aimait les partouzes…
- Tu avais trompé ton père avant ?
- Disons que nous prenions nos distances, en vacances chacun de notre côté, je me laissais aller à vivre ma vie de femme, à la montagne, j’aimais la fraîcheur, les marches, les fondues… Il préférait la mer…
Il m’est arrivé de profiter de mon charme, j’aimais revivre cette période, les premiers tourments, me laisser inviter, danser, flirter sur des banquettes élimées, ou au cinéma…
Lui, il ne se gênait pas, toujours un bon mot avec les femmes, voisines, commerçantes, et autres… Elles adorent les compliments bien tournés, et il avait l’art de se faire remarquer… J’étais cocue, mais lui aussi…
- Tu ne l’aimais plus ?
- En copain, si… Je n’avais plus d’attirance… Tu étais partie de la maison, j’étais seule de plus en plus souvent… J’ai pris ce qu’il y avait…
- Quand tu te retrouvais seule, tu avais envie de faire l’amour avec un inconnu, ou quelqu’un que tu avais croisé récemment ?
- Oui… J’attendais le moment, le destin, sauf en discothèque, on y allait pour ça… J’avais trouvé une voisine dans le même cas que moi, on partageait les frais…
- Tu as essayé les femmes ?
- Oh, justement, cette voisine, un soir, elle m’a invitée chez elle en rentrant de boîte… On n’avait rien trouvé et donc, on parlait de sexe… Alors on l’a fait pour la première fois, j’avais quarante ans, elle aussi… J’ai aimé partager son lit, ce qu’elle me faisait, m’apprenait… Des choses très proches des hommes… Et des jouissances très féminines… Que j’ai découverte… Un plaisir différent, beaucoup de tendresse et de partage… Pourquoi ? Tu l’as fait aussi ?
- Oui, l’an passé, après une rupture, un besoin de renouer avec le sexe… Un été entier, moitié montagne, moitié mer… On se sentait libres, tout en aimant nous caresser… On a vécu un amour de vacances… Marion… Brestoise… Dis…
- Oui ?
- Pourquoi tu ne m’as rien dit pendant ma puberté ? J’ai dû demander ailleurs, découvrir seule mes transformations, mes désirs tenaces, comment résister aux garçons ? Comment leur apporter ce plaisir qu’il venaient quémander ?
- C’est vrai, à cette époque, je pensais à moi… J’étais avec ton père, j’avais du mal à accepter cette vie… Compter toujours, se restreindre sur tout, l’amour était loin, et toi aussi, derrière tout ça…
- Je vous avais vu un soir… Ton déshabillé était ouvert, tu étais nue… J’ai senti une bouffée de chaleur quand tu as saisi son sexe… Tu l’as mis dans ta bouche… Vous avez grogné, tu es montée sur lui, en rampant… Il t’a embrassée, tu t’es laissée caresser, renverser, et son sexe est venu dans le tien…
Je t’ai entendue jouir, ça a duré longtemps…
Puis il t’a retournée, mise à 4 pattes et il a plongé son dard dans ta chatte…
Tu as joui ! Tu gémissais…
J’ai tout compris, tout assimilé, j’en avais envie aussi, je me caressais avec vous, puis plus tard aussi, en revivant cette soirée en live…
- Oh, ma chérie, je suis navrée… Je me suis donnée en spectacle…
- Tu m’as offert la plus belle séance d’éducation sexuelle de ma vie !
- Je crois que je me souviens de ça… Il m’avait offert un collier…
- Oui, c’est ça et vous avez bu du champagne, pour ton anniversaire…
- Oh, oui !... Et j’ai craqué, et on a fait crac-crac devant toi… Mais tu étais censée être sortie ?
- Oui, mais non… Avant que vous flirtiez, au début, je suis rentrée en larmes…
Ma copine m’avait larguée pour mon ex… Alors je suis montée dans ma chambre…
Quand je suis descendue attirée par la faim, je vous ai entendu parler…
Puis plus rien, des bruits, des sons, des craquements…
Je me suis avancée, et j’ai découvert la raison ! Tu avais la bouche pleine !
Tu la suçais ! Elle était énorme, rentrait et sortait, glissant suavement entre tes lèvres, comme une glace… Tu étais allongée, nue, sur le canapé, il te souriait, béat…
J’ai assisté à tout… Depuis les préliminaires, donc, avec des caresses échangées, tes seins mordillés, ta chatte offerte qu’il est venu butiner, tu as vraiment joui comme ça, écartelée, massant tes seins, empoignant sa bite…
Il s’est installé à son tour sur le canapé…
Tu t’es positionnée sur son bassin, écartelée et tu t’es pénétrée avec sa queue, en gémissant, ondulant, sautillant, vibrant comme une feuille, en fermant tes yeux de plaisir…
Puis tu as écarté tes cuisses pour le laisser te prendre !
Ça a duré…
Je coulais de désir en te voyant baiser, en entendant tes soupirs, tes feulements…
Tu jouissais tes orgasmes…
Il te possédait, te fourrait, caressait tes seins… Les massait…
Puis il t’a retournée, et il t’a prise en levrette, pour te sodomiser…
Tu t’es dérobée, le voulant dans ta chatte…
Puis quand il a caressé tes fesses, humidifié ton petit trou, qu’il t’a présenté son gland, huilé de sécrétions, il t’a pénétrée de quelques centimètres, et tu as gémit comme une chatte…
Tu l’as laissé faire et même, tu râlais sous lui, prenant son dard dans tes entrailles, jouissant avec lui, te tordant de plaisir…
J’ai appris beaucoup de vos échanges ce soir-là…
J’étais encore un peu nunuche, mais j’ai pu mettre des mots sur vos actes, pour les refaire plus tard…
J’ai pris la pilule et la semaine d’après, dans une discothèque située sur la plage, un jeune homme m’a déflorée dans les dunes…
Il m’a baisée, sodomisée, un soir de fête du 14 juillet, j’étais femme !
Mon premier feu d’artifice…
On s’est revus, on s’est aimés, presque toute une année…
Puis je suis passée à autre chose, collectionnant les minets dans les clubs, buvant de l’alcool… J’aimais casser les codes, aller plus loin, me défoncer comme toi, leur queue dans mon cul de salope, en buvant du champagne, les laissant me partager, en fumant un joint, zonant dans un squat, nus et décérébrés…
- Je ne savais pas tout ça ma chérie… Nous n’avons jamais parlé à cœur ouvert, avec cette franchise…
- Nous étions chacune sur des pentes différentes, des projets, des rêves, absents, on s’accrochait au présent, nous mentant à nous même sur les raisons de nos choix, de nos actes… Je regrette…
- Moi aussi, pas eu la force de me battre… Peur de lire tes reproches dans tes yeux…
- Moi non plus, pas eu le courage… Si, de me reprendre en main, grâce à une rencontre, une femme, une collègue… Elle m’a montré la voie… Bosser… Au plus tu apprends, au plus tu te distingues de la masse… Le réussite n’est que le haut de l’iceberg… Je pensais m’en sortir grâce à ma beauté, à mon charme, je n’aimais pas celle que j’étais devenue… Quelle honte ! J’ai mis deux ans à réussir… Me faire remarquer non pas par mon cul, mais par mon savoir, mon opiniâtreté, mes qualités dans mon secteur… Ainsi ma dernière promotion, c’est pas parce que j’ai couché avec le DRH, mais parce que j’ai remplacé une fille pendant l’été, au commercial, et j’ai tout explosé…
- Ah !... Finalement, tu deviens une femme classique, belle, propre sur elle, et une mentalité enfin convertie en personne bien sous tous rapports…
- Oui, mets un peu de sexe, ça ira mieux !... Tu es… impayable, maman ! Et donc tu as mené une vie de patachon quand je n’étais plus là… Et mon père parti, tu as grimpé tout ce qui bouge… Toi qui me reprochais de faire la pute, tu m’as imitée…
- Je sais… Mais sans amour, sans toi, j’ai perdu pied, et je suis allé le chercher… Il faut bien que je vive ma libido, sinon je suis infernale… Comme toi…
Fin de la première partie
Marika842010 – Juillet 2025
Elle vide son esprit, par ce temps magnifique…
Elle profite de cette nature qu’elle aime traverser, fouler, sentir, vivre ce relâchement bénéfique.
32 ans, en instance de rien, quelques passades amoureuses, rien de bien sérieux, enfin, à postériori… Elle aime les rencontres impromptues, naturelles, agréables…
Elle croise, double, se fait doubler, par d’autres joggeurs, des marcheurs, d’autres allongés sur la pelouse, s’étirant, humant l’air chargé de pollen, de senteurs diverses, du printemps à l’automne…
Ce jour-là, elle se détend après son heure de sport, assise sur un banc, les yeux sur le lac, pointant sur des cygnes éclatants de blancheur…
Des promeneurs les photographie…
Un garçon s’assied, en lui demandant sa permission, en bout de son banc…
Pas mal, bien élevé, en short et maillot noirs, des yeux souriants…
Il parle de ce parc où il aime aussi prendre l’air, pour se changer du travail…
Il a besoin de parler ?
Il me drague ?
Je réponds, je suis sur mes gardes, je le sonde sans en avoir l’air…
Il a l’air correct, gentil, franc…
Mais mes expériences me disent de ne pas m’emballer pour chaque mec qui croise ma route…
Celui-ci, tout de même, reste dans le positif sur ma liste…
Quand il repart, son beau sourire me laisse un goût amer…
J’aurais bien pris bien ma douche avec lui…
15 jours que je ne suis pas sortie en boîte…
J’ai mes habitudes, un club en centre-ville, bien fréquenté, on me connait, je fais partie des habituées…
Certains viennent m’inviter, d’autres tardent à le faire, alors je gigotte sur la piste, pour libérer mes pensées et repérer la perle rare…
Le Mojito gratuit ingurgité, ses effets sont délassants, inspirants…
Mes yeux guettent la nouveauté, quelque chose de sympathique, attirant, rieur, c’est… lui !
Ma rencontre impromptue sur ce banc, face aux cygnes…
C’est un signe ?
Nos yeux se croisent, il m’a reconnue…
Permission accordée de s’assoir à ma table…
Il reprend là où on en était, le sport, la nature, ses yeux entre mes seins…
Ah ! Je deviens une cible… Mais j’avais fait en sorte d’attirer le chaland…
Une copine me salue, elle m’invite sur le dancefloor, je jette un œil à mon dragueur, il nous suit sur la piste…
Nous voici englués, dévitalisés, voire décervelés, par des musiques démentes, des sons puissants, des gens qui sautent et bougent avec fanatisme…
Oui, ils se libèrent sur la piste, gesticulant sans rythme… S’offrant au dieu Décibel !
Je passe par le bar et commande deux Mojitos…
Il revient, en sueur…
- Comme un tour de lac, mais dans une autre ambiance… Merci pour les Mojitos !
- Oui, je préfère aussi celle du Parc…
- On pourrait y aller…
- A pied ?
- Oui, ou en voiture, j’ai la mienne au parking…
- Moi, c’est Sofia… On peut se tutoyer…
- Dave, j’ai des parents d’origine nordique, Pays-Bas en particulier…
- Oui, le lac !... La nuit… Je n’ai pas l’habitude… Ce doit être plus reposant que ce brouhaha…
Après quelques minutes, nos verres vides, on sort et on se met à marcher, côte à côte…
L’air est plus frais, à 1h00…
On parle de nos boulots, de nos passions, et on s’assoit sur le même banc…
Il fait presque froid… Il propose de faire le tour du lac en marchant, pour nous réchauffer…
Je me laisse convaincre…
Un tour vite fait… Marche sportive, mais je sens le sommeil me gagner…
- Bon, je te raccompagne jusque chez toi…
- Ou au club et tu me prends dans ta voiture…
- Hein ? J’ai bien entendu ?
- ???
- Je te prends dans ma voiture ?…
- Oh ! Pardon ! Je n’ai pas réfléchi en disant ma pensée…
- Ah, bon ! Mais cela me plairait…
- Je pourrais dormir après ?...
- Chez moi ?
Il m’a réveillée…
On fait l’amour avec passion… Comme 2 adultes consentants, privés de sexe depuis 15 jours…
Il m’a embrassée dans le hall de son studio, m’a déshabillée au bord du lit, m’a écartelée pour me rendre visite poliment…
Sa langue m’a fait merveille, plus envie de dormir, mais de connaitre la suite des festivités…
J’ai pris le pouvoir, me suis tournée, pour être tête-bêche…
Fellation contre cunnilingus…
Je ne rêvais pas, subissais les assauts de sa langue, tandis que je jouais avec son sexe, me délectant de cette hampe blanche, et du gland rosé, que j’imprégnais de salive en prévision…
Je m’offris sans aucune gêne, il me prit sans aucune hésitation…
Un coït essoufflant, une montée en douceur, puis la cavalcade habituelle, pour atteindre le sommet…
Il m’a baisée avec ardeur, passion, en ajoutant tendresse et patience…
Ses coups de reins déclenchèrent orgasme sur orgasme, que je laissais venir, m’extériorisant de plus en plus, jusqu’à l’exciter comme un étalon par mes feulements de hyène…
Avant de le laisser faire, j’ai pris le pouvoir, je suis montée sur lui à califourchon et me suis prise sur son dard…
Une baise revigorante, athlétique, allongée, empalée, me donnant du plaisir à volonté, ondulant mes fesses comme pour un grand prix, à la vitesse du record de l’heure…
Je le sentis arriver à la limite, je m’offris en m’allongeant sur le dos, repliant les cuisses, pour lui offrir ma vulve, en bonne amante, aimant les positions scandaleuses…
Il m’a pénétrée comme j’aime, doucement, profondément, puis a augmenté sa cadence, jusqu’au bout…
J’ai joui jusqu’à l’extase, recevant sa semence, libérée et heureuse de ce dénouement…
J’ai dormi comme un bébé, jusqu’au matin, contente de mon choix, rassurée sur lui…
On a refait l’amour, cette fois, en levrette…
Je me suis déchainée, il s’est surpassé…
Il m’a tringlée comme dans mes meilleurs souvenirs, ensemencée comme une jument au haras, par son étalon, puis osant une dernière caresse, celle de mon jardin secret, me gavant de sensations sexuelles, me sodomisant comme une reine du porno, déchirant mon cul avec sa bite surexcitée…
Je le sentais encore le soir sous ma douche, comme un pieu dans mes entrailles, la vulve encore béante, assouvie par ce macho libertin…
Dave était mon entraineur, comptant et chronométrant mes tours de lac…
On rentrait chez lui, ou chez moi, on commandait une pizza et on mangeait devant la télé, écoutant les infos, la tête ailleurs…
Oui, chaque soir on faisait l’amour, il était prince, j’étais bergère, il me dominait, me chavirant, inventant chaque fois des positions agréables, des trucs oubliés, nous devenions un couple sauvage, avec l’idée d’aller plus loin…
Mais on a des vies, professionnelles et familiales…
Je suis partie rejoindre ma famille pour Noël, une semaine de vacances…
Je pensais à lui, n’en disait mot à personne, mais maman, fine mouche, me rappela qu’elle avait été jeune avant, amoureuse sans le savoir, éprise, certainement…
- Il s’appelle Dave, il a mon âge, on se fréquente depuis la rentrée.
- Il est bon amant ?
- Maman ! Un peu de tact !...
- Bon… Si tu ne veux pas me le décrire… Quand est-ce que tu nous le présentes ?
- Il pourrait venir le soir de Noël…
- Vrai ?
- Mais non, juste pour mettre le petit Jésus dans la crèche…
- Sofia ! Tu exagères !
- C’est toi qui a commencé !
- J’aime savoir si vous vous entendez sur ce plan… C’est essentiel !
- Oui ! On s’entend bien, on ne fait pas de bruit pour les voisins…
- Il vit chez toi ?
- Oui, et moi, chez lui… Pour l’instant on se découvre, on se rôde à l’idée de se mettre ensemble…
- Tu en as envie ?
- Je crois, oui… Il a fait en sorte de me donner confiance…
- Il fait quoi ?
- Ingénieur systèmes, des trucs compliqués, une grosse boîte, il gagne bien sa vie…
- Il t’a fait des cadeaux ?
- Des fleurs, un enfant, un bijou…
- Non ! Tu es enceinte ?
- Mais non, je plaisante, on vit notre rencontre… On garde nos chez-nous, pour reprendre de la distance et ne plus rêver… Les princes charmants, j’ai donné !
- Je sais ma chérie… Nous sommes de pauvres femmes quand l’amour nous tenaille… Que le désir mène la barque… Désir d’évasion, de liberté, de sexe…
- Je t’aime maman, tu ne changes pas, tu as toujours ta façon de parler simplement, de dire les choses que tu penses… Oui, j’aime le sexe, il m’aide à passer des périodes difficiles, à combler des absences, des manques, ma peur de l’avenir…
- J’ai pris quelques amants, pour me reprendre en main, quand ton père m’a larguée… Ose, fais ce qu’il te plait, vis ta passion, la vie est courte… Alors prends-la du bon côté… Agit et réfléchit après… S’il te plait, fonce… S’il te fait jouir, si tu en as envie souvent, fonce… J’ai trop raté d’occasions par peur des conséquences… Je les ai regrettées…
Maman est aux anges… Elle me voit amoureuse, mariée, avec des enfants…
C’est justement de ça que j’ai peur, c’est justement pour ça que je ne m’attache pas…
Je préfère papillonner, satisfaire ma libido au gré de mes rencontres, les provoquer parfois, les subir certaines fois…
Je l’appelle, lui dit que ma mère aimerait le connaitre… Qu’elle a ressenti quelques chose entre-nous… Que c’est une femme spéciale, ouverte, pleine de franchise, avec un bagou peu commun et la verve des personnes âgées venant de la terre, des gens simples et sensés…
Dès le premier regard, elle m’a souri, en douce…
Elle le trouve beau, très viril, un homme intelligent, aisé, car il l’a mise en confiance, la complimentant sur ses vêtements, et surtout d’avoir fait une fille aussi belle qu’elle…
Je n’ai pas pu résister, une fois dans mon ancienne chambre, de me donner à lui, entièrement nue, prenant sa verge en otage, ne la délaissant qu’au matin, bien fatiguée…
Nos ébats en mode silence ne l’ont pas dérangée… J’espère…
- Tenez, j’ai fait des viennoiseries, pour accompagner ma confiture de fraises…
- Oh, c’est gentil, vous me prenez par les sentiments !
- Et toi, tu dois avoir faim ?
- Pourquoi ?
- L’amour, ça creuse ma chérie…
- Maman ! Je t’en prie !
- Mais c’est normal ! A votre époque tout est à portée de main, on ne prend aucune précaution, on le fait, on gémit, on jouit dans l’intimité d’une chambre, se laissant porter par le plaisir, avec des extases sonorisées… Cela m’a rappelée quelques garçons que j’ai amenés à la maison… On était en avance pour notre époque, ils couchaient avec moi dans ma chambre, mes parents préféraient me savoir chez eux, que livrée dans la nature…
Cette nuit a été magique… Il m’avait manqué…
Quatre jours sans lui, une première et longue séparation…
Nos retrouvailles ont été riches et explosives !
Son sexe était gavé de jus, j’ai pris tout mon temps avant de lui offrir mon fourreau, me délectant de lui, avant de me déshabiller, et ensuite, en 69, avides de plaisirs buccaux, j’ai d’abord mené la barque, puis lui ai cédé le navire…
J’aime cette sensualité, dans les rapports intimes feutrés, en toute discrétion, surtout sonore, sans empressement, allant jusqu’au bout de nos caresses, nous contentant de jouir de chaque seconde, et atteignant un plaisir si intense, que l’on s’embrasse pour ne pas crier…
Ses ondulations deviennent des douces vagues qui m’emportent jusqu’à l’extase, me font délirer, dans un acte charnel, très profond, très progressif, et une libération merveilleuse, partagée, avec étoiles et feu d’artifice…
Je ne me souviens pas avoir aimé autant être pénétrée, si tendrement, pourfendue si somptueusement, ressentant le plaisir monter peu à peu, jusqu’à mon nuage, embrumée de larmes de bonheur…
Oui, je dois me rendre à l’évidence, je suis en train de tomber amoureuse..…
Il a sublimé mon corps toute la nuit, salivé la moindre parcelle de ma peau, honoré chaque zone sensible avec sa langue, des stimuli si enivrants, que j’en ai eu des tremblements orgasmiques…
- Il est parti ?
- Oui, il avait un rendez-vous important… Tu avais raison… Je crois que j’en tombe amoureuse…
- Ah !... Sofia… La nuit apporte son conseil… Et cette nuit, vous avez… Ça a duré très longtemps…
- Oui, j’ai essayé d’être discrète…
- Oh ! C’est difficile, nous ne sommes plus maitresse de notre corps, quand il nous fait l’amour… Tu vois j’ai 60 ans et j’aime encore me caresser… Et cette nuit, j’en ai profité, en vous imaginant… J’étais trempée, écartelée au milieu du lit, comme quand j’étais jeune et en chaleur…
- Tu ne vois plus personne ?
- Non, j’ai été déçue par les rencontres par internet, et au village, j’ai fait le tour des possibilités… Du potentiel, mais souvent marié… Un que j’avais rencontré lors d’une fête en juillet, un autre auquel j’avais répondu à une offre de jardinier… Il est venu deux fois…
- Ça n’a pas collé ?
- Il voulait tondre mon gazon, j’ai apprécié… Puis la seconde fois, il voulait remplir ma piscine, mais à plusieurs…
- Un coquin de première… Il aimait les partouzes…
- Tu avais trompé ton père avant ?
- Disons que nous prenions nos distances, en vacances chacun de notre côté, je me laissais aller à vivre ma vie de femme, à la montagne, j’aimais la fraîcheur, les marches, les fondues… Il préférait la mer…
Il m’est arrivé de profiter de mon charme, j’aimais revivre cette période, les premiers tourments, me laisser inviter, danser, flirter sur des banquettes élimées, ou au cinéma…
Lui, il ne se gênait pas, toujours un bon mot avec les femmes, voisines, commerçantes, et autres… Elles adorent les compliments bien tournés, et il avait l’art de se faire remarquer… J’étais cocue, mais lui aussi…
- Tu ne l’aimais plus ?
- En copain, si… Je n’avais plus d’attirance… Tu étais partie de la maison, j’étais seule de plus en plus souvent… J’ai pris ce qu’il y avait…
- Quand tu te retrouvais seule, tu avais envie de faire l’amour avec un inconnu, ou quelqu’un que tu avais croisé récemment ?
- Oui… J’attendais le moment, le destin, sauf en discothèque, on y allait pour ça… J’avais trouvé une voisine dans le même cas que moi, on partageait les frais…
- Tu as essayé les femmes ?
- Oh, justement, cette voisine, un soir, elle m’a invitée chez elle en rentrant de boîte… On n’avait rien trouvé et donc, on parlait de sexe… Alors on l’a fait pour la première fois, j’avais quarante ans, elle aussi… J’ai aimé partager son lit, ce qu’elle me faisait, m’apprenait… Des choses très proches des hommes… Et des jouissances très féminines… Que j’ai découverte… Un plaisir différent, beaucoup de tendresse et de partage… Pourquoi ? Tu l’as fait aussi ?
- Oui, l’an passé, après une rupture, un besoin de renouer avec le sexe… Un été entier, moitié montagne, moitié mer… On se sentait libres, tout en aimant nous caresser… On a vécu un amour de vacances… Marion… Brestoise… Dis…
- Oui ?
- Pourquoi tu ne m’as rien dit pendant ma puberté ? J’ai dû demander ailleurs, découvrir seule mes transformations, mes désirs tenaces, comment résister aux garçons ? Comment leur apporter ce plaisir qu’il venaient quémander ?
- C’est vrai, à cette époque, je pensais à moi… J’étais avec ton père, j’avais du mal à accepter cette vie… Compter toujours, se restreindre sur tout, l’amour était loin, et toi aussi, derrière tout ça…
- Je vous avais vu un soir… Ton déshabillé était ouvert, tu étais nue… J’ai senti une bouffée de chaleur quand tu as saisi son sexe… Tu l’as mis dans ta bouche… Vous avez grogné, tu es montée sur lui, en rampant… Il t’a embrassée, tu t’es laissée caresser, renverser, et son sexe est venu dans le tien…
Je t’ai entendue jouir, ça a duré longtemps…
Puis il t’a retournée, mise à 4 pattes et il a plongé son dard dans ta chatte…
Tu as joui ! Tu gémissais…
J’ai tout compris, tout assimilé, j’en avais envie aussi, je me caressais avec vous, puis plus tard aussi, en revivant cette soirée en live…
- Oh, ma chérie, je suis navrée… Je me suis donnée en spectacle…
- Tu m’as offert la plus belle séance d’éducation sexuelle de ma vie !
- Je crois que je me souviens de ça… Il m’avait offert un collier…
- Oui, c’est ça et vous avez bu du champagne, pour ton anniversaire…
- Oh, oui !... Et j’ai craqué, et on a fait crac-crac devant toi… Mais tu étais censée être sortie ?
- Oui, mais non… Avant que vous flirtiez, au début, je suis rentrée en larmes…
Ma copine m’avait larguée pour mon ex… Alors je suis montée dans ma chambre…
Quand je suis descendue attirée par la faim, je vous ai entendu parler…
Puis plus rien, des bruits, des sons, des craquements…
Je me suis avancée, et j’ai découvert la raison ! Tu avais la bouche pleine !
Tu la suçais ! Elle était énorme, rentrait et sortait, glissant suavement entre tes lèvres, comme une glace… Tu étais allongée, nue, sur le canapé, il te souriait, béat…
J’ai assisté à tout… Depuis les préliminaires, donc, avec des caresses échangées, tes seins mordillés, ta chatte offerte qu’il est venu butiner, tu as vraiment joui comme ça, écartelée, massant tes seins, empoignant sa bite…
Il s’est installé à son tour sur le canapé…
Tu t’es positionnée sur son bassin, écartelée et tu t’es pénétrée avec sa queue, en gémissant, ondulant, sautillant, vibrant comme une feuille, en fermant tes yeux de plaisir…
Puis tu as écarté tes cuisses pour le laisser te prendre !
Ça a duré…
Je coulais de désir en te voyant baiser, en entendant tes soupirs, tes feulements…
Tu jouissais tes orgasmes…
Il te possédait, te fourrait, caressait tes seins… Les massait…
Puis il t’a retournée, et il t’a prise en levrette, pour te sodomiser…
Tu t’es dérobée, le voulant dans ta chatte…
Puis quand il a caressé tes fesses, humidifié ton petit trou, qu’il t’a présenté son gland, huilé de sécrétions, il t’a pénétrée de quelques centimètres, et tu as gémit comme une chatte…
Tu l’as laissé faire et même, tu râlais sous lui, prenant son dard dans tes entrailles, jouissant avec lui, te tordant de plaisir…
J’ai appris beaucoup de vos échanges ce soir-là…
J’étais encore un peu nunuche, mais j’ai pu mettre des mots sur vos actes, pour les refaire plus tard…
J’ai pris la pilule et la semaine d’après, dans une discothèque située sur la plage, un jeune homme m’a déflorée dans les dunes…
Il m’a baisée, sodomisée, un soir de fête du 14 juillet, j’étais femme !
Mon premier feu d’artifice…
On s’est revus, on s’est aimés, presque toute une année…
Puis je suis passée à autre chose, collectionnant les minets dans les clubs, buvant de l’alcool… J’aimais casser les codes, aller plus loin, me défoncer comme toi, leur queue dans mon cul de salope, en buvant du champagne, les laissant me partager, en fumant un joint, zonant dans un squat, nus et décérébrés…
- Je ne savais pas tout ça ma chérie… Nous n’avons jamais parlé à cœur ouvert, avec cette franchise…
- Nous étions chacune sur des pentes différentes, des projets, des rêves, absents, on s’accrochait au présent, nous mentant à nous même sur les raisons de nos choix, de nos actes… Je regrette…
- Moi aussi, pas eu la force de me battre… Peur de lire tes reproches dans tes yeux…
- Moi non plus, pas eu le courage… Si, de me reprendre en main, grâce à une rencontre, une femme, une collègue… Elle m’a montré la voie… Bosser… Au plus tu apprends, au plus tu te distingues de la masse… Le réussite n’est que le haut de l’iceberg… Je pensais m’en sortir grâce à ma beauté, à mon charme, je n’aimais pas celle que j’étais devenue… Quelle honte ! J’ai mis deux ans à réussir… Me faire remarquer non pas par mon cul, mais par mon savoir, mon opiniâtreté, mes qualités dans mon secteur… Ainsi ma dernière promotion, c’est pas parce que j’ai couché avec le DRH, mais parce que j’ai remplacé une fille pendant l’été, au commercial, et j’ai tout explosé…
- Ah !... Finalement, tu deviens une femme classique, belle, propre sur elle, et une mentalité enfin convertie en personne bien sous tous rapports…
- Oui, mets un peu de sexe, ça ira mieux !... Tu es… impayable, maman ! Et donc tu as mené une vie de patachon quand je n’étais plus là… Et mon père parti, tu as grimpé tout ce qui bouge… Toi qui me reprochais de faire la pute, tu m’as imitée…
- Je sais… Mais sans amour, sans toi, j’ai perdu pied, et je suis allé le chercher… Il faut bien que je vive ma libido, sinon je suis infernale… Comme toi…
Fin de la première partie
Marika842010 – Juillet 2025
1 month ago