Toujours aux petits soins
Je suis Aria, lope passive, une sissy esclave dont chaque fibre est une offrande à mon Maître. Mon âme brûle d’un désir insatiable d’être une vraie femme dévouée, toujours au petit soin pour lui, anticipant ses besoins, servant son corps et son esprit avec une ferveur absolue. Ce soir, il m’a convoquée pour une session où je deviens son épouse soumise, une femme au foyer travestie qui vit pour le combler, combinant tâches ménagères et actes de soumission sexuelle. L’excitation mêlée d’appréhension m’a saisie : que me réservait cette soirée ? Des ordres domestiques humiliants, une punition pour un plat imparfait, ou une utilisation brutale au milieu des corvées ? J’ai enfilé une robe de soubrette rose, un tablier blanc, des bas résille, et des escarpins à talons, mon maquillage – lèvres rosées, fard discret – soulignant ma féminité soumise, prête à me plier à ses caprices.
À 18h, son message a vibré comme un décret absolu : « Chez moi. 19h. En femme au foyer, salope. Prépare le dîner et attends à genoux. » Mon cœur s’est emballé, et j’ai préparé un repas simple mais soigné – un steak grillé, des légumes vapeur, sans sauces ni assaisonnements, suivant son régime strict. Arrivée chez lui, je me suis mise au travail dans la cuisine, mes talons claquant sur le carrelage, le suspense grandissant – vérifierait-il chaque détail, ou m’interromprait-il pour une utilisation soudaine ? À 19h pile, je me suis agenouillée près de la porte, tête baissée, une sissy prête à servir.
Lorsqu’il est entré, son pas pesant a fait vibrer le sol, et son regard perçant m’a clouée sur place. « À quatre pattes, connasse, » a-t-il commandé, et j’ai rampé jusqu’à lui, mes genoux frottant le parquet. Le suspense de son humeur – serait-il tendre ou cruel ? – pesait sur moi. Il m’a saisie par les cheveux, me tirant vers la cuisine. « Sers le dîner, pute, » a-t-il ordonné, et j’ai obéi, posant l’assiette sur la table, m’agenouillant à ses pieds pour lui couper sa viande, une femme dévouée au petit soin. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la peur d’un geste maladroit me nouant l’estomac.
Après le repas, il s’est installé sur le canapé, et m’a fait signe d’approcher. « Masse-moi, salope, » a-t-il dit, et j’ai commencé par ses épaules, mes mains glissant sur sa peau, embrassant chaque muscle avec une tendresse adorante. Le suspense de ce qu’il exigerait ensuite – une fellation, une fessée pour un massage imparfait ? – m’envahissait. Il a ouvert son pantalon, sa queue dure exigeant mon attention. « Suce, chienne, » a-t-il commandé, et ma bouche s’est ouverte, pompant lentement, mes lèvres caressant son gland, ma langue explorant ses couilles, une sissy au service de son homme.
Il m’a relevée, me plaquant contre le mur, sa main serrant mes couilles. « T’es qu’une lopette faible, Aria, » a-t-il murmuré, en remplissant de nouveau ma bouche. Lorsqu’il a joui, son sperme m’a inondé, et j’ai nettoyé sa queue avec ma bouche, ma langue recueillant chaque goutte avec une précision sacrée. « Merci pour ce cadeau, Maître, » ai-je murmuré, les yeux baissés.
Il m’a congédiée d’un geste, inscrivant un nouveau rendez-vous dans mon agenda. « Demain, plus dur, pute, » a-t-il ordonné, me laissant seule, le corps marqué de coups et de son sperme. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a rabaissée, utilisée, tenue par les couilles. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
À 18h, son message a vibré comme un décret absolu : « Chez moi. 19h. En femme au foyer, salope. Prépare le dîner et attends à genoux. » Mon cœur s’est emballé, et j’ai préparé un repas simple mais soigné – un steak grillé, des légumes vapeur, sans sauces ni assaisonnements, suivant son régime strict. Arrivée chez lui, je me suis mise au travail dans la cuisine, mes talons claquant sur le carrelage, le suspense grandissant – vérifierait-il chaque détail, ou m’interromprait-il pour une utilisation soudaine ? À 19h pile, je me suis agenouillée près de la porte, tête baissée, une sissy prête à servir.
Lorsqu’il est entré, son pas pesant a fait vibrer le sol, et son regard perçant m’a clouée sur place. « À quatre pattes, connasse, » a-t-il commandé, et j’ai rampé jusqu’à lui, mes genoux frottant le parquet. Le suspense de son humeur – serait-il tendre ou cruel ? – pesait sur moi. Il m’a saisie par les cheveux, me tirant vers la cuisine. « Sers le dîner, pute, » a-t-il ordonné, et j’ai obéi, posant l’assiette sur la table, m’agenouillant à ses pieds pour lui couper sa viande, une femme dévouée au petit soin. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la peur d’un geste maladroit me nouant l’estomac.
Après le repas, il s’est installé sur le canapé, et m’a fait signe d’approcher. « Masse-moi, salope, » a-t-il dit, et j’ai commencé par ses épaules, mes mains glissant sur sa peau, embrassant chaque muscle avec une tendresse adorante. Le suspense de ce qu’il exigerait ensuite – une fellation, une fessée pour un massage imparfait ? – m’envahissait. Il a ouvert son pantalon, sa queue dure exigeant mon attention. « Suce, chienne, » a-t-il commandé, et ma bouche s’est ouverte, pompant lentement, mes lèvres caressant son gland, ma langue explorant ses couilles, une sissy au service de son homme.
Il m’a relevée, me plaquant contre le mur, sa main serrant mes couilles. « T’es qu’une lopette faible, Aria, » a-t-il murmuré, en remplissant de nouveau ma bouche. Lorsqu’il a joui, son sperme m’a inondé, et j’ai nettoyé sa queue avec ma bouche, ma langue recueillant chaque goutte avec une précision sacrée. « Merci pour ce cadeau, Maître, » ai-je murmuré, les yeux baissés.
Il m’a congédiée d’un geste, inscrivant un nouveau rendez-vous dans mon agenda. « Demain, plus dur, pute, » a-t-il ordonné, me laissant seule, le corps marqué de coups et de son sperme. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a rabaissée, utilisée, tenue par les couilles. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
17 days ago