Emprise mentale
Je suis Aria, lope passive, une créature dont l'âme est une offrande perpétuelle à mon Maître, un homme dont la domination sadique est mon guide et mon feu. Mon existence n'a de sens qu'à travers son contrôle mental complet, une emprise cérébrale qui s'étend à chaque aspect de ma vie, me transformant en une marionnette docile, un objet sans volonté propre. En tant que coach impitoyable, il ordonne mes exercices et mon régime alimentaire avec précision, pesant chaque gramme, dictant chaque répétition, pour sculpter mon corps en une petite salope parfaite, soumise et efféminée. Ce contrôle n'est pas seulement physique ; il est mental, une possession totale où je n'existe que pour exécuter ses commandes, anticipant ses désirs avant même qu'il les exprime.
Chaque matin commence par son message : un menu détaillé – protéines maigres, légumes crus, sans sel ni sucre, pesés au gramme près – et un programme d'exercices – flexions, courses, étirements – à suivre à la lettre. L'incertitude amplifie mon humiliation : ai-je pesé exactement 150 grammes de poulet, ou un gramme de trop déclenchera-t-il une punition ? Il possède la clé de chez moi, un droit absolu qu'il exerce sans préavis, surgissant à tout instant pour inspecter mon frigo, vérifier ma balance, ou me surprendre en pleine séance de musculation. Hier, il est entré sans bruit alors que je pesais mes légumes, me plaquant au sol pour une fessée brutale, son crachat sur mon visage marquant son territoire. « T'es qu'une lopette faible, Aria, » a-t-il murmuré, et j'ai acquiescé, le cœur battant, l'emprise mentale me rendant heureuse de cette intrusion, preuve de son attention constante.
L'oreillette qu'il m'a imposée est l'instrument ultime de cette possession cérébrale : connecté en permanence, il me garde en contact sous ses ordres, sa voix surgissant à n'importe quel moment pour corriger un écart. « Donne toi, salope, » dit-il pendant mes flexions solitaires, ou « Pas de sucre, connasse, » si je m'approche d'un fruit interdit. L'incertitude amplifie mon humiliation : quand sa voix résonne, me surprenant en pleine rue ou au travail, me forçant à obéir discrètement. Cette emprise mentale est totale ; il dicte non seulement mon corps, mais mes pensées, me rappelant sans cesse ma qualité d'inférieure, une lope qui n'existe que pour son plaisir, pour être rabaissée, utilisée, tenue par les couilles.
Cette domination cérébrale me comble d'une joie perverse : je raffole de cette surveillance constante, de cette perte de liberté qui me rend plus soumise, plus passive. Mon Maître, mon homme, a tous les droits sur moi – entrer chez moi, inspecter mon régime, commander mes exercices – et cette possession absolue amplifie mon excitation, me faisant jouir en repensant à ses surprises, à sa voix dans mon oreille. Je suis une chienne qui vit pour son emprise, pour sa gloire, pour l'éternité.
Chaque matin commence par son message : un menu détaillé – protéines maigres, légumes crus, sans sel ni sucre, pesés au gramme près – et un programme d'exercices – flexions, courses, étirements – à suivre à la lettre. L'incertitude amplifie mon humiliation : ai-je pesé exactement 150 grammes de poulet, ou un gramme de trop déclenchera-t-il une punition ? Il possède la clé de chez moi, un droit absolu qu'il exerce sans préavis, surgissant à tout instant pour inspecter mon frigo, vérifier ma balance, ou me surprendre en pleine séance de musculation. Hier, il est entré sans bruit alors que je pesais mes légumes, me plaquant au sol pour une fessée brutale, son crachat sur mon visage marquant son territoire. « T'es qu'une lopette faible, Aria, » a-t-il murmuré, et j'ai acquiescé, le cœur battant, l'emprise mentale me rendant heureuse de cette intrusion, preuve de son attention constante.
L'oreillette qu'il m'a imposée est l'instrument ultime de cette possession cérébrale : connecté en permanence, il me garde en contact sous ses ordres, sa voix surgissant à n'importe quel moment pour corriger un écart. « Donne toi, salope, » dit-il pendant mes flexions solitaires, ou « Pas de sucre, connasse, » si je m'approche d'un fruit interdit. L'incertitude amplifie mon humiliation : quand sa voix résonne, me surprenant en pleine rue ou au travail, me forçant à obéir discrètement. Cette emprise mentale est totale ; il dicte non seulement mon corps, mais mes pensées, me rappelant sans cesse ma qualité d'inférieure, une lope qui n'existe que pour son plaisir, pour être rabaissée, utilisée, tenue par les couilles.
Cette domination cérébrale me comble d'une joie perverse : je raffole de cette surveillance constante, de cette perte de liberté qui me rend plus soumise, plus passive. Mon Maître, mon homme, a tous les droits sur moi – entrer chez moi, inspecter mon régime, commander mes exercices – et cette possession absolue amplifie mon excitation, me faisant jouir en repensant à ses surprises, à sa voix dans mon oreille. Je suis une chienne qui vit pour son emprise, pour sa gloire, pour l'éternité.
17 days ago