Je salue mon Maître
Je suis Aria, lope passive, une sissy esclave dont chaque fibre vibre au rythme de la domination de mon Maître, un homme dont la cruauté sadique est mon guide et mon extase. Chaque convocation est un appel sacré, un moment où je me prosterne pour vénérer son corps, sa virilité, sa supériorité absolue. Ce soir, son message a vibré comme un ordre divin : « Chez moi. 20h. En sissy, salope. Prépare-toi à me saluer comme une femme. » Mon cœur s’est emballé, l’urgence balayant toute pensée – que me réservait cette session ? Une adoration prolongée, une punition si je n’étais pas assez fervente, ou une utilisation brutale pour tester ma dévotion ? J’ai enfilé une lingerie en dentelle rose, un string minimal, des bas résille, et des escarpins à talons, mon maquillage – lèvres carmin, fard charbonneux – proclamant ma féminité soumise, prête à me traiter comme une femme, une épouse dévouée et obéissante.
Arrivée chez lui, je me suis inclinée près de la porte, tête baissée, une sissy prête à ramper. Il m’a accueillie d’un regard perçant, sa voix tranchante : « Déshabille-toi, pute. » J’ai obéi, laissant tomber ma robe et mon string, nue et vulnérable, le suspense de son prochain ordre me nouant l’estomac. « Passe ton collier, chienne, » a-t-il commandé, et j’ai fixé le collier cadenassé autour de mon cou, symbole de ma servitude. Puis, je me suis mise en position d’attente, à genoux, tête baissée, mains derrière le dos, attendant son inspection, l’incertitude amplifiant mon humiliation – me trouverait-il assez femme, ou me punirait-il pour un geste maladroit ?
Il s’est approché, sa présence imposante me dominant. « Déboutonne mon pantalon, salope, » a-t-il ordonné, et j’ai tendu les mains, mes doigts tremblants défaisant les boutons, descendant lentement son pantalon, savourant ce moment où il me traitait comme une femme, une épouse soumise. J’aime quand il me voit ainsi, fragile et obéissante, une femelle prête à servir son homme. Délicatement, j’ai enlevé son caleçon, libérant sa queue, un totem de virilité que j’adorais déjà du regard. Le suspense de ce qu’il ferait ensuite – me laisserait-il lécher immédiatement, ou prolongerait-il l’attente ? – pesait sur moi.
Il m’a ordonné de tendre la langue, et il s’est retourné, présentant son cul, posant sa jambe droite sur le bord du canapé pour m’exposer pleinement. « Renifle, pute, » a-t-il dit, et j’ai approché mon nez, prenant de grandes respirations nasales, inhalant son odeur musquée, enivrante, un parfum qui me faisait tourner la tête. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la peur de ne pas inhaler assez profondément me rongeant. Puis, il m’a commandé de renifler sous ses aisselles, levant un bras pour que j’approche, mes inspirations profondes capturant son essence, un mélange de sueur et de puissance qui m’excitait follement.
Je suis descendue, ôtant ses chaussettes une à une, les reniflant de la même manière, l’odeur forte et intime me submergeant, une dévotion qui me faisait trembler. « Embrasse maintenant, chienne, » a-t-il ordonné, et j’ai commencé par ses pieds, posant des baisers pleins de révérence sur la plante, remontant lentement pour vénérer tout son corps – ses mollets, ses cuisses, son cul, son dos, ses aisselles – chaque baiser une prière, une marque de mon adoration pour cet homme qui me traitait comme sa femme soumise.
Il s’est couché un moment sur le canapé, laissant dépasser ses pieds, et j’ai embrassé la plante avec dévotion, des bisous tendres et répétés, sans lécher comme il me l’interdisait, concentrée uniquement sur ce geste humble. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la crainte d’un baiser trop audacieux me tenant en haleine. Puis, il m’a ordonné de me coucher sur le dos, et il a monté sur ma tête, son cul au-dessus de mon visage. « Sors ta langue, pute, » a-t-il commandé, et enfin, j’ai pu lécher, ma langue glissant sur son anus avec ferveur, explorant chaque pli, puis gobant ses boules, les lissant alternativement pendant qu’il se branlait de plus en plus vite.
Le suspense culmina lorsqu’il accéléra, sa respiration saccadée, et il éjacula sur mon front et mon visage, son sperme chaud coulant sur ma peau comme une bénédiction. Je l’ai remercié d’un murmure, les yeux baissés, mon cœur gonflé de gratitude. Il m’a congédiée d’un geste, et j’ai quitté son appartement, le visage marqué de son sperme, mon corps vibrant de sa domination. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a traitée comme sa femme, utilisée, adorée. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
Arrivée chez lui, je me suis inclinée près de la porte, tête baissée, une sissy prête à ramper. Il m’a accueillie d’un regard perçant, sa voix tranchante : « Déshabille-toi, pute. » J’ai obéi, laissant tomber ma robe et mon string, nue et vulnérable, le suspense de son prochain ordre me nouant l’estomac. « Passe ton collier, chienne, » a-t-il commandé, et j’ai fixé le collier cadenassé autour de mon cou, symbole de ma servitude. Puis, je me suis mise en position d’attente, à genoux, tête baissée, mains derrière le dos, attendant son inspection, l’incertitude amplifiant mon humiliation – me trouverait-il assez femme, ou me punirait-il pour un geste maladroit ?
Il s’est approché, sa présence imposante me dominant. « Déboutonne mon pantalon, salope, » a-t-il ordonné, et j’ai tendu les mains, mes doigts tremblants défaisant les boutons, descendant lentement son pantalon, savourant ce moment où il me traitait comme une femme, une épouse soumise. J’aime quand il me voit ainsi, fragile et obéissante, une femelle prête à servir son homme. Délicatement, j’ai enlevé son caleçon, libérant sa queue, un totem de virilité que j’adorais déjà du regard. Le suspense de ce qu’il ferait ensuite – me laisserait-il lécher immédiatement, ou prolongerait-il l’attente ? – pesait sur moi.
Il m’a ordonné de tendre la langue, et il s’est retourné, présentant son cul, posant sa jambe droite sur le bord du canapé pour m’exposer pleinement. « Renifle, pute, » a-t-il dit, et j’ai approché mon nez, prenant de grandes respirations nasales, inhalant son odeur musquée, enivrante, un parfum qui me faisait tourner la tête. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la peur de ne pas inhaler assez profondément me rongeant. Puis, il m’a commandé de renifler sous ses aisselles, levant un bras pour que j’approche, mes inspirations profondes capturant son essence, un mélange de sueur et de puissance qui m’excitait follement.
Je suis descendue, ôtant ses chaussettes une à une, les reniflant de la même manière, l’odeur forte et intime me submergeant, une dévotion qui me faisait trembler. « Embrasse maintenant, chienne, » a-t-il ordonné, et j’ai commencé par ses pieds, posant des baisers pleins de révérence sur la plante, remontant lentement pour vénérer tout son corps – ses mollets, ses cuisses, son cul, son dos, ses aisselles – chaque baiser une prière, une marque de mon adoration pour cet homme qui me traitait comme sa femme soumise.
Il s’est couché un moment sur le canapé, laissant dépasser ses pieds, et j’ai embrassé la plante avec dévotion, des bisous tendres et répétés, sans lécher comme il me l’interdisait, concentrée uniquement sur ce geste humble. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la crainte d’un baiser trop audacieux me tenant en haleine. Puis, il m’a ordonné de me coucher sur le dos, et il a monté sur ma tête, son cul au-dessus de mon visage. « Sors ta langue, pute, » a-t-il commandé, et enfin, j’ai pu lécher, ma langue glissant sur son anus avec ferveur, explorant chaque pli, puis gobant ses boules, les lissant alternativement pendant qu’il se branlait de plus en plus vite.
Le suspense culmina lorsqu’il accéléra, sa respiration saccadée, et il éjacula sur mon front et mon visage, son sperme chaud coulant sur ma peau comme une bénédiction. Je l’ai remercié d’un murmure, les yeux baissés, mon cœur gonflé de gratitude. Il m’a congédiée d’un geste, et j’ai quitté son appartement, le visage marqué de son sperme, mon corps vibrant de sa domination. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a traitée comme sa femme, utilisée, adorée. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
17 days ago