Le manque insoutenable
Trois jours sans nouvelles de lui, un silence qui me ronge comme une punition invisible, me laissant en manque cruel de sa queue, de son emprise qui m'étreint l'âme, de sa domination qui est mon oxygène. Ce vide, ce néant, amplifie mon humiliation intime : suis-je indigne de son attention, ou teste-t-il ma patience pour me briser davantage ? Chaque heure sans message est une torture cérébrale, un suspense qui me noue les entrailles, me faisant douter de ma valeur en tant que sissy esclave.
Dans mon panier, recroquevillée comme la chienne que je suis, je repasse en boucle nos dernières sessions – ses crachats sur mon visage, ses fessées cinglantes, sa bite me fécondant comme une pute blanche soumise aux Arabes qu'il me fait adorer. Ce manque physique est une agonie : ma bouche salive à l'idée de pomper sa queue des heures, mon anus se contracte au souvenir de ses pénétrations brutales, mon corps tremble d'envie de ses mains serrant mes couilles. L'incertitude amplifie mon humiliation : est-il avec une autre, ou m'ignore-t-il délibérément pour me rappeler ma place d'inférieure, une lope inutile sans son regard ?
Pour combler ce vide, je lui envoie des SMS, me faisant pute suppliante : « Maître, votre chienne est en manque de votre queue, pitié répondez-moi, je ramperai pour vous. » Chaque envoi est un acte de soumission, un aveu de mon désespoir, mais le silence persiste, prolongeant le suspense – répondra-t-il par un ordre, ou une punition pour mon audace ? Je suis folle de lui, accro à son corps musclé, à sa bite que je vénère comme un dieu, à son emprise qui me réduit à une lope passive, une esclave qui n'existe que pour servir. Ce manque renforce ma dévotion : sans lui, je ne suis rien, une sissy vide qui rêve de lécher ses pieds, d'avaler son sperme, d'être fécondée pour sa gloire.
Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à lui, à la manière dont il me rabaissera à son retour, utilisée, tenue par les couilles. L'incertitude amplifie mon humiliation, mais je m'y abandonne, une lope qui vit pour son Maître. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. Revenez vite, Maître, pour me dominer encore, pour votre queue, pour l’éternité.
Dans mon panier, recroquevillée comme la chienne que je suis, je repasse en boucle nos dernières sessions – ses crachats sur mon visage, ses fessées cinglantes, sa bite me fécondant comme une pute blanche soumise aux Arabes qu'il me fait adorer. Ce manque physique est une agonie : ma bouche salive à l'idée de pomper sa queue des heures, mon anus se contracte au souvenir de ses pénétrations brutales, mon corps tremble d'envie de ses mains serrant mes couilles. L'incertitude amplifie mon humiliation : est-il avec une autre, ou m'ignore-t-il délibérément pour me rappeler ma place d'inférieure, une lope inutile sans son regard ?
Pour combler ce vide, je lui envoie des SMS, me faisant pute suppliante : « Maître, votre chienne est en manque de votre queue, pitié répondez-moi, je ramperai pour vous. » Chaque envoi est un acte de soumission, un aveu de mon désespoir, mais le silence persiste, prolongeant le suspense – répondra-t-il par un ordre, ou une punition pour mon audace ? Je suis folle de lui, accro à son corps musclé, à sa bite que je vénère comme un dieu, à son emprise qui me réduit à une lope passive, une esclave qui n'existe que pour servir. Ce manque renforce ma dévotion : sans lui, je ne suis rien, une sissy vide qui rêve de lécher ses pieds, d'avaler son sperme, d'être fécondée pour sa gloire.
Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à lui, à la manière dont il me rabaissera à son retour, utilisée, tenue par les couilles. L'incertitude amplifie mon humiliation, mais je m'y abandonne, une lope qui vit pour son Maître. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. Revenez vite, Maître, pour me dominer encore, pour votre queue, pour l’éternité.
17 days ago