Exercices pour mon humiliation et son amusement
Aria, voilà qui je suis devenue : une ombre effacée, une lope qui ne respire que par les caprices de mon Maître, cet homme dont la rigueur forge mon esprit et mon corps en une pute parfaite. Chaque session est une épreuve où je me noie dans l’humiliation, un jeu où mon infériorité devient son divertissement suprême. Ce soir, son message a surgi comme un verdict inescapable : « Chez moi. 20h. En sissy, salope. Prépare-toi à suer pour m’amuser. » Mon cœur s’est emballé, l’angoisse se mêlant à l’excitation – que me réservait cette « amusement » ? Des exercices dégradants, une punition pour un effort insuffisant, ou une utilisation brutale au milieu de la sueur ? J’ai enfilé une lingerie rose translucide, un string minimal, des bas résille, et des escarpins à talons, mon maquillage – lèvres écarlates, fard smoky – hurlant ma condition de femelle soumise, prête à me plier à ses fantaisies.
Arrivée chez lui, je me suis inclinée près de la porte, tête baissée, une sissy prête à ramper. Il m’a accueillie d’un regard glacial, sa voix tranchante comme un rasoir : « Déshabille-toi complétement, pute. » J’ai obéi, laissant tomber ma lingerie, nue et vulnérable, le suspense de son prochain commandement me nouant les tripes – me ferait-il attendre, ou commencerait-il par une correction ? « Exécute des exercices physiques, salope, » a-t-il lancé, et j’ai commencé à sauter sur place, mes bras et jambes s’écartant à chaque bond amplifiant mon ridicule. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la peur d’un saut trop faible me rongeant.
Il m’a ordonné de tourner de 90 degrés à chaque série, puis de descendre pour toucher le bout de mes pieds, mes fesses cambrées vers lui, exposant mon anus. Je faisais des séries sans fin, sautant, tournant, me penchant, le souffle court, la sueur coulant sur ma peau, sans m’arrêter jusqu’à ce qu’il daigne me stopper. Chaque mouvement était une épreuve, une démonstration de mon infériorité, et le suspense de son intervention – une claque sur mes fesses pour un rythme défaillant ? – me tenait en haleine. Enfin, il m’a commandé de me pencher et de me tourner contre lui, tout en me doigtant, mes doigts s’enfonçant dans mon cul, mouillés de salive pour glisser plus facilement.
« Plus profond, connasse, » a-t-il murmuré, et j’ai obéi, mes doigts fouillant mon intimité, le bruit humide résonnant dans la pièce, une humiliation qui m’excitait follement. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la crainte d’un ordre plus dégradant me faisant trembler. Il s’est approché, sa main serrant mes couilles, et m’a pénétré avec ses doigts me faisant miauler, une utilisation qui transformait l’exercice en jouissance. Il s'est masturber avec l'autre main. Lorsqu’il a joui, son sperme a giclé sur mon corps, et j’ai nettoyé sa queue avec ma bouche, ma langue recueillant chaque goutte avec une précision sacrée.
Il m’a congédiée d’un geste, inscrivant un nouveau rendez-vous dans mon agenda. « Demain, encore plus dur, pute, » a-t-il commandé, me laissant seule, le corps endolori de l’effort et de sa possession. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a rabaissée, utilisée, tenue par les couilles. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
Arrivée chez lui, je me suis inclinée près de la porte, tête baissée, une sissy prête à ramper. Il m’a accueillie d’un regard glacial, sa voix tranchante comme un rasoir : « Déshabille-toi complétement, pute. » J’ai obéi, laissant tomber ma lingerie, nue et vulnérable, le suspense de son prochain commandement me nouant les tripes – me ferait-il attendre, ou commencerait-il par une correction ? « Exécute des exercices physiques, salope, » a-t-il lancé, et j’ai commencé à sauter sur place, mes bras et jambes s’écartant à chaque bond amplifiant mon ridicule. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la peur d’un saut trop faible me rongeant.
Il m’a ordonné de tourner de 90 degrés à chaque série, puis de descendre pour toucher le bout de mes pieds, mes fesses cambrées vers lui, exposant mon anus. Je faisais des séries sans fin, sautant, tournant, me penchant, le souffle court, la sueur coulant sur ma peau, sans m’arrêter jusqu’à ce qu’il daigne me stopper. Chaque mouvement était une épreuve, une démonstration de mon infériorité, et le suspense de son intervention – une claque sur mes fesses pour un rythme défaillant ? – me tenait en haleine. Enfin, il m’a commandé de me pencher et de me tourner contre lui, tout en me doigtant, mes doigts s’enfonçant dans mon cul, mouillés de salive pour glisser plus facilement.
« Plus profond, connasse, » a-t-il murmuré, et j’ai obéi, mes doigts fouillant mon intimité, le bruit humide résonnant dans la pièce, une humiliation qui m’excitait follement. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la crainte d’un ordre plus dégradant me faisant trembler. Il s’est approché, sa main serrant mes couilles, et m’a pénétré avec ses doigts me faisant miauler, une utilisation qui transformait l’exercice en jouissance. Il s'est masturber avec l'autre main. Lorsqu’il a joui, son sperme a giclé sur mon corps, et j’ai nettoyé sa queue avec ma bouche, ma langue recueillant chaque goutte avec une précision sacrée.
Il m’a congédiée d’un geste, inscrivant un nouveau rendez-vous dans mon agenda. « Demain, encore plus dur, pute, » a-t-il commandé, me laissant seule, le corps endolori de l’effort et de sa possession. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a rabaissée, utilisée, tenue par les couilles. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
16 days ago