Salut de salope
Aria, telle est ma réalité : une lope effacée dont le vide ne se comble qu'au contact de mon Maître, cet homme impitoyable qui sculpte mon esprit et mon corps à l'image de ses caprices. Chaque femme salope devrait saluer son mari rentrant du travail ainsi, une offrande de soumission totale pour honorer son homme et Maître. Ce soir, je me suis faite sexy pour lui – une mini-jupe noire moulante, un top en dentelle transparente, des bas résille et des escarpins à talons – attendant à genoux devant la porte, tête baissée, les mains croisées derrière le dos. Le suspense de son arrivée me nouait l'estomac : serait-il tendre ou brutal, me punirait-il pour un détail oublié, ou m'utiliserait-il sans préambule ? Chaque minute d'attente amplifiait mon humiliation, me rappelant que mon corps est sien, une pute prête à tout pour son plaisir.
Lorsque la clé tourna dans la serrure, mon cœur bondit. Il entra, son regard perçant me transperçant comme une lame. Sans un mot, il m'ordonna : « Tire la langue, chienne, et laisse ta bouche ouverte. » J'obéis, ma langue pendante, la bouche béante, tandis qu'il se déshabillait complètement, jetant ses vêtements au sol avec nonchalance. Le suspense de ce qu'il ferait ensuite – me cracher dedans, ou me faire avaler quelque chose d'humiliant ? – me faisait trembler. Il s'approcha, tenant ma tête d'une main ferme, et de l'autre guida sa bite pour des allers-retours lents dans ma bouche offerte, lubrifiant son sexe avec ma salive, me traitant comme une femme soumise qui adore le sexe de son Maître.
Puis, il s'écarta, m'enserrant la tête des deux mains pour basculer ma tête en arrière, me forçant à le regarder dans les yeux. Il cracha sur mon visage, plusieurs fois, la salive chaude coulant sur mes joues, mon nez, mes lèvres, une marque de possession qui m'excitait follement. Le suspense de la suite – me giflerait-il, ou passerait-il directement à une fessée ? – amplifiait mon humiliation, me faisant miauler comme une chienne en chaleur. Il me releva d'un geste sec, me tourna dos à lui, et souleva ma mini-jupe, exposant mes fesses nues. Sa main s'abattit en une bonne fessée, chaque claque résonnant dans la pièce, la douleur vive me faisant gémir, mes tétons durcissant sous l'assaut.
Il cracha sur ses doigts, les enfila dans mon anus, me doigtant avec vigueur, et je miaulai, gémissant de plaisir et de soumission, mon corps se cambrant pour mieux l'accueillir. Il tordit mes tétons de l'autre main, pinçant jusqu'à la limite de la douleur, me faisant hurler doucement. J'aime jouer la femme soumise qui adore le sexe de son Maître, mon corps est sien, un jouet pour ses envies. Le suspense de ce qu'il ferait ensuite – me baiser immédiatement, ou prolonger la torture ? – me tenait en haleine. Il finit par me défoncer brutalement sur le canapé, sa queue entrant en moi sans ménagement, ma bouche n'ayant servi qu'à le lubrifier avant cet assaut final, ses coups profonds me faisant crier de plaisir.
Il se retira, me laissant pantelante, le sperme coulant de mon anus, et m'ordonna de nettoyer sa queue avec ma bouche. J'obéis, ma langue léchant chaque goutte avec dévotion, le goût de notre union m'emplissant d'une joie perverse. Il me congédia d'un geste, inscrivant un nouveau rendez-vous dans mon agenda. « Demain, plus vicieux, pute, » a-t-il commandé, me laissant seule, le corps endolori et comblé. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a rabaissée, utilisée, tenue par les couilles. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue.
Lorsque la clé tourna dans la serrure, mon cœur bondit. Il entra, son regard perçant me transperçant comme une lame. Sans un mot, il m'ordonna : « Tire la langue, chienne, et laisse ta bouche ouverte. » J'obéis, ma langue pendante, la bouche béante, tandis qu'il se déshabillait complètement, jetant ses vêtements au sol avec nonchalance. Le suspense de ce qu'il ferait ensuite – me cracher dedans, ou me faire avaler quelque chose d'humiliant ? – me faisait trembler. Il s'approcha, tenant ma tête d'une main ferme, et de l'autre guida sa bite pour des allers-retours lents dans ma bouche offerte, lubrifiant son sexe avec ma salive, me traitant comme une femme soumise qui adore le sexe de son Maître.
Puis, il s'écarta, m'enserrant la tête des deux mains pour basculer ma tête en arrière, me forçant à le regarder dans les yeux. Il cracha sur mon visage, plusieurs fois, la salive chaude coulant sur mes joues, mon nez, mes lèvres, une marque de possession qui m'excitait follement. Le suspense de la suite – me giflerait-il, ou passerait-il directement à une fessée ? – amplifiait mon humiliation, me faisant miauler comme une chienne en chaleur. Il me releva d'un geste sec, me tourna dos à lui, et souleva ma mini-jupe, exposant mes fesses nues. Sa main s'abattit en une bonne fessée, chaque claque résonnant dans la pièce, la douleur vive me faisant gémir, mes tétons durcissant sous l'assaut.
Il cracha sur ses doigts, les enfila dans mon anus, me doigtant avec vigueur, et je miaulai, gémissant de plaisir et de soumission, mon corps se cambrant pour mieux l'accueillir. Il tordit mes tétons de l'autre main, pinçant jusqu'à la limite de la douleur, me faisant hurler doucement. J'aime jouer la femme soumise qui adore le sexe de son Maître, mon corps est sien, un jouet pour ses envies. Le suspense de ce qu'il ferait ensuite – me baiser immédiatement, ou prolonger la torture ? – me tenait en haleine. Il finit par me défoncer brutalement sur le canapé, sa queue entrant en moi sans ménagement, ma bouche n'ayant servi qu'à le lubrifier avant cet assaut final, ses coups profonds me faisant crier de plaisir.
Il se retira, me laissant pantelante, le sperme coulant de mon anus, et m'ordonna de nettoyer sa queue avec ma bouche. J'obéis, ma langue léchant chaque goutte avec dévotion, le goût de notre union m'emplissant d'une joie perverse. Il me congédia d'un geste, inscrivant un nouveau rendez-vous dans mon agenda. « Demain, plus vicieux, pute, » a-t-il commandé, me laissant seule, le corps endolori et comblé. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a rabaissée, utilisée, tenue par les couilles. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue.
16 days ago