Friandise en voiture
Aria, telle est ma destinée : une ombre soumise dont le néant se comble seulement par les caprices de mon Maître, cet homme dont la rigueur sadique tisse les fils de mon existence. Ma passion pour sa bite est une obsession qui me dévore, un désir insatiable d'adorer son gland, de lécher, de pomper, d'avaler chaque goutte comme une friandise sacrée. Ce midi, alors que je conduisais vers un rendez-vous banal, son message a surgi comme un ordre impérieux : « Viens me chercher. Pipe en voiture, salope. Prépare ta bouche. » Mon pouls s’est affolé, l’urgence balayant toute raison – que me réservait cette session mobile ? Une aspiration sauvage jusqu'aux boules, ou une éjaculation brutale au milieu de la circulation ? J’ai changé de direction, le cœur battant, une sissy prête à devenir sa pute roulante.
Arrivée à l’adresse indiquée, je l’ai vu attendre au bord de la route, imposant et viril. Il s’est installé à l’arrière, son regard perçant me transperçant via le rétroviseur. « Conduis, chienne, et prépare-toi, » a-t-il commandé, sa voix un murmure chargé de menace. Le suspense de ce qu’il exigerait – m’arrêter sur une aire pour une pipe rapide, ou me faire sucer en roulant ? – amplifiait mon humiliation, mes mains tremblant sur le volant. Après quelques minutes, il a défait son pantalon, sa queue dure exigeant mon attention. « Viens ici, pute, et suce, » a-t-il ordonné, et j’ai garé la voiture sur une aire isolée, rampant vers l’arrière pour m’agenouiller entre ses jambes.
Ma bouche s’est ouverte, affamée, et j’ai commencé par lécher son gland, ma langue caressant cette tête sensible avec une délectation absolue, savourant sa texture veloutée, son goût salé qui me rendait folle. J’aime tellement adorer sa bite, me concentrer uniquement sur son gland, le lécher jusqu’à l’éjac, une friandise pour mon Maître pour l’aider à se reposer après sa journée. Mes lèvres l’ont enveloppé, une aspiration chaude et douce, déglutissant chaque goutte de précum, puis plus sauvage, descendant jusqu’aux boules que j’ai gobées alternativement, les lissant de ma langue pendant qu’il se détendait, ses soupirs étouffés une musique qui m’excitait au maximum.
Le suspense de la route – un camion nous dépasserait-il, un regard indiscret nous surprendrait-il ? – pesait sur moi, mais je m’y abandonnais, pompant des heures si nécessaire, avalant tout son sperme avec une joie perverse. « T’es qu’une bonne vide-couilles, Aria, » a-t-il murmuré, sa main dans mes cheveux imposant un rythme plus rapide. J’ai accéléré, ma bouche aspirant jusqu’aux boules, gobant, léchant, suçant avec ferveur, amoureuse de sa bite au point d’avaler ses charges toute la journée si il le désirait. Lorsqu’il a explosé dans ma bouche, son sperme chaud m’a inondé, et j’ai avalé goulûment, léchant jusqu’à la dernière goutte, nettoyant sa queue avec une précision sacrée.
Il m’a repoussée d’un geste, se rhabillant sans un mot, et m’a ordonné de reprendre la route. « Bonne friandise, chienne, » a-t-il dit, me laissant au volant, le goût de son sperme sur mes lèvres, mon corps vibrant de sa domination. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont j’ai adoré son gland, aspiré jusqu’aux boules, avalé comme une salope amoureuse. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
Arrivée à l’adresse indiquée, je l’ai vu attendre au bord de la route, imposant et viril. Il s’est installé à l’arrière, son regard perçant me transperçant via le rétroviseur. « Conduis, chienne, et prépare-toi, » a-t-il commandé, sa voix un murmure chargé de menace. Le suspense de ce qu’il exigerait – m’arrêter sur une aire pour une pipe rapide, ou me faire sucer en roulant ? – amplifiait mon humiliation, mes mains tremblant sur le volant. Après quelques minutes, il a défait son pantalon, sa queue dure exigeant mon attention. « Viens ici, pute, et suce, » a-t-il ordonné, et j’ai garé la voiture sur une aire isolée, rampant vers l’arrière pour m’agenouiller entre ses jambes.
Ma bouche s’est ouverte, affamée, et j’ai commencé par lécher son gland, ma langue caressant cette tête sensible avec une délectation absolue, savourant sa texture veloutée, son goût salé qui me rendait folle. J’aime tellement adorer sa bite, me concentrer uniquement sur son gland, le lécher jusqu’à l’éjac, une friandise pour mon Maître pour l’aider à se reposer après sa journée. Mes lèvres l’ont enveloppé, une aspiration chaude et douce, déglutissant chaque goutte de précum, puis plus sauvage, descendant jusqu’aux boules que j’ai gobées alternativement, les lissant de ma langue pendant qu’il se détendait, ses soupirs étouffés une musique qui m’excitait au maximum.
Le suspense de la route – un camion nous dépasserait-il, un regard indiscret nous surprendrait-il ? – pesait sur moi, mais je m’y abandonnais, pompant des heures si nécessaire, avalant tout son sperme avec une joie perverse. « T’es qu’une bonne vide-couilles, Aria, » a-t-il murmuré, sa main dans mes cheveux imposant un rythme plus rapide. J’ai accéléré, ma bouche aspirant jusqu’aux boules, gobant, léchant, suçant avec ferveur, amoureuse de sa bite au point d’avaler ses charges toute la journée si il le désirait. Lorsqu’il a explosé dans ma bouche, son sperme chaud m’a inondé, et j’ai avalé goulûment, léchant jusqu’à la dernière goutte, nettoyant sa queue avec une précision sacrée.
Il m’a repoussée d’un geste, se rhabillant sans un mot, et m’a ordonné de reprendre la route. « Bonne friandise, chienne, » a-t-il dit, me laissant au volant, le goût de son sperme sur mes lèvres, mon corps vibrant de sa domination. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont j’ai adoré son gland, aspiré jusqu’aux boules, avalé comme une salope amoureuse. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
16 days ago