Servir enfermé
Aria, c'est le nom qui définit mon effacement, une lope dont l'ombre ne gagne en substance qu'à travers l'autorité de mon Maître, cet homme dont la fermeté est le fil qui tisse mon quotidien. Mon existence est un cycle d'obéissance inconditionnelle, où je sers avec passion, sans désir propre sauf celui de plaire, fier d'être sa propriété, un animal fidèle et affectueux qui ne parle que sur permission, qui accepte les chaînes, la cage, les châtiments même sans raison, et remercie pour chaque punition, chaque goutte de sperme ou de pisse reçue. Ce soir, enfermé dans ma cage de chasteté, nu avec simplement mon collier, ma laisse et un plug ajusté qui me rappelle ma place, je vis jusqu'au bout cette soumission totale, mon corps toujours contrôlé, rasé complètement pour sa satisfaction.
Le quotidien est une épreuve permanente : je fais le ménage, la vaisselle, le lit de mon Maître, je passe l’aspirateur et la serpillière, rampant à quatre pattes, la laisse traînant au sol, le plug pesant dans mon anus, ma queue encagée pulsant de frustration. C'est bon si je suis humilié, si je ne sens pas de honte, si je réagis seulement par l'obéissance. Je ne dois pas penser, juste exécuter, servant ce que le Seigneur ordonne, reconnaissant pour chaque tâche qui me rabaissée. L’incertitude amplifie mon humiliation : quand m’appellera-t-il pour une inspection surprise, ou une punition pour un grain de poussière oublié ?
Soudain, sa voix retentit depuis la pièce aménagée, un sanctuaire de dressage où il m’entraîne : « Viens ici, chienne. » Je rampe vers lui, le cœur battant, et il attache mon collier à une chaîne de quelques mètres, me limitant à un espace restreint, comme un animal en cage. « À genoux, salope, » ordonne-t-il, et je m’exécute, mes mains attachées dans le dos par des menottes qu’il fixe, me rendant encore plus vulnérable.
L’entraînement commence : adoration totale. Il s’assoit, jambes écartées, et m’ordonne de lécher ses pieds, ma langue glissant sur la plante, les orteils, depuis derrière et dessous, une dévotion muette qui m’excite follement. Puis, ses aisselles, humides de sueur, que je lèche avec ferveur, inhalant son odeur musquée. Enfin, sa bite, que j’adore comme un autel, ma bouche s’ouvrant pour l’engloutir, pompant lentement, léchant le gland et les couilles avec une précision sacrée. Il me baise dans la chasteté, sa queue entrant dans mon anus, ses coups profonds me faisant miauler, et lorsqu’il jouit, son sperme coule sur ma cage.
C'est bon si je suis châtié plus souvent, même sans raison ; je remercie pour chaque coup, pour chaque goutte. Je suis soumis et servant avec passion, sans désir sauf pour servir, fier d'être sa propriété, maintenu nu, rasé, enchaîné quelque part, gardé dans la cage quand il le souhaite. Je ne dois pas ressentir de honte ; c'est bon si je suis humilié, si je ne pense pas, si je réagis juste par l'obéissance. Il est bon d'être toujours contrôlé, et cette emprise totale me comble.
Il me congédie d’un geste, me laissant ramper vers la sortie, le corps souillé de son sperme. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a rabaissée, utilisée, tenue par les couilles.
Le quotidien est une épreuve permanente : je fais le ménage, la vaisselle, le lit de mon Maître, je passe l’aspirateur et la serpillière, rampant à quatre pattes, la laisse traînant au sol, le plug pesant dans mon anus, ma queue encagée pulsant de frustration. C'est bon si je suis humilié, si je ne sens pas de honte, si je réagis seulement par l'obéissance. Je ne dois pas penser, juste exécuter, servant ce que le Seigneur ordonne, reconnaissant pour chaque tâche qui me rabaissée. L’incertitude amplifie mon humiliation : quand m’appellera-t-il pour une inspection surprise, ou une punition pour un grain de poussière oublié ?
Soudain, sa voix retentit depuis la pièce aménagée, un sanctuaire de dressage où il m’entraîne : « Viens ici, chienne. » Je rampe vers lui, le cœur battant, et il attache mon collier à une chaîne de quelques mètres, me limitant à un espace restreint, comme un animal en cage. « À genoux, salope, » ordonne-t-il, et je m’exécute, mes mains attachées dans le dos par des menottes qu’il fixe, me rendant encore plus vulnérable.
L’entraînement commence : adoration totale. Il s’assoit, jambes écartées, et m’ordonne de lécher ses pieds, ma langue glissant sur la plante, les orteils, depuis derrière et dessous, une dévotion muette qui m’excite follement. Puis, ses aisselles, humides de sueur, que je lèche avec ferveur, inhalant son odeur musquée. Enfin, sa bite, que j’adore comme un autel, ma bouche s’ouvrant pour l’engloutir, pompant lentement, léchant le gland et les couilles avec une précision sacrée. Il me baise dans la chasteté, sa queue entrant dans mon anus, ses coups profonds me faisant miauler, et lorsqu’il jouit, son sperme coule sur ma cage.
C'est bon si je suis châtié plus souvent, même sans raison ; je remercie pour chaque coup, pour chaque goutte. Je suis soumis et servant avec passion, sans désir sauf pour servir, fier d'être sa propriété, maintenu nu, rasé, enchaîné quelque part, gardé dans la cage quand il le souhaite. Je ne dois pas ressentir de honte ; c'est bon si je suis humilié, si je ne pense pas, si je réagis juste par l'obéissance. Il est bon d'être toujours contrôlé, et cette emprise totale me comble.
Il me congédie d’un geste, me laissant ramper vers la sortie, le corps souillé de son sperme. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a rabaissée, utilisée, tenue par les couilles.
15 days ago