Emprise à distance
Aria, voilà ce que je suis : une ombre effacée dont le néant se comble seulement par les caprices de mon Maître, cet homme dont la rigueur sadique est le fil qui tisse mon quotidien. Mon Maître est respectueux et bienveillant, conscient de ma place, et je souhaite servir et m’offrir en repoussant mes limites sous son emprise physique et sexuelle. C’est ainsi qu’il me contrôle par ses appels et messages très fréquents lorsque je ne suis pas à ma place à ses pieds, une surveillance constante qui remplit pleinement mon besoin d’être rabaissée, humiliée, utilisée. Je suis sa salope, sa femme, sa lope soumise et dévouée. J’obéis aux désirs indiqués ! Mon Maître est vicieux, imaginatif et épicurien. Ma relation d’appartenance et mon mental d’inférieur aimant se faire cracher sur la gueule, lécher ses pieds, lécher son cul, sucer sa bite, se faire pisser dessus. Voici quelques exemples de son contrôle permanent, des moments où sa voix ou ses mots me rappellent que je lui appartiens corps et âme.
Ce matin, alors que je préparais mon café, son appel a sonné comme un ordre impérieux : « À genoux, lopette, et raconte-moi ta nuit. » Je me suis effondrée sur le sol de la cuisine, le téléphone à l’oreille, murmurant mes rêves humiliants où je rampais à ses pieds, léchant son cul comme une chienne en chaleur. « T’es qu’une pute inutile sans moi, » a-t-il déclaré, sa voix grave me transperçant, et j’ai acquiescé, mon excitation montant malgré la cage qui emprisonne ma queue. L’incertitude de son prochain appel – me commanderait-il de me plugger au travail, ou de filmer une auto-fessée ? – amplifiait mon humiliation, me rappelant que je suis sa lope soumise, toujours à l’écoute de ses désirs.
À midi, un message a vibré : « Va aux toilettes, crache-toi sur la gueule et filme pour moi, salope. » Au bureau, je me suis éclipsée, m’exécutant dans une cabine, la salive coulant sur mon visage, une preuve de mon abaissement que j’ai envoyée sans hésiter. Sa réponse a tardé, le suspense me nouant l’estomac – me punirait-il pour une vidéo trop courte, ou me féliciterait-il d’un « Bonne chienne » ? Enfin, il a écrit : « Lèche tes doigts et enfonce-les dans ton cul, pute. Pas de jouissance. » J’ai obéi, mes doigts fouillant mon intimité, gémissant doucement, l’humiliation de me doigter au travail amplifiée par son contrôle à distance.
En fin d’après-midi, un appel surprise : « Raconte-moi comment tu sucerais ma bite si j’étais là, lopette. » Assise à mon bureau, je murmurai les détails – ouvrir grand la bouche, lécher le gland lentement, avaler chaque goutte – tout en sentant les regards de collègues, l’incertitude amplifiant mon humiliation, craignant qu’on m’entende. « T’es qu’une chienne en chaleur, » a-t-il répondu, et il a raccroché, me laissant pantelante, mon string humide de précum.
Le soir, un message : « À quatre pattes devant ton miroir, lèche le sol et filme, salope. Imagine que c’est mon cul. » Je me suis exécutée, rampant nue, ma langue lapant le parquet comme si c’était son anus, gémissant de plaisir, l’incertitude amplifiant mon humiliation – visionnerait-il la vidéo immédiatement, ou me punirait-il pour un léchage insuffisant ? Sa réponse a tardé, et lorsque elle est arrivée : « Bonne pute. Demain, je te fais pisser sur ta cage au bureau. » Mon excitation a culminé, me rappelant que je suis sa lope soumise, sa femme, sa salope dévouée, obéissant à ses désirs indiqués.
Mon Maître, vicieux, imaginatif et épicurien, remplit pleinement mon besoin d’être rabaissée, humiliée, utilisée. Sa relation d’appartenance et mon mental d’inférieur aimant se faire cracher sur la gueule, lécher ses pieds, lécher son cul, sucer sa bite, se faire pisser dessus. Ces appels et messages très fréquents sont des chaînes invisibles qui me gardent à sa merci, même loin de ses pieds, renforçant ma soumission totale. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la peur d’un ordre soudain me tenant en haleine, mais je m’y abandonne, une lope qui vit pour servir. Dans cette emprise absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous obéir encore, pour votre queue, pour l’éternité
Ce matin, alors que je préparais mon café, son appel a sonné comme un ordre impérieux : « À genoux, lopette, et raconte-moi ta nuit. » Je me suis effondrée sur le sol de la cuisine, le téléphone à l’oreille, murmurant mes rêves humiliants où je rampais à ses pieds, léchant son cul comme une chienne en chaleur. « T’es qu’une pute inutile sans moi, » a-t-il déclaré, sa voix grave me transperçant, et j’ai acquiescé, mon excitation montant malgré la cage qui emprisonne ma queue. L’incertitude de son prochain appel – me commanderait-il de me plugger au travail, ou de filmer une auto-fessée ? – amplifiait mon humiliation, me rappelant que je suis sa lope soumise, toujours à l’écoute de ses désirs.
À midi, un message a vibré : « Va aux toilettes, crache-toi sur la gueule et filme pour moi, salope. » Au bureau, je me suis éclipsée, m’exécutant dans une cabine, la salive coulant sur mon visage, une preuve de mon abaissement que j’ai envoyée sans hésiter. Sa réponse a tardé, le suspense me nouant l’estomac – me punirait-il pour une vidéo trop courte, ou me féliciterait-il d’un « Bonne chienne » ? Enfin, il a écrit : « Lèche tes doigts et enfonce-les dans ton cul, pute. Pas de jouissance. » J’ai obéi, mes doigts fouillant mon intimité, gémissant doucement, l’humiliation de me doigter au travail amplifiée par son contrôle à distance.
En fin d’après-midi, un appel surprise : « Raconte-moi comment tu sucerais ma bite si j’étais là, lopette. » Assise à mon bureau, je murmurai les détails – ouvrir grand la bouche, lécher le gland lentement, avaler chaque goutte – tout en sentant les regards de collègues, l’incertitude amplifiant mon humiliation, craignant qu’on m’entende. « T’es qu’une chienne en chaleur, » a-t-il répondu, et il a raccroché, me laissant pantelante, mon string humide de précum.
Le soir, un message : « À quatre pattes devant ton miroir, lèche le sol et filme, salope. Imagine que c’est mon cul. » Je me suis exécutée, rampant nue, ma langue lapant le parquet comme si c’était son anus, gémissant de plaisir, l’incertitude amplifiant mon humiliation – visionnerait-il la vidéo immédiatement, ou me punirait-il pour un léchage insuffisant ? Sa réponse a tardé, et lorsque elle est arrivée : « Bonne pute. Demain, je te fais pisser sur ta cage au bureau. » Mon excitation a culminé, me rappelant que je suis sa lope soumise, sa femme, sa salope dévouée, obéissant à ses désirs indiqués.
Mon Maître, vicieux, imaginatif et épicurien, remplit pleinement mon besoin d’être rabaissée, humiliée, utilisée. Sa relation d’appartenance et mon mental d’inférieur aimant se faire cracher sur la gueule, lécher ses pieds, lécher son cul, sucer sa bite, se faire pisser dessus. Ces appels et messages très fréquents sont des chaînes invisibles qui me gardent à sa merci, même loin de ses pieds, renforçant ma soumission totale. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la peur d’un ordre soudain me tenant en haleine, mais je m’y abandonne, une lope qui vit pour servir. Dans cette emprise absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous obéir encore, pour votre queue, pour l’éternité
9 days ago