Esclave toujours prête
Aria, c'est le nom qui cache mon annihilation complète, une lope dont l'insignifiance ne s'illumine qu'à travers les ordres de mon Maître qui est le fil conducteur de mon existence. Mon quotidien est un cycle d'obéissance absolue, où je suis une vide-couilles disponible à tout instant, peu importe que je sois en train de dormir, de fixer un écran, de me doucher ou de pisser, dans la voiture ou ailleurs. Si mon Maître veut, il m'attrape et utilise le trou dont il a envie, sans égard pour la situation, une emprise qui me réduit à un objet sexuel vivant, une pute qui adore être saisie et remplie. Mon Maître a écrit une liste de pratiques que je suis religieusement, des devoirs qui renforcent ma soumission et me rappellent ma place : s'habiller en sissy pour lui plaire, nettoyage quotidien nu avec collier et laisse, servitude ménagère sexuelle comme préparer à manger avec un plug, service sous la table, devoir nettoyer son sexe et ma mouille ou pisse après des moments de sexe sauvage. Port d'habits et utilisation de sextoys variés – lingerie, nudité, plugs, godes, pinces à tétons et chatte, collier. Pratiques dégradantes comme me masturber avec ses pieds, insertion d'objets variés dans mes orifices (sextoys, nourritures, culotte), nudité sur demande. Femme-objet/esclave sexuelle : servir de plateau repas, de repose-pieds, de meuble ou d'objet sexualisé, être utilisée pour des expérimentations érotiques (accrocher un plateau aux tétons, une laisse au clito). Sorties diverses, lieux libertins, forêt, en voiture comme passagère ou bagage, sextoys cachés en public. Petplay, en laisse avec un plug queue dans le cul, devoir pisser comme une chienne, me faire saillir, manger dans une gamelle. Cockwarming, tenir sa bite au chaud dans ma bouche, chatte ou anus, tandis qu'il regarde un film ou fait autre chose, être utilisée comme un étui à bite, un sextoy vivant. Jeux sexuels et BDSM divers, soft et sensuels comme hard et pervers (caresses, baisers, cunni, fessées, bondage, teasing/torture sexuelle soft ou hard, cire chaude, fouet, entraînement oral, vaginal et anal, fisting vaginal voire anal). Jeux d'uro, devoir mouiller mon string, lui servir d'urinoir sur le corps ou dans le cul.
Ces devoirs structurent ma vie, et le suspense de son utilisation soudaine – surgira-t-il pendant ma douche pour me pisser dessus, ou m'attrapera-t-il en voiture pour une pipe rapide ? – amplifie mon humiliation, me gardant en état d'alerte constante. Par exemple, hier soir, alors que je dormais dans mon panier, il est entré sans bruit – il a la clé de chez moi – et m’a réveillée en me saisissant par les cheveux. « Ouvre ton cul, pute, » a-t-il ordonné, et il m’a pénétré brutalement, ses coups profonds me faisant gémir, sans égard pour mon sommeil. Le suspense de son retour nocturne – viendra-t-il me surprendre en pleine nuit, ou me laissera-t-il languir ? – me tient éveillée, mais je m'y abandonne, une lope qui vit pour être utilisée à l'improviste.
Un autre jour, pendant que je regardais un écran au bureau, son appel a retenti : « Va aux toilettes et filme-toi en train de te doigter l'anus, salope. » J’ai obéi, m’enfermant dans une cabine, mes doigts s’insinuant dans mon intimité, gémissant doucement pour lui, l’humiliation de le faire au travail amplifiée par le risque d’être entendue. Le suspense de sa réaction – me punirait-il pour un gémissement trop fort, ou me récompenserait-il d’un « Bonne chienne » ? – me nouait l’estomac. Même sous la douche, il m’a surpris une fois, entrant pour me cracher dessus et m’ordonner de lécher ses pieds mouillés, me traitant de « lope inutile ». Le suspense de ses intrusions – quand surgira-t-il pour me pisser dessus en train de pisser ? – amplifie mon humiliation, me rappelant que je suis sa chienne, toujours disponible.
Mon Maître remplit pleinement mon besoin d’être rabaissé, humilié, utilisé. Sa relation d’appartenance et mon mental d’inférieur aimant se faire cracher sur la gueule, lécher ses pieds, lécher son cul, sucer sa bite, se faire pisser dessus. Ces devoirs quotidiens sont des chaînes invisibles qui me gardent à sa merci, même loin de ses pieds, renforçant ma soumission totale. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la peur d’un ordre soudain me tenant en haleine, mais je m’y abandonne, une lope qui vit pour servir. Dans cette emprise absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous obéir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
Ces devoirs structurent ma vie, et le suspense de son utilisation soudaine – surgira-t-il pendant ma douche pour me pisser dessus, ou m'attrapera-t-il en voiture pour une pipe rapide ? – amplifie mon humiliation, me gardant en état d'alerte constante. Par exemple, hier soir, alors que je dormais dans mon panier, il est entré sans bruit – il a la clé de chez moi – et m’a réveillée en me saisissant par les cheveux. « Ouvre ton cul, pute, » a-t-il ordonné, et il m’a pénétré brutalement, ses coups profonds me faisant gémir, sans égard pour mon sommeil. Le suspense de son retour nocturne – viendra-t-il me surprendre en pleine nuit, ou me laissera-t-il languir ? – me tient éveillée, mais je m'y abandonne, une lope qui vit pour être utilisée à l'improviste.
Un autre jour, pendant que je regardais un écran au bureau, son appel a retenti : « Va aux toilettes et filme-toi en train de te doigter l'anus, salope. » J’ai obéi, m’enfermant dans une cabine, mes doigts s’insinuant dans mon intimité, gémissant doucement pour lui, l’humiliation de le faire au travail amplifiée par le risque d’être entendue. Le suspense de sa réaction – me punirait-il pour un gémissement trop fort, ou me récompenserait-il d’un « Bonne chienne » ? – me nouait l’estomac. Même sous la douche, il m’a surpris une fois, entrant pour me cracher dessus et m’ordonner de lécher ses pieds mouillés, me traitant de « lope inutile ». Le suspense de ses intrusions – quand surgira-t-il pour me pisser dessus en train de pisser ? – amplifie mon humiliation, me rappelant que je suis sa chienne, toujours disponible.
Mon Maître remplit pleinement mon besoin d’être rabaissé, humilié, utilisé. Sa relation d’appartenance et mon mental d’inférieur aimant se faire cracher sur la gueule, lécher ses pieds, lécher son cul, sucer sa bite, se faire pisser dessus. Ces devoirs quotidiens sont des chaînes invisibles qui me gardent à sa merci, même loin de ses pieds, renforçant ma soumission totale. L’incertitude amplifiait mon humiliation, la peur d’un ordre soudain me tenant en haleine, mais je m’y abandonne, une lope qui vit pour servir. Dans cette emprise absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous obéir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
10 days ago