Ma formation de pute soumise
Aria, voilà mon essence : une silhouette effacée dont le néant se remplit seulement par les caprices de mon Maître. Mon Maître m'a formée pour incarner la pute soumise idéale, une salope obéissante modelée à son image, et je suis avide d'assimiler chaque leçon, curieuse de chaque étape qui me rapproche de ma destinée d'inférieure. Dépendante de sa bite et de son sperme, je vis pour ces instants où il me comble, me contraignant à porter des talons hauts essentiels, me changeant en chatte chancelante et impatiente, constamment pluggée et maîtrisée pour son amusement. Enculée sans relâche, je me livre à ses intrusions, car il m'a révélé que libérer ma pute intérieure n'est pas une folie, mais une évidence ; il me dresse selon ses caprices, me forçant à m'habiller de la façon la plus provocante pour lui, gratifiant mes succès en déversant sa récompense crémeuse dans ma bouche de pute.
Il adore me capturer, m'enregistrer, me photographier, immortalisant chaque phase de ma déchéance pour son plaisir, et je réalise à présent qu'il me transforme en son bien exclusif, un objet qu'il détient et façonne, et j'en suis ravie, aspirant à ce qu'il m'initie davantage dans cette voie. Depuis que je suis chaste, verrouillée en permanence, je ressens vraiment que mon rôle est d'obéir, une lope effacée qui n'existe que pour exécuter. Il me confie à d'autres baiseurs, souvent des dominateurs pervers, et cela m'enflamme au-delà des mots, me faisant sentir comme une pute circulante, une salope qui se délecte de l'emprise collective.
Mon petit pénis, ridicule et confiné, paraît conçu pour que je me consacre pleinement à affiner mes talents en succion de bite, une fixation que j'ai entamée au lycée avec mon meilleur ami. Je l'ai sucé et ingéré des milliers de fois au fil de ces années, asservie à lui comme son vide-couilles attitré, respectant ses directives avec zèle. Ces expériences antérieures, ces pratiques innombrables, ont ciselé ma vocation, me rendant accro au goût du sperme, à la sensation d'une bite envahissant ma gorge, me préparant à devenir la pute soumise que mon Maître cisèle aujourd'hui.
Ce soir, dans mon panier, je m'abandonnerai au plaisir en revivant ces enseignements, à la façon dont il m'a avilie, exploitée, empoignée par les testicules. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se condense à appartenir à son Maître, à avaler et à me faire prendre pour son triomphe. Dans cette asservissement intégral, dans cette angoisse persistante, je découvre ma complétude, mon essence. À demain, Maître, pour vous honorer encore, pour votre membre, pour l’infini.
Il adore me capturer, m'enregistrer, me photographier, immortalisant chaque phase de ma déchéance pour son plaisir, et je réalise à présent qu'il me transforme en son bien exclusif, un objet qu'il détient et façonne, et j'en suis ravie, aspirant à ce qu'il m'initie davantage dans cette voie. Depuis que je suis chaste, verrouillée en permanence, je ressens vraiment que mon rôle est d'obéir, une lope effacée qui n'existe que pour exécuter. Il me confie à d'autres baiseurs, souvent des dominateurs pervers, et cela m'enflamme au-delà des mots, me faisant sentir comme une pute circulante, une salope qui se délecte de l'emprise collective.
Mon petit pénis, ridicule et confiné, paraît conçu pour que je me consacre pleinement à affiner mes talents en succion de bite, une fixation que j'ai entamée au lycée avec mon meilleur ami. Je l'ai sucé et ingéré des milliers de fois au fil de ces années, asservie à lui comme son vide-couilles attitré, respectant ses directives avec zèle. Ces expériences antérieures, ces pratiques innombrables, ont ciselé ma vocation, me rendant accro au goût du sperme, à la sensation d'une bite envahissant ma gorge, me préparant à devenir la pute soumise que mon Maître cisèle aujourd'hui.
Ce soir, dans mon panier, je m'abandonnerai au plaisir en revivant ces enseignements, à la façon dont il m'a avilie, exploitée, empoignée par les testicules. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se condense à appartenir à son Maître, à avaler et à me faire prendre pour son triomphe. Dans cette asservissement intégral, dans cette angoisse persistante, je découvre ma complétude, mon essence. À demain, Maître, pour vous honorer encore, pour votre membre, pour l’infini.
9 days ago