Le voisin du 4ème
Les circonstances ont parfois un goût de destin, comme ce soir où mon voisin du 4ème étage – un mec grand, la trentaine, hétéro en couple à première vue – a découvert mes penchants. Il m'avait entendue à travers la porte, obéissant aux ordres de mon Maître, suçant avec ferveur, mes gémissements filtrant sur le palier. Honnêtement, j'ai été surpris et confus quand, dans l'ascenseur, il m'a demandé sans détour si j'étais une bonne suceuse. Comment avait-il deviné ? J'étais figée, le cœur battant, l'incertitude amplifiant mon humiliation – me dénoncerait-il, ou profiterait-il de ce secret ?
Il a souri, un rictus vicieux, et m'a dit qu'il en cherchait une pour le matin, car sa femme partait très tôt au travail. Il a pris mon numéro et m'a promis un appel dès qu'elle serait partie, pour lui montrer à quel point j'aimais la bite. Le suspense m'a rongé toute la nuit : appellerait-il vraiment, ou était-ce une blague cruelle ? Le lendemain, à 7h10, le téléphone a sonné, sa voix rauque ordonnant : « Viens chez moi, et entre sans sonner. » Mon pouls s'est emballé, l'urgence effaçant toute hésitation – que me réservait cette rencontre matinale ?
Arrivé à sa porte, je l'ai poussée sans bruit, rampant dans l'entrée, le cœur noué par le suspense – me surprendrait-il immédiatement, ou m'attendait-il dans la chambre ? J'ai entendu sa voix depuis le fond : « Viens ici, salope. » Je me suis dirigée vers la chambre, à quatre pattes et je l'ai trouvé nu, allongé sur son lit, sa queue déjà dure. Il m'a ordonné de passer une cagoule, et je me suis allongée sur le ventre, commençant par embrasser ses pieds, mes lèvres effleurant chaque orteil avec révérence, remontant lentement le long de ses jambes assez musclées, des petits baisers qui m'excitaient follement. Le suspense de sa réaction – me punirait-il pour un baiser trop audacieux, ou me laisserait-il continuer ?
Puis, j'ai atteint ses testicules, les léchant goulûment comme une bonne chienne, ma langue explorant chaque pli, savourant leur poids, leur chaleur, une adoration qui me faisait miauler de plaisir. Il a grogné de satisfaction, sa main dans mes cheveux guidant ma tête, et j'ai continué, pompant sa queue avec ferveur, avalant chaque goutte de précum comme une récompense. Le suspense culmina lorsqu'il accéléra, sa respiration saccadée, et il explosa dans ma bouche, son sperme chaud que j'ai avalé avec gratitude, léchant jusqu'à la dernière goutte, nettoyant sa bite comme une pute dévouée.
Il m'a congédiée d'un geste, me laissant quitter son appartement, le goût de son sperme sur mes lèvres, mon corps vibrant de cette soumission inattendue. Il faut que j'annonce à mon Maître cette situation imprévue et lui demander formellement s'il m'autorise à pomper mon voisin pour son plaisir matinal.
Il a souri, un rictus vicieux, et m'a dit qu'il en cherchait une pour le matin, car sa femme partait très tôt au travail. Il a pris mon numéro et m'a promis un appel dès qu'elle serait partie, pour lui montrer à quel point j'aimais la bite. Le suspense m'a rongé toute la nuit : appellerait-il vraiment, ou était-ce une blague cruelle ? Le lendemain, à 7h10, le téléphone a sonné, sa voix rauque ordonnant : « Viens chez moi, et entre sans sonner. » Mon pouls s'est emballé, l'urgence effaçant toute hésitation – que me réservait cette rencontre matinale ?
Arrivé à sa porte, je l'ai poussée sans bruit, rampant dans l'entrée, le cœur noué par le suspense – me surprendrait-il immédiatement, ou m'attendait-il dans la chambre ? J'ai entendu sa voix depuis le fond : « Viens ici, salope. » Je me suis dirigée vers la chambre, à quatre pattes et je l'ai trouvé nu, allongé sur son lit, sa queue déjà dure. Il m'a ordonné de passer une cagoule, et je me suis allongée sur le ventre, commençant par embrasser ses pieds, mes lèvres effleurant chaque orteil avec révérence, remontant lentement le long de ses jambes assez musclées, des petits baisers qui m'excitaient follement. Le suspense de sa réaction – me punirait-il pour un baiser trop audacieux, ou me laisserait-il continuer ?
Puis, j'ai atteint ses testicules, les léchant goulûment comme une bonne chienne, ma langue explorant chaque pli, savourant leur poids, leur chaleur, une adoration qui me faisait miauler de plaisir. Il a grogné de satisfaction, sa main dans mes cheveux guidant ma tête, et j'ai continué, pompant sa queue avec ferveur, avalant chaque goutte de précum comme une récompense. Le suspense culmina lorsqu'il accéléra, sa respiration saccadée, et il explosa dans ma bouche, son sperme chaud que j'ai avalé avec gratitude, léchant jusqu'à la dernière goutte, nettoyant sa bite comme une pute dévouée.
Il m'a congédiée d'un geste, me laissant quitter son appartement, le goût de son sperme sur mes lèvres, mon corps vibrant de cette soumission inattendue. Il faut que j'annonce à mon Maître cette situation imprévue et lui demander formellement s'il m'autorise à pomper mon voisin pour son plaisir matinal.
7 days ago